1 1972, L’Amour et l’Occident (1972). Post-scriptum
1 rtout syriens, aurait lui-même provoqué une telle promiscuité en permettant aux femmes qui le suivaient d’habiter familièrement ave
2 1972, Articles divers (1970-1973). Europe divisée ou Europe fédérée ? (1972)
2 , et ne trouve d’autre alternance que celle de la promiscuité à domicile et de la solitude morale dans la foule des rues embouteill
3 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
3 mais qui lui répugnent encore ou qui l’ennuient… Promiscuité physique totale dans sept-cents ans ; ou simplement, dans trois génér
4 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Passage de la personne à la cité
4 re personnes. Tout le reste est isolement dans la promiscuité . 2. Ni la personne n’existe avant la communauté comme une entité qui
5 es, la destruction des voisinages au profit de la promiscuité physique et de l’isolement moral des banlieues noires. D’où l’angoiss
5 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Les variétés de l’expérience communautaire
6 op près les uns des autres, trop serrés, c’est la promiscuité génératrice de haine, ou d’humiliations quotidiennes de chacun par n’
7 é de la vocation personnelle et d’empêcher que la promiscuité lui fasse violence. Faute de ces disciplines nées de l’âme et d’une c
8 n tout autre genre de défense contre le risque de promiscuité  : l’indifférence et la ségrégation à la fois timide et rageuse, l’abs
9 embles » vivent côte à côte sans se voir, dans la promiscuité cloisonnée. Rien ici ne prolonge leurs données ancestrales (ce qu’on
6 1978, La Vie protestante, articles (1938–1978). « Bof ! disent les jeunes, pourquoi ? » (1er décembre 1978)
10 responsabilité, ni liberté. Il n’y a plus que la promiscuité des solitudes. v. « Bof ! disent les jeunes, pourquoi ? », La Vie p