1 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 6. La trahison de l’instruction publique
1 La trahison de l’instruction publique (Ici, le procureur prit un ton plus grave.) L’école s’est vendue à des intérêts politiqu
2 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 6. La trahison de l’instruction publique
2 La trahison de l’instruction publique (Ici, le procureur prit un ton plus grave).   L’école s’est vendue à des intérêts politi
3 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Avant l’Aube, par Kagawa (septembre 1931)
3 ve, et le récit se termine par une scène entre le procureur et le prévenu, qui vaut d’être citée : — Pourquoi me regardez-vous a
4 e : — Pourquoi me regardez-vous ainsi ? tonna le Procureur , qui cherchait à intimider Eiichi. Eiichi garda le silence ; il ne vo
5 voulait pas se laisser aller à la colère comme le Procureur . Au contraire, il en profita pour faire une étude psychologique, en o
6 s choses de près, il conclut que la profession de procureur devait être vraiment bien désagréable, puisqu’elle exigeait de celui
7 ue tous les hommes sont coupables. Ceci acquit au Procureur toute la sympathie d’Eiichi… Si c’est à des tâches aussi inutiles que
8 chi… Si c’est à des tâches aussi inutiles que les procureurs passent leur vie, pensait Eiichi, il est impossible de ne pas leur té
9 Pourquoi me regardez-vous aussi insolemment ? Le Procureur continuait à enrager ; sa figure se contractait et ses lèvres étaient
10 t insouciants. Eiichi se demanda s’il y avait des procureurs dans le monde des moineaux. Il se taisait, car il savait qu’il était
11 ère. Trois, quatre, cinq minutes s’écoulèrent. Le Procureur regardait distraitement son carnet de notes. Il tremblait jusqu’au bo
4 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — III
12 Maîtres-Bourgeois, le Banneret, le Chancelier, le Procureur Général et le Gouverneur, « conjointement considérés » avec les Trois
13 able Histoire de la révolution neuchâteloise — le Procureur général de Rougemont… considérait la monarchie comme fatalement conda
5 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — IV
14 embres du Petit Conseil, conseiller d’État, enfin Procureur général de la Principauté. Puis survient la révolution dont nous allo
15 », vir omnium christianissimus. Mon trisaïeul, le Procureur général, épouse Charlotte d’Ostervald, arrière-petite-fille de l’illu
16 re-petite-fille de l’illustre pasteur. Le fils du Procureur épouse Marie-Philippine du Buat-Nançay, dans l’ascendance de laquelle
6 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Consolation à Me Duperrier sur un procès perdu (décembre 1947)
17 tres à la radio américaine. J’ai l’honneur, M. le procureur général, s’écrie Me Duperrier, de me faire ici le dénonciateur de Den
7 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. IV
18  ; Sir David Maxwell-Fyfe M. P., ancien ministre, procureur général aux procès de Nuremberg ; et le Dr Ernst von Schenk. Rappo
8 1948, Suite neuchâteloise. III
19 Maîtres-Bourgeois, le Banneret, le Chancelier, le Procureur Général et le Gouverneur, « conjointement considérés » avec les Trois
20 able Histoire de la révolution neuchâteloise — le Procureur général de Rougemont… considérait la monarchie comme fatalement conda
9 1948, Suite neuchâteloise. IV
21 mbres du Petit Conseil, conseillers d’État, enfin Procureur général de la Principauté. Puis survient la révolution dont nous allo
22 », vir omnium christianissimus. Mon trisaïeul, le Procureur général, épouse Charlotte d’Ostervald, arrière-petite-fille de l’illu
23 re-petite-fille de l’illustre pasteur. Le fils du Procureur épouse Marie-Philippine du Buat-Nançay, dans l’ascendance de laquelle
10 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Lever de rideau culturel ? (octobre 1955)
24 ans un train roulant vers Moscou, il rencontre un procureur général de la Guépéou, lequel lui dit : « Vous autres, Occidentaux,
11 1956, Preuves, articles (1951–1968). Les joyeux butors du Kremlin (août 1956)
25 rialisme anglais ou américain, prodiguées par les procureurs de Staline. Mais il omet de rappeler que l’acte d’accusation publié a
12 1984, Articles divers (1982-1985). Les Rougemont de Saint-Aubin [préface] (1984)
26 quelque chose d’à la fois intime et ancien. « Le Procureur  » au premier rang, ses humeurs « gringes » et son humour, alliés à un