1 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
1 rer ses regards sur un horizon sans bornes, ou se promenant sur les rives de la mer que viennent battre les vagues, ou levant les
2 1953, La Confédération helvétique. Introduction (par Lucien Febvre)
2 isses, figurent beaucoup d’hommes capables, en se promenant , d’observer, de réfléchir et de comparer. Et quant aux vieilles gens
3 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
3 iel en haut et en bas la mer sans limites. Alors, promenant autour d’elle ses regards, elle fit entendre ces mots : « Où m’emport
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Première partie. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
4 iel en haut et en bas la mer sans limites. Alors, promenant autour d’elle ses regards, elle fit entendre ces mots : « Où m’emport
5 1969, {Title}. Les chances de l’Europe : huit ans après (novembre 1969)
5 e heure dans la campagne, et c’est toujours en me promenant que je pense le mieux. J’ai pensé surtout à tout ce que j’avais omis
6 1974, Journal d’un Européen (fragments 1974). III. Venise : colloque sur le fédéralisme, modèle de l’Europe
6 e parler comme si nous étions n’importe où. En me promenant hier soir j’ai repensé à la question que m’avait posée la veille le p