1 1955, Articles divers (1951-1956). Reynold et l’Europe (1955)
1 ules que Reynold a tirées de l’étude d’une Europe romano-germanique , n’est-il pas frappant de constater qu’elles résument l’expérience fé
2 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
2 semble européen, qu’il définit comme le domaine «  romano-germanique  » : Italie — France — Espagne d’un côté, Allemagne — Angleterre — Sca
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 7. Synthèses historico-philosophiques (II)
3 n’en exprime pas moins, par anticipation, l’idéal romano-germanique qui allait devenir la nostalgie commune de tous les amis de Novalis,
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 4. De l’historisme au pessimisme
4 semble européen, qu’il définit comme le domaine «  romano-germanique  » : Italie — France — Espagne d’un côté, Allemagne — Angleterre — Sca
5 1969, Articles divers (1963-1969). De l’Aar à l’Europe (1969)
5 déjà. À cause de l’histoire impériale, j’entends romano-germanique , et généralement gibeline, qui fait du massif du Gothard le lieu le p