1 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
1 titre, nos jeunes barthiens, kierkegaardiens et «  réacteurs  » de diverses nuances. Je m’étonne seulement de vous voir prendre à v
2 M. Monod voulait dire : il pense que les jeunes «  réacteurs  » se placent plus volontiers sur le « terrain abstrait de l’orgueille
2 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — La religion de la croissance
3 rieur à la moyenne mondiale). Il ajoute que des «  réacteurs rapides, utilisant les matières premières actuellement connues, perme
3 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — Le grand litige
4 actuellement » serait la vitrification. Quant aux réacteurs épuisés, ils ne présentent aucun danger : on peut en faire des bureau
5 es bureaux. Il l’a vu lui-même à Marcoule où deux réacteurs (tiens, déjà ?) sont arrêtés. — Mais « l’étude d’un bon procédé » no
6 accidents. — Dès 1970 « des calculs faits pour un réacteur d’environ 150 MW, situé à quatre-vingts kilomètres de San Francisco,
7 lliards de dollars. Des calculs analogues pour un réacteur de 300 MW à Lagoona Beach, dans le Michigan, qui partaient de l’hypot
8 ls. Qui plus est, on ne peut pas laisser les gros réacteurs se refroidir tout seuls ; ils exploseraient43. Pierre Samuel nous inf
9 ave tous les huit ans. Un dernier déchet est le réacteur atomique lui-même, lorsqu’il aura terminé sa vie utile de vingt à tre
10 tier massive et immédiate de dizaines de nouveaux réacteurs . Les décisions se précipitent, prenant de court les mouvements écolog
11 seul accident mortel ne s’est produit. » — « Les réacteurs en service, au nombre de plusieurs centaines, ont eu des incidents, c
12 e reconnaît cependant « qu’il y a eu, dans trente réacteurs , du 1er janvier 1972 au 31 mai 1973, environ 850 anomalies de fonctio
13 st peu au regard des prévisions de l’AEC pour des réacteurs nains de 100 à 200 MW seulement. Les gouvernements allemand, français
14 français et suisse sont en train de construire 16 réacteurs de plus de 1000 MW chacun, dans une zone de 15 à 65 kilomètres de ray
15 raient à multiplier par 5 à 10 pour chacun de ces réacteurs à eau légère non susceptibles d’explosion nucléaire. Mais personne n’
16 yonnement, qui malgré tout traverse les parois du réacteur , ne serait guère qu’un cent quarantième de la radioactivité naturelle
17 ’homme a jamais fabriqués » ? La « propreté » des réacteurs et de leurs déchets ne sera d’ailleurs établie — si elle l’est jamais
18 ce qu’ils disent, pourquoi ne pas construire les réacteurs sur les lieux mêmes où l’on consomme la majeure partie de leur produc
19 coupé et parfaitement révélateur. La vérité : les réacteurs consomment par jour jusqu’à 40 000 m3 d’eau de refroidissement. En ca
20 s les sept ou dix ans, on déclare nécessaires des réacteurs dont on ignore encore les vrais dangers, et encore plus les moyens d’
21 important doit se cacher là derrière.   8. « Les réacteurs permettront de brûler moins de pétrole. » (Bilan énergétique.) — Cons
22 e pétrole. » (Bilan énergétique.) — Construire un réacteur coûte beaucoup d’énergie. Si la construction de centrales nucléaires
23 les États et leurs experts nous répètent que les réacteurs sont un mal nécessaire pour couvrir notre déficit énergétique durant
24 Weinberg, il faudrait construire dans le monde 4 réacteurs par semaine durant les cent prochaines années pour atteindre l’object
25 haines années pour atteindre l’objectif de 24 000 réacteurs produisant chacun 5000 MW. S’ils durent trente ans, il faudra en cons
26 clarer publiquement que l’équivalent solaire d’un réacteur de 1000 MW exigerait que l’on couvre de miroirs le territoire de troi
27 ge ! » — Qu’apporte au mieux la construction d’un réacteur  ? Quelques milliers d’emplois pendant six ans, puis tout se disperse.
28 t ainsi dans tous les pays où se construisent des réacteurs , nous constatons que les multinationales sont seules capables d’assur
29 Le noyau du pouvoir On peut penser que les réacteurs ne seront aux yeux de l’histoire qu’un épisode, une erreur de parcour
30 e, du xxe siècle. » On peut aussi penser que les réacteurs sont les structures décisives du pouvoir et de sa dynamique fondament
4 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Que tout appelle les régions
31 ans le Rhin et leurs déchets on ne sait où : sept réacteurs en France, quatre en Allemagne et cinq en Suisse, seize en tout, quan
32 arde de l’environnement. Mais l’ensemble de seize réacteurs dans un rayon restreint autour du coude du Rhin paraît tout simplemen
5 1978, Articles divers (1978-1981). Pleine page sur Denis de Rougemont (14-15 mai 1978)
33 res qui jetteront leur chaleur dans le Rhin. Sept réacteurs sont prévus en France, quatre en Allemagne, cinq en Suisse. Seize en
6 1978, Articles divers (1978-1981). Le choix du siècle (novembre 1978)
34 rganisme qui assure en France la construction des réacteurs à eau pressurisée), soit une fédération de petites communautés autono
7 1979, Rapport au peuple européen sur l’état de l’union de l’Europe. L’environnement
35 qui en possèdent, ainsi que le démantèlement des réacteurs (« conventionnels » ou surgénérateurs) qui permettraient à de nouveau
8 1980, Articles divers (1978-1981). La maîtrise sociale des besoins (avril-juin 1980)
36 s les sept ou dix ans, on déclare nécessaires des réacteurs dont on ignore encore les vrais dangers, et encore plus les moyens d’
9 1980, Articles divers (1978-1981). Lew Kowarski et la responsabilité sociale du scientifique (1980)
37 qu’une compagnie américaine vient de livrer « un réacteur à des prix qui frôlent les 100 dollars au kilowatt installé. C’est un
10 1982, Articles divers (1982-1985). De la personne à l’Europe des régions (25 mars 1982)
38 Malville qui est décrit comme la fonte du cœur du réacteur provoquée par l’interruption de son refroidissement pourrait transfor
11 1984, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Philosophie et énergie nucléaire : une mise au point (28 juin 1984)
39 atome, qui assure la maîtrise d’œuvre de tous les réacteurs français de type PWR, déclare : Les installations nucléaires ne sont