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alvin comme un simple commentaire de la pensée du
réformateur
. N’allons pas commenter à notre tour cette glose. Ce qu’il y a d’aill
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ent bien des hérésies, et celles-là mêmes que les
réformateurs
combattirent le plus âprement. Le « protestant moyen » affirme son at
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isait, en 1537, d’éditer ses œuvres complètes, le
réformateur
répondit : « Je ne reconnais aucun de mes livres pour adéquat, si ce
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parcourir au moins les œuvres capitales du grand
réformateur
. Or, il se trouve, et c’est presque incroyable, que, depuis quatre si
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langage de tous les jours, comme le faisaient les
réformateurs
, les forcer à prendre parti, je ne sais pas, moi, les engueuler ? Je
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langage de tous les jours, comme le faisaient les
réformateurs
, — les forcer à prendre parti, je ne sais pas, moi, les engueuler ! J
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isait, en 1587, d’éditer ses œuvres complètes, le
réformateur
répondit : « Je ne reconnais aucun de mes livres pour adéquat, si ce
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ne saurions plus rien de lui. C’est pourquoi les
réformateurs
insistèrent à bon droit sur son rôle politique, tandis que les cathol
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s sont dues à la plume de disciples ou d’amis des
réformateurs
: Myconius, de Zurich ; Ritter, de Saint-Gall ; Valerius Anshelm, de
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« pieux frère Claus von Unterwalden ». Les autres
réformateurs
de la Suisse allemande en font autant. Joachim von Watt, ou Vadian, l
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pape et ses erreurs. 2. Sermons et pamphlets des
réformateurs
. — En 1523 déjà, Zwingli cite l’exemple du Frère Claus dans un sermon
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Zwingli à Zurich) ; de Vadian (Joachim von Watt,
réformateur
de Saint-Gall et grand humaniste) ; d’Œcolampade (réformateur de Bâle
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de Saint-Gall et grand humaniste) ; d’Œcolampade (
réformateur
de Bâle) ; d’Ulrich Campell, pasteur de Coire. Ajoutons qu’en 1585, u
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e trait sera relevé et souligné plus tard par les
réformateurs
, en particulier par Vadian. b. « Nicolas de Flue et la Réforme », Le
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t tenu le petit raisonnement que voici : Pour les
réformateurs
, l’homme devant Dieu égale zéro. Pour les modernes, un protestant éga
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ns de les dégager sommairement. Le but unique des
réformateurs
était de restaurer la fidélité de l’Église à la Parole de Dieu. Jamai
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ectacle de l’Europe contemporaine donne raison au
réformateur
. Et je ne crois pas être infidèle à sa pensée en y ajoutant cette pré
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t tenu le petit raisonnement que voici : Pour les
réformateurs
, l’homme devant Dieu égale zéro. Pour les modernes, un protestant éga
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ns de les dégager sommairement. Le but unique des
réformateurs
était de restaurer la fidélité de l’Église à la Parole de Dieu. Jamai
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ectacle de l’Europe contemporaine donne raison au
réformateur
. Et je ne crois pas être infidèle à sa pensée en y ajoutant cette pré
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t tenu le petit raisonnement que voici : pour les
réformateurs
, l’homme devant Dieu égale zéro ; pour les modernes, un protestant ég
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ns de les dégager sommairement. Le but unique des
réformateurs
était de restaurer la fidélité de l’Église à la Parole de Dieu. Jamai
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ectacle de l’Europe contemporaine donne raison au
réformateur
. Et je ne crois pas être infidèle à sa pensée en y ajoutant cette pré
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faisait en 1537 d’éditer ses œuvres complètes, le
réformateur
répondit : « Je ne reconnais aucun de mes livres pour adéquat, si ce
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n, tandis que le théocentrisme transcendantal des
réformateurs
faisait place, chez les protestants, à un moralisme centré sur l’homm
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langage de tous les jours, comme le faisaient les
réformateurs
, — les forcer à prendre parti, je ne sais pas, moi, les engueuler ! J
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n, tandis que le théocentrisme transcendantal des
réformateurs
faisait place, chez, les protestants, à un moralisme centré sur l’hom
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objecteur de conscience, le révolutionnaire ou le
réformateur
; mais cela donne aussi le chercheur dans les sciences et l’innovateu
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qui ne surent pas s’effacer à temps, tels que le
réformateur
Zwingli et l’homme d’État et condottiere zurichois Waldmann, connuren
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ne opposition croissante se manifestait contre le
réformateur
. Les catholiques le surnommaient le « bailli de tous les Confédérés »
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ut la carrière politique autant que religieuse du
réformateur
zurichois, sa fin tragique sur le champ de bataille de Kappel. Beauco
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la Confédération des XIII cantons. Et l’œuvre du
réformateur
français qu’elle adopte va rayonner dans toute l’Europe, et plus tard
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iniste. Non point qu’on lise encore les œuvres du
réformateur
de Zurich, ni que ses doctrines soient enseignées. Mais il a proposé
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ois millénaires, en dépit de tous les efforts des
réformateurs
religieux, du Bouddha, de l’islam, mais non pas des Anglais… À l’Oues
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ois millénaires, en dépit de tous les efforts des
réformateurs
religieux, du Bouddha, de l’islam, mais non pas des Anglais… À l’Oues
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r à Rome d’abord, dit l’Église catholique. Et les
réformateurs
ne seront pas moins exclusifs, encore qu’ils simplifient le système d
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ée pure. Médecins praticiens, guérisseurs d’âmes,
réformateurs
politiques ou religieux, négociateurs de grandes affaires publiques,
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hiavélienne de la virtù guerrière. C’est celle du
réformateur
de la Suède, Olaus Petri (1497-1552), qui fut le chancelier du roi Gu
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grande scène européenne : ses capitaines sont le
réformateur
Zwingli, le peintre-poète Manuel, le médecin-philosophe Paracelse, et
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systèmes. Médecins praticiens, guérisseurs d’âme,
réformateurs
politiques ou religieux, négociateurs de grande affaires publiques, t
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n, tandis que le théocentrisme transcendantal des
réformateurs
faisait place, chez, les protestants, à un moralisme centré sur l’hom
42
’âmes, mystiques intervenant pour sauver la cité,
réformateurs
politiques ou religieux, négociateurs de grandes affaires publiques à
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utes. Luther et Calvin n’ont pas été les premiers
réformateurs
de l’Église, et ne seront pas les derniers. Défendre l’héritage de la
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ation… Se pourrait-il qu’elle ait bientôt plus de
réformateurs
vivants et d’avenir que nous n’en vénérons dans notre histoire ? Bon
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devise de Nicolas Manuel, peintre, poète, soldat,
réformateur
, banneret de Berne, et Suisse selon mon cœur. Ferney-Voltaire, mai 19
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’âmes, mystiques intervenant pour sauver la cité,
réformateurs
politiques ou religieux, négociateurs de grandes affaires publiques à
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, dont le premier est Frobenius. Zurich, avec les
réformateurs
Zwingli et Bullinger, auxquels se joignent le Saint-Gallois Vadian et
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a Confédération des treize cantons. Et l’œuvre du
réformateur
français, qu’elle adopte, va rayonner dans toute l’Europe, et plus ta
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iniste. Non point qu’on lise encore les œuvres du
réformateur
de Zurich, ni même que ses doctrines soient enseignées. Mais il a pro
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mme Tell « notre Brutus ». Dans le même sens, les
réformateurs
Zwingli et Bullinger, au milieu du siècle, font l’éloge de Tell, « au
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tive, on ne peut refuser d’accorder aux écrivains
réformateurs
de la première moitié du xixe siècle, le bénéfice de l’extrême fraîc
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tive, on ne peut refuser d’accorder aux écrivains
réformateurs
de la première moitié du xixe siècle le bénéfice de l’extrême fraîch
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e sur les bases de la dogmatique des Pères et des
réformateurs
ou de Thomas d’Aquin. Ses problèmes centraux peuvent être tenus pour
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d’une vocation, selon l’expérience des Pères, des
réformateurs
, et aussi des meilleurs psychologues de ce temps, qui peuvent au moin
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objecteur de conscience, le révolutionnaire ou le
réformateur
; cela donne dans les sciences le chercheur, et l’innovateur dans les
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IX ne semble pas avoir pris au sérieux l’œuvre de
réformateur
qui s’attachait, paraît-il, à sauver de l’enfer des filles débauchées
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pirituelle, et même économique. Certes, les trois
réformateurs
décisifs : Calvin et Théodore de Bèze à Genève, Guillaume Farel à Neu
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ret (chef des troupes), et pour couronner le tout
réformateur
de Berne ; Zurich avec les réformateurs Zwingli et Bullinger auxquels
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er le tout réformateur de Berne ; Zurich avec les
réformateurs
Zwingli et Bullinger auxquels se joignent le Saint-Gallois Vadian et
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une de ses étymologies. 12 décembre 1969 Pour les
réformateurs
, le nouvel homme (l’homme rénové par l’esprit), c’est l’individu natu