1 L’activiste moderne n’est souvent qu’un agité. Le philanthrope et le puritain rigide ne sont souvent que des acteurs. Seule la foi p

2 a société moderne. Aux grands bourgeois libéraux, philanthropes et déjà démocrates, qui croyaient sincèrement constituer la classe de

3 Des artistes, des philosophes, des esthètes ! Des philanthropes  ! — Je suis d’accord, sauf pour esthètes. Je vois comme vous, d’autre

4 a société moderne. Aux grands bourgeois libéraux, philanthropes et déjà démocrates, qui croyaient sincèrement constituer la classe de

5 Des artistes, des philosophes, des esthètes ! Des philanthropes  ! — Je suis d’accord, sauf pour esthètes. Je vois comme vous, d’autre

6 même pas posé la question. Qu’il soit en théorie philanthrope ou même chrétien, la coutume du temps veut que l’on s’enrichisse : mo

7 même pas posé la question. Qu’il soit en théorie philanthrope ou même chrétien, la coutume du temps veut que l’on s’enrichisse : mo

8 leur bonne volonté, les éditeurs ne sont pas des philanthropes . En tout cas, ils ne peuvent plus l’être. Ils ont eux aussi à « se dé

9 5 février 1934 Les gens. — Si j’avais une âme de philanthrope , je chercherais à répandre mes idées dans la population : j’organiser

10 évrier 1934 Les gens. — Si j’avais une âme de philanthrope , je chercherais à répandre mes idées dans la population : je convoque

11 is tel professeur d’Université, tel écrivain, tel philanthrope , tel connaisseur et praticien des choses de la SDN et de la chose eur

12 is tel professeur d’Université, tel écrivain, tel philanthrope , tel connaisseur et praticien des choses de la SDN et de la chose eur

13 eu du Succès pour les robustes puritains, le Dieu philanthrope pour les avares et les timides, etc. Tout ceci pour la bourgeoisie et

14 ns nos vertus satisfaites… 28. Le diable et le philanthrope Un jour un Philanthrope marchait le long de la Cinquième Avenue. I

15 28. Le diable et le philanthrope Un jour un Philanthrope marchait le long de la Cinquième Avenue. Il avait la tête et les poch

16 iable et l’un de ses compères. Ils observaient le Philanthrope , d’un œil critique. Un pauvre homme l’arrêta pour lui demander une ci

17 der une cigarette, dans un anglais de réfugié. Le Philanthrope sans hésiter lui remit un quarter, et poursuivit son chemin. Il march

18 2. Le mal du siècle : la dépersonnalisation Le philanthrope ou le mondain, l’artiste, l’auteur, et l’homme qui réussit, cette gal

19 eu du Succès pour les robustes puritains, le Dieu philanthrope pour les avares et les timides, etc. Tout ceci pour la bourgeoisie et

20 nte de « faire du bien »… 41. Le diable et le philanthrope Un jour un Philanthrope marchait le long de la Cinquième Avenue. I

21 41. Le diable et le philanthrope Un jour un Philanthrope marchait le long de la Cinquième Avenue. Il avait la tête et les poch

22 iable et l’un de ses compères. Ils observaient le Philanthrope , d’un œil critique. Un pauvre homme l’arrêta pour lui demander une ci

23 der une cigarette, dans un anglais de réfugié. Le Philanthrope sans hésiter lui remit un quarter, et poursuivit son chemin. Il march

24 7. Le mal du siècle : la dépersonnalisation Le philanthrope ou le mondain, l’artiste, l’auteur, et l’homme qui réussit, cette gal

25 eu du Succès pour les robustes puritains, le Dieu philanthrope pour les avares et les timides, etc. Tout ceci pour la bourgeoisie et

26 ente de « faire du bien »… 41. Le diable et le philanthrope Un jour un Philanthrope marchait le long de la Cinquième Avenue. I

27 41. Le diable et le philanthrope Un jour un Philanthrope marchait le long de la Cinquième Avenue. Il avait la tête et les poch

28 iable et l’un de ses compères. Ils observaient le Philanthrope , d’un œil critique. Un pauvre homme l’arrêta pour lui demander une ci

29 der une cigarette, dans un anglais de réfugié. Le Philanthrope sans hésiter lui remit un dollar, et poursuivit son chemin. Il marcha

30 7. Le mal du siècle : la dépersonnalisation Le philanthrope ou le mondain, l’artiste, l’auteur, et l’homme qui réussit, cette gal

31 : la dépersonnalisation (19 novembre 1943)l Le philanthrope ou le mondain, l’artiste, l’auteur, et l’homme qui réussit, cette gal

32 eu du succès pour les robustes puritains, le Dieu philanthrope pour les avares et les timides, etc. Tout ceci pour la bourgeoisie et

33 nos vertus satisfaites… Voyez plutôt. Un jour, un Philanthrope s’en allait le long de la rue. Il avait la tête et les poches pleines

34 iable et l’un de ses compères. Ils observaient le Philanthrope , d’un œil critique. Un pauvre homme l’arrêta pour lui demander une ci

35 der une cigarette, dans une langue de réfugié. Le Philanthrope sans hésiter lui remit une pièce, et poursuivit son chemin. Il marcha

36 évrier 1934 Les gens. — Si j’avais une âme de philanthrope , je chercherais à répandre mes idées dans la population : je convoque

37 la famine. Ce n’est pas un démagogue, ni même un philanthrope , c’est un savant indien nommé D. R. Sethi qui a trouvé le procédé pou

38 aint-Just était un enfant de chœur, comparé à ces Philanthropes , sinon par l’intention du moins par le succès. Il n’a pas disposé des

39 ent les motifs mêmes de leur engagement. Tels les philanthropes de Octave Mirbeau qui, pour défendre leur “œuvre” accablaient et expl

40 taient pas. Les grands industriels se croyaient «  philanthropes  » ; les enfants naissaient dans les choux, et le langage d’un homme t

41 aint-Just était un enfant de chœur, comparé à ces Philanthropes , sinon par l’intention, du moins par le succès. Il n’a pas disposé de

42 n grecque et le christianisme. Entrez donc aussi, philanthropes et encyclopédistes dans cette loge de paix, et recevez le baiser frat

43 taient pas. Les grands industriels se croyaient «  philanthropes  » ; les enfants naissaient dans les choux, et le langage d’un homme t

44 e multiplient sans frein dans le tiers-monde. Les philanthropes qui nous adjurent de nous priver de notre superflu pour apaiser la fa

45 bstraits pour obtenir des taux préférentiels, des philanthropes , managers et trustees qui suggèrent des échanges de cartes postales,

46 e multiplient sans frein dans le tiers-monde. Les philanthropes qui nous adjurent de nous priver de notre superflu pour apaiser la fa

47 bstraits pour obtenir des taux préférentiels, des philanthropes , managers et trustees qui suggèrent des échanges de cartes postales,

48 istance du milieu, plus de gêneurs moralisants ou philanthropes , écologistes ou légalistes, ni plus de rentabilité à prendre en compt

49 istance du milieu, plus de gêneurs moralisants ou philanthropes , écologistes ou légalistes, ni plus de rentabilité à prendre en compt

50 n’est pas un capitaliste. Il se voit au contraire philanthrope . Il veut protéger l’homme en général (mais d’abord le paysan et l’ouv

51 elle. Tel sera le « succès » majeur du mécanicien philanthrope . Reprenons le récit de sa vie. « En 1892, j’achevai ma première voitu