1
ères. Au conservatoire, le grand chœur entonna le
récitatif
du troisième acte : Ô maintenant, peuple des monts et des vallées —
2
e j’avais inventés en composant mes chœurs et mes
récitatifs
, — et que je m’étais bien gardé de lui chanter ! On sait la suite : t
3
e constitue que dans la certitude attestée par le
récitatif
du psaume ». Et l’on songe au secret de Tristan, qu’il ne peut « dire
4
t offertes À vous tous qui nous entendrez. Amen.
Récitatif
alterné1. Le récitant. Le chœur. En ce temps-là, Confédérés Pr
5
ici le Jeu de Nicolas ! 1. Pendant tous les «
récitatifs
», le chœur chante à bouche fermée, soutenant la parole du récitant.
6
lées Échos profonds de nos chants. Le chœur. (
Récitatif
et voix d’hommes.) Ô peuple des bergers, entonne la louange du sacrif
7
a guerre ? Hélas ! où courons-nous ? (Pendant ce
récitatif
, jeu de scène indiquant que les Suisses écoutent de tous côtés, dans
8
e constitue que dans la certitude attestée par le
récitatif
du psaume. » Et l’on songe au secret de Tristan, qu’il ne peut « dire
9
e constitue que dans la certitude attestée par le
récitatif
du psaume. » Et l’on songe au secret de Tristan, qu’il ne peut « dire
10
ue ; la règle des trois unités ; les transitions,
récitatifs
, coups de théâtre et contrastes ménagés ; le nombre fixe des syllabes
11
ères. Au Conservatoire, le grand chœur entonna le
récitatif
du troisième acte : Ô maintenant, peuple des monts et des vallées —
12
écessaire pour un cortège, pour une prière, ou un
récitatif
; de contrastes et ruptures de ton à ménager, de syllabes à couper ou
13
ères. Au Conservatoire, le grand chœur entonna le
récitatif
du troisième acte : Ô maintenant, peuple des monts et des vallées —