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s hommes se révolteront contre le joug atrocement
positiviste
des Maurras et des Mussolini, des Lénine et des Ford. Alors les homme
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e, vous êtes un pauvre utopiste, etc. Ce sont les
positivistes
qui parlent ainsi, ceux qui croient aux faits. Je leur réponds : 1° q
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e, vous êtes un pauvre utopiste, etc. Ce sont les
positivistes
qui parlent ainsi, ceux qui croient aux faits. Je leur réponds : 1° q
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ux d’un Frommel sur les écrivains qu’il appelle «
positivistes
» restent à peu près les seuls valables, à nos yeux, qui aient été ém
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e leurs inéluctables conséquences. » Du bourgeois
positiviste
au marxiste orthodoxe, on passe sans heurt ni saut, par une simple ac
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istes et marxistes sont insolubles sur le terrain
positiviste
où ils les placent. Elles ne prennent leur vrai sens que dans le plan
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se alors fièrement aux ils des sociologues et des
positivistes
. Cette opération magistrale porte un nom en politique. C’est le fasci
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’Esprit ne va-t-il pas « réaliser » un vieux rêve
positiviste
et donner corps à l’utopie d’un sanctuaire de la Pensée laïque ? Il f
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ès de ce volume, vaut-elle mieux que l’étroitesse
positiviste
, qui réduira tout cela au jeu des complexes freudiens ? Tout dépend d
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omte et de Taine il faut adjoindre, dans la série
positiviste
, un hérétique comme Ballanche qui estime que l’homme est né pour la s
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els ont succombé aux tentations de la scolastique
positiviste
, surtout en France, c’est à cause de la haine secrète qu’ils vouent à
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de plus innocemment idéaliste, de plus faussement
positiviste
, de plus bourgeois. Leur langage est devenu celui des instituteurs et
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d’erreurs séculaires. L’historisme universitaire,
positiviste
et surtout hégélo-marxiste, est en réalité une création antihistoriqu
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un nous, que l’on oppose aux ils des sociologues
positivistes
. Cette opération magistrale porte un nom en politique : c’est le fasc
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laquelle nous condamne à céder l’expérimentalisme
positiviste
). Un troisième exemple de tension et d’acte nous est fourni par l’hom
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omte et de Taine il faut adjoindre, dans la série
positiviste
, un hérétique comme Ballanche, qui estime que l’homme est né pour la
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els ont succombé aux tentations de la scolastique
positiviste
, surtout en France, c’est à cause de la haine secrète qu’ils vouent à
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de plus innocemment idéaliste, de plus faussement
positiviste
, de plus bourgeois. Leur langage est devenu celui des instituteurs et
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d’erreurs séculaires. L’historisme universitaire,
positiviste
et surtout hégélo-marxiste, est en réalité une création antihistoriqu
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un nous, que l’on oppose aux ils des sociologues
positivistes
. Cette opération magistrale porte un nom en politique : c’est le fasc
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lables dans notre langage plus ou moins naïvement
positiviste
. Que nous apprend une science de cet ordre sur le destin auquel étaie
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mystiques élémentaires après un siècle de science
positiviste
. Est-il vrai que la nuit et le rêve n’ont rien à révéler qui importe
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e obéissance à l’Éternel. Cependant que l’analyse
positiviste
pourra toujours attribuer à ces actes des déterminations purement hum
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mystiques élémentaires après un siècle de science
positiviste
. Est-il vrai que la nuit et le rêve n’aient rien à révéler qui impor
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le qui règne sur l’école primaire et ses routines
positivistes
. C’est à ces novateurs, anciens et modernes, que l’on doit attribuer
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tif », il fonde à son tour une secte, la religion
positiviste
, dont il sera le grand prêtre. Il fonde surtout, la sociologie modern
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s, et celle de Comte en particulier : Calendrier
positiviste
ou système général de commémoration publique, destiné surtout à la tr
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lables dans notre langage plus ou moins naïvement
positiviste
. Que nous apprend une science de cet ordre sur le destin auquel étaie
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le qui règne sur l’école primaire et ses routines
positivistes
. C’est à ces novateurs, anciens et modernes, que l’on doit attribuer
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ause d’erreur très générale chez les futurologues
positivistes
: la sous-estimation ou l’oblitération (systématique ou naïve) des fa