1 entaire sérieux — mais arrachées par démagogie au patronat apeuré par des tribuns verbeux. Désordre ! Désordre ! Dans le domaine

2 ndre conscience d’elle-même et à lutter contre le patronat  : c’est la première grève moderne, qui éclate à Douai en 1245, sous l

3  » par les deux partis belligérants, par le grand patronat , par les « marxistes », par la Migros (dont elle n’était « évidemment

4 rez tous les jours les points de vue affrontés du patronat et de l’union syndicale, dont les déclarations officielles seront cit

5 rez tous les jours les points de vue affrontés du patronat et de l’union syndicale, dont les déclarations officielles seront cit

6 puisse s’étendre rapidement au plan national. Le patronat , au contraire, moins strictement organisé, paraît enclin à conclure d

7 cains, les trusts, les communistes, la gauche, le patronat , ou par des personnalités civiles ou militaires dont on estime que c’

8 Entre une méthode institutionnelle que le grand patronat redoute comme dirigiste et socialiste, tandis que les partisans de la

9 holiques. Enfin, derrière les radicaux, il y a le patronat , l’Union suisse des Arts et Métiers, les petits commerçants, la press

10 puisse s’étendre rapidement au plan national. Le patronat , constitué tout d’abord en associations professionnelles et cantonale

11 trois organisations « de faîte » (nationales) du patronat sont : l’Union suisse du Commerce et de l’Industrie (ou Vorort), qui

12 es ; et l’Union suisse des Arts et Métiers (petit patronat ), 24 unions cantonales et 168 associations professionnelles. Pour com

13 s collectives encore en vigueur, passées entre le patronat et le salariat au plan local, cantonal et fédéral.

14 résents : des dirigeants de conseils nationaux du patronat et de syndicats, des présidents et secrétaires généraux d’organisatio

15 eorges Villiers, président du Conseil national du patronat français (CNPF) pour étudier les aspects juridiques, financiers et fi

16 experts désignés par les producteurs d’une part ( patronat et syndicats) et par le gouvernement lui-même d’autre part. J’écrivai

17 ts internationaux, Georges Villiers, président du Patronat français, Paul Rykens, président de Unilever. Mais nous avons créé et

18 nquiète le plus en tout cela, c’est l’attitude du patronat et des syndicats, aux USA plus encore qu’en Europe. L’article de Busi

19 lus les économistes que les agences fédérales, le patronat ni même la plupart des syndicats, n’ont prêté la moindre attention au

20 mais aussi des représentants des syndicats et du patronat — Georges Villiers, président du CNPF90, par exemple — occupaient les

21 la fin de l’année. 90. CNPF : Centre national du patronat français. 91. Union européenne des fédéralistes, dont Henri Brugmans