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rinces devraient)… se rapporter à l’arbitrage des
Potentats
et Seigneurs souverains : Ce faisant ils gaigneroient l’amitié de leu
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éroïsme, sût placer un petit peuple à la tête des
Potentats
. À la tête des puissances barbares est le Padisha ; l’Europe n’a poin
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re que l’œuvre d’un tout-puissant « fédérateur » (
potentat
ou État), n’est confirmée par rien dans notre histoire, et tout la ré
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qui fait l’opinion publique… le plus puissant des
potentats
… » Elle a changé en trois générations l’esprit de bien des peuples. «
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anger d’une dépendance trop exclusive de quelques
potentats
et dictateurs arabes, nos hommes d’État répondaient nerveusement : «
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pouvoir aux ouvriers, ne l’a donné en fait qu’aux
potentats
et bureaucrates du parti. Elle a retiré aux ouvriers jusqu’au droit d
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té dans l’histoire auparavant. Prenons les grands
potentats
mongols ou asiatiques, ou les grands potentats du Moyen Âge, on n’a p
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ds potentats mongols ou asiatiques, ou les grands
potentats
du Moyen Âge, on n’a pas l’impression qu’ils faisaient la politique à
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pas. Plus près de nous, si nous prenons un grand
potentat
comme Louis XIV, ce n’est certainement pas à coup de discours qu’il a