1 de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)n Ce que je voudrais dire ici est simple, fon

2 f du monde de l’incarnation, le secret de l’image physionomique de l’univers. Imaginer, c’est se placer dans la perspective même de t

3 isages ! Dans l’enfance de la lumière. L’image physionomique de l’Univers Quelle que soit la vénération qu’on éprouve en présen

4 ncipe dialectique qui sert de guide dans le monde physionomique est celui des correspondances, et non pas celui des « causes » conçue

5 e sont-ils pas l’éblouissante formule d’une image physionomique de l’univers ? On pourrait m’objecter que le goût de la forme, apanag

6 de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) », Hermès, Bruxelles-Paris, n° 4, mars 1935, p. 42-54. La p

7 e faut-il en croire ses yeux…) Il n’est d’art que physionomique . Il n’est d’esprit que dans l’action qui saisit une forme pour la tra

8 ersonnages. Que peut-elle signifier dans ce monde physionomique , et par quoi va-t-elle s’exprimer dans une vision qui ne veut rien co

9 désirer et pour mourir. ⁂ Partant d’un examen «  physionomique  » des formes et des structures du Roman, nous avons pu saisir le cont

10 r désirer et pour mourir. ⁂ Partant d’un examen «  physionomique  » des formes et des structures du Roman, nous avons pu saisir le cont

11 désirer et pour mourir. ⁂ Partant d’un examen «  physionomique  » des formes et des structures du Roman, nous avons pu saisir le cont

12 de Mussolini aux côtés d’Hitler. 68. La Vision physionomique du monde, essai sur l’interprétation des formes, écrit au début de l’