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st, Sigismond vous offre sa paix, à toujours et à
perpétuité
. Nicolas. — L’archiduc ! Qu’attend-il en échange ? Hornek. —
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1291. Ce jour-là fut signé le Pacte qui liait « à
perpétuité
» les trois petits peuples ou « communes » forestières (Waldstätten)
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ilité commune, devant, s’il plaît à Dieu, durer à
perpétuité
. En foi de quoi le présent acte a été dressé, à la requête des prénom
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ent d’août. « Devant, s’il plaît à Dieu, durer à
perpétuité
. » Cette clause a joué un rôle capital dans le développement de la Co
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. Et ce pacte devait « s’il plaît à Dieu, durer à
perpétuité
». De fait, il a duré jusqu’à nos jours. Mais ses auteurs étaient bie
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nous, nos héritiers et nos futurs successeurs, à
perpétuité
. Les trois premiers articles du traité statuent : que les contractan
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t pour tout le monde une sûreté suffisante, de la
perpétuité
de la paix, je ne négligerai rien pour les inventer, & je crois l
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ous les princes chrétiens sûreté suffisante de la
perpétuité
de la Paix au-dedans & dehors de leurs États, il n’y a aucun d’eu
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ous les princes chrétiens sûreté suffisante de la
perpétuité
de la paix au-dedans & au-dehors de leurs États. Donc il n’y aura
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rs jurée comme « devant s’il plaît à Dieu durer à
perpétuité
», a subsisté sans variations et sans rupture jusqu’à nos jours. Deve
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ilité commune, devant, s’il plaît à Dieu, durer à
perpétuité
. En foi de quoi le présent acte a été dressé, à la requête des prénom
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ité commune et devant, s’il plaît à Dieu, durer à
perpétuité
». Autour de ce premier noyau fédératif vont s’agréger, au cours des