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urge et sur son œuvre : matière, chair, sexualité
procréatrice
, — tandis qu’un sentiment d’adoration purifiée peut se porter sur le
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urge et sur son œuvre : matière, chair, sexualité
procréatrice
, — tandis qu’un sentiment d’adoration purifiée peut se porter sur le
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autour de la femme, et la réduisirent au rôle de
procréatrice
de soldats-citoyens et à celui de ménagère. Ils fondèrent des « école
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urge et sur son œuvre : matière, chair, sexualité
procréatrice
, — tandis qu’un sentiment d’adoration purifiée peut se porter sur le
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pas la sexualité proprement dite, instinctive et
procréatrice
. Et les moyens de l’érotisme sont la littérature, les « salles obscur
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pas la sexualité proprement dite, instinctive et
procréatrice
. Et les moyens de l’érotisme sont la littérature, les « salles obscur
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où l’émotion sexuelle devient, au-delà de sa fin
procréatrice
, une fin en soi ou un moyen de l’âme ; — or les croyances gnostiques
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er le désir naturel dans le seul cadre du mariage
procréateur
, et interdisent toute relation sexuelle hors de ses liens. Ainsi renf
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utes relations érotiques, mais de celles qui sont
procréatrices
et qui auraient pour effet de faire tomber une âme de plus dans un co
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plaisir pris pour fin, non comme moyen de l’acte
procréateur
. La passion est le désir infini, lié à un individu. Et l’amour est la
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our. Si l’on définit l’érotisme comme l’usage non
procréateur
de la sexualité, au service du plaisir raffiné, des beaux-arts, et su
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ne évidence. L’érotisme est l’usage culturel, non
procréateur
, de l’instinct sexuel. Faites sauter tous les interdits, les règles,
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u encore ne le permettre qu’en évitant ses suites
procréatrices
. (La retenue imposée aux amants par des dames croyantes combine d’une
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à l’érotisme, que je définis comme « l’usage non
procréateur
du sexe » — j’y vois un mécanisme de défense de l’espèce contre la dé
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les. L’érotisme, deuxième niveau, est l’usage non
procréateur
, non fonctionnel de la sexualité. C’est donc au sens littéral du term
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es et deux familles — des clans, des rangs et des
procréateurs
, non des personnes. Du ixe au xiie siècle, l’amour antique s’est éc
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isme prêche l’abstention des relations charnelles
procréatrices
. Mais la plupart des simples « croyants », jugeant trop difficile l’e
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e parce qu’elle va de soi, et qui est l’usage non
procréateur
de la sexualité ; son usage pour le plaisir seul, indépendant de ce q
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thusius, ne pousse pas seulement l’homme à l’acte
procréateur
, mais à « la solidarité intime, étroite et constante, qui est l’attri
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l pris pour fin en soi, non comme moyen de l’acte
procréateur
. La passion amoureuse est le désir infini qui prend pour objet ou pré