1
plus secrète. Vers l’est, des collines fluides et
roses
. De l’autre côté, c’est le vide, où s’en vont lentement les eaux et l
2
es. Le long de l’Arno, les façades sont jaunes et
roses
près de l’eau, puis perdent dans la nuit leurs lignes graves. Toutes
3
ement dissimulé. Vers 1 heure, elle éclaira d’une
rose
caresse lumineuse la chevelure rouge d’Urbain, et son nez, lequel, pa
4
s le Cœur gros, c’était un parc avant l’orage, le
rose
sombre d’une joue brûlante et fraîche dans le vent. Et dans la Maladè
5
e fois de plus, Cocteau a comprimé des pétales de
roses
dans du cristal taillé, selon toutes les règles de l’art, mais que l’
6
l’art, mais que l’essence obtenue, si elle est de
rose
, est sans parfum. (Tout de même, Cocteau est un poète : j’en verrai
7
dre un personnage épisodique : « Il confondait la
rose
et la pivoine, l’orange et l’ananas… »). Une telle œuvre, dense, sans
8
e du cinéma, c’est, par exemple, l’éclosion d’une
rose
, un homme qui court au ralenti, certaines coïncidences de mouvements…
9
es fleurs de son enfance, une églantine, quelques
roses
, un sourire qui perce le cœur sur les glaces du passé. Cet abandon au
10
Miniato ou de Fiesole, il peint Florence avec des
roses
et des jaunes jamais mièvres, sous l’œil méfiant des fascistes qui le
11
autre encore : cette fois-ci c’est un Evard : des
roses
noires sur une table, dans un espace bizarrement lumineux où se coupe
12
mystère. Que va-t-il se passer là-dedans ? Et ces
roses
sont le signe de quel occulte prodige ? Intrigué, vous reprenez ce qu
13
absurdité d’un semblable système. » Musset. Une
rose
et un journal oubliés sur le marbre vulgaire d’une table de café. Je
14
plus d’ennui. J’essayai donc de rêver. Mais cette
rose
oubliée me gênait : perdre une rose pour le plaisir ! (Et je ne pensa
15
r. Mais cette rose oubliée me gênait : perdre une
rose
pour le plaisir ! (Et je ne pensais même pas, alors : une si belle ro
16
(Et je ne pensais même pas, alors : une si belle
rose
.) Le tambour livra un homme élégant et tragique, qui se tint un momen
17
n robe rouge, et très fardée. Elle jouait avec la
rose
. Les dés roulèrent, pour un dernier enjeu. Alors la femme lança sur l
18
er enjeu. Alors la femme lança sur la table cette
rose
qui s’effeuilla sur les dés, et partit d’un long rire. Elle me regard
19
de fleurs. C’était la petite bossue qui vend des
roses
et des œillets dans la rue de Carinthie. Gérard lui paya quelques œil
20
e de Clam-Clamannsfeld dont le manteau de velours
rose
laissait découvertes des jambes extrêmement hautes tandis que sa tête
21
bien nous allons partir l’air s’entrouvre un feu
rose
éclôt voici ton heure au regard le plus pur je suis à toi dans le tri
22
e minuscule voiture. Déjà nous traversons la nuit
rose
et violette de Montparnasse. Là, l’insondable lubie d’un agent nous i
23
geoyaient au sommet du Rozsadomb — la Colline des
roses
. Une ancienne mosquée, disiez-vous, le tombeau du prophète Gül Baba.
24
écor en pierre brune peu solide, rongé de petites
roses
cramoisies. On longe une galerie couverte, on tourne dans un escalier
25
en ont fait Gül Baba, ce qui signifie le Père des
roses
. Moyennant cette naturalisation il continue de protéger la ville (en
26
que ce n’est pas l’heure de visiter : le Père des
roses
est peut-être allé se promener. Dehors, les roses crimson sentent le
27
roses est peut-être allé se promener. Dehors, les
roses
crimson sentent le soufre. Trente degrés à l’ombre. Ce sanctuaire ind
28
massées tout autour, frileuses dans leurs dessous
roses
, les filles qui chantent une chanson populaire et regardent tristemen
29
i retire ses lueurs. Ciel blanc, où très peu d’or
rose
s’évanouit… Le train serpente dans un de ces paysages de nulle part q
30
joujoux ; et l’on continua d’apprendre rosa : la
rose
, d’admirer le Parthénon et le courage de Mucius Scevola. On croyait a
31
couleurs, la lumière du soleil, les dessins, les
roses
, les lèvres rouges des filles, tout était surprenant, même le sang ca
32
de fleurs. C’était la petite bossue qui vend des
roses
et des œillets rue de Carinthie. Gérard lui paya quelques œillets rou
33
chesse de Clam-Clammansfeld en manteau de velours
rose
, dont la tête frisée jetait des insolences sur les chapeaux noirs de
34
ymbolique. Hofmannsthal Un aquarium de lumière
rose
où nagent des phoques à ventre blanc qui sont des ministres, des sirè
35
’amour ! La traîne d’une robe tournoie, éclair de
roses
sur un seuil. C’était la voix de la comtesse Adélaïde, — je la connai
36
geoyaient au sommet du Rozsadomb — la Colline des
roses
. Une ancienne mosquée, disiez-vous, le tombeau du prophète Gül Baba.
37
it, un décor en pierre brune peu solide, rongé de
roses
Crimson. On longe une galerie couverte, on tourne dans un escalier co
38
en ont fait Gül Baba, ce qui signifie le Père des
roses
. Moyennant cette naturalisation il continue de protéger la ville (en
39
que ce n’est pas l’heure de visiter : le Père des
roses
est peut-être allé se promener. Dehors, les roses Crimson sentent le
40
roses est peut-être allé se promener. Dehors, les
roses
Crimson sentent le soufre. Trente degrés à l’ombre. Ce sanctuaire ind
41
massées tout autour, frileuses dans leurs dessous
roses
, les filles qui chantent une chanson populaire et regardent tristemen
42
i retire ses lueurs. Ciel blanc, où très peu d’or
rose
s’évanouit… Le train serpente dans un de ces paysages de nulle part q
43
te. Un nageur passe à travers les reflets jaunes,
roses
, verts, des maisons à façades triangulaires. Couleurs d’un crépuscule
44
parapluie, jusqu’à leur petite maison couverte de
roses
Crimson. Le père est un colonel en retraite qui déteste les Franzosen
45
out ce qui était arrivé, un parfum de millions de
roses
se répandit dans les airs, tandis qu’au sommet du bûcher paraissait u
46
s un porche couvert aux colonnes enguirlandées de
roses
. Toute une famille de géants, debout sur un seuil solennel, me regard
47
jours, les hôtes d’une immense demeure en briques
roses
et jaunes, entourée de prairies aux bosquets vaporeux. Des parterres
48
igognes filent sur nos têtes, tirant leurs pattes
roses
. À l’horizon toujours passent des voiles, mais on ne voit pas la mer.
49
e minuscule voiture. Déjà nous traversons la nuit
rose
et violette de Montparnasse. Là, l’insondable lubie d’un agent nous i
50
e. Hugo von Hofmannsthal. Un aquarium de lumière
rose
où nagent des phoques à ventre blanc qui sont des ministres, des sirè
51
’amour ! La traîne d’une robe tournoie, éclair de
roses
sur un seuil. C’était la voix de la comtesse Adélaïde, — je la connai
52
geoyaient au sommet du Rozsadomb — la Colline des
roses
. Une ancienne mosquée, disiez-vous, le tombeau du prophète Gül Baba.
53
it, un décor en pierre brune peu solide, rongé de
roses
crimson. On longe une galerie couverte, on tourne dans un escalier co
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en ont fait Gül Baba, ce qui signifie le Père des
roses
. Moyennant cette naturalisation il continue de protéger la ville (en
55
que ce n’est pas l’heure de visiter : le Père des
roses
est peut-être allé se promener. Dehors, les roses crimson sentent le
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roses est peut-être allé se promener. Dehors, les
roses
crimson sentent le soufre. Trente degrés à l’ombre. Ce sanctuaire ind
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massées tout autour, frileuses dans leurs dessous
roses
, les filles qui chantent une chanson populaire et regardent tristemen
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i retire ses lueurs. Ciel blanc, où très peu d’or
rose
s’évanouit… Le train serpente dans un de ces paysages de nulle part q
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s un porche couvert aux colonnes enguirlandées de
roses
. Toute une famille de géants, debout sur un seuil solennel, me regard
60
jours les hôtes d’une immense demeure en briques
roses
et jaunes, entourée de prairies aux bosquets vaporeux. Des parterres
61
igognes filent sur nos têtes, tirant leurs pattes
roses
. À l’horizon toujours passent des voiles, mais on ne voit pas la mer.
62
te. Un nageur passe à travers les reflets jaunes,
roses
, verts, des maisons à façades triangulaires. Couleurs d’un crépuscule
63
parapluie, jusqu’à leur petite maison couverte de
roses
Crimson. Le père est un colonel en retraite qui déteste les Franzosen
64
out ce qui était arrivé, un parfum de millions de
roses
se répandit dans les airs, tandis qu’au sommet du bûcher paraissait u
65
petite tranchée d’asphalte et de brique jaune et
rose
dans un chaos géométrique, c’est bien New York… Si je me retourne un
66
Le soir vient dans un luxe américain d’ocres, de
roses
, d’argent et d’éclats d’or sur les fenêtres des usines. Des fumées tr
67
mer leurs lampes. Une blonde platinée en peignoir
rose
ouvre son frigidaire, sort de la glace, ôte enfin le peignoir, il fai
68
es cumulus élèvent des tours et des créneaux d’un
rose
feu sur l’horizon follement lointain, tandis que nous survolons des p
69
des murs couleur du temps, où quelques taches de
rose
clair ou de noir achèvent de composer une harmonie qui fait venir les
70
e loin. Elle porte un grand chapeau flottant d’un
rose
sombre. Tout la distingue infiniment du troupeau bavardant de ses com
71
: il n’a pas d’âge. Sa barbe blanche et ses joues
roses
, son grand front d’humaniste et ses yeux vifs de Méditerranéen lui co
72
t à nous. « … on les voit sortir des bois dans le
rose
du lever du jour et ils sont roses dans le ciel rose, avec des goutte
73
es bois dans le rose du lever du jour et ils sont
roses
dans le ciel rose, avec des gouttes de rosée qui leur pendent à chaqu
74
e du lever du jour et ils sont roses dans le ciel
rose
, avec des gouttes de rosée qui leur pendent à chaque poil et des soul
75
en silhouette sur les crêtes, et des toits de ce
rose
émouvant des tuiles romaines sous un ciel doux. Au nord, derrière not
76
s hier au soir. Des hauteurs, on voyait la plaine
rose
et violacée entre des monticules pointus tout frisés d’oliviers, un p
77
te maison couleur de terre et festonnée de tuiles
roses
, elle est bien à la ressemblance des vieilles paysannes de par ici, r
78
le libellé, la brochure impondérable, le papillon
rose
. J’ai toujours pensé que c’étaient là les armes de l’esprit contre le
79
t, peu vraisemblable ; et non plus moi. Premières
roses
au soleil, le long des murs du chai. Nous déjeunons sous les tilleuls
80
us claire que le ciel vide, et illumine la goutte
rose
d’une fourmi ailée qui danse au-dessus de mon verre de vin blanc. M
81
us belles crevettes, grosses comme le doigt, d’un
rose
sombre, aux longues antennes grenat. — On cuit les crevettes toutes v
82
devient poussiéreuse. Il n’y a plus que quelques
roses
aux pétales fatigués. — Et nous, nous n’avons plus la même patience,
83
de marchande ambulante. « Elle brillait comme une
rose
sauvage. » Il s’arrête. « Tu me regardes comme si j’étais une bête cu
84
s claires et propres, tapissées de glycines et de
roses
trémières, et parfois recouvertes de treilles à l’italienne. Comme on
85
le carré de ciel pâlir et les murs qui deviennent
roses
. 21 novembre 1933 Le bureau de poste. — Trois mètres sur trois
86
t, peu vraisemblable ; et non plus moi. Premières
roses
au soleil, le long des murs du chai. Nous déjeunons sous les tilleuls
87
us claire que le ciel vide, et illumine la goutte
rose
d’une fourmi ailée qui danse au-dessus de mon verre de vin blanc.
88
dites « bouquets », grosses comme le doigt, d’un
rose
sombre, aux longues antennes grenat. Un jour nous avons pris une seic
89
es et grenat, dont je ne sais pas les noms, et de
roses
, et de roses trémières qui grandissent d’un pouce au moins pendant la
90
dont je ne sais pas les noms, et de roses, et de
roses
trémières qui grandissent d’un pouce au moins pendant la nuit. Nous a
91
devient poussiéreuse. Il n’y a plus que quelques
roses
aux pétales fatigués. Et nous, nous n’avons plus la même patience, de
92
en silhouette sur les crêtes, et des toits de ce
rose
émouvant des tuiles romaines sous un ciel doux. Au nord, derrière not
93
s hier au soir. Des hauteurs, on voyait la plaine
rose
et violacée entre des monticules pointus tout frisés d’oliviers, un p
94
te maison couleur de terre et festonnée de tuiles
roses
, elle est bien à la ressemblance des vieilles paysannes de par ici, r
95
que nous allons décrire maintenant. 2.Les deux
Roses
Le meilleur point de départ nous est donné par le Roman de la Rose
96
t devait aboutir au long baiser final sur fond de
roses
ou de tentures luxueuses. Or cette figure de style n’est pas sans rel
97
idéalité. 20.L’instinct glorifié Comme à la
rose
de Guillaume de Lorris répond la rose de Jean de Meung, comme à la rh
98
Comme à la rose de Guillaume de Lorris répond la
rose
de Jean de Meung, comme à la rhétorique cristalline de Pétrarque s’op
99
que nous allons décrire maintenant. 2.Les deux
Roses
Le meilleur point de départ nous est donné par le Roman de la Rose
100
t devait aboutir au long baiser final sur fond de
roses
ou de tentures luxueuses. Or cette figure de style n’est pas sans rel
101
idéalité. 20.L’instinct glorifié Comme à la
rose
de Guillaume de Lorris répond la rose de Jean de Meung, comme à la rh
102
Comme à la rose de Guillaume de Lorris répond la
rose
de Jean de Meung, comme à la rhétorique cristalline de Pétrarque s’op
103
que nous allons décrire maintenant. 2.Les deux
roses
Le meilleur point de départ nous est donné par le Roman de la Rose
104
t devait aboutir au long baiser final sur fond de
roses
ou de tentures luxueuses. Or cette figure de style n’est pas sans rel
105
idéalité. 20.L’instinct glorifié Comme à la
rose
de Guillaume de Lorris répond la rose de Jean de Meung, comme à la rh
106
Comme à la rose de Guillaume de Lorris répond la
rose
de Jean de Meung, comme à la rhétorique cristalline de Pétrarque s’op
107
us trouvâmes en rentrant une prodigieuse gerbe de
roses
rouges que V. O. envoyait à ma femme. Plantée au milieu du studio, da
108
vaient à peine d’un étage au-dessus des champs de
roses
et des blés aux bords du plateau de la Brie. Je montais vers Périgny
109
n de la route sentait plus fort que les champs de
roses
, et des nuages noirs traînaient sur les vergers. J’ai su, plus tard,
110
vaient à peine d’un étage au-dessus des champs de
roses
et des blés, au bord du plateau de la Brie. Je montais vers Périgny p
111
n de la route sentait plus fort que les champs de
roses
, et des nuages noirs traînaient sur les vergers. J’ai su, plus tard,
112
nt à nous. « …On les voit sortir des bois dans le
rose
du lever du jour et ils sont roses dans le ciel rose, avec des goutte
113
es bois dans le rose du lever du jour et ils sont
roses
dans le ciel rose, avec des gouttes de rosée qui leur pendent à chaqu
114
e du lever du jour et ils sont roses dans le ciel
rose
, avec des gouttes de rosée qui leur pendent à chaque poil et des soul
115
evelure blanche, les mains précieuses ou la nuque
rose
et violacée de Stokowsky. Par malchance, c’est au lendemain de la pre
116
rousseur, la tête serrée dans un foulard de soie
rose
feu. — « Papa, me dit mon petit garçon, c’est Miss Hepburn ! » — « C’
117
ait le rêve américain, le clinquant, l’irréel, le
rose
et le doré, le rêve d’enfance et d’innocence universelle, bercé de mu
118
do de Gretchaninoff et le motet de Prætorius, Une
rose
est née… et je me dirai que l’Amérique n’a pas encore très bien compr
119
e Fou est un homme richement habillé, portant une
rose
à la main, et qui s’arrête au bord d’un précipice pour contempler l’e
120
es cumulus élèvent des tours et des créneaux d’un
rose
feu sur l’horizon follement lointain, tandis que nous survolons des p
121
petite tranchée d’asphalte et de brique jaune et
rose
dans un chaos géométrique, c’est bien New York… Si je me retourne un
122
Le soir vient dans un luxe américain d’ocres, de
roses
, d’argents et d’éclats d’or sur les fenêtres des usines. Des fumées t
123
er leurs lampes. Une blonde platinée, en peignoir
rose
, ouvre son frigidaire, sort de la glace, ôte enfin le peignoir, il fa
124
e vaste et noire une petite lampe fait une flaque
rose
. « Je ne trouve pas les prises ! explique-t-elle, je ne mets jamais l
125
Genève,
rose
des vents de l’esprit (19 décembre 1946)c Pendant deux semaines vi
126
rs de toute officialité. Excellente idée. Genève,
rose
des vents de l’esprit, continuera ainsi à jouer son rôle de cité inte
127
e y souffler librement où il veut. c. « Genève,
rose
des vents de l’esprit », L’Illustré, Lausanne, n° 38, 19 décembre 194
128
rousseur, la tête serrée dans un foulard de soie
rose
feu. « Papa, me dit mon petit garçon, c’est Miss Hepburn ! » — « C’es
129
ait le rêve américain, le clinquant, l’irréel, le
rose
et le doré. Rêve d’enfance et d’innocence universelle, bercé de musiq
130
edo de Gretchaninov et le motet de Prætorius, Une
rose
est née… Et je me dirai que l’Amérique n’a pas encore très bien compr
131
rk glaciale et belle, ce bleu de poudre claire et
rose
au lointain des avenues trop larges le matin, ce bleu d’ombre de briq
132
petite tranchée d’asphalte et de brique jaune et
rose
dans un chaos géométrique, c’est bien New York… Si je me retourne un
133
Le soir vient dans un luxe américain d’ocres, de
roses
, d’argents et d’éclats d’or sur les fenêtres des usines. Des fumées t
134
mer leurs lampes. Une blonde platinée en peignoir
rose
ouvre son frigidaire, sort de la glace, ôte enfin le peignoir, il fai
135
onnages goudronnés. Flammes gaies sur le couchant
rose
et fuligineux, en rectangle au bout de la rue, légèrement mordu sur l
136
vaste et noire, une petite lampe fait une flaque
rose
. « Je ne trouve pas les prises ! explique-t-elle, je ne mets jamais l
137
us trouvâmes en rentrant une prodigieuse gerbe de
roses
rouges que V. O. envoyait à ma femme. Plantée au milieu du studio, da
138
vaient à peine d’un étage au-dessus des champs de
roses
et des blés, aux bords du plateau de la Brie. Nous montions vers Péri
139
n de la route sentait plus fort que les champs de
roses
, et des nuages noirs traînaient sur les vergers. Mars 1940 Entr
140
ierait la guerre, sur ces terrasses incendiées de
roses
, à la piscine, dans la pinède qui vibre au vent chaud de la mer… L
141
er sur les quais, le long des bâtiments de brique
rose
aux fenêtres encadrées de pierre et surmontés de clochers fins au bul
142
us. Que sert de comparer ? Quel sens ? Il y a des
roses
dans les ruines. Des enfants jouent à côté des prisons. L’un subit la
143
rk glaciale et belle, ce bleu de poudre claire et
rose
au lointain des avenues trop larges le matin, ce bleu d’ombre de briq
144
. Et j’ai songé à cette autre retraite, la maison
rose
de « La Muette », où Ramuz lui aussi laisse venir ceux qui lui apport
145
petite tranchée d’asphalte et de brique jaune et
rose
dans un chaos géométrique, c’est bien New York… Si je me retourne un
146
Le soir vient dans un luxe américain d’ocres, de
roses
, d’argents et d’éclats d’or sur les fenêtres des usines. Des fumées t
147
mer leurs lampes. Une blonde platinée en peignoir
rose
ouvre son frigidaire, sort de la glace, ôte enfin le peignoir, il fai
148
e vaste et noire une petite lampe fait une flaque
rose
. « Je ne trouve pas les prises ! explique-t-elle, je ne mets jamais l
149
onnages goudronnés. Flammes gaies sur le couchant
rose
et fuligineux, en rectangle au bout de la rue, légèrement mordu sur l
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rousseur, la tête serrée dans un foulard de soie
rose
feu. « Papa, me dit mon petit garçon, c’est Miss Hepburn ! » — « C’es
151
ait le rêve américain, le clinquant, l’irréel, le
rose
et le doré. Rêve d’enfance et d’innocence universelle, bercé de musiq
152
edo de Gretchaninov et le motet de Prætorius, Une
rose
est née… Et je me dirai que l’Amérique n’a pas encore très bien compr
153
es cumulus élèvent des tours et des créneaux d’un
rose
feu sur l’horizon follement lointain, tandis que nous survolons des p
154
des murs couleur de temps, où quelques taches de
rose
clair ou de noir achèvent de composer une harmonie qui fait venir les
155
s un porche couvert aux colonnes enguirlandées de
roses
. Toute une famille de géants, debout sur un seuil solennel, me regard
156
jours, les hôtes d’une immense demeure en briques
roses
et jaunes, entourée de prairies aux bosquets vaporeux. Des parterres
157
igognes filent sur nos têtes, tirant leurs pattes
roses
. À l’horizon toujours passent des voiles, mais on ne voit pas la mer.
158
symbolique. Hofmannsthal. Un aquarium de lumière
rose
où nagent des phoques à ventre blanc qui sont des ministres, des sirè
159
’amour ! La traîne d’une robe tournoie, éclair de
roses
sur un seuil. C’était la voix de la comtesse Adélaïde, — je la connai
160
geoyaient au sommet du Rozsadomb — la Colline des
roses
. Une ancienne mosquée, disiez-vous, le tombeau du prophète Gül Baba.
161
écor en pierre brune peu solide, rongé de petites
roses
cramoisies. On longe une galerie couverte, on tourne dans un escalier
162
en ont fait Gül Baba, ce qui signifie le Père des
Roses
. Moyennant cette naturalisation il continue de protéger la ville (en
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que ce n’est pas l’heure de visiter : le Père des
Roses
est peut-être allé se promener. Dehors, les roses crimson sentent le
164
Roses est peut-être allé se promener. Dehors, les
roses
crimson sentent le soufre. Trente degrés à l’ombre. Ce sanctuaire ind
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massées tout autour, frileuses dans leurs dessous
roses
, les filles qui chantent une chanson populaire et regardent tristemen
166
i retire ses lueurs. Ciel blanc, où très peu d’or
rose
s’évanouit… Le train serpente dans un de ces paysages de nulle part q
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te. Un nageur passe à travers les reflets jaunes,
roses
, verts, des maisons à façades triangulaires. Couleurs d’un crépuscule
168
parapluie, jusqu’à leur petite maison couverte de
roses
grimpantes. Le père est un colonel en retraite qui déteste les Franzo
169
out ce qui était arrivé, un parfum de millions de
roses
se répandit dans les airs, tandis qu’au sommet du bûcher paraissait u
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s claires et propres, tapissées de glycines et de
roses
trémières, et parfois recouvertes de treilles à l’italienne. Comme on
171
le carré de ciel pâlir et les murs qui deviennent
roses
. 21 novembre 1933 Le bureau de poste. — Trois mètres sur trois
172
t, peu vraisemblable ; et non plus moi. Premières
roses
au soleil, le long des murs du chai. Nous déjeunons sous les tilleuls
173
us claire que le ciel vide, et illumine la goutte
rose
d’une fourmi ailée qui danse au-dessus de mon verre de vin blanc.
174
dites « bouquets », grosses comme le doigt, d’un
rose
sombre, aux longues antennes grenat. Un jour nous avons pris une seic
175
es et grenat, dont je ne sais pas les noms, et de
roses
, et de roses trémières qui grandissent d’un pouce au moins pendant la
176
dont je ne sais pas les noms, et de roses, et de
roses
trémières qui grandissent d’un pouce au moins pendant la nuit. Nous a
177
devient poussiéreuse. Il n’y a plus que quelques
roses
aux pétales fatigués. Et nous, nous n’avons plus la même patience, de
178
en silhouette sur les crêtes, et des toits de ce
rose
émouvant des tuiles romaines sous un ciel doux. Au nord, derrière not
179
s hier au soir. Des hauteurs, on voyait la plaine
rose
et violacée entre des monticules pointus tout frisés d’oliviers, un p
180
te maison couleur de terre et festonnée de tuiles
roses
, elle est bien à la ressemblance des vieilles paysannes de par ici, r
181
us trouvâmes en rentrant une prodigieuse gerbe de
roses
rouges envoyée par V. O. pour notre installation dans ce studio que G
182
vaient à peine d’un étage au-dessus des champs de
roses
et de blés, aux bords du plateau de la Brie. Nous montions vers Périg
183
n de la route sentait plus fort que les champs de
roses
, et des nuages noirs traînaient sur les vergers. Début de mars 194
184
ierait la guerre, sur ces terrasses incendiées de
roses
, à la piscine, dans la pinède qui vibre au vent chaud de la mer… L
185
er sur les quais, le long des bâtiments de brique
rose
aux fenêtres encadrées de pierre et surmontés de clochers fins au bul
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us. Que sert de comparer ? Quel sens ? Il y a des
roses
dans les ruines. Des enfants jouent à côté des prisons. L’un subit la
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rk glaciale et belle, ce bleu de poudre claire et
rose
au lointain des avenues trop larges le matin, ce bleu d’ombre de briq
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. Et j’ai songé à cette autre retraite, la maison
rose
de « La Muette », où Ramuz lui aussi laisse venir ceux qui lui apport
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petite tranchée d’asphalte et de brique jaune et
rose
dans un chaos géométrique, c’est bien New York… Si je me retourne un
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Le soir vient dans un luxe américain d’ocres, de
roses
, d’argents et d’éclats d’or sur les fenêtres des usines. Des fumées t
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mer leurs lampes. Une blonde platinée en peignoir
rose
ouvre son frigidaire, sort de la glace, ôte enfin le peignoir, il fai
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e vaste et noire une petite lampe fait une flaque
rose
. « Je ne trouve pas les prises ! explique-t-elle, je ne mets jamais l
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onnages goudronnés. Flammes gaies sur le couchant
rose
et fuligineux, en rectangle au bout de la rue, légèrement mordu sur l
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rousseur, la tête serrée dans un foulard de soie
rose
feu. « Papa, me dit mon petit garçon, c’est Miss Hepburn ! — C’est mo
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ait le rêve américain, le clinquant, l’irréel, le
rose
et le doré. Rêve d’enfance et d’innocence universelle, bercé de musiq
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do de Gretchaninoff et le motet de Prætorius, Une
rose
est née… Et je me dirai que l’Amérique n’a pas encore très bien compr
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rac empilé tout autour. L’homme porte une chemise
rose
bâillant sur sa poitrine velue, et un large chapeau de cow-boy. Il es
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de brique rouge et de brique jaune, des lessives
roses
et bleues devant le dernier étage, un trapèze de ciel brillant. Les c
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es cumulus élèvent des tours et des créneaux d’un
rose
feu sur l’horizon follement lointain, tandis que nous survolons des p
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des murs couleur du temps, où quelques taches de
rose
clair ou de noir achèvent de composer une harmonie qui fait venir les
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onnages goudronnés. Flammes gaies sur le couchant
rose
et fuligineux, en rectangle au bout de la rue, légèrement mordue par
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er sur les quais, le long des bâtiments de brique
rose
aux fenêtres encadrées de pierre et surmontés de clochers fins au bul
203
. Et j’ai songé à cette autre retraite, la maison
rose
de « La Muette », où Ramuz lui aussi laisse venir ceux qui lui apport
204
s sourcilières étrangement élevées, un énorme nez
rose
, des joues grises creusées de profondes ravines et deux touffes de ch
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evelure blanche, les mains précieuses ou la nuque
rose
et violacée de Stokowsky. Par malchance, c’est au lendemain de la pre
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s sourcilières étrangement élevées, un énorme nez
rose
, des joues grises creusées de profondes ravines et deux touffes de ch
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e loin. Elle porte un grand chapeau flottant d’un
rose
sombre. Tout la distingue infiniment du troupeau bavardant de ses com
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e loin. Elle porte un grand chapeau flottant d’un
rose
sombre. Tout la distingue infiniment du troupeau bavardant de ses com
209
e grelots, mais le décor est italien. (Et ce même
rose
très pâle et un peu mauve des cotonnades, que je n’avais encore vu qu
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On entend le frottement des pieds nus, des saris
roses
, violets, vert assourdi. Des yeux brillent dans les portes sombres. Ç
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de de racines grises formant le tronc, des fleurs
roses
et violettes, piquées en ex-voto. Devant moi, quelques marches condui
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es des privilégiés du régime, le palais de marbre
rose
de l’ambassade de l’URSS, seul battant neuf parmi les ruines. Les tan
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es des privilégiés du régime, le palais de marbre
rose
de l’ambassade de l’URSS, seul battant neuf parmi les ruines. Les tan
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sommets, de glaciers. Un mont tout blanc ou tout
rose
, au gré du soleil, mais dont l’appel muet fait battre le cœur, même d
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peignent en vert, mais plusieurs en violet ou en
rose
. Quelques-uns restent rouges, et l’on peut se demander s’ils n’ont ri
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en rouge vif, les franges sud-est de l’Europe en
rose
, et l’URSS en quadrillé rouge et blanc. Quant à l’Asie et à l’Afrique
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nt la plupart des grandes villes, quelques taches
roses
et, sporadiquement, des stries plus ou moins serrées. Le Japon s’est
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crépuscule. Le moteur extérieur à droite, son nez
rose
à travers l’aura sombre de l’hélice. L’aluminium des ailes luit dans
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ment vient de plonger l’avant dans l’illumination
rose
orangé des derniers rayons de soleil, et les bords des plaques riveté
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ules antiques. Beauté de Paestum enlisée dans les
roses
et la malaria. Préservons ces réduits pervers. Tous les siècles de no
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en rouge vif, les franges sud-est de l’Europe en
rose
, et l’URSS en quadrillé rouge et blanc. Quant à l’Asie et à l’Afrique
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nt la plupart des grandes villes, quelques taches
roses
et, sporadiquement, des stries plus ou moins serrées. Le Japon s’est
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bituel de leur troupe, charmées par la beauté des
roses
et par le bruit des flots. Europé elle-même portait une corbeille d’o
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mais la princesse, cueillant à pleines mains les
roses
resplendissantes à la couleur de flamme, attirait parmi elle les rega
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de voir L’Océan monstrueux qui baise ses pieds
roses
. Seul, Leconte de Lisle retrouve un peu de l’accent d’Horace, dans l
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bituel de leur troupe, charmées par la beauté des
roses
et par le bruit des flots. Europé elle-même portait une corbeille d’o
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mais la princesse, cueillant à pleines mains les
roses
resplendissantes à la couleur de flamme, attirait parmi elles les reg
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te de voir L’Océan monstrueux qui baise ses pieds
roses
. Seul, Leconte de Lisle retrouve un peu de l’accent d’Horace, dans l
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es forêts sauvages, mouchetées d’arbres rouges et
rose
pourpre d’une intensité de couleur que je n’ai jamais vue ailleurs. A
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irréel. Le paysage s’éteignait. Un dernier sommet
rose
feu disparut derrière un talus, puis le talus devint la nuit, et le m
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sans aucun doute possible. Ne fût-ce que par ces
roses
un peu gris que je me rappelle, qui s’exagèrent sans doute dans mon s