1 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Otto Flake, Der Gute Weg (septembre 1925)
1 -guerre d’une étrange vérité. Aux prises avec les problèmes sociaux et le luxe le moins apaisant, tournés vers la Russie, vers le
2 1925, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Miguel de Unamuno, Trois nouvelles exemplaires et un prologue (septembre 1925)
2 tent au cœur de préoccupations des plus modernes, problème de la réalité littéraire, problème de la personnalité. Leur Prologue
3 plus modernes, problème de la réalité littéraire, problème de la personnalité. Leur Prologue pourrait presque aussi bien être ce
3 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
4 cœur de la crise de notre civilisation, il y a un problème de morale à résoudre, une conscience individuelle à recréer. Nous y e
5 de plus en plus, se révèle à la base de tous les problèmes modernes en littérature. Jacques Rivière s’y appliqua dans un de ses
6 lui permet de brutaliser quelque peu les « grands problèmes  », et le voilà reparti dans un égoïsme triomphant, pur du désir d’act
7 iter des démonstrations par l’absurde de quelques problèmes moraux et littéraires 8, à quoi beaucoup sacrifièrent leur jeunesse.
4 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Cécile-Claire Rivier, L’Athée (mai 1926)
8 eloppement un peu théorique mais intelligent d’un problème que l’on pressent trop complètement résolu dès les premières pages, m
5 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Le Corbusier, Urbanisme (juin 1926)
9 ée par lui, — comme la poésie. C’est ainsi que le problème de l’Urbanisme se place au croisement des préoccupations esthétiques
6 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
10 ais rien n’était résolu. Me voici devant quelques problèmes dont je sais qu’il est absolument vain de prétendre les résoudre, mai
11 e d’avoir résolus : c’est ce qui s’appelle vivre. Problème de Dieu, à la base. J’aurai garde de m’y perdre au début d’une recher
7 1926, Articles divers (1924–1930). Les Bestiaires, par Henry de Montherlant (10 juillet 1926)
12 ertes, il ne soulève directement aucun des grands problèmes de l’heure. La violence même qui sourd dans son être intime l’en empê
13 éserve des états d’incertitude douloureux, où ces problèmes viennent se poser à l’esprit, profitant de son désaccord avec la vie.
8 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
14 cette tranquillité de rejeter définitivement les problèmes métaphysiques ? »   Nous naissons à quelque chose qui imite la vie da
9 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Bernard Lecache, Jacob (mai 1927)
15 uer et s’imposer pourtant. M. Lecache présente le problème juif avec une obstination à ne rien cacher qui le mène profond. Une f
10 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
16 emblent bien apporter une solution définitive aux problèmes du surmenage et du paupérisme. C’est un résultat qu’on n’a pas le dro
17 oute effleure Ford vers la fin de son livre : Le problème de la production a été brillamment résolu… Mais nous nous absorbons t
18 n’a pas senti qu’il touchait là le nœud vital du problème moderne. D’ailleurs, les idées générales de cette sorte sont rares da
19 ns son livre. En général, il se borne à parler de problèmes techniques où son triomphe est facile. C’est le technicien parfait qu
11 1928, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Guy de Pourtalès, Louis II de Bavière ou Hamlet-Roi (décembre 1928)
20 ivre attrayant sur une vie manquée n’était pas un problème aisé : Guy de Pourtalès l’a résolu d’une façon fort adroite mais non
12 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Avant-propos
21 ps au chapitre 5 où je traiterai de cet aspect du problème que l’on peut appeler la question de droit. Certains, en effet, tiren
13 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
22 ticales, où tout retombait droit… Et de ces beaux problèmes d’arithmétique où il fallait si soigneusement séparer les calculs du
14 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 4. L’illusion réformiste
23 arcourir l’abondante littérature publiée sur le «  problème de l’école nouvelle ». On appelle école nouvelle tout établissement o
15 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’ordre social. Le Libéralisme. L’inspiration (novembre 1929)
24 gneur ! clamaient-ils, combien complexes sont les problèmes que vous proposez à notre bonne volonté gémissante ! Dieu, dans sa pi
16 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Avant-propos
25 ps au chapitre 5 où je traiterai de cet aspect du problème que l’on peut appeler la question de droit. Certains, en effet, tiren
17 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
26 ticales, où tout retombait droit… Et de ces beaux problèmes d’arithmétique où il fallait si soigneusement séparer les calculs du
18 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 4. L’illusion réformiste
27 arcourir l’abondante littérature publiée sur le «  problème de l’école nouvelle ». On appelle école nouvelle tout établissement o
19 1930, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Pour un humanisme nouveau » [Réponse à une enquête] (1930)
28 ciences morales et politiques, en 1914, a posé le problème en termes fort nets. (Cités par M. Brunschvicg dans Le Progrès de la
20 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Jullien du Breuil, Kate (avril 1930)
29 e roman de M. Jullien de Breuil effleure un autre problème de non moindre valeur tragique : le conflit de la jeunesse d’après-gu
21 1930, Articles divers (1924–1930). Au sujet « d’un certain esprit français » (1er mai 1930)
30 sans pente ni grandeur ; (Je mets au concours ce problème , d’ailleurs insoluble : « Peut-on discerner avec certitude, après lec
31 ésirent également donner une solution décisive au problème de l’homme ; ils manquent également de cette énergie créatrice et cri
32 e et critique qui leur permettrait d’envisager ce problème dans toute son ampleur et sa force. » Ainsi Beausire nous montre un B
33 eilles se déboucher, nous gagnons l’altitude. Les problèmes qu’il se pose sont le meilleur de l’homme — à condition qu’il les sur
34 mouvement naturel nous ramène au centre des seuls problèmes qui ne soient pas insignifiants, voilà qui suffira peut-être à le jus
22 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
35 ce monde, — j’entends : leur monde, avec leurs «  problèmes du plus haut intérêt », le « prix de l’action » et leur morale qui ne
23 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Charles Du Bos, Approximations, 4e série (novembre 1930)
36 sède. On peut dire de sa critique qu’elle pose le problème de l’homme dans sa totalité, et c’est je crois l’éloge de choix. Mais
37 é, et c’est je crois l’éloge de choix. Mais de ce problème central, qui déborde le plan esthétique, la littérature ne constitue
38 , tant il y apporte de pressante intuition, les «  problèmes  » qui contraignirent tel génie à produire son œuvre. Le danger de cet
39 cette méthode, c’est que, donnant un nom à chaque problème , l’« hypostasiant » en quelque mesure, elle risque de nous laisser l’
40 qu’il rencontre, là où le créateur, supposant le problème résolu (Racine), fait une œuvre d’art. Ou bien encore, l’artiste, usa
24 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Malraux, La Voie royale (février 1931)
41 en pensant » qui pose avec une pareille acuité le problème central de notre civilisation. À ce titre, l’œuvre anarchiste et anti
25 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Sécularisme (mars 1931)
42 raire ; il arrive qu’elles mettent en jeu de gros problèmes à propos d’ouvrages bien minces. C’est qu’aujourd’hui le moindre chie
43 é d’autant plus significative qu’ils touchent des problèmes identiques, celui de la puissance de l’homme, celui de la valeur de s
44 u monde. Je pense que tout chrétien conscient des problèmes de ce temps, souscrirait aux critiques que M. Nizan fait à l’actuelle
26 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
45 c’est un paradoxe qui n’étonnera pas ceux que le problème de la création intéresse, l’artiste a besoin plus que quiconque de pr
27 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Conférences du comte Keyserling (avril 1931)
46 de donner au Trocadéro trois conférences sur les problèmes fondamentaux de la civilisation moderne. Décidément, le goût du colos
47 leine une salle énorme en parlant avec sérieux de problèmes essentiels : c’est une performance qui vaut d’être enregistrée. Rien
28 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
48 ? Quant à ceux qui acceptent d’étudier à fond ces problèmes , ils ne les rendent, en général, guère attirants — (le devraient-ils 
29 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). André Gide ou le style exquis (à propos de Divers) (octobre 1931)
49 eptée ou surmontée. Pour moi je tiens que le seul problème éthique est de se réaliser comme unité. Non point parce qu’une morale
30 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
50 France, mais du point de vue des valeurs vitales ( problème que notre xviie siècle se devait de ne pas poser). L’homme antique p
51 oétique. 1. Obscurité : Kassner ne pose pas les problèmes dans nos catégories psychologiques. Il prend tout par des biais qui n
31 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
52 Partons du cas concret de nos trois auteurs. Le problème , à vrai dire, les dépasse, mais il n’est pas mauvais de l’actualiser,
32 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
53 r un juste compte, il s’agit de le subordonner au problème personnel de ces vies, à leur équation d’existence, pourrait-on dire.
54 x autres11… L’homme n’est pas né pour résoudre le problème de l’univers, mais bien pour rechercher où tend ce problème, et ensui
55 e l’univers, mais bien pour rechercher où tend ce problème , et ensuite se maintenir entre les limites de l’intelligible »12. L’o
33 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
56 littéraire ou historique. Elle pose cependant un problème que la conscience intellectuelle des chrétiens ne peut et ne doit évi
34 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
57 se devant la conscience de « l’honnête homme » un problème que toutes ses convictions inconscientes tendent à faire apparaître c
58 l’on sait que la bourgeoisie cultive ce genre de problèmes avec une prédilection à vrai dire bien compréhensible, car cela mène
59 ons officielles. M. Durand-Dupont, troublé par le problème de la violence, commence par le déclarer insoluble, puis se résout à
35 1932, Présence, articles (1932–1946). Cause commune (avril-juin 1932)
60 nous détourner de la solidarité du péril. Et les problèmes exquis où s’attardent encore ceux que je décrirai comme les Prêtres d
36 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
61 ce monde, — j’entends : leur monde, avec leurs «  problèmes du plus haut intérêt », le « prix de l’action » et leur morale qui ne
37 1933, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Petites notes sur les vérités éternelles (1932-1933)
62 itions actuelles de la vérité qui nous posent un problème , et non pas ses conditions « éternelles ». Nous ne pensons pas qu’il
38 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
63 du temps, et le goût des « romans qui posent des problèmes  ». On appelait cela de la « littérature difficile », non pas qu’une i
64 rance autour de la Trahison des clercs, autour du problème de l’humanisme (Conversion à l’humain, de J. Guéhenno, enquête de Fo
65 ieu la Rochelle, de Benjamin Crémieux), autour du problème , plus aigu encore, de la culture bourgeoise et des valeurs révolution
39 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
66 de conséquences politiques que si nous posons le problème sur son plan réel. Or, le lieu de sa décision n’est pas le lieu des d
40 1933, Esprit, articles (1932–1962). Protestants (mars 1933)
67 sorte de désintéressement radical à l’endroit des problèmes politiques et sociaux. La parution coup sur coup, de trois livres imp
68 ticulier dans son Éthique politique pose tous les problèmes de l’heure avec une lucidité et un courage intellectuel qu’on rencont
69 ins non conformiste par la façon dont il pose les problèmes . Beaucoup plus « existentielle » que systématique, sa doctrine pourra
70 stitutions de classe. Cette position simpliste de problèmes vieux comme le monde chrétien a du moins le mérite de débarrasser le
71 te sans doute d’un malentendu foncier touchant le problème de la violence et que seul parmi ses collaborateurs, André Philip tra
41 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
72 t, dans notre premier numéro, que la solution des problèmes sociaux réside, par exemple, dans un embrassement général et sans con
42 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
73 elle nous croyons distinguer une évasion hors des problèmes qui se posent et nous sont posés, hic et nunc. Avant d’aller plus loi
43 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Pétrarque, par Charles-Albert Cingria (avril 1933)
74 » et multiple, ses incidences fréquentes dans les problèmes du temps et de tous les temps : la musique occidentale, les méfaits d
44 1933, Articles divers (1932-1935). « La jeunesse française devant l’Allemagne » [Réponse à une enquête] (mai 1933)
75 e carence aiguë de la jeunesse. C’est pourquoi le problème de son destin se confond avec le problème de notre génération. La séc
76 quoi le problème de son destin se confond avec le problème de notre génération. La sécurité ne sera jamais garantie par la signa
77 rnier stade de décomposition spirituelle. Non, le problème de la jeunesse française, le problème de notre révolution est ailleur
78 le. Non, le problème de la jeunesse française, le problème de notre révolution est ailleurs. Il est précis. Il se pose en termes
79 ose en termes historiques bien définis : c’est le problème de la destruction des tyrannies étatistes, au nom des droits de la pe
80 d’un pays. Ils trouveront enfin à qui parler. Le problème de notre attitude devant la guerre est subordonné à celui de notre ré
45 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
81 tion qui consiste simplement à rapporter tous ces problèmes à la réalité de Dieu telle qu’elle nous apparaît, c’est-à-dire au pro
82 Dieu telle qu’elle nous apparaît, c’est-à-dire au problème de tous nos problèmes, au problème absolument insoluble, puisque notr
83 us apparaît, c’est-à-dire au problème de tous nos problèmes , au problème absolument insoluble, puisque notre rapport à Dieu, depu
84 ’est-à-dire au problème de tous nos problèmes, au problème absolument insoluble, puisque notre rapport à Dieu, depuis la chute,
46 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Saint-Évremond ou L’humaniste impur, par Albert-Marie Schmidt (octobre 1933)
85 trop parfait, « qui supprime les plus angoissants problèmes , à force de les éclaircir », et l’impureté d’un humanisme que l’on cr
47 1933, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le Deuxième Jour de la Création, par Ilya Ehrenbourg (décembre 1933)
86 ses plus loyaux efforts, à se passionner pour le problème de la fonte, qui est le problème dominant dans cette région de la Sib
87 ssionner pour le problème de la fonte, qui est le problème dominant dans cette région de la Sibérie. Entre eux, une jeune et tou
48 1933, Articles divers (1932-1935). Positions d’attaque pour l’ordre nouveau (décembre 1933)
88 ine ? C’est d’abord une volonté de considérer les problèmes économiques et sociaux dans leur totalité ; c’est aussi une volonté c
89 nne, où nous les reposons. Prenons par exemple le problème du « minimum de vie matérielle » destiné à assurer la liberté de l’ho
90 e) ? En présence de ces faits, nous disons que le problème du minimum de vie matérielle ne prend son sens que dans le plan de la
91 le voir, le plan de la liberté créatrice ; que ce problème ne peut être défini correctement qu’à partir de la personne ; que seu
49 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
92 de tous nos jugements et la « crise » de tous nos problèmes  ? Mais si l’on opte pour le scandale et non pour les adaptations, qui
93 ement, mettant à nu les vraies raisons, les vrais problèmes . « Pasteur, je devais parler à des hommes aux prises avec les contrad
94 ots comme religion, piété, expérience religieuse, problème de Dieu. Il n’en faut pas plus pour que se lèvent de toutes parts de
95 ise au sérieux du fait de Dieu. Dieu n’est pas un problème , n’est pas l’objet de nos recherches, mais le Sujet de toute existenc
50 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Grammaire de la personne (janvier 1934)
96 une tentation. Quand cesserons-nous d’agiter des problèmes qui n’ont jamais été notre problème ? Car un problème n’est jamais ré
97 d’agiter des problèmes qui n’ont jamais été notre problème  ? Car un problème n’est jamais réel que pour celui qui peut l’incarne
98 èmes qui n’ont jamais été notre problème ? Car un problème n’est jamais réel que pour celui qui peut l’incarner dans sa vie, le
99 bien périr par lui. Il n’y a pas au monde un seul problème dont la réalité dernière, dont l’existence déborde les limites de l’i
100 es qui aimaient à dire : « La solution des grands problèmes sociaux est une question de morale individuelle. » L’originalité d’un
101 » que viennent en fin de compte retentir tous les problèmes sociaux et spirituels. C’est en elle, et c’est en elle seule, qu’ils
51 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
102 qu’il faut faire, nous répondent : Attention ! le problème est plus complexe ! Non, les problèmes ne sont pas si complexes, en r
103 ention ! le problème est plus complexe ! Non, les problèmes ne sont pas si complexes, en réalité, ou s’ils le sont, osons les sim
104 rions-nous un peu plus d’attention pour les vrais problèmes de nos vies. Mais si les journaux disposent de nos vies, l’argent dis
52 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). L’Humanité de Jésus d’après Calvin, par Max Dominicé (24 mars 1934)
105 ts, une solution ? Non point : un renversement du problème . Calvin ne fonde pas notre vie religieuse sur notre amour pour Jésus-
106 du même coup pour notre auteur, échapper aux faux problèmes du modernisme et revenir à l’orthodoxie réformée. Non point comme on
53 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
107 ire — voilà peut-être le seul auteur qui situe le problème dans sa réalité. Lisons ses Réflexions sur le Théâtre allemand. Il y
54 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Deux essais de philosophes chrétiens (mai 1934)
108 rsité c’est trop souvent un homme que l’étude des problèmes posés par sa technique détourne des problèmes qui se posent en fait.
109 des problèmes posés par sa technique détourne des problèmes qui se posent en fait. Mais que faut-il penser de ces techniques d’ab
110 sont de peu de recours. Ils ont fait de l’être un problème qu’ils placent devant eux et qu’ils se mettent à critiquer, comme s’i
111 moi qui questionne sur l’être ? »49 (p. 264). Le problème devient alors tout autre chose qu’un problème : un mystère. Et toute
112 Le problème devient alors tout autre chose qu’un problème  : un mystère. Et toute démarche pour s’en approcher figure déjà par e
113 oir, — autant de traits qui nous assurent que les problèmes débattus dans ce livre sont de ceux qui se posent ; non point de ceux
55 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Destin du siècle ou destin de l’homme ? (mai 1934)
114 On s’occupera d’eux en temps voulu : il y a là un problème de rééducation qui fait l’objet de nos travaux dans le domaine pédago
56 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
115 rapporte au christianisme, et en particulier à ce problème  : comment peut-on devenir chrétien ? » Car, enfin, l’on ne naît pas c
116 erkegaard nous montre un homme aux prises avec un problème sentimental douloureux, et qui cherche à le résoudre, d’abord par le
117 réfutables d’un penseur qui sut devancer tous les problèmes de notre siècle. Le ton s’y élève à la hauteur de l’invective prophét
57 1934, Articles divers (1932-1935). La Révolution nécessaire, par Arnaud Dandieu et Robert Aron (juin 1934)
118 isait observer que notre époque dominée par les «  problèmes économiques », comme on dit, ne possède pas d’économistes. Il entenda
119 ment des idées neuves — une nouvelle position des problèmes — mais aussi quelques solutions fort importantes. Indiquons simplemen
120 rrait montrer facilement, à propos de maint autre problème dont traite cet ouvrage (travail et chômage, machinisme, syndicats, é
121 e. Il a surtout le grand mérite d’aller droit aux problèmes réels que pose ce livre, sur le plan philosophique. 14. Mais le conc
58 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
122 re reçu s’insère aussitôt dans l’histoire ; et le problème des moyens, s’il doit rester subordonné à l’origine et à la fin, en e
123 e l’État, paraissent bien inactuels en regard des problèmes économiques qui nous pressent. Un chrétien a-t-il le droit de rêver ?
124 tivité auprès des ouvriers ne pose-t-elle pas des problèmes de doctrine économique et sociale qu’on ne saurait esquiver sans manq
125 e nouveau affirment la nécessité de s’attaquer au problème de l’homme même dans la civilisation mécanique. Ainsi pour être moins
126 puis et Alex. Marc : Jeune Europe (Plon). Sur les problèmes généraux du temps considérés dans la perspective de l’ON. Voir Daniel
59 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
127 e. De quoi s’agissait-il ? Ni de théologie, ni de problèmes sociaux, ni de morale ; ni même d’évangélisation. Il s’agissait de me
60 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
128 use des échos qu’elle ébranle, mieux informée des problèmes qu’elle incarne, parce qu’elle tiendra la mesure de l’humain et qu’el
61 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Plans de réforme (octobre 1934)
129 plan ont eu pour « méthode » de « foncer sur les problèmes  » ! Allons, voilà qui devrait rassurer M. Thibaudet, lequel craignait
130 ger les ressources du Trésor » ; ou encore : « Le problème consiste simplement (sic) à créer les conditions d’une liberté réelle
131 ns une reprise à la base, à la racine de tous les problèmes . Nous savons bien que seules les révolutions font aboutir les réforme
62 1934, Politique de la personne. Introduction — 5. En dernier ressort
132 lle a conduit ce lecteur au carrefour de quelques problèmes qui sont, je crois, ceux qui se posent. À qui se posent-ils ? Et comm
133 peut aider les hommes et prendre au sérieux leurs problèmes — jusqu’au bout11 !   II. En mettant sous une même couverture quelque
63 1934, Politique de la personne. Première partie. Primauté du spirituel ? — I. Destin du siècle ou vocation personnelle ?
134 qu’il faut faire, nous répondent : attention ! le problème est plus complexe ! Non, les problèmes ne sont pas si complexes, en r
135 ention ! le problème est plus complexe ! Non, les problèmes ne sont pas si complexes, en réalité, ou, s’ils le sont, osons les si
136 rions-nous un peu plus d’attention pour les vrais problèmes de nos vies. Mais si les journaux disposent de nos vies, l’argent dis
64 1934, Politique de la personne. Première partie. Primauté du spirituel ? — III. Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
137 tant que parce qu’il vous permet d’éluder le vrai problème . » Mais cette réponse simpliste, valable tout au plus contre certaine
138 mais la nécessité d’une spiritualité nouvelle. Le problème , en tout cas, cesse d’être théorique. Cette spiritualité que Marx n’a
65 1934, Politique de la personne. Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — IV. Ni ange ni bête : ni gauche ni droite (Fondements théologiques d’une action politique)
139 re reçu s’insère aussitôt dans l’histoire ; et le problème des moyens, s’il doit rester subordonné à l’origine et à la fin, est
140 sur l’attitude des jeunes protestants devant les problèmes sociaux et culturels du temps. 24. Illustration politique : à tout s
66 1934, Politique de la personne. Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — VI. Note sur un certain humour
141 . Voilà sa liberté : sa mort est derrière lui. Le problème a été résolu, c’est pourquoi le croyant a le droit de parler avec rés
142 ien ne peut pas prendre totalement au tragique le problème de l’aménagement des intérêts terrestres. Il les prend au sérieux dan
143 rte contraint d’accorder une valeur absolue à des problèmes insondablement relatifs. Le chrétien sait pour quoi et pour Qui il co
67 1934, Politique de la personne. Troisième partie. Idoles — VII. Comment rompre ?
144 de conséquences politiques que si nous posons le problème sur son plan réel. Or, le lieu de sa décision n’est pas le lieu des d
68 1934, Politique de la personne. Troisième partie. Idoles — VIII. Humanisme et christianisme
145 elle nous croyons distinguer une évasion hors des problèmes qui se posent et nous sont posés, hic et nunc. Avant d’aller plus loi
69 1934, Politique de la personne. Troisième partie. Idoles — IX. Antimarxiste parce que chrétien
146 . Je laisserai de côté, dans ces notes, le fameux problème de la personne chrétienne en face du collectif marxiste. C’est l’oppo
147 le marxisme ne peut plus nous apparaître comme un problème difficile, une tentation ou un appel à la compromission avec le monde
70 1934, Politique de la personne. Troisième partie. Idoles — X. Fascisme
148 uelles fins elle entend justifier ses moyens. Le problème des fins humaines est assez clairement posé et résolu par le marxisme
71 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIII. Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
149 s que l’école primaire leur a mis dans la tête. —  Problème d’éducation civique. Incertitude essentielle de toute considératio
72 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIV. Tactique personnaliste
150 inis : il ne faut pas épauler au hasard. Le grand problème de la pensée personnaliste est désormais de créer une tactique déduit
151 de Marx (an-archique), n’a pas tardé à poser des problèmes pratiques tout à fait étrangers à la révolution. Et ces problèmes « a
152 ues tout à fait étrangers à la révolution. Et ces problèmes « autonomes » à leur tour se sont révélés si urgents que la doctrine,
73 1934, Politique de la personne. Appendice — 3. Groupements personnalistes
153 nouveau affirment la nécessité de s’attaquer au problème de l’homme même dans la civilisation mécanique. Ainsi, pour être moin
154 puis et Alex. Marc : Jeune Europe (Plon). Sur les problèmes généraux du temps considérés dans la perspective de l’ON voir Daniel-
74 1934, Politique de la personne. Appendice — 4. Ni droite ni gauche
155 tant qu’au sens littéral.) Prendre au sérieux des problèmes tels que le chômage, le machinisme, le fédéralisme ou l’État, — comme
156 ar autant de groupes fort inégaux en nombre. Tout problème concret, particulier (loi sur les chemins de fer, sur le régime du bl
75 1934, Politique de la personne. Appendice — 5. La Révolution nécessaire
157 isait observer que notre époque dominée par les «  problèmes économiques », comme on dit, ne possède pas d’économistes. Il entenda
158 ment des idées neuves — une nouvelle position des problèmes  — mais aussi quelques solutions fort importantes. Indiquons simplemen
159 rrait montrer facilement, à propos de maint autre problème dont traite cet ouvrage (travail et chômage, machinisme, syndicats, é
76 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
160 riennes64. Nous sommes ici au nœud tragique de ce problème allemand qui domine l’après-guerre, et dont le dénouement doit nous l
161 pect du sort de la nation ? Tel est, je crois, le problème central qu’impose ce livre, et l’on admettra bien, quelque opinion qu
162 tement « allemand » de l’auteur, qu’il est peu de problèmes plus graves pour notre avenir immédiat. Mais ce Destin allemand évoqu
77 1934, Articles divers (1932-1935). Jeunesse déracinée (novembre 1934)
163 nes seulement que pourra se résoudre l’angoissant problème des cités. Mais il faudrait d’abord transformer la province et la ren
164 ire ne sera ordre qu’à ce prix. C’est là son vrai problème . p. Rougemont Denis de, « Jeunesse déracinée », La Revue du XXe s
78 1934, Esprit, articles (1932–1962). Définition de la personne (décembre 1934)
165 orsque nous parlons du concret, nous supposons le problème résolu. Seule, une valeur déterminée de l’inconnue donne une réalité
166 oseur de questions, un « prochain » et non pas un problème à résoudre à distance ; en un mot, si l’homme est un acte. 4. L’ac
167 à même le déshumanise. Elle pose l’homme comme un problème , et pour autant elle est bien obligée de prendre du recul par rapport
168 s nous connaissons complexes et impurs, pleins de problèmes , peuplés de fantômes et séparés par eux de nous-mêmes et du monde. No
79 1934, Esprit, articles (1932–1962). André Breton, Point du jour (décembre 1934)
169 tes d’Arnim). Mais pourquoi nous glisser ce vieux problème avec des airs de conspirateur traqué ? Alors que cette confusion dési
80 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — 5. En dernier ressort
170 lle a conduit ce lecteur au carrefour de quelques problèmes qui sont, je crois, ceux qui se posent. À qui se posent-ils ? Et comm
171 peut aider les hommes et prendre au sérieux leurs problèmes — jusqu’au bout6 !   II. — En mettant sous une même couverture quelqu
81 1934, Politique de la personne (1946). Première partie. Primauté du spirituel ? — I. Destin du siècle ou vocation personnelle ?
172 qu’il faut faire, nous répondent : attention ! le problème est plus complexe ! Non, les problèmes ne sont pas si complexes, en r
173 ention ! le problème est plus complexe ! Non, les problèmes ne sont pas si complexes, en réalité, ou, s’ils le sont, osons les si
174 rions-nous un peu plus d’attention pour les vrais problèmes de nos vies. Mais si les journaux disposent de nos vies, l’argent di
82 1934, Politique de la personne (1946). Première partie. Primauté du spirituel ? — III. Précédence ou primauté de l’économique dans le marxisme ? (Introduction à un débat dans un cercle privé)
175 tant que parce qu’il vous permet d’éluder le vrai problème . » Mais cette réponse simpliste, valable tout au plus contre certaine
176 mais la nécessité d’une spiritualité nouvelle. Le problème , en tout cas, cesse d’être théorique. Cette spiritualité que Marx n’a
83 1934, Politique de la personne (1946). Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — IV. Ni ange ni bête : ni gauche ni droite, (Fondements théologiques d’une action politique)
177 re reçu s’insère aussitôt dans l’histoire ; et le problème des moyens, s’il doit rester subordonné à l’origine et à la fin, est
178 sur l’attitude des jeunes protestants devant les problèmes sociaux et culturels du temps. 19. Illustration politique : à tout s
84 1934, Politique de la personne (1946). Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — VI. Note sur un certain humour
179 . Voilà sa liberté : sa mort est derrière lui. Le problème a été résolu, c’est pourquoi le croyant a le droit de parler avec rés
180 ien ne peut pas prendre totalement au tragique le problème de l’aménagement des intérêts terrestres. Il les prend au sérieux dan
181 rte contraint d’accorder une valeur absolue à des problèmes insondablement relatifs. Le chrétien sait pour quoi et pour Qui il co
85 1934, Politique de la personne (1946). Troisième partie. Idoles — VII. Comment rompre ?
182 de conséquences politiques que si nous posons le problème sur son plan réel. Or, le lieu de sa décision n’est pas le lieu des d
86 1934, Politique de la personne (1946). Troisième partie. Idoles — IX. Antimarxiste parce que chrétien
183 u marxisme. Je laisserai de côté, aujourd’hui, le problème de la personne chrétienne en face du collectif marxiste. C’est l’oppo
184 le marxisme ne peut plus nous apparaître comme un problème difficile, une tentation ou un appel à la compromission avec le monde
87 1934, Politique de la personne (1946). Troisième partie. Idoles — X. Fascisme
185 quelles fins elle entend justifier ses moyens. Le problème des fins humaines est assez clairement posé et résolu par le marxisme
88 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIII. Triomphe de la Personne, (Aphorismes)
186 s que l’école primaire leur a mis dans la tête. —  Problème d’éducation civique. Incertitude essentielle de toute considératio
89 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XIV. Tactique personnaliste
187 inis : il ne faut pas épauler au hasard. Le grand problème de la pensée personnaliste est désormais de créer une tactique déduit
188 e de Marx (anarchique), n’a pas tardé à poser des problèmes pratiques tout à fait étrangers au but de la révolution. Et ces probl
189 à fait étrangers au but de la révolution. Et ces problèmes « autonomes » à leur tour se sont révélés si urgents que la doctrine,
90 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 3. Groupements personnalistes
190 nouveau affirment la nécessité de s’attaquer au problème de l’homme même dans la civilisation mécanique. Ainsi, pour être moin
91 1935, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). René Guisan : un clerc (1935)
191 empêchaient nullement de se passionner pour les «  problèmes  » souvent si vagues qui peuplent une âme d’unioniste romand. Vraiment
92 1935, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Kierkegaard, Dostoïevski, Barth (23 février 1935)
192 einte profonde, portant comme une plaie béante le problème de leur existence, ce problème qu’ils ne peuvent résoudre jusqu’à ce
193 ne plaie béante le problème de leur existence, ce problème qu’ils ne peuvent résoudre jusqu’à ce que, dans leur maladie justemen
93 1935, Esprit, articles (1932–1962). Kasimir Edschmid, Destin allemand (mai 1935)
194 sous l’aspect de la nation ? Tel est je crois le problème central qu’impose ce livre, et l’on admettra bien, quelque opinion qu
195 oint de vue raciste de l’auteur, qu’il est peu de problèmes plus graves pour notre avenir immédiat. Je n’ai rien dit de l’art d’E
94 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Les trois temps de la Parole (mai 1935)
196 bition doit donc se limiter à poser clairement le problème , et à formuler, si possible, le principe critique qui nous rappellera
197 ématiser encore les pages que Barth consacre à ce problème . Mais faut-il le redire ? La théologie n’est pas là pour résoudre con
198 logie n’est pas là pour résoudre concrètement nos problèmes . Elle a pour but de les poser, de nous donner un instrument critique
199 el et perverti de nos pensées. Cette position du problème , que nous venons d’esquisser, nous permettra de situer honnêtement le
200 lu confronter avec les témoins de la Bible, les «  problèmes  » — le mot est bien faible — qui se posent au chrétien en tout temps 
95 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
201 que vous n’avez pas d’expérience ! W. Monod, Le Problème du Bien, I, p. 512. Nous avions dîné chez Nicodème, et l’on apportai
202 uvrage, que vous connaissez sans aucun doute : Le Problème du Bien, du professeur Wilfred Monod. « Un monument ! » prononça Nico
203 notre vieux débat. Je n’ignore pas que l’éternel problème de la mort à soi-même et au monde est l’un de ceux qui préoccupent le
204 tiens en tous cas votre définition de l’auteur du Problème du Bien ! “L’homme qui ne veut pas mourir”, c’est exactement ça ! Vra
205  ? Il suffira de résumer notre débat. Quel est le problème que nous discutons ? C’est le problème inverse de celui d’Hamlet. « Ê
206 uel est le problème que nous discutons ? C’est le problème inverse de celui d’Hamlet. « Être ou ne pas être », disait Hamlet. Et
96 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
207 n-Bicêtre… Et je pus constater que les données du problème avaient un peu changé, — si vous me permettez cet euphémisme académiq
208 z abstraite. Me voilà bien loin, pensez-vous, des problèmes concrets que pose la cité. Encore un qui s’évade ! Encore un qui déco
209 sont en train de penser cela. Avant d’aborder le problème de l’action politique du chrétien, je tiens à dire deux mots concerna
210 ent peuvent-ils encore éluder si cavalièrement le problème dernier de l’action ? Et je demande encore : qui donc osera poser ces
211 e de sa transformation. Ici se posent deux grands problèmes pratiques : est-il possible et nécessaire, partant de cette vocation,
212 fait de leur foi, des lumières spéciales sur les problèmes techniques que pose la vie de la cité moderne. Je ne crois pas qu’il
97 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Recherches philosophiques (septembre 1935)
213 tion correcte et à mon sens parfaitement vaine de problèmes qui n’empêchent personne de dormir, diminue nettement dans ce tome IV
214 use dont l’auteur fait preuve dans l’attaque d’un problème entre tous urgent. Il se pourrait d’ailleurs que l’apparence brutale
98 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
215 e député avait-il conscience de soulever l’un des problèmes les plus impressionnants du siècle ? Avait-il conscience de l’aveu qu
216 vre alors la profondeur, il devient à son tour un problème , il se trouve mis en question. Il faut voir, en effet, que la situati
217 célébrer ? Et plutôt que de ricaner, vous que ces problèmes occupent, que ne louez-vous le désintéressement d’un député et d’un l
218 s hommes. On allègue un « progrès » continu des «  problèmes  » où le tragique se résorbe en erreurs. Cette obsession de la science
219 gie : science de l’âme — d’un tout autre ordre de problèmes  : à savoir la physiologie des sensations et la classification des mal
220 ’intérêts devenus criminels ; — constate : que le problème de la culture est le problème central de notre temps, la culture étan
221 — constate : que le problème de la culture est le problème central de notre temps, la culture étant responsable de concentrer, d
222 é et qui se vendent ou se désintéressent ; que ce problème n’est plus jamais posé que par des penseurs sans audience et sans pre
99 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Lawrence et Brett par Dorothy Brett ; Matinées mexicaines suivi de Pansies (poèmes), par D. H. Lawrence (octobre 1935)
223 impuissance à résoudre ce que j’appellerais le «  problème des gens », qui est moins grandiose et beaucoup plus encombrant… t.
100 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
224 te ni de gauche, mais qui apporte la solution des problèmes qui se posent concrètement, au lieu de se perdre à rechercher d’abord
225 au lieu de se perdre à rechercher d’abord si ces problèmes sont de droite ou de gauche. Cette troisième force existe-t-elle ? Je
226 araisse, personne ne s’est encore préoccupé de ce problème tactique vraiment crucial, en dehors de L’Ordre nouveau. 5. — Les
227 été plus loin que la simple position théorique du problème — et nos expériences de cet été le prouvent. Mais il n’est pas indiff