1 Anciens Musiciens du 7e Génie ; — les Blessés du Poumon  ; — la Fédération des Familles nombreuses. Cette dernière amicale d’«

2 pas une tolérance, mais une nécessité vitale. Le poumon n’a pas à « tolérer » le cœur ! Il doit être un vrai poumon, et dans

3 pas à « tolérer » le cœur ! Il doit être un vrai poumon , et dans cette mesure même, il aidera le cœur à être un bon cœur. Not

4 anciens musiciens du 7e Génie ; — les blessés du poumon  ; la Fédération des familles nombreuses. Cette dernière amicale d’« 

5 , à sa manière et selon son génie. Après tout, le poumon n’a pas à « tolérer » le cœur. Tout ce qu’on lui demande, c’est d’êtr

6 . Tout ce qu’on lui demande, c’est d’être un vrai poumon , d’être aussi poumon que possible, et dans cette mesure même, il aide

7 emande, c’est d’être un vrai poumon, d’être aussi poumon que possible, et dans cette mesure même, il aidera le cœur à être un

8 , à sa manière et selon son génie. Après tout, le poumon n’a pas à « tolérer » le cœur. Tout ce qu’on lui demande, c’est d’êtr

9 . Tout ce qu’on lui demande, c’est d’être un vrai poumon , d’être aussi poumon que possible, et, dans cette mesure même, il aid

10 emande, c’est d’être un vrai poumon, d’être aussi poumon que possible, et, dans cette mesure même, il aidera le cœur à être un

11 eul organe au détriment des autres. Le cœur ni le poumon ne vivraient isolés, et leur santé dépend d’une bonne circulation. En

12 l’époque : L’air de nos ateliers nous ronge les poumons , Et nous mourons les yeux tournés vers les campagnes39. Aujourd’hui,

13 l’époque : L’air de nos ateliers nous ronge les poumons , Et nous mourons les yeux tournés vers les campagnes.79 Aujourd’h

14 Qu’elle ait ses aises et qu’elle respire à pleins poumons dans cette ville de tous et pour tous, qui a le privilège de faire de

15 e à sa manière et selon son génie. Après tout, le poumon n’a pas à « tolérer » le cœur. Tout ce qu’on lui demande, c’est d’êtr

16 . Tout ce qu’on lui demande, c’est d’être un vrai poumon , d’être aussi poumon que possible, et, dans cette mesure même, il aid

17 emande, c’est d’être un vrai poumon, d’être aussi poumon que possible, et, dans cette mesure même, il aidera le cœur à être un

18 pas une tolérance, mais une nécessité vitale. Le poumon n’a pas à « tolérer » le cœur ! Il doit être un vrai poumon, et dans

19 pas à « tolérer » le cœur ! Il doit être un vrai poumon , et dans cette mesure même, il aidera le cœur à être un bon cœur. Not

20 e le fasciner vers moi tandis que je gonflais mes poumons . Soudain il me parut plus large, plus proche, bien mat, et immobile…

21 e le fasciner vers moi tandis que je gonflais mes poumons . Soudain il me parut plus large, plus proche, bien mat, et immobile…

22 es promenades au grand air et vous rafraîchir les poumons grâce à ce tonique des toniques : une atmosphère salubre ». En 1910,

23 u bureau, à l’usine. Elle devait « rafraîchir les poumons  », elle les pollue et cancérise. Elle devait permettre d’aller vite,

24 ème de gramme de plutonium inhalé jusque dans les poumons y produise un cancer mortel ? — Qu’en savez-vous ? Avez-vous essayé ?

25 es promenades au grand air et vous rafraîchir les poumons grâce à ce tonique des toniques : une atmosphère salubre. » Il invent

26 u bureau, à l’usine. Elle devait « rafraîchir les poumons  », elle les pollue et cancérise. Elle devait permettre d’aller vite,

27 pas une tolérance, mais une nécessité vitale. Le poumon n’a pas à « tolérer » le cœur ! Il doit être un vrai poumon, et dans

28 pas à « tolérer » le cœur ! Il doit être un vrai poumon , et dans cette mesure même, il aidera le cœur à être un bon cœur. Not