1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 e pour la tranchée, puis « le sport l’a saisi aux pattes de la guerre encore contus de huit coups de griffes et chaud de l’étr
2 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
2 ligna des yeux et on vit sa respiration. Puis ses pattes se tendirent peu à peu, comme un corps qu’on gonflerait à la pompe, t
3 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Paul Éluard, Capitale de la douleur (mai 1927)
3 d’une lyre dont ils font grésiller l’accord, une patte en l’air, becquètent le cœur d’une femme qui va les étrangler douceme
4 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Drieu la Rochelle, La Suite dans les idées (mai 1927)
4 . Le tableau n’est pas beau, mais on y sent une «  patte  » qui révèle encore dans le fond quelque chose de solide, d’authentiq
5 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
5 du magazine que lit le père Reinecke. Ses grosses pattes et sa barbe rousse dépassent, et parfois un œil égrillard. Impossible
6 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
6 t des cigognes filent sur nos têtes, tirant leurs pattes roses. À l’horizon toujours passent des voiles, mais on ne voit pas l
7 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
7 t des cigognes filent sur nos têtes, tirant leurs pattes roses. À l’horizon toujours passent des voiles, mais on ne voit pas l
8 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
8 du magazine que lit le père Reinecke. Ses grosses pattes et sa barbe rousse dépassent, et parfois un œil égrillard. Impossible
9 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VI
9 e, qui pêchait de petits poissons en plongeant sa patte dans un grand seau rempli de l’eau du lac, était toute ma distraction
10 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par Albert-Marie Schmidt (octobre 1933)
10 e le garde point sans cesse à portée d’un coup de patte qu’il s’abandonne lui-même à sa fantaisie, la plus joyeusement érudit
11 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels)
11 du tsar, à M. Bénès ; des deux mains, des quatre pattes , les yeux fermés, d’une croix, d’une faucille et d’un marteau, ou ave
12 1937, Esprit, articles (1932–1962). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (juin 1937)
12 se, mais il y a aussi un insolent petit blanc aux pattes fines. Tout cela vautré comme sur une plage mondaine. Après un certai
13 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
13 paume de ses antennes, de ses écailles et de ses pattes . On fourre cela dans le sachet que l’on porte attaché à la ceinture e
14 i fait un caquet déchirant : elle serre entre ses pattes un œuf à demi ouvert d’où sort un long cou maigre, tout humide. Un po
15 écrase ses petits : elle arrange tout sous elle : pattes , œufs, poulets, en quelques mouvements, ramène deux œufs sous son ail
16 à bout de ressources, ne bougeais plus ni pied ni patte et n’écrivais plus à personne. Je crois à la valeur d’appel de l’abse
14 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
17 paume de ses antennes, de ses écailles et de ses pattes . On fourre cela dans le sachet que l’on porte attaché à la ceinture e
18 i fait un caquet déchirant : elle serre entre ses pattes un œuf à demi-ouvert, d’où sort un long cou maigre, tout humide. Un p
19 écrase ses petits : elle arrange tout sous elle : pattes , œufs, poulets, en quelques mouvements, ramène deux œufs sous son ail
20 escend au-dessus de ma page, pédale de toutes ses pattes dans le vide, remonte, retombe, et court sur la table verte. L’après-
21 à bout de ressources, ne bougeais plus ni pied ni patte , et n’écrivais plus à personne. Je crois à la valeur d’appel de l’abs
22 onne le terrain. Quelle ardeur à gratter de leurs pattes , le bec en l’air, sans regarder où ils creusent ! Quel gaspillage dan
15 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
23 urs cesse de l’être dès qu’il se met sur ses deux pattes au milieu de ses frères verticaux. Le rationaliste idéal, c’est l’hom
24 se, mais il y a aussi un insolent petit blanc aux pattes fines. Tout cela vautré comme sur une plage mondaine. Après un certai
16 1938, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels) (juin 1938)
25 du tsar, à M. Bénès ; des deux mains, des quatre pattes , les yeux fermés, d’une croix, d’une faucille et d’un marteau, ou ave
17 1938, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Caquets d’une vieille poule noire (août 1938)
26 , factice, bizarre ». À quoi j’applaudis des deux pattes . Mais voici où les choses se gâtent. L’auteur, conclut M. Porché, « a
18 1942, La Part du diable. L’Incognito et la Révélation
27 le dans nos tentations. Il s’arrange pour montrer patte blanche, comme le grand méchant loup dans le conte du Chaperon rouge.
19 1942, La Part du diable (1944). L’Incognito et la Révélation
28 nos vraies tentations. C’est là qu’il va montrer patte blanche, comme le grand méchant loup dans le conte du Chaperon rouge,
20 1942, La Part du diable (1982). L’Incognito et la révélation
29 nos vraies tentations. C’est là qu’il va montrer patte blanche, comme le grand méchant loup dans le conte du Chaperon rouge,
21 1946, Combat, articles (1946–1950). Les intellectuels sont-ils responsables ? (5 juillet 1946)
30 du tsar, à M. Bénès ; des deux mains, des quatre pattes , les yeux fermés, d’une croix, d’une faucille et d’un marteau, ou ave
22 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
31 s durant les jours critiques, sans bouger pied ni patte , l’accident vous serait arrivé sur un autre plan, plus dangereux. Vou
32 ndes estancias. Certains sont si lourds que leurs pattes n’arrivent pas à les supporter : on leur glisse sous le ventre une la
33 r, le cheval au pas ayant poussé le battant d’une patte . Il a levé la main au sombrero : « Buenas tardes, señor ! » comme san
23 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
34 t des cigognes filent sur nos têtes, tirant leurs pattes roses. À l’horizon toujours passent des voiles, mais on ne voit pas l
24 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
35 du magazine que lit le père Reinecke. Ses grosses pattes et sa barbe rousse dépassent, et parfois un œil égrillard. Impossible
25 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
36 i fait un caquet déchirant : elle serre entre ses pattes un œuf à demi ouvert, d’où sort un long cou maigre, tout humide. Un p
37 écrase ses petits : elle arrange tout sous elle : pattes , œufs, poulets, en quelques mouvements, ramène deux œufs sous son ail
38 paume de ses antennes, de ses écailles et de ses pattes . On fourre cela dans le sachet que l’on porte attaché à la ceinture e
39 escend au-dessus de ma page, pédale de toutes ses pattes dans le vide, remonte, retombe, et court sur la table verte. L’après-
40 à bout de ressources, ne bougeais plus ni pied ni patte , et n’écrivais plus à personne. Je crois à la valeur d’appel de l’abs
41 onne le terrain. Quelle ardeur à gratter de leurs pattes , le bec en l’air, sans regarder où ils creusent ! Quel gaspillage dan
26 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
42 urs cesse de l’être dès qu’il se met sur ses deux pattes au milieu de ses frères verticaux. Le rationaliste idéal, c’est l’hom
43 se, mais il y a aussi un insolent petit blanc aux pattes fines. Tout cela vautré comme sur une plage mondaine. Après un certai
27 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Vers la guerre
44 du tsar, à M. Bénès ; des deux mains, des quatre pattes , les yeux fermés, d’une croix, d’une faucille et d’un marteau, ou ave
28 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
45 ndes estancias. Certains sont si lourds que leurs pattes n’arrivent pas à les supporter : on leur glisse sous le ventre une la
46 r, le cheval au pas ayant poussé le battant d’une patte . Il a levé la main au sombrero : « Buenas tardes, muy sefior » comme
29 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
47 les longs soupirs des chiens s’étirant sur leurs pattes , le pare luisant, les hêtres rouges sur le ciel noir. J’avais des liv
30 1948, Suite neuchâteloise. VI
48 e, qui pêchait de petits poissons en plongeant sa patte dans un grand seau rempli de l’eau du lac, était toute ma distraction
31 1954, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Situation de l’Europe en mai 1954 : L’Europe bloquée (mai 1954)
49 ve, Zhou Enlai déclarait en substance : — Bas les pattes en Asie ! Notre tour est venu de nous immiscer dans vos affaires. L’I
32 1954, Articles divers (1951-1956). Ce petit cap de l’Asie (1er juin 1954)
50 ve, Zhou Enlai déclarait en substance : — Bas les pattes en Asie ! Notre tour est venu de nous immiscer dans vos affaires. L’I
33 1954, Preuves, articles (1951–1968). Tragédie de l’Europe à Genève (juin 1954)
51 muet, Zhou Enlai déclare en substance : « Bas les pattes en Asie ! Notre tour est venu de nous immiscer dans vos affaires. L’I
34 1969, Articles divers (1963-1969). Le mariage est à réinventer (14 avril 1969)
52 part pour une promenade d’une heure, on traîne la patte après trois quarts d’heure. Quand nous pensions que nous aurions 20 à
35 1972, Penser avec les mains (1972). Préface 1972
53 du tsar, à M. Bénès ; des deux mains, des quatre pattes , les yeux fermés, d’une croix, d’une faucille et d’un marteau, ou ave
36 1978, Cadmos, articles (1978–1986). Contribution à une recherche éventuelle sur les sources de la notion d’engagement de l’écrivain (printemps 1978)
54 du tsar, à M. Bénès ; des deux mains, des quatre pattes , les yeux fermés, d’une croix, d’une faucille et d’un marteau, ou ave