1
la surchauffe et du manque de main-d’œuvre, de la
pollution
de l’air, des eaux et des paysages, de la laideur des petites maisons
2
evrait l’être : les tempêtes et les épidémies, la
pollution
de l’air et des fleuves, les attaques aériennes, les ondes de la prop
3
evrait l’être : les tempêtes et les épidémies, la
pollution
de l’air et des fleuves, les attaques aériennes, les ondes de la prop
4
ne peut pas fermer ses frontières aux vents ou la
pollution
du Rhin. La Suisse est destinée à être au cœur de l’Europe et elle do
5
rrey Canyon » perdant son chargement en mer, d’où
pollution
de près de 100 kilomètres de côtes de la Manche ; — le lac Érié deven
6
ar des millions de poissons morts par suite de la
pollution
du Rhin ; — partout des maisons fissurées ou écroulées près des aéro
7
r toute supranationalité », cela n’empêche pas la
pollution
des fleuves, ni les tempêtes, ni les épidémies, ni les grandes crises
8
helle au moins continentale. Deux exemples : — La
pollution
du Rhin qui affecte la Hollande : elle est causée par des industries
9
ir et de boire une eau raisonnablement exempts de
pollution
, le droit d’être protégé contre les bruits excessifs et les autres nu
10
evrait l’être : les tempêtes et les épidémies, la
pollution
de l’air et des fleuves, les attaques aériennes, les ondes de la prop
11
evrait l’être : les tempêtes et les épidémies, la
pollution
de l’air et des fleuves, les attaques aériennes, les ondes de la prop
12
ors, dans cette affaire ? Elle proteste contre la
pollution
, à l’exemple et à la suite d’intellectuels bourgeois, mais refuse ell
13
lle aussi les mesures nécessaires pour arrêter la
pollution
, parce qu’elle redoute leurs incidences sur le pouvoir d’achat des «
14
t le reste est mauvaise littérature, c’est-à-dire
pollution
idéologique de jeunes cervelles excitées mais incultes. e) « La cul
15
ces nécessaires. Faut-il réduire la natalité ? la
pollution
? le niveau de vie ? les investissements ? ou l’exploitation des ress
16
natalité et des investissements, et surtout de la
pollution
et du pillage des ressources terrestres. Voilà qui ne peut se décider
17
textex, Louis Pauwels ose écrire, à propos de la
pollution
et des gens savants qui s’en occupent : « Je donne aux inventeurs de
18
es sous-marines et champion de la lutte contre la
pollution
des océans, M. Pauwels répond, dans de nombreuses interviews, qu’il n
19
nce des réalités écologiques et des dangers de la
pollution
, beaucoup plus générale qu’on osait l’espérer, surtout dans la jeunes
20
ut la traduction d’une découverte scientifique en
pollution
universelle. On ne peut plus s’en remettre au Temps pour adapter, rod
21
faudrait arrêter — la tempête, les épidémies, la
pollution
de l’air et de l’eau — mais gêne tous les mouvements et vexe tout le
22
ce qu’il faudrait arrêter — tempêtes, épidémies,
pollution
de l’air et de l’eau — mais gêne les échanges qu’il faudrait promouvo
23
biens et des services, mais non pas d’arrêter la
pollution
, les ondes, les tempêtes, la propagande ; elles bloquent les échanges
24
nental, il en va de même pour l’écologie : que la
pollution
ne connaisse pas de frontières politiques, voilà un fait que tout élè
25
e garages, de stations d’essence au service de la
pollution
universelle. Or, les autos figurent l’emblème du paradoxe majeur de n
26
qui pensent court et bas et nous jettent dans la
pollution
au nom de la rentabilité, mais ceux qui font passer avant le profit d
27
, par la culture accélérée, le trax, la bombe, la
pollution
, mais qu’à la fin la Nature nous vaincra, et je ne dis pas : nous sur
28
ture, de l’environnement naturel et urbain, de la
pollution
, des nuisances et des catastrophes écologiques qu’il s’agit de prévoi
29
reux, M. Louis Pauwels ose écrire, à propos de la
pollution
et des savants qui s’en occupent : « Je donne aux inventeurs de cette
30
es sous-marines et champion de la lutte contre la
pollution
des océans, il répond (dans de nombreuses interviews) qu’il ne s’agit
31
nce des réalités écologiques et des dangers de la
pollution
beaucoup plus générale qu’on n’osait l’espérer, surtout dans la jeune
32
lugubres farceurs qui font métier de dénoncer la
pollution
, je ne puis m’empêcher de penser à une merveilleuse petite parabole d
33
duits de notre industrie. Ces sept plaies sont la
pollution
de l’air, des eaux, des sols et des aliments, et la pollution de l’ho
34
l’air, des eaux, des sols et des aliments, et la
pollution
de l’homme par le bruit, par le stress urbain (ou densité excessive d
35
es de la tolérance tant animale que végétale à la
pollution
sous toutes ses formes. Faut-il en désespoir de cause faire confiance
36
t d’industrialisation se trouve ensevelie sous la
pollution
subitement accrue » — qui à son tour entraînera une diminution de la
37
pulation, investissements, ressources naturelles,
pollution
et qualité de vie. (Ce dernier paramètre étant dérivé à la fois du ni
38
nt de la population, des investissements et de la
pollution
durant les quarante, ou soixante, ou quatre-vingts années qui viennen
39
de base. Que se passerait-il si l’on diminuait la
pollution
? ou la natalité ? ou les investissements ? ou l’exploitation des res
40
n diminuant de 50 % le taux d’accroissement de la
pollution
: On notera que la population croît parallèlement aux investissement
41
ments, ce qui déclenche une montée critique de la
pollution
, laquelle entraîne une mortalité proprement catastrophique : les cinq
42
on des ressources naturelles 75 % Production de
pollution
50 % Investissements 40 % Natalité 30 % Production d’aliments (
43
ssources naturelles (comme le pétrole), donc à la
pollution
; et finalement le seul facteur qu’elle fasse diminuer, c’est la qual
44
endamment des frontières stato-nationales, que la
pollution
des eaux s’obstine à ignorer… Mais, d’autre part, rien de plus local
45
e garages, de stations d’essence au service de la
pollution
universelle. Or les autos figurent l’emblème du paradoxe majeur de no
46
qui pensent court et bas et nous jettent dans la
pollution
au nom de la rentabilité, mais ceux qui font passer avant le profit d
47
ur du Léman, une région écologique définie par la
pollution
du lac (affluents, usines, riverains), l’aérodrome de Cointrin, la ce
48
us forme de « coûts externes » (forêts détruites,
pollution
en tous genres, épuisement des ressources naturelles) tacitement pris
49
ur du Léman, une région écologique définie par la
pollution
du lac (affluents, usines, riverains), l’aérodrome de Cointrin, la ce
50
ères. Celles-ci n’arrêtent ni les tempêtes, ni la
pollution
, ni rien de ce qu’il faudrait arrêter, mais seulement ce qu’il faudra
51
ur du Léman, une région écologique définie par la
pollution
du lac (affluents, usines, riverains), l’aérodrome de Cointrin, la ce
52
ssants devant l’inflation, le chaos monétaire, la
pollution
, la famine dans le tiers-monde, l’urbanisation sauvage, les problèmes
53
e plus souvent. L’empoisonnement des rivières, la
pollution
des lacs, la destruction des sites, des forêts, ce sont des choses im
54
les frontières politiques n’existent pas pour la
pollution
. Les poissons sont les mêmes des deux côtés du Léman et ils y crèvent
55
losion démographique et urbanisation galopante, —
pollution
, maladies de l’air, des eaux, des sols, catastrophes écologiques, fam
56
me sur la terre, entraînera l’accroissement de la
pollution
de nos cités, de nos fleuves, de nos mers et de nos dernières forêts,
57
s par l’exportation de nos industries, donc de la
pollution
industrielle, dans le tiers-monde, où il y a encore des espaces libre
58
ation des ressources naturelles, et donc aussi la
pollution
, par 200, ce qui est matériellement impossible. En effet, les ressour
59
uire la natalité ? ou les investissements ? ou la
pollution
? ou l’exploitation des ressources naturelles ? ou le niveau de vie m
60
ue réduire telle ou telle variable isolément — la
pollution
, ou la natalité, par exemple — ne peut au mieux que différer de vingt
61
, des investissements, du taux de natalité, de la
pollution
, et surtout du pillage des ressources naturelles. Voilà qui ne peut s
62
estissements, des biens de consommation, et de la
pollution
. Si l’Occident pouvait imposer la politique de réduction simultanée
63
nt transfrontalières. — le sauvetage du Léman, la
pollution
du Rhône, les nuisances créées par l’aérodrome de Cointrin ou par de
64
ent. Jamais une frontière politique n’a arrêté la
pollution
de l’air et des eaux, ni celle des esprits par les ondes. Une générat
65
, provoquent l’une et l’autre la croissance de la
pollution
, de l’air des villes, de l’eau des lacs et des océans, de la végétati
66
imentation et du patrimoine génétique, lesquelles
pollutions
entraîneront à plus ou moins brève échéance des maladies et malformat
67
de la grande crise dénoncée par le club de Rome :
pollution
, désastres écologiques, urbanisation sauvage, gaspillage des ressourc
68
e. Je lui réponds : oui, mais le cancer aussi, la
pollution
aussi, l’État totalitaire aussi sont des « réalités » typiques du siè
69
omique n’a jamais arrêté ni tempête, ni virus, ni
pollution
de l’air ou des eaux. La faiblesse fondamentale, basique, de l’État-n
70
survie de l’espèce humaine. Qu’il s’agisse de la
pollution
résultant de la production industrielle au service du Profit privé et
71
survie de l’espèce humaine. Qu’il s’agisse de la
pollution
résultant de la production industrielle au service du profit privé et
72
qu’on croit illimitées. Cela se développe avec la
pollution
de l’air, des eaux, des plantes, de l’humus et des océans, par les ef
73
ires) ou certains crimes écologiques (tels que la
pollution
non contrôlée des eaux territoriales). Seul ce recours au sacré natio
74
taille des usines productrices, donc aussi de la
pollution
; meilleurs rapports entre l’homme et sa terre, l’homme et sa ville,
75
rts en armements, en gaspillage, en production de
pollution
, et en « planned obsolescence ». ⁂ Deux objections m’ont été présent
76
en va de même pour les réalités écologiques : la
pollution
industrielle qui les met partout en danger ne connaît de frontières n
77
es grandes centrales nationales ; lutte contre la
pollution
arrêtée par les frontières, qui ne laissent passer que la pollution e
78
par les frontières, qui ne laissent passer que la
pollution
elle-même (des airs, des eaux, des ondes et des tempêtes) ; fiscalité
79
tière, est mortellement menacé par un ensemble de
pollutions
qui appellent un ensemble de mesures préventives et curatives ; mais
80
as plus compte de la frontière que ne le font les
pollutions
et les nuisances de toute espèce. Troisième exemple, qui concerne la
81
d’une mauvaise gestion de la planète : famine et
pollution
, pillage des ressources naturelles non renouvelables, surpopulation,
82
industrie, qui ont causé surpopulation, famines,
pollution
des océans et de l’atmosphère, déséquilibre économique croissant entr
83
ssources naturelles (comme le pétrole), donc à la
pollution
; et finalement le seul facteur qu’elle fasse diminuer, c’est la qual
84
de, 2°) par des famines continentales, 3°) par la
pollution
des océans, et 4°) par la criminalité internationale à « justificatio
85
périls écologiques qui menacent notre continent (
pollution
du Rhin, de la Méditerranée, de l’Atlantique, pénurie d’eau potable,
86
es de ces dernières années sur la démographie, la
pollution
ou l’alimentation, les délégués nationaux sont tombés d’accord sur de
87
évidence, dans une mauvaise gestion de la terre :
pollution
, pillage des ressources, surpopulation, surarmement délirant (les Éta
88
rts en armements, en gaspillage, en production de
pollution
et en obsolescence calculée. q. « L’État-nation, voilà l’ennemi »,
89
très menacée, d’épuisement, de contamination, de
pollutions
diverses. Il faut que tout le monde s’y mette. Il ne faut pas laisser
90
la surchauffe et du manque de main-d’œuvre, de la
pollution
de l’air, des eaux et des paysages, de la laideur des petites maisons
91
sé, mais répandant en même temps autour de lui la
pollution
de l’air, la pollution de l’eau, la pollution des esprits, la consécr
92
ême temps autour de lui la pollution de l’air, la
pollution
de l’eau, la pollution des esprits, la consécration de vieilles synth
93
la pollution de l’air, la pollution de l’eau, la
pollution
des esprits, la consécration de vieilles synthèses que ces jeunes n’a
94
ns si, dans un environnement différent, éliminant
pollutions
et nuisances, nous ne pouvions placer un homme différent, c’est-à-dir
95
la lutte contre la famine, des mesures contre la
pollution
des océans, ou du maintien à tout prix de la paix. De tout cela, la S
96
mes qui se posent à l’échelle mondiale — énergie,
pollution
, famine, paix. C’est entre ces termes extrêmes que se pose en permane
97
tive qu’elle offre au gaspillage industriel, à la
pollution
de l’atmosphère, voire à la guerre, c’est le chômage, il est temps de
98
tive qu’elle offre au gaspillage industriel, à la
pollution
de l’atmosphère, voire à la guerre, c’est le chômage, il est temps de
99
ilisation mondiale du xxe siècle, technologie et
pollution
comprises, mais aussi le Roman de Tristan, et l’amour-passion, la Com
100
ir neuf, mais très souvent, presque toujours de «
pollution
», notez cela ! — Si je comprends bien, vous n’avez avec vous ni le
101
’activistes nombreux et motivés luttant contre la
pollution
sous toutes ses formes, des emballages plastiques aux déchets plutoni
102
e là, tout s’enchaîne. L’analyse des causes de la
pollution
et du système de ces causes conduit, au-delà des déductions critiques
103
onction. Et bien plus, par leurs luttes contre la
pollution
et les centrales nucléaires, ils ont fourni à la révolution régionali
104
que la religion n’a rien à voir avec tel mode de
pollution
ou de production d’énergie ? Je répondrai que les régions, la polluti
105
tion d’énergie ? Je répondrai que les régions, la
pollution
, l’énergie nucléaire ont valeur symbolique en tant que nœuds de probl
106
le aussi transfrontalière car chacun sait que les
pollutions
n’ont jamais été arrêtées par les douaniers, ni par la ligne de démar
107
d’agression contre la nature. Il n’y a pas que la
pollution
par l’industrie. Pour moi, la pollution majeure et définitive de la t
108
as que la pollution par l’industrie. Pour moi, la
pollution
majeure et définitive de la terre serait la guerre atomique que prépa
109
e. Regardez, par exemple, ce qui se passe avec la
pollution
des eaux. Le Léman, le Rhin, la Manche sont menacés de mort. Et Brita
110
nce. Du point de vue écologique, la guerre est la
pollution
majeure de la planète. Nous devons tenter de créer une société plus a
111
l’aménagement du territoire et la lutte contre la
pollution
. C’est l’Amérique qui a exporté l’inflation, née de la guerre du Viet
112
du DDT ou du mercure dans l’organisme humain, la
pollution
des eaux souterraines et des fleuves, l’empoisonnement des océans, et
113
naturel. De là, deux séries de conséquences : la
pollution
, sous toutes ses formes, et l’épuisement, à terme prévisible, des res
114
re et de pétrole, par exemple, se traduit par une
pollution
correspondante des lacs et des océans, et qu’en retour la raréfaction
115
faction de l’oxygène respirable va résulter de la
pollution
des océans autant que de la destruction des forêts dont on fait nos j
116
aine de l’homme et dégradation de la Terre par la
pollution
et l’épuisement des ressources non renouvelables ; l’une et l’autre r
117
spondant à l’absence de toute différence entre la
pollution
produite par l’industrie socialiste à l’Est et par l’industrie capita
118
mar sans fin d’une consommation forcenée et d’une
pollution
démentielle. Comment expliquer ces propos, sinon par la remarque fame
119
sens que tout va plus vite qu’on ne le craignait (
pollution
) et moins vite qu’on ne l’espérait (automation). Mais toute « tendanc
120
graves au cycle hydrologique mondial, tant par la
pollution
qu’ils tolèrent ou fomentent, que par toutes sortes d’interventions i
121
actuel » de la croissance démographique et de la
pollution
universelle, il faut prévoir que l’eau utile, c’est-à-dire celle que
122
e quatre-vingts ans. Épuisement des ressources et
pollution
vont donc de pair et l’un pousse l’autre. Qu’on n’oublie pas, au rest
123
ifs » que de la nature J’appellerai maintenant
pollution
non seulement ce qui salit, mais ce qui est impropre aux êtres, aux c
124
fumées noires ou sulfureuses auxquelles le mot de
pollution
fait penser d’abord, mais aussi l’excès même des choses bonnes en soi
125
elle et néocortex, atteint le dernier degré de la
pollution
: il est exproprié de soi, et menacé de désintégration du noyau de ce
126
était propre. II s’ensuit que la lutte contre la
pollution
conduit à remettre en question le système de la société occidentale (
127
une société de croissance à tout prix, et donc de
pollution
. Lutter contre la pollution, je le vois tous les jours autour de moi,
128
tout prix, et donc de pollution. Lutter contre la
pollution
, je le vois tous les jours autour de moi, c’est retrouver dans leur g
129
qui l’ont si bien fait, les formes infinies de la
pollution
. Je ne parlerai pas des nuisances réductibles, ou même déjà réduites
130
smog londonien. J’évoquerai les seules formes de
pollution
probablement ou certainement irréversibles, celles qui peuvent affect
131
ui fait obstacle à leur réduction immédiate. La
pollution
la plus grave, après celle de l’eau, est celle de l’alimentation, qui
132
ntrôler isolément et encore moins en synergie. La
pollution
de l’air et celle des eaux par l’industrie menacent de cumuler leurs
133
ui seul et non les « jérémiades des obsédés de la
pollution
», ni les « recettes de bonne femme des écologistes ». Ainsi répètent
134
lle s’oppose « très fermement » aux réductions de
pollution
exigées par les scientifiques indépendants. Tout doit céder devant le
135
e sacré de la rentabilité favorise cyniquement la
pollution
quand un industriel ne peut le respecter qu’en rejetant sur la commun
136
ollars par an si l’on tenait compte du coût de la
pollution
de l’air, qui ne paraît pas dans les statistiques officielles36. Et l
137
e service et des gardes armés. La lutte contre la
pollution
créerait de trois à cinq fois plus de postes de travail, hélas durabl
138
tive qu’elle offre au gaspillage industriel, à la
pollution
de l’atmosphère, voire à la guerre, c’est le chômage, il est temps de
139
imitées. Cela se développe au xxe siècle avec la
pollution
de l’air, des eaux, des plantes, de l’humus et des mers, par les effe
140
omme aux USA, les militants de la lutte contre la
pollution
qu’ils accusent d’intentions politiques, ils interviennent publiqueme
141
premiers congrès sur la défense des mers, que la
pollution
tellurique « échappe encore complètement à la réglementation internat
142
: ni air, ni eau, ni arbre et nulle vie animale —
pollution
achevée, champ libre aux technologues ! L’obstacle principal Ma
143
’accroissement des accidents, des maladies, de la
pollution
, du bétonnage, de la criminalité, etc. Faudrait-il alors le remplacer
144
ses ; l’accroissement des dépenses préventives de
pollution
; les progrès de l’hygiène et de la lutte contre les maladies somatiq
145
t le terrorisme ; le gaspillage de l’énergie ; la
pollution
sous toutes ses formes… Ces bilans seraient comparables au rapport «
146
: le désert qui s’étend au tiers de la Terre, la
pollution
du tiers des océans, l’empoisonnement des eaux potables, l’obscurciss
147
le, ou de prendre des mesures radicales contre la
pollution
, ou de construire des villes habitables, ou encore de créer et de féd
148
ssources naturelles (comme le pétrole), donc à la
pollution
; et finalement le seul facteur qu’elle fasse diminuer, c’est la qual
149
uto, mais un grand nombre de cancers sont dus aux
pollutions
qui ont l’auto pour cause. Et, surtout, la voiture devenue signe de s
150
es émanations asphyxiantes qui forment 69 % de la
pollution
atmosphérique de Tokyo, par exemple ; inadministrable, du fait que 40
151
ers la solitude des campagnes. C’est ainsi que la
pollution
urbaine s’étend à l’ensemble du territoire. Parce qu’il ne peut plus
152
arrive par mer en Occident, est responsable de la
pollution
des océans par les tankers. Et cette pollution est la cause (voir plu
153
la pollution des océans par les tankers. Et cette
pollution
est la cause (voir plus haut, page 34) non seulement de la ruine de p
154
es énormes exigeant des transports par auto, d’où
pollution
de l’air, bruit et nervosité, que le citadin fuira dans les campagnes
155
, du gaspillage des ressources naturelles, et des
pollutions
justifiées par la production d’armements, on n’en trouve qu’une quinz
156
rité dans sa sensibilité par toutes les formes de
pollution
qu’il osait à peine ressentir avant que les écologistes l’aient alert
157
ussit pas, et à coup sûr des sources nouvelles de
pollution
du sol, des airs, des eaux, des forêts, des récoltes et de l’alimenta
158
tion, donc de néguentropie. La lutte contre la
pollution
ne devient efficace que dans l’espace régional Au niveau national,
159
circulation automobile, sociétés multinationales,
pollution
. Dans la revue d’une association nationale qui entend représenter l’e
160
eurs, dans les pays maritimes, la lutte contre la
pollution
des plages et des fonds marins est ouvertement sabotée par les pouvoi
161
B. L’Assemblée nationale, dans son rapport sur la
pollution
du littoral méditerranéen, déplore l’impuissance des services chargés
162
e nos pouvoirs nationaux devant les phénomènes de
pollution
qui sévissent de part et d’autre de nos frontières « nationales ». Je
163
ir expliquer leur carence par celle du voisin. La
pollution
ne connaît pas de frontières, et nos enfants le voient très bien. Mai
164
ar de nombreuses Associations civiques contre les
pollutions
de toute nature — et cela dans les partis de toute couleur, socialist
165
centrales nucléaires mais beaucoup de sources de
pollution
(indices de distinction sociale et de maturité industrielle). Il appa
166
oup du chômage, je réponds que la lutte contre la
pollution
pourrait créer dès l’an prochain bien plus d’emplois — c’est calculé
167
résumer en quatre points majeurs : 1. — Nulle
pollution
n’a jamais été arrêtée par une frontière nationale : ni les tempêtes,
168
issance des États dans la lutte vitale contre les
pollutions
terrestres, maritimes, aériennes, est constitutive : elle est détermi
169
rs ; l’embargo sur les informations concernant la
pollution
des airs, des sols, des eaux et des aliments, dès qu’elle est en rapp
170
us forme de « coûts externes » (forêts détruites,
pollution
en tous genres, épuisement des ressources naturelles) tacitement pris
171
genre humain, guerre ABC, centrales nucléaires et
pollution
des océans. Ici l’on voit paraître la nécessité d’un organisme qui as
172
s et les vents, les formes les plus variées de la
pollution
et des nuisances industrielles. Et celui qui aborde l’histoire par sa
173
ors, dans cette affaire ? Elle proteste contre la
pollution
, à l’exemple et à la suite d’intellectuels bourgeois, mais refuse ell
174
lle aussi les mesures nécessaires pour arrêter la
pollution
, parce qu’elle redoute leurs incidences sur le pouvoir d’achat des «
175
t le reste est mauvaise littérature, c’est-à-dire
pollution
idéologique de jeunes cervelles excitées mais incultes. d) « Vous vo
176
ces nécessaires. Faut-il réduire la natalité ? la
pollution
? le niveau de vie ? les investissements ? ou l’exploitation des ress
177
natalité et des investissements, et surtout de la
pollution
et du pillage des ressources terrestres. Voilà qui ne peut se décider
178
matérielle199 », plutonienne, cause majeure d’une
pollution
dont les retombées mortelles, déjà, investissent dans l’espace les oc
179
r neuf, mais très souvent, presque toujours, de «
pollution
», notez cela ! — Si je comprends bien, vous n’avez avec vous ni le
180
’activistes nombreux et motivés luttant contre la
pollution
sous toutes ses formes : des emballages plastiques aux déchets pluton
181
e là, tout s’enchaîne. L’analyse des causes de la
pollution
et du système de ces causes conduit, au-delà des déductions critiques
182
onction. Et bien plus, par leurs luttes contre la
pollution
, et les centrales nucléaires, ils ont fourni à la révolution régional
183
que la religion n’a rien à voir avec tel mode de
pollution
ou de production d’énergie ? Je répondrai que les régions, la polluti
184
tion d’énergie ? Je répondrai que les régions, la
pollution
, l’énergie nucléaire ont valeur symbolique en tant que nœuds de probl
185
fants de l’école primaire savent très bien que la
pollution
n’est pas arrêtée par les douaniers. Vous croyez, en somme, à la poss
186
naces nucléaires, sa démographie galopante et ses
pollutions
de toutes sortes. C’est à cette Apocalypse que tous les experts nous
187
mocratique. Sur un autre plan la lutte contre la
pollution
ne devient efficace que dans l’espace régional. À propos de pollution
188
efficace que dans l’espace régional. À propos de
pollution
, la grande peur vient de la multiplication des centaines de centrales
189
aine de l’homme et dégradation de la terre par la
pollution
et par l’épuisement des ressources non renouvelables ; l’une et l’aut
190
stes ; et l’absence totale de différence entre la
pollution
résultant de la production industrielle, qu’elle soit dite socialiste
191
les industrielles, la Seconde Guerre mondiale, la
pollution
des océans, la crise du pétrole, etc. Maintenant, en analysant ce qui
192
s du tout cette attitude : quand on leur parle de
pollution
de la terre, des airs, des forêts, des océans et des déserts, du dang
193
es de l’expansion des machines, du béton et de la
pollution
universelle tirent cet orgueil dont l’Évangile nous dit qu’il « va de
194
e économie industrielle incapable de maîtriser la
pollution
et qui provoque la rupture de l’équilibre écologique de la planète ».
195
Évangile. » (p. 6) On ajouterait de nos jours nos
pollutions
et nos technologies fauteuses de famines. 7. G. Boas et A. Lovejoy,
196
le feu ne s’éteint jamais ». C’est le monde de la
pollution
, des déchets, de ce qui ne sert à rien mais qui empeste et contamine.
197
s droits démocratiques. Ni prévenir, ni guérir la
pollution
des lacs, des fleuves et des mers océanes. Ni venir en aide au tiers-
198
de milliers de vie ; — ni prévenir, ni guérir la
pollution
des lacs, des fleuves et des mers océanes ; — ni venir en aide au tie
199
nciation des grands ensembles ; mesures contre la
pollution
des eaux de table mais aussi des océans ; relations entre les taux de
200
a CEE propose un plan européen de lutte contre la
pollution
, tel gouvernement répond : d’accord, mais seulement dans une mesure c
201
’ils soient énergétiques ou écologiques, comme la
pollution
du Rhin par exemple, sociaux, comme le chômage (provoqué par le « pro
202
des millions de vie ; — ni prévenir, ni guérir la
pollution
des lacs, des fleuves et des mers océanes ; — ni venir en aide au tie
203
ontre la survie de l’humanité : armes nucléaires,
pollution
d’envergure mondiale des airs, des eaux (océans, mers, lacs, fleuves)
204
nciation des grands ensembles ; mesures contre la
pollution
des eaux de table, mais aussi des océans ; relations entre les taux d
205
a CEE propose un plan européen de lutte contre la
pollution
, tel gouvernement répond : d’accord, mais seulement dans une mesure c
206
es grandes centrales nationales ; lutte contre la
pollution
— lutte arrêtée par les frontières, qui ne laissent passer que la pol
207
par les frontières, qui ne laissent passer que la
pollution
elle-même — des airs, des eaux, des ondes et des tempêtes ; fiscalité
208
tière, est mortellement menacé par un ensemble de
pollutions
qui appellent un ensemble de mesures préventives et curatives ; mais
209
as plus compte de la frontière que ne le font les
pollutions
et les nuisances de toute espèce. Troisième exemple, qui concerne la
210
e, les sources d’énergie, les investissements, la
pollution
, l’agriculture, les services (hygiène et hôpitaux, enseignement aux t
211
et Mesarovic-Pestel (1974). Il est évident que la
pollution
du Léman dépend principalement des industries chimiques valaisannes,
212
alement des industries chimiques valaisannes, des
pollutions
urbaines de la rive nord, des affluents savoyards, non épurés (pour n
213
tion, danger virtuel). L’influence négative de la
pollution
sur le tourisme, positive de l’enseignement sur les services, contrad
214
ontradictoire de la production d’énergie et de la
pollution
, ne pourront être évaluées et mesurées qu’au terme d’une collecte d’i
215
al, continental, voire dans certains cas mondial (
pollution
des mers, atteintes à la couche d’ozone, matières premières en voie d
216
ucléaire, au sujet des moyens de lutter contre la
pollution
d’un lac ou d’un fleuve, au sujet des transports en commun transfront
217
droits démocratiques ; — ni prévenir ou guérir la
pollution
des lacs, des fleuves et des mers océanes ; — ni venir en aide au tie
218
non renouvelables, l’accroissement alarmant de la
pollution
par les activités industrielles, l’application sans scrupules de tout
219
é à la « mode » du bétonnage des campagnes, de la
pollution
de l’air, des sols, des eaux et des océans par la production, le tran
220
rivières et fleuves sont gravement menacés par la
pollution
industrielle : le Rhin, « poubelle de l’Europe », déverse dans la mer
221
quises Dans la très grande majorité des cas de
pollution
ou de gaspillage, les remèdes ou les moyens de prévention sont connus
222
e. Résistance des industries. — La réduction des
pollutions
augmente les coûts et les délais de production. La politique des gran
223
s, à exporter dirigeants et machines, licences et
pollutions
dans des pays où la réglementation est moins sévère, voire inexistant
224
est le même, à ceci près qu’au lieu d’exporter la
pollution
, l’État, qui ne peut plus la nier, prend à sa charge les indemnisatio
225
Ce qui revient à faire supporter les frais de la
pollution
par ses victimes réelles ou potentielles, c’est-à-dire les contribuab
226
lière, continentale ou planétaire) aux menaces de
pollution
les plus courantes22 ou les plus dramatiques23 risquerait de porter u
227
ures préventives contre les effets chroniques des
pollutions
de tous ordres, ou du refus officiel de coopérer sur le plan internat
228
rmettant seuls d’entreprendre la lutte contre les
pollutions
« justifiées » par des calculs de profit local ou « autorisées » par
229
avec efficacité les mesures écologiques contre la
pollution
des eaux (nappes phréatiques, lacs, rivières), pour la production d’é
230
ailleurs d’appliquer quand on crée des menaces de
pollution
contre un pays voisin. La morale (et l’utilité pour le plus grand nom
231
ts alimentaires exportés-importés ; et toutes les
pollutions
que les frontières n’arrêtent pas. 23. « Excursions » dans les centr
232
rès semblables, aux fins immédiates de réduire la
pollution
de l’atmosphère et du fleuve, d’améliorer les transports publics et l
233
t que personne à haute voix ne se déclare pour la
pollution
; n’ose dire, même s’il le pense, qu’il est indifférent aux risques d
234
e à marche forcée avec ses rythmes inhumains, ses
pollutions
et ses centrales nucléaires. Avant la fin du siècle, l’Iran devait de
235
rtuellement anéantissant : explosions nucléaires,
pollutions
irréversibles des lacs, rivières et océans, et destruction des forêts
236
rtuellement anéantissant : explosions nucléaires,
pollutions
irréversibles des lacs, rivières et océans, et destruction des forêts
237
ités par une frontière d’État qui n’arrête ni les
pollutions
, ni les microbes, ni les terroristes, ni les capitaux en fuite, mais
238
udrait arrêter : les épidémies, les maladies, les
pollutions
… On en trouve un exemple frappant avec la frontière autour de Genève.
239
e climat, le même lac avec les mêmes problèmes de
pollution
. Et ce lac est en train d’en crever. Mais cela, c’est ma femme qui s’
240
pulation, ressources naturelles, investissements,
pollution
et qualité de la vie, et de prévoir les effets globaux des variations
241
uerre qui résume toutes les menaces et qui est la
pollution
majeure de la terre. J’entends la guerre nucléaire. Aujourd’hui, il n
242
mondial. Le problème des mers, des océans, de la
pollution
des océans, qui rejoint par son danger le problème des forêts, puisqu
243
droits démocratiques ; — ni prévenir ou guérir la
pollution
des lacs, des fleuves et des mers océanes ; — ni venir en aide au tie
244
evrait l’être : les tempêtes et les épidémies, la
pollution
de l’air et des fleuves, les attaques aériennes, les ondes de la prop
245
er les échanges de tous ordres, pour alimenter la
pollution
aux frontières, la course aux armements, pour freiner l’union europée
246
la finalité est le profit, alors tant pis pour la
pollution
, le bruit, les fumées, les radiations, les névroses collectives… Cela
247
s vitaux que posent l’épuisement de l’oxygène, la
pollution
des océans, les barrages fluviaux, s’ajoute celui des villes nées de
248
ation des ressources naturelles, et donc aussi la
pollution
du globe, par 200, ce qui est matériellement impossible. En effet, le
249
ela et savent que les douaniers n’arrêtent pas la
pollution
. Pour l’écologie, nos frontières nationales sont absurdes, n’existent