1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 t ciel. Mais sa foulée, bondissante et posée, est pleine du désir de l’air. Danse-t-il sur une musique que je n’entends pas ? 
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
2 soi-même la méthode de l’Évangile qui, prenant à plein poing toutes ces petites misères, en compose d’un seul coup une grand
3 1926, Articles divers (1924–1930). Conférences d’Aubonne (7 avril 1926)
3 s, et non plus à Sainte-Croix, mais à Aubonne. Un plein succès a répondu à cette innovation. Le sujet de la première partie d
4 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
4 ce passage du réalisme le plus hardi à un lyrisme plein de simple grandeur. Voici la mort du taureau dit « le Mauvais Ange » 
5 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henry de Montherlant, Les Bestiaires (septembre 1926)
5 our quelques descriptions des prairies espagnoles pleines de simple grandeur, j’ai supporté mille fastidieux détails techniques
6 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Malraux, La Tentation de l’Occident (décembre 1926)
6 buts, « capables d’agir jusqu’au sacrifice, mais pleins de dégoût devant la volonté d’action qui tord aujourd’hui notre race…
7 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Louis Aragon, Le Paysan de Paris (janvier 1927)
7 et ivre non plus de vin de France, mais d’alcools pleins de démons, de drogues peut-être mortelles. ab. « Louis Aragon : Le
8 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Pierre Girard, Connaissez mieux le cœur des femmes (juillet 1927)
8 othèques désertes glisse un grand souffle oblique plein de fraîcheur et de pardon. » am. « Pierre Girard : Connaissez mieux
9 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
9 Mais voici un bar où je vous suis. Vous y entrez plein de mépris pour Paul Morand par qui découvrîtes le charme de ces lieux
10 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Bopp, Interférences (décembre 1927)
10 e malaise d’écrire. Bopp est très intelligent. Et plein de verve, et pas embarrassé du tout pour vous lâcher un beau pavé mat
11 1927, Articles divers (1924–1930). Dés ou la clef des champs (1927)
11 dès l’aube, j’irai tenter la misère aux yeux las pleins de rêves, la misère qui fait des soirs si doux aux amants quand ils n
12 bien que je devrais tenter quelque chose. Je suis plein de rêves, certains soirs. Il faut pourtant rentrer chez moi, et ma fe
13 eurer sur ma lâcheté. Et je t’apostrophe, soudain plein de mépris et de désespoir, ô vie sans faute, vie sans joie… Ah ! plus
12 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Princesse Bibesco, Catherine-Paris (janvier 1928)
14 ique du roman sont sauvées par un style brillant, plein de trouvailles spirituelles, malicieuses ou poétiques ; et ce n’est p
13 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Sherwood Anderson, Mon père et moi et Je suis un homme (janvier 1929)
15 des conteurs américains. Avec cela, un réalisme, plein de verdeur et souvent d’amertume. Mais là où d’autres placeraient le
14 1929, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Jean Cassou, La Clef des songes (août 1929)
16 s’en doutent… C’est un dévergondage sentimental, plein de malices et d’envies de pleurer. Quel dommage qu’il s’égare parfois
15 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’ordre social. Le Libéralisme. L’inspiration (novembre 1929)
17 lui écrivit, en sortant de là, dans une crèmerie pleine de couples à la mode. Mais en écrivant il pensait à une femme blonde
16 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 5. La machine à fabriquer des électeurs
18 les créateurs de l’instruction publique aient eu pleine conscience de ce qu’ils faisaient — et je les excuse pour autant10. J
17 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
19 ulgarité de mes attaques. Ce qui est vulgaire, au plein sens du mot, c’est le genre distingué de la bourgeoisie qui se monte
18 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 5. La machine à fabriquer des électeurs
20 que les créateurs de l’instruction publique aient pleine conscience de ce qu’ils faisaient — et je les excuse pour autant 10.
19 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
21 ulgarité de mes attaques. Ce qui est vulgaire, au plein sens du mot, c’est le genre distingué de la bourgeoisie qui se monte
20 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Kikou Yamata, Saisons suisses (mars 1930)
22 pour accueillir du premier regard, dans un matin plein de mouettes — « Un beau bruit d’ailes me fait un ciel » — la vaporeus
23 se montre plus occidental dans les beaux volumes pleins de ces paysages, que dans ses dessins, dont Kikou Yamata a dit ailleu
21 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
24 amais mieux pour parler qu’en face d’une assiette pleine  : l’occupation agréable et essentielle qui consiste à divise ; pour m
25 mique en cinq étages et un prologue ou vestibule, plein de bruits de lavabos et de coups de cloche débile au corridor, — à Pa
22 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
26 t enferme quelques paysages romantiques aux ciels pleins de démesure. Et, de Giorgione, ce « Portrait d’un homme » devant lequ
27 rte, on tourne dans un escalier compliqué : c’est plein de colonnettes et de statues dégradées et charmantes. (Vue sur des ma
23 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
28 es ont des mouvements vifs du buste, et des mains pleines de drôleries ou de supplication. Je ne sais ce que disent les paroles
24 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
29 « Torse de femme » de Marcel Gimond, des animaux pleins d’innocence et de drôlerie de Petersen. André Kertész, l’un des rénov
25 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Littérature alpestre (juillet 1931)
30 le vieux Goethe pour les ouvrages documentaires, pleins d’analyses précises, de citations, de planches hors-texte ? C’est un
31 hysiquement aussi. Toute l’œuvre de Nietzsche est pleine de repères alpestres. « Comme ces vues précises, aiguës, et qu’inspir
26 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le protestantisme jugé (octobre 1931)
32 erre Loti, à ce spectacle étrange d’une vie toute pleine de nobles penchants et d’affections élevées, tandis que déjà la consc
27 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
33 terne est crevassée et divisée. Son œuvre souvent pleine de charme mais sans forme et sans but, peut bien nous stimuler, mais
28 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
34 « grande Magie » que Faust enfin rejoint dans la pleine possession de ses forces et l’assurance du regard. L’âme, purifiée de
29 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
35 ux-mêmes, tels qu’ils apparurent à ce jeune homme plein d’une exigeante ferveur mystique. « Mes rapports avec les dévots — éc
30 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
36 omme tout ce qui n’a pas de raison, voilà qui est plein de significations troublantes. Cela donne à penser, prête à rire, mai
31 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
37 t enferme quelques paysages romantiques aux ciels pleins de démesure. Et, de Giorgione, ce « Portrait d’un homme » devant lequ
38 rte, on tourne dans un escalier compliqué : c’est plein de colonnettes et de statues dégradées et charmantes. (Vue sur des ma
39 es ont des mouvements vifs du buste, et des mains pleines de drôleries ou de supplication. Je ne sais ce que disent les paroles
32 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
40 , cet espace cloisonné de murailles respectables, plein de présences et d’absences — la chambre principale où une lampe arros
41 illet 1929 Écrivez donc une nouvelle allemande pleine de myosotis, de Gérard de Nerval, de victoria égarée dans la forêt, d
42 tir doucement les idées. C’est un attendrissement plein de force et de dignité. Alors si l’on est quelques-uns, on se met à c
33 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
43 amais mieux pour parler qu’en face d’une assiette pleine  : l’occupation agréable et essentielle qui consiste à diviser pour mi
34 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
44 êts, les jambes nues sous la pluie. L’herbe était pleine de sales limaces et de petits escargots, et les framboises humides av
35 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
45 omme tout ce qui n’a pas de raison, voilà qui est plein de significations troublantes. Cela donne à penser, prête à rire, mai
36 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
46 t enferme quelques paysages romantiques aux ciels pleins de démesure. Et, de Giorgione, ce « Portrait d’un homme » devant lequ
47 rte, on tourne dans un escalier compliqué : c’est plein de colonnettes et de statues dégradées et charmantes. (Vue sur des ma
48  : car demeurer ici, c’est demeurer vraiment en «  pleine nature », un peu au-dessus de la plaine, pas tout à fait dans le ciel
49 es ont des mouvements vifs du buste, et des mains pleines de drôleries ou de supplication. Je ne sais ce que disent les paroles
37 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
50 , cet espace cloisonné de murailles respectables, plein de présences et d’absences, — la chambre principale où une lampe arro
51 let 1929 « Écrivez donc une nouvelle allemande pleine de myosotis, de Gérard de Nerval, de victoria égarée dans la forêt, d
52 tir doucement les idées. C’est un attendrissement plein de force et de dignité. Alors si l’on est quelques-uns, on se met à c
38 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Quand je me souviens — C’est l’Europe
53 et vole et se réjouisse, et qu’il exige enfin sa pleine mesure, toute la Terre promise à tout l’homme ! Premier retour Par
39 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
54 nt défenseur de l’honneur protestant, il était au plein sens du mot l’homme engagé, celui qui ne revendique rien pour soi, to
40 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — V
55 ecret. J’ai lu ces pages de confidences pudiques, pleines d’idéal et de mélancolie, mais sans y retrouver la trace des larmes d
41 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
56 palais délabré, au-dessus de jardins en terrasses pleins de lucioles à la nuit, quand les violoneux du village viennent donner
42 1933, Esprit, articles (1932–1962). Loisir ou temps vide ? (juillet 1933)
57 . Ils n’arriveront jamais à la liberté, au loisir plein . Si la liberté n’est pas à l’origine d’un système, elle ne s’introdui
58 te tension créatrice qui seule définit un « temps plein  ». En sorte que le « temps vuide » de l’Encyclopédie n’est au vrai qu
59 réer un risque nouveau. Le temps de cet homme est plein , et nul n’y pourrait distinguer des heures « creuses » ou des efforts
43 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par Albert-Marie Schmidt (octobre 1933)
60 par l’emploi d’un style poli, nombreux, toujours plein d’onction, parfois même de pompe. Tel est le premier succès de cet ou
44 1933, Articles divers (1932-1935). Jeune Europe (4 décembre 1933)
61 éussi à brosser le panorama habilement suggestif, plein de vie et de pathétique, d’une époque qui a besoin, plus que de toute
45 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
62 t une idée sinon de la pensée barthienne dans son plein développement, du moins de ses thèmes initiaux, de sa « problématique
63 négative et désespérée. « Ici le paradoxe joue à plein — écrivait-on à ce propos dans un récent article1 — la théologie dial
46 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). D’un humour romand (24 février 1934)
64 e qui leur fait perdre toute mesure. Le monde est plein de malins, de gens qui ont l’air d’avoir compris de quoi il s’agit. I
47 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
65 t attendre les deux autres parties pour saisir la pleine signification. On trouvera, d’ailleurs, une analyse détaillée des Sta
48 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Nécessité de Kierkegaard (août 1934)
66 plus dignes de formuler son opinion, et qui sont pleins d’amères protestations contre le règne de la masse et les outrages di
67 ’utilitarisme de Bentham : « Étant donné un monde plein de coquins, montrer que la vertu est le résultat de leurs aspirations
49 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
68 e. Or, nous nous connaissons complexes et impurs, pleins de problèmes, peuplés de fantômes et séparés par eux de nous-mêmes et
50 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
69 contre un fait dont malgré tout nous ignorons la pleine signification humaine : le fait fasciste étant avant tout national. N
51 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
70 à tomber dans la trivialité (heureux les ventres pleins , etc.), car chacun sait que l’état de bonheur est une chose trop frag
52 1934, Politique de la personne. Appendice — Loisir ou temps vide ?
71 . Ils n’arriveront jamais à la liberté, au loisir plein . Si la liberté n’est pas à l’origine d’un système, elle ne s’introdui
72 te tension créatrice qui seule définit un « temps plein  ». En sorte que le « temps vuide » de l’Encyclopédie n’est au vrai qu
73 réer un risque nouveau. Le temps de cet homme est plein , et nul n’y pourrait distinguer des heures « creuses » ou des efforts
53 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
74 contre un fait dont malgré tout nous ignorons la pleine signification humaine : le fait fasciste étant avant tout national. N
54 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
75 à tomber dans la trivialité (heureux les ventres pleins , etc.), car chacun sait que l’état de bonheur est une chose trop frag
55 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Loisir ou temps vide ?
76 . Ils n’arriveront jamais à la liberté, au loisir plein . Si la liberté n’est pas à l’origine d’un système, elle ne s’introdui
77 te tension créatrice qui seule définit un « temps plein  ». En sorte que le « temps vuide » de l’Encyclopédie n’est au vrai qu
78 réer un risque nouveau. Le temps de cet homme est plein , et nul n’y pourrait distinguer des heures « creuses » ou des efforts
56 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Trop d’irresponsables s’engagent ! (Responsabilité des intellectuels)
79 à celle des philosophes libéraux — fût partiale, pleine de partis pris, et même politique ! 83. Je fais exception pour deux
57 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
80 hèse de ces contradictions. La vie chrétienne est pleine de contradictions, elle aussi, mais Paul les a toutes rassemblées dan
58 1935, Esprit, articles (1932–1962). Roger Breuil, Les Uns les Autres (avril 1935)
81 n : cet appel à la vie communautaire, ce réalisme plein , ce sens du concret spirituel, cette amitié des hommes et du pays, qu
59 1935, Présence, articles (1932–1946). Contre Nietzsche (avril-mai 1935)
82 se… Un noble effort ne peut s’appuyer que sur une pleine et ferme confiance en soi, qui seule élève le cœur et l’esprit. À cel
60 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
83 r pour seul but d’assurer à chacun le libre et le plein exercice de sa vocation personnelle. Et c’est dans cet esprit qu’il s
61 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
84 ture, les bêtes, les choses. Envers elles, il est plein d’une espèce de charité patiente et ingénieuse. D’où son amour des tr
62 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
85 ment ce qui s’est fait, et un temps pour saisir à pleines mains les instruments de construction, qui sont aussi ceux des démoli
63 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (octobre 1935)
86 on anthologie tout un monde spirituel et poétique plein de dangereuses merveilles. Le choix des textes me paraît des plus heu
64 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Les mystiques allemands du xiiie au xixe siècle, par Jean Chuzeville (2 novembre 1935)
87 on anthologie tout un monde spirituel et poétique plein de dangers et de merveilles. Le choix des textes me paraît des plus h
65 1935, Articles divers (1932-1935). Montherlant : Service inutile (15 novembre 1935)
88 sse : cela est neuf et vrai, bien vu et bien dit, plein d’une verve gentille, et aussi, disons-le, de courage, car il en faut
66 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
89 ne éducation de son langage. Un tribunal muni des pleins pouvoirs, institué pour juger des cas de langage délictueux, inactuel
67 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que l’autorité ? (mai 1936)
90 r cette confiance est une réalité spirituelle, au plein sens du mot, cette fois. (Il est toujours désagréable de se citer soi
68 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Du danger de confondre la bonne foi et le stalinisme (juillet 1936)
91 Dandieu, puis reprise par L’Ordre nouveau , est pleine de défiance vis-à-vis de la rationalisation… » ! !) Mais dès que M. F
69 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
92 st incertaine, facilement énervée puis indolente, pleine de contradictions en apparence mais dans le fond et dans l’ensemble c
70 1936, Esprit, articles (1932–1962). Henri Petit, Un homme veut rester vivant (novembre 1936)
93 gagner le monde ou gagner contre lui. Livre trop plein , trop scrupuleux, trop grave, nourriture trop complexe pour être épui
71 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Le problème de la culture
94 au comble de leur présence, quand elles font leur plein dans nos vies, elles laissent toujours une petite place à notre doute
72 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
95 e. Elle séduit par son insolence. Le « bon sens » plein de verve et de saine vulgarité dont s’armait le bourgeois conquérant,
73 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — commune mesure et acte de foi
96 la vie telle qu’elle est, dégradée, mystérieuse, pleine d’appels. (L’anarchie libérale avait du moins cet avantage qu’elle ét
74 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
97 t incertaine, facilement énervée, puis indolente, pleine de contradictions en apparence, mais dans le fond et dans l’ensemble
75 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
98 ous l’univers totalement unifié dans le non, — la pleine stature de mort. Le Christ fait cet acte, en mourant sur la croix. Ma
76 1936, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
99 e, encore que peut-être l’acte de penser, au sens plein et cartésien du mot, soit infiniment plus difficile et plus rare qu’o
77 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Le problème de la culture
100 au comble de leur présence, quand elles font leur plein dans nos vies, elles laissent toujours une petite place à notre doute
78 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — Fatalités du rationalisme bourgeois
101 e. Elle séduit par son insolence. Le « bon sens » plein de verve et de saine vulgarité dont s’armait le bourgeois conquérant,
79 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — commune mesure et acte de foi
102 la vie telle qu’elle est, dégradée, mystérieuse, pleine d’appels. (L’anarchie libérale avait du moins cet avantage qu’elle ét
80 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
103 t incertaine, facilement énervée, puis indolente, pleine de contradictions en apparence, mais dans le fond et dans l’ensemble
81 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
104 ous l’univers totalement unifié dans le non, — la pleine stature de mort. Le Christ fait cet acte, en mourant sur la croix. Ma
82 1937, Journal de Genève, articles (1926–1982). L’Âme romantique et le rêve (23 mars 1937)
105 upart des lecteurs non spécialisés une découverte pleine d’attraits : nous étions loin de nous douter de la « modernité » aigu
83 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
106 Pernod. Et qu’il va falloir modifier cette maison pleine de guéridons et d’aquarelles, de telle sorte qu’on puisse y travaille
107 ame », ou plutôt un peu mieux, avec une politesse pleine de réserve et d’attentions. On parle du domaine. Les deux femmes le d
108 s d’ombres. Je me souviens de ces nuits de Paris, pleines d’appels fugitifs, assourdis ; de ces veillées fiévreuses, assiégées.
109 ialement adroits de leurs mains, débrouillards et pleins de ressources mystérieuses. Mais ils seraient moins dignes aussi. Leu
110 ventées. Les rues sont étroites et caillouteuses, pleines d’odeurs dès que le vent cesse de les balayer. Nous sommes installés
111 t le moins croyable, étant superstitieux sur tout plein d’objets. » Malchance affreuse du peuple français : il n’échappe aux
84 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
112 du temps ? C. M. — Mais mon temps est vivant, et plein de nouveauté, de création ! Ton éternité immobile, c’est l’image même
85 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Ballet de la non-intervention (avril 1937)
113 minue très rapidement d’une semaine à l’autre. Le plein est fait. En janvier, plus de 1000 Français et 1200 étrangers ; en fé
86 1937, Articles divers (1936-1938). Chamisso et le Mythe de l’Ombre perdue (mai-juin 1937)
114 oir perdu son ombre. Le second romantisme bat son plein . On a vu bien des fous Chez Tieck et chez Fouqué. Celui-ci pourtant m
115 esprit offensif et joyeux, le corps qui se sent «  plein dans sa peau », partagent les richesses du désir. Et l’homme a retrou
87 1937, Esprit, articles (1932–1962). Retour de Nietzsche (mai 1937)
116 antifascisme digne de ce nom. « La seule société pleine de vie et de force, écrit G. Bataille, la seule société libre est la
88 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). L’autorité assure les libertés (mai 1937)
117 e fédération dont la vie même suppose la libre et pleine expression des diversités. ⁂ Ajoutons, pour terminer, que, pas plus q
89 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
118 nt, la chevelure noire en bataille qu’il saisit à pleines mains dans les moments pathétiques. Il annonce le sujet de ce soir :
119 , je sais maintenant pourquoi notre chambre était pleine de puces. Cela n’a l’air de rien, mais je vois là comme un symbole. L
120 scrétions, toute cette littérature est sans doute pleine de talent, elle est même littéralement sensationnelle, mais que veule
121 ur sa parcelle de terre ingrate, dans sa courette pleine de fleurs. Qu’ils n’aient pas de vie communautaire, cela ne signifie
90 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
122 nd bouquin, c’est l’œuvre d’un vieux médecin tout plein de verve et de gaillarde érudition, comme il s’en trouve un peu parto
123 d même ?   Janvier (à T…) Ce séjour, par ailleurs plein d’agrément, ne m’a permis de faire jusqu’ici qu’une seule expérience
124 n peut vivre de très peu sans cesser de vivre son plein . Voici un an bientôt que j’ai quitté Paris. Voici un an que je dors b
91 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Selma Lagerlöf, conteur de légende (3 juillet 1937)
125 à l’argent. Il ne fallait pas moins que le génie plein de malices d’une Lagerlöf pour renverser d’un coup cette apparente fa
92 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
126 , je sais maintenant pourquoi notre chambre était pleine de puces. Cela n’a l’air de rien, mais je vois là comme un symbole. L
93 1937, Esprit, articles (1932–1962). Martin Lamm, Swedenborg (septembre 1937)
127 e que c’est « important » ou « intéressant » ou «  plein de talent ». (La discontinuité de notre chronique des Lettres ne trad
94 1937, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Pages inédites du Journal d’un intellectuel en chômage (octobre 1937)
128 tout près. Nuit des villes, rouge et circulante, pleine de rumeurs, comparable à la fièvre. Plus lucide souvent que les jours
95 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
129 t de même, ou par là même, une existence, au sens plein de ce terme ; avec tout ce que cela comporte d’autonomie, de nécessit
96 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Gösta Berling, par Selma Lagerlöf (novembre 1937)
130 colantes et gracieuses, réalistes et romanesques, pleines de malices et de profondes audaces. Des histoires que l’on croit inté
97 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
131 nd bouquin, c’est l’œuvre d’un vieux médecin tout plein de verve et de gaillarde érudition, comme il s’en trouve un peu parto
132 nt, la chevelure noire en bataille qu’il saisit à pleines mains dans les moments pathétiques. Il annonce le sujet de ce soir :
133 , je sais maintenant pourquoi notre chambre était pleine de puces. Cela n’a l’air de rien, mais je vois là comme un symbole. L
134 scrétions, toute cette littérature est sans doute pleine de talent, elle est même littéralement sensationnelle, mais que veule
135 ssions ou le pittoresque. Ce séjour, par ailleurs plein d’agrément, ne m’a permis de faire jusqu’ici qu’une seule expérience
136 sa parcelle de terre ingrate, ou dans sa courette pleine de fleurs. Qu’ils n’aient pas de vie communautaire, cela ne signifie
137 nous le découvrons ! Touffu, feuillu et odorant, plein de giroflées multicolores, de capucines, de pois de senteur, d’œillet
138 n peut vivre de très peu sans cesser de vivre son plein . Voici un an bientôt que j’ai quitté Paris pour notre « Maison du ber
98 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
139 Pernod. Et qu’il va falloir modifier cette maison pleine de guéridons et d’aquarelles, de telle sorte qu’on puisse y travaille
140 rtement de Copenhague, pendant ses nuits géniales pleines de ricanements et de prières. Ils pensaient en marchant, et c’est pou
141 ame », ou plutôt un peu mieux, avec une politesse pleine de réserve et d’attentions. On parle du domaine. Les deux femmes le d
142 s d’ombres. Je me souviens de ces nuits de Paris, pleines d’appels fugitifs, assourdis ; de ces veillées fiévreuses, assiégées.
143 ialement adroits de leurs mains, débrouillards et pleins de ressources mystérieuses. Mais ils seraient moins dignes aussi. Leu
144 ventées. Les rues sont étroites et caillouteuses, pleines d’odeurs dès que le vent cesse de les balayer. Nous sommes installés
145 d’ici, du niveau le plus bas, du canevas brut et plein de trous de l’existence dépouillée… …Dépouillée, mais de quoi au just
146 t le moins croyable, étant superstitieux sur tout plein d’objets ». Malchance affreuse du peuple français : il n’échappe aux
99 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
147 due presque vaine par ses excès, avec la pauvreté pleine de sens et de grandeur qu’imposait la Loi d’Israël. Ce que l’on perd
100 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
148 du temps ? C. M. — Mais mon temps est vivant, et plein de nouveauté, de création ! Ton éternité immobile, c’est l’image même