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ules que Reynold a tirées de l’étude d’une Europe
romano-germanique
, n’est-il pas frappant de constater qu’elles résument l’expérience fé
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semble européen, qu’il définit comme le domaine «
romano-germanique
» : Italie — France — Espagne d’un côté, Allemagne — Angleterre — Sca
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n’en exprime pas moins, par anticipation, l’idéal
romano-germanique
qui allait devenir la nostalgie commune de tous les amis de Novalis,
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semble européen, qu’il définit comme le domaine «
romano-germanique
» : Italie — France — Espagne d’un côté, Allemagne — Angleterre — Sca
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déjà. À cause de l’histoire impériale, j’entends
romano-germanique
, et généralement gibeline, qui fait du massif du Gothard le lieu le p