1 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Orphée sans charme (février 1927)
1 Parce qu’une fois de plus, Cocteau a comprimé des pétales de roses dans du cristal taillé, selon toutes les règles de l’art, ma
2 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
2 oussiéreuse. Il n’y a plus que quelques roses aux pétales fatigués. — Et nous, nous n’avons plus la même patience, depuis qu’il
3 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
3 oussiéreuse. Il n’y a plus que quelques roses aux pétales fatigués. Et nous, nous n’avons plus la même patience, depuis qu’il y
4 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
4 oussiéreuse. Il n’y a plus que quelques roses aux pétales fatigués. Et nous, nous n’avons plus la même patience, depuis qu’il y
5 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
5 travers les odeurs d’huile brûlée, d’encens ou de pétales de fleurs emplissant des corbeilles si fraîches à voir. Dans la fourn
6 1959, Les Origines de l’Europe : d’Hésiode à Charlemagne ou du mythe à l’histoire. II. Le mythe de l’enlèvement d’Europe
6 -là le serpolet ; car sur le sol foisonnaient les pétales qui ornent les prairies au printemps. Elles coupaient ensuite, luttan
7 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Les Origines d’Hésiode à Charlemagne, (du ixe siècle av. J.-C. au xie siècle de notre ère)
7 -là le serpolet ; car sur le sol foisonnaient les pétales qui ornent les prairies au printemps. Elles coupaient ensuite, luttan