1 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
1 l paraissait plus grand que la terre. Des bois de pins s’approchaient, s’écartaient, livrant passage à la chaussée impériale
2 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
2 l paraissait plus grand que la terre. Des bois de pins s’approchaient, s’écartaient, livrant passage à la chaussée impériale
3 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
3 tenant dans l’ombre tiède et abritée d’un bois de pins . Que vient-il donc chercher sur ces rivages désertés par le crépuscul
4 sur le sol, et s’appuie de la main au tronc d’un pin . Ce qui lui arrive est solennel, comme l’attente du pays sous le ciel
4 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
5 allait oublier l’écrivain. Il est là, adossé à un pin , avec sa chemise bleue, ses culottes de velours blanc, et son grand c
5 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Préambule
6 n destin. Voici l’île : une plage basse, quelques pins , deux ou trois baraques. Nous traînons nos valises le long d’un appon
6 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
7 de la Grande-Conche, à l’ouest, jusqu’au bois de pins à l’est et au Fier, qui termine les marais, nous découvrons que notre
7 1940, Articles divers (1938-1940). D’un journal d’attente (pages démodées) (avril 1940)
8 un vallon bien abrité, à la terre ocrée, sous les pins . Pendant que nous choisissons ensemble quelques choux-fleurs — « N’al
8 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le dernier des Mohicans (11 octobre 1945)
9 linées se croisent lentement entre les troncs des pins sur un vert d’eau limpide. Une grande flèche rouge rase les cimes en
10 t presque invisibles, dissimulées à l’ombrage des pins cascadant en désordre des hauteurs, jusqu’aux bouleaux enchevêtrés de
9 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
11 en et leurs maris se partagent une maison que les pins nous cachent, à deux-cents pas, plus petite que la nôtre, donc plus c
10 1946, Journal des deux mondes. Journal d’attente
12 ui rapporte contre récompense. 8 avril 1939 M. Pin a été marin, puis contrebandier, puis douanier. Il cultive aujourd’hu
13 un vallon bien abrité, à la terre ocrée, sous les pins . Pendant que nous choisissons ensemble quelques choux-fleurs — « N’al
14 vailler ! J’ai tout semé comme les autres années… M. Pin promène un regard précis et compétent sur le vallon et les cultures.
15 beau redressement national ! 11 avril 1939 M. Pin a semé, mais moi, je n’arrive même pas à défricher le champ d’un gros
11 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
16 lébré par le plus beau poème de Valéry. Entre les pins palpite, entre les tombes « la mer, la mer toujours recommencée… » Qu
12 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
17 la ville, dans ces collines pointues, frisées de pins , de palmiers et de cascades, comme on en voit aux tapisseries et aux
13 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
18 linées se croisent lentement entre les troncs des pins sur un vert d’eau limpide. Une grande flèche rouge rase les cimes en
19 t presque invisibles, dissimulées à l’ombrage des pins cascadant en désordre des hauteurs, jusqu’aux bouleaux enchevêtrés de
20 en et leurs maris se partagent une maison que les pins nous cachent, à deux-cents pas, plus petite que la nôtre, donc plus c
14 1946, Lettres sur la bombe atomique. La nouvelle
21 rte où je suis installé, à l’ombre d’un rideau de pins qui sépare seul la maison du rivage, domine une jetée de bois, où par
15 1946, Lettres sur la bombe atomique. La nouvelle
22 rte où je suis installé, à l’ombre d’un rideau de pins qui sépare seul la maison du rivage, domine une jetée de bois, où par
16 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
23 iles claires parmi les blés violents. Des bois de pins s’approchaient, s’écartaient, livrant passage à la chaussée impériale
17 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Préambule
24 n destin. Voici l’île : une plage basse, quelques pins , deux ou trois baraques. Nous traînons nos valises le long d’un appon
18 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
25 de la Grande-Conche, à l’ouest, jusqu’au bois de pins à l’est et au Fier, qui termine les marais, nous découvrons que notre
19 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Journal d’attente
26 ui rapporte contre récompense. 8 avril 1939 M. Pin a été marin, puis contrebandier, puis douanier. Il cultive aujourd’hu
27 un vallon bien abrité, à la terre ocrée, sous les pins . Pendant que nous choisissons ensemble quelques choux-fleurs — « N’al
28 vailler ! J’ai tout semé comme les autres années… M. Pin promène un regard précis et compétent sur le vallon et les cultures.
29 beau redressement national ! 11 avril 1939 M. Pin a semé, mais moi, je n’arrive même pas à défricher le champ d’un gros
20 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
30 Aube sur Sète et son cimetière marin. Entre les pins palpite, entre les tombes, La mer la mer toujours recommencée… Quell
21 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
31 la ville, dans ces collines pointues, frisées de pins , de palmiers et de cascades, comme on en voit aux tapisseries et aux
22 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
32 linées se croisent lentement entre les troncs des pins sur un vert d’eau limpide. Une grande flèche rouge rase les cimes en
33 t presque invisibles, dissimulées à l’ombrage des pins cascadant en désordre des hauteurs, jusqu’aux bouleaux enchevêtrés de
34 en et leurs maris se partagent une maison que les pins nous cachent, à deux-cents pas, plus petite que la nôtre, donc plus c
35 inouï de la solitude et du silence. Un rideau de pins et l’eau tout de suite, au pied de la galerie. Nous attendions Marcel
36 galerie, au-dessus de l’eau. Entre les troncs des pins , nus jusqu’à la hauteur du toit, le regard embrasse et caresse la per
23 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
37 tenant dans l’ombre tiède et abritée d’un bois de pins . Que vient-il donc chercher sur ces rivages désertés par le crépuscul
38 sur le sol, et s’appuie de la main au tronc d’un pin . Ce qui lui arrive est solennel, comme l’attente du pays sous le ciel
24 1948, Suite neuchâteloise. VII
39 tenant dans l’ombre tiède et abritée d’un bois de pins . Que vient-il donc chercher sur ces rivages désertés par le crépuscul
40 sur le sol, et s’appuie de la main au tronc d’un pin . Ce qui lui arrive est solennel, comme l’attente du pays sous le ciel
25 1968, Preuves, articles (1951–1968). Marcel Duchamp mine de rien (février 1968)
41 inouï de la solitude et du silence. Un rideau de pins et l’eau tout de suite, au pied de la galerie. Nous attendions Marcel
42 galerie, au-dessus de l’eau. Entre les troncs des pins , nus jusqu’à la hauteur du toit, le regard embrasse et caresse la per
26 1969, Articles divers (1963-1969). À la fontaine Castalie (1969)
43 nt, argentées et dorées sur un ciel mat griffé de pins légers. À leur pied, dans l’obscure fraîcheur, voici « les eaux saint
27 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — Le civisme commence au respect des forêts
44 ium lâchent le fluor par tonnes. Les aiguilles de pin brunissent à 20 km à la ronde et les feuilles de vigne ont, en juille