1 1928, Articles divers (1924–1930). Un soir à Vienne avec Gérard (24 mars 1928)
1 e-mains silencieux et mécaniques. Je reconnus des princes aux faces maigres qui ressemblaient terriblement à d’anciens Habsbour
2 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Louis II de Bavière ou Hamlet-Roi (décembre 1928)
2 de Pourtalès n’hésite pas à baptiser son héros «  prince de l’illusion et de la solitude ». Mais un prince rêveur n’est pas fo
3 prince de l’illusion et de la solitude ». Mais un prince rêveur n’est pas forcément prince du rêve ; et par ailleurs ce livre
4 tude ». Mais un prince rêveur n’est pas forcément prince du rêve ; et par ailleurs ce livre sait bien le laisser voir. La qual
3 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Daniel-Rops, Le Prince menteur (décembre 1928)
5 eur de ce récit se lie avec un inconnu qui se dit prince russe et entretient autour de sa vie le plus grand mystère. Cependant
6 late : menteur. Feintes et esquives adroites du «  prince  » qui disparaît, néanmoins. Enfin, le Français reçoit une lettre trou
4 1930, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Les soirées du Brambilla-club (mai 1930)
7 ante qui est une des plus belles du monde :   Un prince italien ayant commandé à Pergolèse un Stabat Mater, le musicien quitt
5 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
8 é. Mais je n’oublierai pas le sourire de ce vieux prince  : un vrai sourire, adressé personnellement à l’homme, — et le mot « a
6 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Querelles de famille, par Georges Duhamel (mai 1932)
9 forcée. Ses laborieuses exagérations (Message aux Princes des Prêtres) sont dépourvues du minimum de cynisme et de fantaisie qu
10 au cours de cette suite de messages adressés aux Princes des Prêtres, à MM. les Députés, au chef du gouvernement. L’on s’étonn
7 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Un soir à Vienne avec Gérard
11 e-mains silencieux et mécaniques. Je reconnus des princes aux faces maigres qui ressemblaient terriblement à d’anciens Habsbour
8 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
12 ins célèbres, des cantatrices et des acteurs, des princes et des femmes à mourir. Et c’est là que paraît son étrange impuissanc
9 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
13 é. Mais je n’oublierai pas le sourire de ce vieux prince  : un vrai sourire, adressé personnellement à l’homme, — et le mot « a
10 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
14 rties qu’elle tissait de ses mains, et voici onze princes qui se tiennent autour d’elle. « Elle est innocente ! » s’écrient-ils
11 1932, Le Paysan du Danube. Deuxième partie. La lenteur des choses — Appendice. Les Soirées du Brambilla-Club, (1930)
15 ivante qui est une des plus belles du monde : Un prince italien ayant commandé à Pergolèse un Stabat Mater, le musicien quitt
12 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
16 ins célèbres, des cantatrices et des acteurs, des princes et des femmes à mourir. Et c’est là que paraît son étrange impuissanc
13 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
17 é. Mais je n’oublierai pas le sourire de ce vieux prince  : un vrai sourire, adressé personnellement à l’homme, — et le mot « a
14 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
18 salon : « Une mésalliance ! » Il est vrai que les princes , burgraves et comtes zu Dohna-Schlobitten auf Waldburg touchaient enc
15 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
19 rties qu’elle tissait de ses mains, et voici onze princes qui se tiennent autour d’elle. « Elle est innocente ! » s’écrient-ils
16 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
20 kegaard à l’appui de sa thèse : « Kierkegaard, ce prince du paradoxe, comme l’appelle si joliment mon ami Monod. » Selon Nicod
17 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
21 la Croisade, aux milices de Loyola, poussant les princes à une autre croisade non moins sanglante, mais sans doute moins fécon
22 nster aux puritains capitalistes ; du Roi-Soleil, prince très chrétien, à Guillaume II et à son Gott mit uns ! ; des Espagnols
18 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
23 les visibles et dont le sens fût reconnu de tous, prince et sujets, clercs, soldats et marchands législateurs et pédagogues. A
19 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — I. Le problème de la culture
24 ste. Mais à l’une et à l’autre erreur, au fait du prince et au fait de l’esclave, j’opposerai le fait de l’homme. Voilà le sen
20 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — VII. Sur le déclin du Moyen Âge
25 t indispensable aux républiques aussi bien qu’aux princes et aux papes ; il fallait leur concours pour la rédaction des lettres
21 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — XIV. L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
26 les visibles et dont le sens fût reconnu de tous, prince et sujets, clercs, soldats et marchands, législateurs et pédagogues.
22 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — I. Le problème de la culture
27 ste. Mais à l’une et à l’autre erreur, au fait du prince et au fait de l’esclave, j’opposerai le fait de l’homme. Voilà le sen
23 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — VII. Sur le déclin du Moyen Âge
28 t indispensable aux républiques aussi bien qu’aux princes et aux papes ; il fallait leur concours pour la rédaction des lettres
24 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — XIV. L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
29 les visibles et dont le sens fût reconnu de tous, prince et sujets, clercs, soldats et marchands, législateurs et pédagogues.
25 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
30 ler sur le terrain politique, et, avec eux et les princes , écrasent dans le sang les révoltes du prolétariat. Celui-ci, de son
31 nds se firent rentiers, ou prêteurs. Et c’est aux princes qu’ils firent les avances nécessaires aux dépenses de la cour et de l
32 saires aux dépenses de la cour et de l’armée. Les princes et rois deviennent ainsi les nouveaux centres de développement du cap
33 ivent à l’abri des contraintes municipales67. Les princes interviennent donc dans la vie économique, en luttant contre le prote
34 ques). Gens d’affaires et financiers poussent les princes à créer par superpositions et infiltrations des économies centralisée
26 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
35 ieu » fruste et biblique.) Il n’est pas jusqu’aux princes des contrées voisines qui ne délèguent auprès du Frère Claus des envo
27 1939, Articles divers (1938-1940). Le protestantisme créateur de personnes (1939)
36 centralisatrice, tant chez les papes que chez les princes . Et partout, les chefs protestants quand ils le purent, proposèrent a
28 1939, L’Amour et l’Occident. Livre II. Les origines religieuses du mythe
37 rolingiens, ses doctrines devinrent l’apanage des princes et des classes dominantes, qui les imposèrent par la force à tous les
29 1939, L’Amour et l’Occident. Livre IV. Le mythe dans la littérature
38 servir désormais, oblige Racine à rendre le jeune prince insensible à l’amour de Phèdre. Il déclare donc cet amour incestueux,
39 rfection : ce qui faisait que la mort de ce jeune prince causait beaucoup plus d’indignation que de pitié. J’ai cru lui devoir
30 1939, L’Amour et l’Occident. Livre V. Amour et guerre
40 ais dont l’empire ne cessera de s’exercer sur les princes jusqu’au xve siècle, en dépit des transformations de tous ordres sur
41 eau lustre de la magnificence de plusieurs de ses Princes , de la beauté d’un grand nombre de villes célèbres et de la majesté d
42 les condottieri. Soldats de métier au service des Princes et des papes, ils avaient pour coutume bien moins de faire la guerre
43 e une panique de fin du monde. « Le passage de ce prince en Italie, dit Guichardin, fut la source d’une infinité de maux et de
44 lie du peuple, presque toujours sujets d’un autre prince que celui pour lequel ils faisaient la guerre », et n’étaient donc an
31 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
45 ur la tête de ce cortège ! Ces beaux seigneurs et princes de l’Église s’entendent comme larrons en foire avec ceux qui nous ont
46 tre union, et la fin de nos libertés ! (Violent.) Princes de l’Église, je vous en conjure, n’abandonnez jamais le pauvre pour l
47 ore, et c’est avec les piques des Suisses que vos princes ont dessein de l’abattre ! À nous la guerre, à vous la gloire, c’est
32 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre II. Les origines religieuses du mythe
48 rolingiens, ses doctrines devinrent l’apanage des princes et des classes dominantes, qui les imposèrent par la force à tous les
49 de l’évolution spirituelle qui conduit Josaphat, prince indien, à découvrir et adopter le christianisme, dont les mystères lu
33 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
50 servir désormais, oblige Racine à rendre le jeune prince insensible à l’amour de Phèdre. Il déclare donc cet amour incestueux,
51 rfection : ce qui faisait que la mort de ce jeune prince causait beaucoup plus d’indignation que de pitié. J’ai cru lui devoir
34 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre V. Amour et guerre
52 ais dont l’empire ne cessera de s’exercer sur les princes jusqu’au xve siècle, en dépit des transformations de tous ordres sur
53 eau lustre de la magnificence de plusieurs de ses Princes , de la beauté d’un grand nombre de villes célèbres et de la majesté d
54 les condottieri. Soldats de métier au service des Princes et des papes, ils avaient pour coutume bien moins de faire la guerre
55 e une panique de fin du monde. « Le passage de ce prince en Italie, dit Guichardin, fut la source d’une infinité de maux et de
56 lie du peuple, presque toujours sujets d’un autre prince que celui pour lequel ils faisaient la guerre », et n’étaient donc an
35 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre II. Les origines religieuses du mythe
57 rolingiens, ses doctrines devinrent l’apanage des princes et des classes dominantes, qui les imposèrent par la force à tous les
58 de l’évolution spirituelle qui conduit Josaphat, prince indien, à découvrir et adopter le christianisme, dont les mystères lu
36 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre IV. Le mythe dans la littérature
59 servir désormais, oblige Racine à rendre le jeune prince insensible à l’amour de Phèdre. Il déclare donc cet amour incestueux,
60 rfection : ce qui faisait que la mort de ce jeune prince causait beaucoup plus d’indignation que de pitié. J’ai cru lui devoir
37 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre V. Amour et guerre
61 ais dont l’empire ne cessera de s’exercer sur les princes jusqu’au xve siècle, en dépit des transformations de tous ordres sur
62 eau lustre de la magnificence de plusieurs de ses Princes , de la beauté d’un grand nombre de villes célèbres et de la majesté d
63 les condottieri. Soldats de métier au service des Princes et des papes, ils avaient pour coutume bien moins de faire la guerre
64 e une panique de fin du monde. « Le passage de ce prince en Italie, dit Guichardin, fut la source d’une infinité de maux et de
65 lie du peuple, presque toujours sujets d’un autre prince que celui pour lequel ils faisaient la guerre », et n’étaient donc an
38 1940, Mission ou démission de la Suisse. Le protestantisme créateur de personnes
66 centralisatrice, tant chez les papes que chez les princes . Et partout, les chefs protestants quand ils le purent, proposèrent a
39 1940, Mission ou démission de la Suisse. Esquisses d’une politique fédéraliste
67 siècle, de garder libres pour les peuples et les princes les cols du centre de l’Europe. Mission pratique, devenue symbolique.
40 1940, Politique de la personne (1946). Ve partie. À la fois libre et engagé — Le protestantisme créateur de personnes
68 centralisatrice, tant chez les papes que chez les princes . Et partout, les chefs protestants quand ils le purent, proposèrent a
41 1941, Tapuscrits divers (1936-1947). Le fédéralisme : un fait et une volonté (1941)
69 siècle, de garder libres pour les peuples et les princes les cols du centre de l’Europe. Mission pratique, devenue symbolique.
42 1942, Tapuscrits divers (1936-1947). La grande « stratégie religieuse » de cette guerre (avril-mai 1942)
70 te tentation de se confondre avec le pouvoir d’un prince ou d’une République. Cette organisation synodale de l’Église et cette
71 t se mettre sous la protection compromettante des princes . La réforme religieuse s’effectua en Suède dans le cadre des institut
43 1942, La Part du diable. Troisième partie. Le diable démocrate
72 trahissent l’œuvre du démon : l’esprit tombé, le prince de l’ici-bas, le tentateur, l’accusateur et le menteur. Il reste à dé
44 1942, La Part du diable (1944). Première partie. L’Incognito et la Révélation
73 mentie depuis, que le règne du diable comprend 72 Princes et 7 405 926 diables, divisés en 1111 légions de 6666 suppôts chacune
45 1942, La Part du diable (1944). Troisième partie. Le diable démocrate
74 aspects classiques du démon : l’esprit tombé, le prince de l’ici-bas, le tentateur, l’accusateur et le menteur. Il reste à dé
46 1942, La Part du diable (1982). Première partie. L’Incognito et la révélation
75 mentie depuis, que le règne du diable comprend 72 princes et 7 405 926 diables, divisés en 1111 légions de 6666 suppôts chacune
47 1942, La Part du diable (1982). Troisième partie. Le diable démocrate
76 aspects classiques du démon : l’esprit tombé, le prince de l’ici-bas, le tentateur, l’accusateur et le menteur. Il reste à dé
48 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
77 siècle, le tarot n’est guère connu que chez les princes et chez les gipsys, tout en haut de l’échelle sociale et tout en bas,
78 in d’intelligence, de rêve et d’attente. C’est un prince de l’autre monde en voyage ici-bas. Sous cet aspect, il est la consci
49 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
79 rets, des milliardaires plus ou moins aryens, des princes déchus, des journalistes compromis, des ingénieurs imperturbables et
50 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — II. Châteaux en Prusse
80 salon : « Une mésalliance ! » Il est vrai que les princes , burgraves et comtes zu Dohna-Schlobitten auf Waldburg touchaient enc
51 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — III. Une « tasse de thé » au palais c…
81 ins célèbres, des cantatrices et des acteurs, des princes et des femmes à mourir. Et c’est là que paraît son étrange impuissanc
52 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — IV. Voyage en Hongrie
82 é. Mais je n’oublierai pas le sourire de ce vieux prince  : un vrai sourire, adressé personnellement à l’homme, — et le mot « a
53 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — VII. Petit journal de Souabe
83 rties qu’elle tissait de ses mains, et voici onze princes qui se tiennent autour d’elle. « Elle est innocente ! » s’écrient-ils
54 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
84 rets, des milliardaires plus ou moins aryens, des princes déchus, des journalistes compromis, des ingénieurs imperturbables et
55 1947, Articles divers (1946-1948). Les maladies de l’Europe (1947)
85 e tantôt de la rapacité de telle nation ou de tel prince , tantôt d’idéaux contagieux ; enfin par ses machines et par ses capit
56 1947, Articles divers (1946-1948). Drôle de paix (7 juin 1947)
86 rté ? Aux Indes les musulmans, les hindous et les princes ne s’accordent que sur un point, qui est de refuser les plans de retr
57 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
87 e tantôt de la rapacité de telle nation ou de tel prince , tantôt d’idéaux contagieux ; enfin par ses machines et par ses capit
58 1950, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — La guerre impossible (20 février 1950)
88 ait des nations, représentées par des rois ou des princes , qui décidaient de prendre un morceau de la nation voisine, ou de lui
59 1950, Articles divers (1948-1950). Saint-John Perse et l’Amérique (1950)
89 lorsqu’elle parut, constitua pour nous le fait du prince , toute référence superflue, et depuis lors, nous n’avons rien appris,
90 résence aux crépuscules spirituels ; l’un se veut prince , et l’autre moine-mendiant. Risquons à ce propos une hypothèse critiq
60 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
91 pas chamarrés de robes et surplis à l’instar des princes ou des rois, et comme le sont nos dignitaires ecclésiastiques, toujou
92 nature intime plutôt que de ses idées, a fait un prince . Que ce pandit soit devenu Premier ministre, il s’agit là d’un capric
61 1952, Articles divers (1951-1956). Les foyers de culture et l’Europe (octobre 1952)
93 ise, qui servaient de règles aux hommes publics : princes , magistrats, légistes. À un stade nouveau, l’éducation du peuple étai
62 1952, Journal de Genève, articles (1926–1982). Au pays du Patriarche (29-30 novembre 1952)
94 inventée. Voltaire n’écrivait plus une lettre aux princes intellectuels et temporels de l’Europe sans y ajouter un prospectus v
63 1953, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). À propos de la crise de l’Unesco (décembre-janvier 1953)
95 des de la culture organisée Il y eut jadis des princes et dictateurs mécènes. Il y eut Laurent le Magnifique. Temps bien pas
64 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
96 Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)j La carrière de Søre
97 attarder sur la coïncidence qui fait d’Hamlet un prince danois — et l’on peut rêver là-dessus — rappelons d’abord les traits
98 héros, l’un fictif et l’autre réel. Hamlet, jeune prince royal, est un intellectuel. Il n’a d’autre désir que de retourner à l
99 gaard lui-même s’est décrit. Lui aussi se sent un prince . « Il y a quelque chose de royal dans mon être », fait-il dire à l’un
100 re dans son premier ouvrage, L’Alternative : deux princes vraiment, deux êtres d’exception, pleins de hardiesse et de fierté, m
101 ougemont Denis de, « Kierkegaard et Hamlet : deux princes danois », Preuves, Paris, février 1953, p. 3-11.
65 1953, Preuves, articles (1951–1968). À propos de la crise de l’Unesco (mars 1953)
102 des de la culture organisée Il y eut jadis des princes et dictateurs mécènes. Il y eut Laurent le Magnifique. Temps bien pas
66 1953, La Confédération helvétique. Chapitre I. Le peuple et son histoire
103 mme de Dieu », bientôt suivis par les envoyés des princes , des rois, du pape lui-même, car son conseil est devenu si puissant p
104 bsbourg qui s’était emparée de l’Empire. Mais les princes luthériens se montrèrent froids. À Zurich même, une opposition croiss
105 dont ils allaient ensuite offrir les services aux princes étrangers. Il ne s’agissait pas de mercenaires. Les nobles qui posséd
106 d’Espagne, des états généraux de Hollande et des princes d’Orange, du royaume de Naples et des Deux-Siciles, des empereurs d’A
107 Suisse. » Il est en partie calomnieux3. Comme un prince français disait un jour au Maréchal de camp des Suisses, qui voulait
67 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Le rôle de la recherche en Europe (décembre 1954-janvier 1955)
108 t créé des ordres stables. Leurs prêtres et leurs princes avaient réponse à tout. Et de même aujourd’hui, la Russie soviétique
68 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
109 les christianise lentement. Rurik, Oleg et Igor, princes semi-légendaires de Novgorod puis de Kiev, ne sont en fait pas plus s
69 1956, Articles divers (1951-1956). Tableau du phénomène courtois (janvier 1956)
110 de l’évolution spirituelle qui conduit Josaphat, prince indien, à découvrir et adopter le christianisme, dont les mystères lu
70 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
111 comte que les siens lui obéissaient mieux qu’aux princes chrétiens leurs sujets : il leva le bras, et deux des gardes se jetèr
71 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Chapitre I. Où les voies se séparent
112 comte que les siens lui obéissaient mieux qu’aux princes chrétiens leurs sujets : il leva le bras, et deux des gardes se jetèr
72 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre VI. L’expérience de l’espace
113 ravagantes, c’était tout ce que Colón offrait aux princes d’Europe ; et les rois catholiques de Castille-Aragon furent enfin co
114 royait assez proches à l’Ouest, de convertir leur prince , qu’il croyait être le Grand Khan, et de rapporter assez d’or pour pa
73 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — Chapitre IX. Les ambivalences du progrès
115 t créé des ordres stables. Leurs prêtres et leurs princes avaient réponse à tout. Et de même aujourd’hui, la Russie soviétique
74 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Chapitre X. Le drame occidental
116 du collectivisme orthodoxe, et de la doctrine des princes luthériens, cuius regio eius religio. Mais simultanément, nous voyons
75 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Troisième partie. Où allons-nous ? — Chapitre XI. Où l’Aventure et la Voie se rejoignent
117 pes de Rome et d’Avignon, par l’intermédiaire des princes nestoriens d’Asie et des moines franciscains, n’ont abouti qu’à des é
76 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur Voltaire (février 1957)
118 inventée. Voltaire n’écrivait plus une lettre aux princes intellectuels et temporels de l’Europe sans y ajouter un prospectus v
77 1958, Preuves, articles (1951–1968). Sur le vocabulaire politique des Français (novembre 1958)
119 tembre, nous montrait « au milieu de la place, le prince  ; autour de lui, le chœur des élus ; puis, derrière les barricades et
78 1958, Définition, valeurs, énergie, recherche : quatre essais européens (1958). Pour une politique de la recherche
120 as posé par la disparition, que l’on allègue, des princes capables de dépense. Car il existe parmi nous autant ou plus de grand
79 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VII. De la géographie à l’histoire
121 Landibert écrit : En ce temps-là, Pépin était le prince de nombreuses régions et cités d’Europe. (Il orthographie Eoruppa.)
80 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. VIII. « Europa vel regnum Caroli »
122 et impérial tout à la fois, une confédération de princes occidentaux se dessine vaguement dans l’ombre des intrigues pré-natio
123 éternité augmente ton empire.) Lorsque mourut le prince qui allait devenir saint Henri II, un chant funèbre, rimé par un poèt
81 1959, Preuves, articles (1951–1968). Rudolf Kassner et la grandeur (juin 1959)
124 ée dans mon essai sur Kierkegaard et Hamlet, deux princes danois, paru dans Preuves et Der Monat peu de mois avant. 87. Il se
82 1960, Arts, articles (1952-1965). Remise en question par l’Afrique et l’Asie, la civilisation occidentale n’a pas encore de successeur (21 septembre 1960)
125 t créé des ordres stables. Leurs prêtres et leurs princes avaient réponse à tout. Nous, au contraire, en Occident, et en Europe
83 1960, Articles divers (1957-1962). Une fusée à trois étages : bref historique de la Fondation (octobre 1960)
126 ouverneurs, le 11 mai 1955, à Genève, S. A. R. le prince Bernhard des Pays-Bas voulut bien accepter la présidence de la Fondat
84 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Deux princes danois. Kierkegaard et Hamlet
127 Deux princes danois Kierkegaard et Hamlet La carrière de Søren Kierkegaard s’est
128 attarder sur la coïncidence qui fait d’Hamlet un prince danois — et l’on peut rêver là-dessus — rappelons d’abord les traits
129 héros, l’un fictif et l’autre réel. Hamlet, jeune prince royal, est un intellectuel. Il n’a d’autre désir que de retourner à l
130 gaard lui-même s’est décrit. Lui aussi se sent un prince . « Il y a quelque chose de royal dans mon être », fait-il dire à l’un
131 re dans son premier ouvrage, L’Alternative : deux princes vraiment, deux êtres d’exception, pleins de hardiesse et de fierté, m
85 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — Rudolf Kassner et la grandeur humaine
132 ée dans mon essai sur Kierkegaard et Hamlet, deux princes danois, publié en revue peu de mois auparavant. (Voir plus haut, p. 8
86 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Première partie. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
133 Landibert écrit : En ce temps-là, Pépin était le prince de nombreuses régions et cités d’Europe. (Il orthographie Eoruppa.)
134 et impérial tout à la fois, une confédération de princes occidentaux se dessine vaguement dans l’ombre des intrigues pré-natio
135 éternité augmente ton empire.) Lorsque mourut ce prince qui allait devenir saint Henri II, un chant funèbre, rimé par un poèt
87 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 1. Sur plusieurs siècles de silence « européen »
136 . Mais pourquoi les premiers appels à l’union des princes de l’Europe n’ont-ils été lancés — en vain d’ailleurs — qu’au début d
88 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 2. Premiers plans d’union
137 du mouvement des choses et de la juridiction des princes et des peuples. L’empereur reçoit de lui son autorité temporelle, com
138 elle nous renvoie. De lui viennent l’autorité (un prince païen ne saurait être qu’un « brigand »), le droit de propriété et de
139 nce de la Monarchie ou de l’Empire.58 Entre deux princes , dont l’un n’est nullement soumis à l’autre, peut s’élever un litige,
140 n’ayant sur son égal aucun pouvoir), un troisième prince doit exister, d’une juridiction plus ample, et qui tienne les deux pr
141 ne juridiction plus ample, et qui tienne les deux princes précédents sous son pouvoir. Ce prince sera le monarque…59 Remarquon
142 les deux princes précédents sous son pouvoir. Ce prince sera le monarque…59 Remarquons que cette phrase : le genre humain pe
143 ne ville quelconque doivent émaner directement du prince suprême ; souvent en effet les lois municipales sont défectueuses, et
144 a paix par une seule loi. Cette règle ou loi, les princes particuliers doivent la recevoir du monarque ; ainsi l’intellect prat
145 spirituelles, il peut et il doit y avoir un seul prince qui, quant au spirituel, gouvernerait et dirigerait de l’est à l’oues
146 ojet détaillé d’arbitrage international entre les princes , qu’il admet d’ailleurs « souverains », ce qui ne facilite rien … Ma
147 qui ne facilite rien … Mais si ces cités et ces princes nombreux, ne reconnaissant pas de supérieurs au monde qui exercent la
148 al pour être le juge suprême dans les litiges des princes superioris in terris non recognoscentes. Cependant les sanctions eccl
149 de son raisonnement est l’existence de l’État, du prince souverain, rex qui non recognoscit superiorem in terris… Or, l’affirm
150 ’hérétique, il a besoin de l’appui du pape et des princes de la chrétienté. « C’est probablement pendant l’année même de son av
151 C’est encore Antoine qui a présenté le projet aux princes étrangers au nom du roi de Bohême ; il est allé à Venise, il s’est ad
152 t, avec les conseils et l’accord des prélats, des princes , des grands, des nobles et de nos docteurs en droit divin et humain,
153 nne et tous les fidèles opprimés contre l’immonde prince des Turcs en évaluant et déclarant proportionnellement les forces et
154 it le père et la tête, et que nous autres rois et princes de la chrétienté en soyons les membres ; que ledit Collège ait aussi
155 que nous, roi de France, avec les autres rois et princes de la Gaule, ayons une voix dans l’Assemblée elle-même, nous, rois et
156 ne voix dans l’Assemblée elle-même, nous, rois et princes de Germanie, une autre, et nous, doge de Venise, avec les princes et
157 nie, une autre, et nous, doge de Venise, avec les princes et communes d’Italie, une troisième ; mais que si le roi de Castille
158 ais que si le roi de Castille ou d’autres rois et princes d’Espagne se joignaient à notre union, amitié et fraternité, ils aien
159 ège ; mais si, entre les ambassadeurs des rois et princes d’une seule et même nation, des votes contraires sont donnés et émis
160 du projet : par une ruse cousue de fil blanc, les princes décident de s’adresser au pape pour le charger de veiller à ce que le
161 fit. À Ancône, où il avait donné rendez-vous aux princes chrétiens, en 1464 — l’année même où Podiebrad avait proposé de réuni
162 tions. Chaque cité a son roi, chaque maison a son prince .74 55. Lorsque Dante se fait l’avocat d’un Empire qui réaliserai
163 té est adressée en forme de circulaire à tous les princes de la chrétienté, Édouard d’abord ; tandis qu’une lettre à Philippe l
89 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 3. Le problème de la guerre et l’essor des États (xvie siècle)
164 grâce plus grande que celle de faire de ces deux princes (Charles V et François Ier) des frères dans leur volonté comme ils le
165 moins encore de l’empereur. Que Dieu pardonne aux princes ou à leurs opposants ; mais il ne leur pardonnera pas les guerres ; e
166 es ; elles ne sont pas inventées pour le bien des princes mais pour le bien des peuples ; et les choses étant ainsi, veuillez v
167 toutes les nations existantes. C’est pourquoi les princes ont recours aux armes et aux traités. Nous voici donc ramenés à la s
168 Jean Bodin dans sa République : La grandeur d’un prince , à en bien parler, n’est autre chose que la ruine, ou diminution de s
169 de la souveraineté sans limites que s’arrogent un prince ou une république. En regard de ce texte d’un ton machiavélien, citon
170 appeler pour quels motifs honteux ou frivoles les princes chrétiens font prendre les armes aux peuples. L’un a prouvé ou simulé
171 nné, comme s’il importait beaucoup que tel ou tel prince gouvernât l’État, pourvu que les intérêts publics fussent bien admini
172 ; et, le comble de l’infamie, c’est qu’il y a des princes qui, sentant leur autorité faiblir par suite d’une paix trop longue e
173 t en secret, de façon diabolique, avec les autres princes qui, lorsque le prétexte est trouvé, provoquent la guerre, afin de to
174 tre les « causes de guerre », alléguées par les «  princes  » ? Mais comment ne pas voir, en même temps, qu’en se faisant l’avoca
175 ntières et d’une sorte de « nationalisation » des princes , de même qu’en proposant que la guerre ne soit faite « qu’avec le con
176 rait la meilleure des choses, s’il se trouvait un prince semblable à Dieu ; cependant, les mœurs des hommes étant ce qu’elles
177 voqué une rupture de l’« unité des peuples et des princes  » dans « une Europe autrefois toute catholique » (Discorsi, IV). Il e
90 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 4. « Têtes de Turcs »
178 sade, levier traditionnel, cause bien vue par les princes . Ainsi l’humaniste espagnol Jean-Louis Vives (né à Valence en 1492, m
179 ier l’Europe, il suffirait de convaincre quelques princes et leurs conseillers. À cette fin, il écrit au pape : Ce qu’on atten
180 d’abord de toi, c’est de faire la paix entre les princes … Dis que la guerre entre chrétiens est criminelle ; blâme-la absolume
181 ’Europe, notamment celle qui s’enflamma entre les princes de Constantinople, a livré l’Asie aux mains des Turcs ; elle leur a o
182 de La Noue, dit Bras-de-Fer (1531-1591) : Que les princes chrestiens estans bien unis ensemble, peuvent en quatre ans chasser l
183 rope. La Noue propose une confédération entre les princes chrétiens réunis à Augsbourg sous la présidence de l’empereur : Ayan
184 nnons au monde entier, s’il est possible, un seul prince … meilleure image du Dieu unique d’où procède l’ordre du monde. Un te
91 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 5. Les grands desseins du xviie siècle
185 en eut pas moins le cœur de s’adresser à tous les princes d’Europe, dans l’envoi de son grand traité, qui parut à Paris en 1623
186 é du commerce par tout le monde. Aux monarques et princes souverains de ce temps. Ses 249 grandes pages ne comportent pas de di
187 ourchasse qu’à demy. Quelques uns y exhortent les princes chrestiens, afin que par leur union ils se fortifient contre leur enn
188 yen Âge : Auparavant que de venir aux armes (les princes devraient)… se rapporter à l’arbitrage des Potentats et Seigneurs sou
189 t se soubsmettre au jugement d’un tiers. Or si un prince recevoit un juge qui voulust impérieusement s’ingérer de vuider les d
190 r ce qu’il est comme neutre et indifferent à tous princes  : joinct aussi qu’il est proche des plus signalées Monarchies de la t
191 doivent pas estre aux derniers rangs, tous braves princes , qui se maintiennent d’eux-mesmes et ne dependent de personne… Et pou
192 nie, il encourrait la disgrace de tous les autres princes , qui auraient beau moyen de le faire venir à la raison. Dès la premi
193 t d’autres mesures : … il est necessaire que les princes d’un commun consentement réduisent les monnoyes à un mesme pied, afin
194 ommencer cest affaire, il faudroit qu’un puissant prince exhortast tous les autres à suivre le règlement susdict, afin que les
195 evoir de moyenner une concorde générale entre les princes chrestiens. Et pour le regard des Mahometans, qui font une notable pa
196 l’empereur, le roi d’Espagne, les archiducs, les princes ecclésiastiques d’Allemagne, et tous autres grands et communautés cat
197 e par la diminution de ma faveur (comme celle des princes est sujette à varier) ou par de trop continuelles sollicitations, il
198 ays-Bas ; associer à icelle tous les autres rois, princes , et surtout ceux de Danemark et de Suède, États, républiques, villes
199 sir de porter couronne royale, les plus puissants princes catholiques d’Allemagne, pour l’espérance d’arracher la couronne impé
200 d’alliance protestante — nonobstant l’adhésion de princes catholiques et même du pape. Nous en donnerons ici l’exposé magistral
201 c’est selon la justice que le roi régnera, et les princes gouverneront avec équité (Is. 32, 1). L’Essay de William Penn
202 llons citer, introduit un projet de fédération de princes , qui rappelle celui de Crucé, encore qu’il se réclame d’Henri IV (c’e
203 qui concerne les suffrages à donner à chacun des princes et États, en raison de leur inégalité. Mais je ne pense pas que ces d
204 ement et au conseil de l’intérieur, aux cours des princes et à la Diète générale à l’extérieur. Au moins il sera un bon citoyen
205 mains. J’en arrive à la dernière objection : les princes et les États perdront leur souveraineté, ce qu’ils n’admettront jamai
206 ième bienfait est l’économie de l’argent pour les princes comme pour les peuples. Par ce moyen sont dissipés les malentendus qu
207 péenne que l’on propose, peut procurer à tous les princes chrétiens sûreté suffisante de la perpétuité de la Paix au-dedans &am
208 nne, que l’on propose, pourra procurer à tous les princes chrétiens sûreté suffisante de la perpétuité de la paix au-dedans &am
209 pour donner un prompt & suffisant secours aux princes dans les Monarchies, & aux Magistrats dans les Républiques, contr
210 ires de Henry le Grand, l’Exemplaire des roys, le prince des Vertus, des Armes et des Loix, et le Père en effet de ses Peuples
92 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Deuxième partie. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — 6. En marge des grands plans, l’utopie prolifère
211 onne, exercerait un arbitrage permanent entre les princes . On en revient donc aux plans de l’abbé. En Allemagne c’est le Dr Eob
212 ain et de la maîtrise de soi, aussi bien chez les princes que chez les peuples »105. Dans un manuscrit retrouvé à Nancy, et dat
93 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Troisième partie. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — 1. Perspectives élargies
213 philosophe, diplomate, théologien, conseiller des princes , voyageur et correspondant universel. Deux passions maîtresses : tout
214 Fursterinus, dans lequel il prend la défense des princes du Saint-Empire et de leur autonomie. Il rappelle qu’au Moyen Âge la
215 ne doit pas être contestée, mais défendue par nos princes … Si on agit donc conformément au droit, l’empereur doit être investi,
216 ts et que l’on y fait régner la justice entre les princes , de même nous savons que l’Église universelle tranche les différends
217 lise universelle tranche les différends entre les princes , convoque les princes à des conciles, a réglé la préséance lors de ce
218 he les différends entre les princes, convoque les princes à des conciles, a réglé la préséance lors de ces conciles et que ceux
219 fet il faisoit autrefois figure de juge entre les princes chrétiens. Mais il faudroit en même temps que les ecclésiastiques rep
220 udroit qu’un autre Henri IV, avec quelques grands princes de son tems, goûtât votre Projet. Le mal est qu’il est difficile de l
221 ’il est difficile de le faire entendre aux grands princes . Il n’y a point de Ministre maintenant qui voudrait proposer à l’empe
222 ds du Nord, nous rencontrons le tsar de Moscovie, prince chrétien sans doute mais qui commande à des hommes d’une grande pares
94 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Troisième partie. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — 2. L’Europe des lumières
223 nstruis des secrets du commerce, des intérêts des princes , de la forme de leur gouvernement ; je ne néglige pas même les supers
224 thode. Sur l’interdépendance de nos nations : Un prince croit qu’il sera plus grand par la ruine d’un état voisin. Au contrai
225 une chimère qui ne subsistera pas plus entre les princes qu’entre les éléphants et les rhinocéros, entre les loups et les chie
226 la prééminence et de quelques droits de certains princes , comme de l’empereur, des rois et des autres moindres potents et qu’e
227 es critiques plus sévères. Pour l’abbé, c’est aux princes souverains qu’il appartient de convoquer le Congrès européen. Pour Ro
228 Sans cesse abusés par l’apparence des choses, les princes rejetteraient donc cette paix, quand ils pèseraient leurs intérêts eu
229 és à ceux du peuple et presque toujours à ceux du prince  ? Les ministres ont besoin de la guerre pour se rendre nécessaires… E
95 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Troisième partie. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — 3. Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
230 faires et les opérations les unes des autres. Les princes n’avoient pas un commerce étendu et suivi, qui leur donnât une occasi
231 uva les plus funestes calamités ; et, lorsque ces princes méprisables eurent atteint l’âge de la virilité, ils abandonnèrent l’
96 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 2. Plans d’union européenne contemporains de la Révolution
232 es que si la souveraineté absolue est enlevée aux princes et passe aux peuples : c’est la doctrine rousseauiste dans toute sa p
233 par ironie, et dans le sens où le définissait ce prince gaulois : « (le droit) est l’avantage que la nature donne au plus for
97 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 3. Synthèses historico-philosophiques (I)
234 ritimes, qui se subdivisent en deux classes : les princes Bourbons régnant en France, en Espagne, dans les Deux-Siciles ; et la
235 oye, concernant la Lombardie. La Scandinavie, les princes de l’Empire, la Pologne, quelques États d’Italie peuvent être considé
98 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 5. L’Europe des adversaires de l’empereur
236 n Dubois — Sully — Saint-Pierre des alliances des princes , que Metternich et Alexandre allaient tenter de réaliser, en vain, et
99 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 6. Goethe
237 s à garder, et j’aime mieux m’accommoder avec mon prince , afin qu’il m’accorde tels et tels droits ; j’aime mieux transiger av
100 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 7. Synthèses historico-philosophiques (II)
238 ège sacré du gouvernement divin sur la terre. Des princes soumettaient leurs différends au Père de la chrétienté, mettaient vol
239 onciliabules et les délibérations des ducs et des princes , des évêques, des comtes et des seigneurs, des nobles et des gens lib