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e n’est plus dire, ce n’est plus s’exprimer, mais
patauger
dans une bouillasse verbale, où l’on se traîne avec de lourdes brusqu
2
qu’une naïve et désarmante excuse à penser mal, à
patauger
dans des jugements intolérants et anarchiques dont peu résisteraient
3
ire, de son arrogance étatique. Nous sommes ici à
patauger
parce que les peuples autour de nous font la guerre, et s’ils la font
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ire, de son arrogance étatique. Nous sommes ici à
patauger
parce que nos voisins se font la guerre, et s’ils la font, c’est parc
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tement. Je bondis vers la douane, je la force, je
patauge
dans les flaques du quai, j’entends mon nom crié du pont lugubrement
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qu’une naïve et désarmante excuse à penser mal, à
patauger
dans des jugements intolérants et anarchiques dont peu résisteraient
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ire, de son arrogance étatique. Nous sommes ici à
patauger
parce que nos voisins se font la guerre, et s’ils la font, c’est parc
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tement. Je bondis vers la douane, je la force, je
patauge
dans les flaques du quai, j’entends mon nom crié du pont lugubrement
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e n’est plus dire, ce n’est plus s’exprimer, mais
patauger
dans une bouillasse verbale, où l’on se traîne avec de lourdes brusqu
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est-ce que l’énergie ? Et après nous avoir laissé
patauger
quelques moments dans nos essais de formulation scolaire, interrompan
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’époques, de styles, de visées différentes ; nous
pataugeons
dans l’impur, dans l’hybride, dans les alluvions, les dépôts sédiment
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totalitaires du xxe siècle. Et quand je les vois
patauger
dans des domaines aussi vitaux que ceux de la contraception ou de la
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nationalité, il était neutre. Nous sommes ici à
patauger
, pouvons-nous lire dans son Journal des deux mondes , parce que nos