1 1942, La Part du diable. Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
1 t nos meilleurs intercesseurs auprès de Dieu. Les pâtres de la Suisse alpestre sont des gens simples et réalistes. Ils crurent
2 1942, La Part du diable (1944). Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
2 t nos meilleurs intercesseurs auprès de Dieu. Les pâtres de la Suisse alpestre sont des gens simples et réalistes. Ils crurent
3 1942, La Part du diable (1982). Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
3 t nos meilleurs intercesseurs auprès de Dieu. Les pâtres de la Suisse alpestre sont des gens simples et réalistes. Ils crurent
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
4 t nos meilleurs intercesseurs auprès de Dieu. Les pâtres de la Suisse alpestre étaient des gens simples et réalistes. Ils crur
5 1953, La Confédération helvétique. Institutions et aspirations économiques
5 n s’imagine volontiers la Suisse comme un pays de pâtres pittoresques qui chantent des jodels, font des trous dans le fromage,
6 1957, Articles divers (1957-1962). De l’unité de culture à l’union politique (mai 1957)
6 ns, Frisons et Bavarois, Piémontais et Siciliens, pâtres catholiques de l’Appenzell et banquiers protestants de Genève, n’ont
7 1957, Preuves, articles (1951–1968). Sur le pouvoir des intellectuels (juillet 1957)
7 eux. S’aimeraient-ils davantage en se mêlant ? Le pâtre yodleur d’Appenzell n’a jamais vu l’industriel racé de Winterthur, ni
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Évolution : vers le progrès ou vers la décadence ?
8 l’Europe étaient remplis d’innombrables tribus de pâtres et de chasseurs, pauvres, voraces et turbulents, intrépides dans les
9 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — Puissance du mythe
9 son grand homme ; eux capitaines et despotes, lui pâtre et libérateur. La rhétorique est belle, l’émotion vraie. Le point de
10 se est ici fixée pour un siècle : Guillaume Tell, pâtre libérateur, triomphant des despotes féodaux et fondant d’un seul trai
10 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « La Suisse est née de la révolte de pâtres libertaires contre le despote autrichien »
11 « La Suisse est née de la révolte de pâtres libertaires contre le despote autrichien6 » Quel est l’état social
12 révoltés, des révolutionnaires. Ni non plus des «  pâtres aux bras noueux ». Non, c’étaient, pour parler le langage populaire,
13 ucation politique et militaire.9 Donc, point de pâtres en cette affaire. Pas davantage de démocrates au sens moderne, ni de
11 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. Le paysage historique, ou comment se forme une fédération — « Le pacte de 1291 a fondé la Suisse »
14 la légende, n’eût pas entendu ce latin-là. Ni les pâtres en Lederhosen levant leurs bras noueux sur la scène du Grütli, pour l
15 aux, lesquels se réclamaient du grand exemple des pâtres du Grütli et de Guillaume Tell, — ancêtres apocryphes mais non moins
12 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. L’union, sauvegarde de la diversité ou comment fonctionne une fédération — Les paradoxes de la vie économique
16 On a longtemps imaginé la Suisse comme un pays de pâtres qui chantent des jodels et vendent très cher aux étrangers le droit d
13 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
17 e même de l’homo alpinus : des cheveux bouclés de pâtre grec, un front de taurillon d’Uri, le teint brun. Virtuosité du trait
14 1970, Lettre ouverte aux Européens. I. L’unité de culture
18 ns, Frisons et Bavarois, Piémontais et Siciliens, pâtres catholiques de l’Appenzell et banquiers protestants de Genève, n’ont
15 1979, Articles divers (1978-1981). Un foyer de culture (janvier 1979)
19 ussiens, Piémontais et Siciliens, ou encore entre pâtres catholiques de l’Appenzell et banquiers protestants de Genève n’ont p