1 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
1 t tristement les lumières. Il y en a aussi qui se réchauffent sur les degrés du poêle, celles-là ne chantant pas. Parmi elles, des
2 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
2 t tristement les lumières. Il y en a aussi qui se réchauffent sur les degrés du poêle, celles-là ne chantant pas. Parmi elles, des
3 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
3 oit belle, peut-être, mais qu’elle pleure, qui me réchauffe . Parce qu’elle se tient là « vêtue de son péché », — comme une courti
4 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
4 t tristement les lumières. Il y en a aussi qui se réchauffent sur les degrés du poêle, celles-là ne chantant pas. Parmi elles, des
5 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
5 ande bûche dans le chai, c’est encore cela qui me réchauffe le mieux. Une des plaques de mica du Mirus est crevée, et toute la ch
6 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
6 ésie : Et voici que jaillit, pur feu céleste qui réchauffe et éclaire sans consumer, toute la félicité ineffable de la vie supér
7 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
7 sie : « Et voici que jaillit, pur feu céleste qui réchauffe et éclaire sans consumer, toute la félicité ineffable de la vie supér
8 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Le mythe dans la littérature
8 ésie : Et voici que jaillit, pur feu céleste qui réchauffe et éclaire sans consumer, toute la félicité ineffable de la vie supér
9 1946, Journal des deux mondes. Puisque je suis un militaire…
9 lu les « reprendre en main » et parler fort, cela réchauffe . Mais je me suis dit à part moi : eh bien oui ! bande de rouspéteurs,
10 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
10 ’est la question que je préfère. Leur familiarité réchauffe . Chaque soir, à la cafétéria — un restaurant très bon marché où l’on
11 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
11 t tristement les lumières. Il y en a aussi qui se réchauffent sur les degrés du poêle, celles-là ne chantant pas. Parmi elles, des
12 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — N’habitez pas les villes !
12 ande bûche dans le chai, c’est encore cela qui me réchauffe le mieux. Une des plaques de mica du Mirus est crevée, et toute la ch
13 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
13 lu les « reprendre en main » et parler fort, cela réchauffe . Mais je me suis dit à part moi : « Eh bien oui ! bande de rouspéteur
14 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
14 ’est la question que je préfère. Leur familiarité réchauffe . Chaque jour, à la cafétéria — un restaurant très bon marché où l’on
15 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
15 ’est la question que je préfère. Leur familiarité réchauffe . Chaque soir, à la cafétéria, — un restaurant très bon marché où l’on
16 1947, Doctrine fabuleuse. Premier dialogue sur la carte postale. La pluie et le beau temps
16 oit belle, peut-être, mais qu’elle pleure, qui me réchauffe . Parce qu’elle se tient là, vêtue de son péché — comme une courtisane
17 1957, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Au seuil d’une année décisive (février 1957)
17 projet de marché commun. Les Anglais eux-mêmes se réchauffent , et leurs ministres les préparent, avec prudence, à l’idée révolution
18 1968, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Jean Paulhan (19-20 octobre 1968)
18 . Mais c’est une voix étrangement légère et gaie, réchauffée par une pointe d’assent qui me lance, à peine passé la porte : « Mais