1 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
1 très brave homme, il fait partie du conseil de la paroisse , etc. » — Il semble qu’en attaquant ses idées et leurs réalisations o
2 nité morale de ce M. Machin, membre du conseil de paroisse . Je préciserai donc : je tiens l’École pour criminelle. Mais je ne ti
2 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
3 très brave homme, il fait partie du conseil de la paroisse , et… » — Il semble qu’en attaquant ses idées et leurs réalisations on
4 nité morale de ce M. Machin, membre du conseil de paroisse . Je préciserai donc : je tiens l’École pour criminelle. Mais je ne ti
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
5 Kagawa. Nous savions que ce pasteur d’une petite paroisse presbytérienne était le chef du Jeune Japon, l’initiateur de réformes
4 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
6 clerc dans sa chambrette, et le chrétien dans sa paroisse . Elle conclut au scepticisme, et au pessimisme intégral. — « J’ai app
5 1935, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). René Guisan : un clerc (1935)
7 elle embrassait aussi les incidents de la moindre paroisse « libriste » du canton de Vaud. Son sens aigu de la qualité intellect
6 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
8 salle attenante au temple, pour les hommes de sa paroisse . « C’est le seul moyen de les avoir, me dit-il. Comme vous l’aurez re
9 s circonstances de leur vie. C’est le pasteur. Sa paroisse comprend les villages de N. et de V. où il habite. V., c’est un vieux
7 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
10 foules aux foires, la vie commune du bourg et des paroisses . C’est vraiment toute l’humanité suscitée et instruite par la Réforme
8 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
11 . » À la base de tout, il y a l’église locale, ou paroisse . Ces églises se fédèrent par région. L’instance d’appel est « la cour
9 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
12 salle attenante au temple, pour les hommes de sa paroisse . « C’est le seul moyen de les avoir, me dit-il. Comme vous l’aurez r
13 s circonstances de leur vie. C’est le pasteur. Sa paroisse comprend les villages de N. et de V. où il habite. V., c’est un vieux
10 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
14 ue l’ermite n’a nullement rompu ses liens avec sa paroisse , mais, au contraire, n’a cessé de visiter les malades et de venir en
11 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
15 uté vivante. Posons tout de suite un repère : les paroisses de l’Église primitive étaient de vraies communautés. On y mettait tou
16 parce que le but et le fondement spirituel d’une paroisse étaient alors plus importants que tout. La ferveur de la foi nouvelle
17 tes les persécutions grâce à la cohésion de leurs paroisses , grâce à l’esprit communautaire qui les soutenait. Pendant la décaden
18 ait. Pendant la décadence de l’Empire romain, ces paroisses ont constitué les cellules de base d’une nouvelle société7, les noyau
19 tés futures, les refuges de la vraie liberté. Nos paroisses actuelles, nos paroisses de Suisse, seraient-elles capables de jouer
20 de la vraie liberté. Nos paroisses actuelles, nos paroisses de Suisse, seraient-elles capables de jouer pareil rôle, de nos jours
21 es dans l’Église ? Oh ! je ne demande pas que nos paroisses décrètent du jour au lendemain le partage de tous les biens et décide
22 er toutes les conditions nécessaires pour que nos paroisses redeviennent des communautés véritables. Mais il est trois de ces con
23 l’atmosphère un peu renfermée de certaines de nos paroisses se dissipera d’elle-même, se fera plus accueillante. L’étranger qui e
24 et auditoire l’appuieront pratiquement dans leurs paroisses . Je voudrais dire à nos pasteurs : soyez simples dans vos sermons, so
25 parlerai pas non plus du rôle des laïques dans la paroisse , qui pourrait être développé encore, afin de décharger le pasteur d’u
26 l’amener, un beau dimanche, au culte d’une de nos paroisses suisses. Elle sera d’abord, probablement, dépaysée, comme je vous le
12 1941, Journal de Genève, articles (1926–1982). Religion et vie publique aux États-Unis (18 février 1941)
27 lées des services que célébreront les principales paroisses de la cité. (Trois cultes chaque dimanche dans beaucoup d’églises.) L
28 tre privilège américain : allez au culte de votre paroisse . » Certes, l’on peut sourire de la publicité qu’étalent les Églises d
29 ouvre la réalité de la vie communautaire dans les paroisses . Devenir membre d’une Église, en Amérique, c’est aussi trouver un mil
30 nomade encore, la vraie cellule sociale, c’est la paroisse . Plus sociale que religieuse, dira-t-on ? C’est un risque. Mais c’est
13 1942, La Vie protestante, articles (1938–1978). Perspectives d’avenir du protestantisme (2 janvier 1942)
31 Par l’organisation même de ses Églises et de ses paroisses , elle offre le type d’une communauté libre et pourtant bien liée, fon
14 1946, Journal de Genève, articles (1926–1982). Journal d’un retour (fin) (18-19 mai 1946)
32 deux grands et le Tout Petit, qui est la dernière paroisse intacte du Continent. Un peu plus loin, j’irais buter contre le fameu
15 1946, Réforme, articles (1946–1980). Spiritualité américaine (19 octobre 1946)
33 la cité, préparait à la mort plus qu’à la vie. La paroisse était la commune. Aujourd’hui, le plus petit village compte deux ou t
34 compte deux ou trois églises différentes, et les paroisses sont devenues des clubs. Elles offrent à leurs membres des relations
35 s américains, j’entends de membres inscrits d’une paroisse , dont 40 millions de protestants. En vérité, je n’ai décrit qu’une at
16 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
36 nnaît pareillement leur valeur (églises diverses, paroisses , ordres, etc.). C’est en effet dans le groupe local que la personne p
37 es ». Elle doit donc s’organiser en fédération de paroisses et de provinces, par synodes. Ce type de relations ecclésiastiques de
17 1946, Articles divers (1946-1948). Théologie et littérature (1946)
38 de rigueur théologique ? Au nom des besoins de la paroisse de campagne, trop souvent prise comme prétexte chez les protestants,
18 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
39 utour de la photo jaunie du « Chœur mixte » de la paroisse , 1913. Deux bons lits de bois aux « duvets » écrasants. Pour le reste
19 1946, Journal des deux mondes. Journal d’un retour
40 deux grands et le Tout Petit, qui est la dernière paroisse intacte du continent. Un peu plus loin j’irais buter contre le fameux
20 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
41 salle attenante au temple, pour les hommes de sa paroisse . « C’est le seul moyen de les avoir, me dit-il. Comme vous l’aurez re
42 s circonstances de leur vie. C’est le pasteur. Sa paroisse comprend les villages de N… et de V… où il habite. V…, c’est un vieux
21 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
43 utour de la photo jaunie du « Chœur mixte » de la paroisse , 1913. Deux bons lits de bois aux « duvets » écrasants. Pour le reste
22 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’un retour
44 : l’un des deux grands et le Tout Petit, dernière paroisse intacte du continent. Un peu plus loin j’irais buter contre le fameux
23 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
45 lées des services que célébreront les principales paroisses de la cité. (Trois cultes chaque dimanche dans beaucoup d’églises.) L
46 tre privilège américain : allez au culte de votre paroisse . » Certes, l’on peut sourire de la publicité qu’étalent les Églises d
47 ouvre la réalité de la vie communautaire dans les paroisses . Devenir membre d’une Église, en Amérique, c’est aussi trouver un mil
48 nomade encore, la vraie cellule sociale, c’est la paroisse . Plus sociale que religieuse, dira-t-on ? C’est un risque. Mais c’est
49 cité, préparait à la mort plus qu’à la vie.) ⁂ La paroisse était la commune. Aujourd’hui, le plus petit village compte deux ou t
50 compte deux ou trois églises différentes, et les paroisses sont devenues des clubs. Elles offrent à leurs membres des relations
51 s américains, j’entends de membres inscrits d’une paroisse , dont 40 millions de protestants. En vérité, je n’ai décrit qu’une at
24 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
52 ouisme. — Point d’Église, ni de hiérarchie, ni de paroisses , ni d’organisation ; point de croyance en Dieu, ni de théologie, de c
25 1952, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Présentation du Centre européen de la culture (mars 1952)
53 rs locaux de culture et universités, syndicats et paroisses , groupes d’études ou d’échanges, il en est des milliers de toute espè
26 1953, Articles divers (1951-1956). Unité et diversité de l’Europe (juin 1953)
54 e Rome et de l’Église : au commencement furent la paroisse et la commune, totalement inconnues de l’Orient ; les synodes et le s
27 1953, La Confédération helvétique. La vie religieuse
55 nées par des synodes régionaux. L’autonomie de la paroisse reste considérable, sous la direction du pasteur assisté par un « con
28 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
56 e Innocent II pour le supplier de diviser en deux paroisses la communauté unique de 60.000 âmes qu’un seul prêtre administre, fau
29 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 5. Un langage commun
57 spiré de l’anglicanisme, a déjà conquis plusieurs paroisses . Quelques « communautés » de femmes ou d’hommes ce sont créées à la c
30 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 7. Théologie et littérature
58 de rigueur théologique ? Au nom des besoins de la paroisse de campagne, trop souvent prise comme prétexte chez les protestants,
31 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 10. Le défi du marxisme
59 . » À la base de tout, il y a l’église locale, ou paroisse . Ces églises se fédèrent par région. L’instance d’appel est « la cour
32 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
60 nnaît pareillement leur valeur (Églises diverses, paroisses , ordres, etc.). C’est en effet dans le groupe local que la personne p
61 es ». Elle doit donc s’organiser en fédération de paroisses et de provinces, par synodes. Ce type de relations ecclésiastiques de
33 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
62 nt liturgique se développe chez les réformés. Les paroisses où il s’est implanté voient aussitôt affluer la jeunesse, les couleur
63 nées par des synodes régionaux. L’autonomie de la paroisse reste considérable, sous la direction du pasteur assisté par un « con
34 1969, Articles divers (1963-1969). Les résistances mentales à l’Europe des régions (avril 1969)
64 s il cotise, où il paie ses impôts, qui est de sa paroisse et quels sont les paysages de son cœur, et aucun de nous n’exige que
35 1969, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). La région n’est pas un mini-État-nation (hiver 1969-1970)
65 s il cotise, où il paie ses impôts, qui est de sa paroisse et quels sont les paysages de son cœur. Et aucun de nous n’exige que
36 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
66 Cependant que l’esprit évangélique des premières paroisses autonomes et fédérées, où tout était mis en commun, prend corps dans
37 1970, Lettre ouverte aux Européens. IV. Vers une fédération des régions
67 s il cotise, où il paie ses impôts, qui est de sa paroisse et quels sont les paysages de son cœur. Et nul n’exige que tout cela
38 1972, Articles divers (1970-1973). Europe divisée ou Europe fédérée ? (1972)
68 t des niveaux communautaires existants : société, paroisse , club, atelier, entreprise au niveau communal, et organismes correspo
39 1974, Articles divers (1974-1977). L’Europe des régions (juin-juillet 1974)
69 s colonies, n’importe quoi, des associations, des paroisses , tout ce qui peut rassembler des hommes autour d’une idée et d’une ch
40 1974, Articles divers (1974-1977). La personne comme fondement des valeurs européennes (19 septembre 1974)
70 as en contradiction — pas plus que l’Église et la paroisse — puisqu’ils expriment la dialectique constitutive de la personne ent
41 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). I. Alpbach : le trentième anniversaire du Forum européen
71 atelier d’un maître et d’un style européen, de la paroisse et de l’Église « catholique ». Nous devons vouloir une société qui tr
42 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). II. Strasbourg : la deuxième table ronde du Conseil de l’Europe (« Promesses du xxe siècle »)
72 pas en contradiction pas plus que l’Église et la paroisse puisqu’ils expriment la dialectique constitutive de la personne entre
43 1975, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Paradoxes de la prospective (automne 1975)
73 annie, mais aussi la renaissance des régions, des paroisses , et de l’autonomie personnelle. Mais peut-on affirmer pour autant que
44 1977, L’Avenir est notre affaire. De la prévision — L’avenir sensible au cœur
74 rannie mais aussi la renaissance des régions, des paroisses , et de l’autonomie personnelle. Mais peut-on affirmer pour autant que
45 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Passage de la personne à la cité
75 de Nicée, ne vit vraiment que dans la vie de ses paroisses et s’enracine en fin de compte dans la seule existence individuelle d
76 auvage de l’ère industrielle, le dépeuplement des paroisses , la destruction des voisinages au profit de la promiscuité physique e
46 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience communautaire
77 nt locales ou supranationales comme l’étaient les paroisses et l’Église, ou les communes et l’empire. Ou comme le seront demain l
78 roupes et groupuscules politiques, ligues, loges, paroisses ou sectes, sociétés et unions de toute espèce… On compte 330 000 « ce
47 1978, Articles divers (1978-1981). L’Europe est une culture commune (1978)
79 s de notables élus par les communautés locales ou paroisses ) sont devenus les prototypes de nos parlements modernes. Toute l’hist
48 1981, Articles divers (1978-1981). Fédéralisme, personnalisme, œcuménisme (1981)
80 l’œcuménisme reconnaît pareillement leur valeur ( paroisse , églises diverses, ordres). C’est en effet dans le groupe local que l
81 es ». Elle doit donc s’organiser en fédération de paroisses et de provinces, de synodes. Ce type de relations ecclésiastiques dev
49 1982, Le Monde et Le Monde diplomatique (1950-1982). L’amour, les régions et l’Occident (20 août 1982)
82 e l’Empire romain. Chez les protestants, c’est la paroisse qui est l’unité de base. L’Église est concrètement une fédération de
83 base. L’Église est concrètement une fédération de paroisses . Le calvinisme a toujours été régionaliste. N’oubliez pas que les cal
50 1984, Articles divers (1982-1985). Le Patrimoine européen [conclusion] (1984)
84 , c’est-à-dire des communautés plus proches de la paroisse que de la tribu, et liées beaucoup moins par leur passé que par leur
51 1988, Inédits (extraits de cours). Communautés, communes
85 d’une combinaison de la civitas antique et de la paroisse chrétienne. La troisième catégorie de sources est germanique. Elle se
86 elle, par le christianisme, par l’Église, est la paroisse , communauté dont le principe est spirituel. Il y a donc trois origine
87 gine spirituelle, la communauté spirituelle de la paroisse , de l’Église. Donc on peut dire que convergent pour former ces commun
88 ion juridique de civis ou citoyen), chrétiens (la paroisse ), germaniques (fondés sur les droits personnels). L’esprit des commun