1 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
1 sse luronne s’agitait sur son banc. Je voyais une puce circuler sur sa nuque grasse. Un des garçons s’en aperçoit, attrape l
2 grasse. Un des garçons s’en aperçoit, attrape la puce en pinçant la fille, et les rires redoublent. L’instituteur réclame l
3 yeux, je lis ceci : « … ils déménagent… comme les puces d’un hérisson mort. » Cette phrase a fait dans mon esprit ce qu’on ap
4 tit matin, nous nous sommes réveillés couverts de puces . J’exagère à peine : pour mon compte, j’en ai pris sept sur mon pyjam
5 maintenant pourquoi notre chambre était pleine de puces . Cela n’a l’air de rien, mais je vois là comme un symbole. Les livres
2 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (25 juillet 1937)
6 yeux, je lis ceci : « … ils déménagent… comme les puces d’un hérisson mort. » Cette phrase a fait dans mon esprit ce qu’on ap
7 tit matin, nous nous sommes réveillés couverts de puces . J’exagère à peine : pour mon compte, j’en ai pris sept sur mon pyjam
8 maintenant pourquoi notre chambre était pleine de puces . Cela n’a l’air de rien, mais je vois là comme un symbole. Les livres
3 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
9 sse luronne s’agitait sur son banc. Je voyais une puce circuler sur sa nuque grasse. Un des garçons s’en aperçoit, attrape l
10 grasse. Un des garçons s’en aperçoit, attrape la puce en pinçant la fille, et les rires redoublent. L’instituteur réclame l
11 yeux, je lis ceci : « … ils déménagent… comme les puces d’un hérisson mort. » Cette phrase a fait dans mon esprit ce qu’on ap
12 tit matin, nous nous sommes réveillés couverts de puces . J’exagère à peine : pour mon compte, j’en ai pris sept sur mon pyjam
13 maintenant pourquoi notre chambre était pleine de puces . Cela n’a l’air de rien, mais je vois là comme un symbole. Les livres
4 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
14 ut ronfle ensemble. Tu n’y logerais pas une seule puce de plus ! Nous autres les valets, on se chauffe sur la place. Belle n
5 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Sur l’automne 1932, ou la naissance du personnalisme
15 plein chantier. Je commence à meubler (marché aux puces de Saint-Ouen) l’appartement que je vais partager rue Saint-Placide a
6 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
16 sse luronne s’agitait sur son banc. Je voyais une puce circuler sur sa nuque grasse. Un des garçons s’en aperçoit, attrape l
17 grasse. Un des garçons s’en aperçoit, attrape la puce en pinçant la fille, et les rires redoublent. L’instituteur réclame l
18 yeux, je lis ceci : « …ils déménagent… comme les puces d’un hérisson mort ». Cette phrase a fait dans mon esprit ce qu’on ap
19 tit matin, nous nous sommes réveillés couverts de puces . J’exagère à peine : pour mon compte, j’en ai pris sept sur mon pyjam
20 maintenant pourquoi notre chambre était pleine de puces . Cela n’a l’air de rien, mais je vois là comme un symbole. Les livres
7 1957, Articles divers (1957-1962). La voie et l’aventure (janvier 1957)
21 ns le lit, se fait abondamment piquer par poux et puces , dispensant de la sorte son maître d’avoir à tuer ces insectes. (Anec
8 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Première partie. La Voie et l’Aventure — Où les voies se séparent
22 ns le lit, se fait abondamment piquer par poux et puces , dispensant de la sorte son maître d’avoir à tuer ces insectes. (Anec