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holique, ou même très chrétienne ? La dialectique
paulinienne
postule que bien et mal appartiennent au règne de la loi (de la moral
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ée moderne » par « approfondissement de la pensée
paulinienne
, calvinienne, luthérienne, kierkegaardienne, dialectique… », — et « l
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a entis empêche l’auteur de conclure dans le sens
paulinien
, et « naturalise » les réalités eschatologiques. 14. « La nature n’a
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entre l’humanisme et la foi, le scandale au sens
paulinien
, tout ce que le sage jugera toujours « hors de propos » d’envisager.
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celle de la « chair » et de l’« esprit » au sens
paulinien
de ces termes, mais surtout celle de l’hérésie et de l’orthodoxie. Ce
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celle de la « chair » et de l’« esprit » au sens
paulinien
de ces termes, mais surtout celle de l’hérésie et de l’orthodoxie. Ce
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vidence d’origine évangélique, ou plus exactement
paulinienne
, mais combinée avec des notions grecques et romaines de mesure indivi
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s le monde, selon la grande parole évangélique et
paulinienne
: « Soyez dans le monde comme n’étant pas du monde. » Et cette formul
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ire, et qu’ils ont osé l’accepter. La prédication
paulinienne
, avec son insistance extraordinaire sur l’unicité absolue de l’Incarn
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ire, et qu’ils ont osé l’accepter. La prédication
paulinienne
, avec son insistance extraordinaire sur l’unicité absolue de l’Incarn
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selon la tripartition traditionnelle et non moins
paulinienne
que gnostique, soulignons-le) se trouvait lié du même coup à la diale
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selon la tripartition traditionnelle et non moins
paulinienne
que gnostique, soulignons-le) se trouvait lié du même coup à la diale
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de leurs descriptions « objectives » l’opposition
paulinienne
des « deux hommes en moi » : le naturel tyrannisant (et tyrannisé par
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personnelles. Je propose d’appliquer à la morale
paulinienne
la critique qu’il recommandait lui-même d’appliquer aux morales ritua
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amène irrésistiblement au paradoxe évangélique et
paulinien
: pour le vrai spirituel, la Loi est abolie, bien que pas un iota n’e
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de leurs descriptions « objectives » l’opposition
paulinienne
des « deux hommes en moi » : le naturel tyrannisant (et tyrannisé par
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des réalités historiques et « mondaines » au sens
paulinien
. Dans cette mesure, il ne saurait refuser la question que lui pose le
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que cet homme accepte du même coup la conception
paulinienne
ou évangélique de la société, la fraternité de tous « soit juifs, soi
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st l’idée d’un Dieu personnel. C’est l’insistance
paulinienne
sur la mort et la résurrection du Christ interprétées comme promesses
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cette distinction fondamentale et radicale, pour
paulinienne
qu’elle soit sans doute — au moins par sa structure dialectique — il
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la « liberté des enfants de Dieu ». La révolution
paulinienne
consiste dans la proclamation que « tout m’est permis, mais tout n’es
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s, des âmes ou des esprits, selon la tripartition
paulinienne
et gnostique, soulignons-le) se trouvait lié à la dialectique du salu
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le de la personne. À l’anthropologie évangélique,
paulinienne
et conciliaire, Lévi-Strauss avec une belle lucidité — et une bonne d
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de de l’univers ». L’anthropologie évangélique et
paulinienne
a été la première à parler de la « mort de l’homme ». Paul revient sa