1 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
1 Je traverse l’odeur des groseilliers, écarte des ronces , et voici sous une voûte de feuillage, la table de pierre et son banc
2 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
2 Je traverse l’odeur des groseilliers, écarte des ronces , et voici sous une voûte de feuillage, la table de pierre et son banc
3 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
3 imagine de le mettre à sécher sur des buissons de ronce . Tous les mouchoirs sont plus ou moins déchirés quand on va les récol
4 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
4 imagine de le mettre à sécher sur des buissons de ronce . Tous les mouchoirs sont plus ou moins déchirés quand on va les récol
5 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Souvenir de la paix française (15 mars 1941)
5 vers Périgny par un sentier fort raide entre les ronces , aboutissant à de vieux escaliers. Une seule rangée de maisons à trav
6 1943, Articles divers (1941-1946). Mémoire de l’Europe : Fragments d’un Journal des Mauvais Temps (septembre 1943)
6 vers Périgny par un sentier fort raide entre les ronces , aboutissant à de vieux escaliers. Une seule rangée de maisons à trav
7 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
7 vers Périgny par un sentier fort raide entre les ronces , aboutissant à de vieux escaliers. Une seule rangée de maisons à trav
8 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
8 Je traverse l’odeur des groseilliers, écarte des ronces , et voici sous une voûte de feuillage, la table de pierre et son banc
9 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
9 imagine de le mettre à sécher sur des buissons de ronce . Tous les mouchoirs sont plus ou moins déchirés quand on va les récol
10 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
10 vers Périgny par un sentier fort raide entre les ronces , aboutissant à de vieux escaliers. Une seule rangée de maisons à trav