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u goût pour une certaine continuité, une certaine
permanence
qui planerait au-dessus des vicissitudes du monde et des résultats ha
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rcheurs » invétérés s’appliquèrent à rétablir une
permanence
abstraite, qu’ils ne tardèrent pas à trouver dans la forme même de l’
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nheur, la religion mise au service de l’ordre, la
permanence
, les vertus trop massives. C’est l’espèce des immoralistes. Sans les
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e profère. « L’acte par lequel l’homme atteste la
permanence
des choses, par lequel, en dehors du temps, en dehors des circonstanc
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pensée n’ait d’autre fin que de conservation, de
permanence
? Loin de là. Sa tension concrète vise toujours la nouveauté, que les
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’effet d’une pensée prolétarisée, non éthique. Sa
permanence
au cours de toute l’histoire serait propre à me faire douter de l’ent
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t le succès. Je n’attaquerai pas d’ailleurs cette
permanence
en soi, ni la bêtise humaine en général : toutes les deux relèvent du
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pensée n’ait d’autre fin que de conservation, de
permanence
? Loin de là. Sa tension concrète vise toujours la nouveauté, que les
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’effet d’une pensée prolétarisée, non éthique. Sa
permanence
au cours de toute l’histoire serait propre à me faire douter de l’ent
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t le succès. Je n’attaquerai pas d’ailleurs cette
permanence
en soi, ni la bêtise humaine en général : toutes les deux relèvent du
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ature. Mais quoi ! rien n’est moins sûr que cette
permanence
de nos maux. Non que je croie à un « Progrès » réel possible. Mais je
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a société, une mise en ordre équivalente. D’où la
permanence
historique non point du mythe sous sa forme première, mais de l’exige
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inition, nous appellerons mythe, désormais, cette
permanence
d’un type de relations et des réactions qu’il provoque. Le mythe de T
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nous. Mais encore, d’où vient ce succès et cette
permanence
invincible de l’erreur héritée de Platon ? C’est qu’elle trouve dans
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a société, une mise en ordre équivalente. D’où la
permanence
historique non point du mythe sous sa forme première, mais de l’exige
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inition, nous appellerons mythe, désormais, cette
permanence
d’un type de relations et des réactions qu’il provoque. Le mythe de T
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nous. Mais encore, d’où vient ce succès et cette
permanence
invincible de l’erreur héritée d’un Platon mal compris ? C’est qu’ell
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a société, une mise en ordre équivalente. D’où la
permanence
historique non point du mythe sous sa forme première, mais de l’exige
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inition, nous appellerons mythe, désormais, cette
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d’un type de relations et des réactions qu’il provoque. Le mythe de T
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nous. Mais encore, d’où vient ce succès et cette
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invincible de l’erreur héritée d’un Platon mal compris ? C’est qu’ell
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e profère. « L’acte par lequel l’homme atteste la
permanence
des choses, par lequel, en dehors du temps, en dehors des circonstanc
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e. Au principe d’union transcendant qui assure la
permanence
de l’Église universelle, certaines ont ajouté, et peu à peu substitué
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ature. Mais quoi ! rien n’est moins sûr que cette
permanence
de nos maux. Non que je croie à un « Progrès » réel possible. Mais je
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re distinct, c’est-à-dire de l’Individu, et de la
permanence
de cet être à travers ses modalités : essence, substance et hypostase
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olution d’ensemble d’une civilisation donnée, les
permanences
qui s’y révèlent, les buts constants qu’elle semble avoir visés. Sa f
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re distinct, c’est-à-dire de l’Individu, et de la
permanence
de cet être à travers ses modalités : essence, substance et hypostase
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l’idée nationale plus purement dynamique exige la
permanence
active de cette pluralité qui a toujours été la vie de l’Occident. To
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e. Au principe d’union transcendant qui assure la
permanence
de l’Église universelle, certaines ont ajouté, et peu à peu substitué
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ondamentale de l’Un et du Divers, ou encore de la
permanence
et du changement. Parallèlement se constituaient les premières défini
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ondamentale de l’Un et du Divers, ou encore de la
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et du changement. Parallèlement se constituaient les premières défini
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ondamentale de l’Un et du Divers, ou encore de la
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et du changement. Parallèlement se constituaient les premières défini
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ondamentale de l’Un et du Divers, ou encore de la
permanence
et du changement. Parallèlement se constituaient les premières défini
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rs des régimes les plus divers, et par suite à la
permanence
de leurs différences. Nous aurons à revenir sur la relation nécessair
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ature des besoins humains, leur consistance, leur
permanence
et leur variabilité. 2. Les besoins matériels, physiologiques et mora
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e. Au principe d’union transcendant qui assure la
permanence
de l’Église universelle, certaines ont ajouté, et peu à peu substitué