1
otre civilisation, il y a un problème de morale à
résoudre
, une conscience individuelle à recréer. Nous y employer, pour l’heure
2
d’un problème que l’on pressent trop complètement
résolu
dès les premières pages, mais qu’il faut louer Mme Rivier d’avoir pos
3
tions esthétiques et sociales d’aujourd’hui. Pour
résoudre
la crise de notre civilisation sous cet aspect comme sous les autres,
4
nt, c’est de ne pas se défaire. Mais rien n’était
résolu
. Me voici devant quelques problèmes dont je sais qu’il est absolument
5
e sais qu’il est absolument vain de prétendre les
résoudre
, mais que je dois feindre d’avoir résolus : c’est ce qui s’appelle vi
6
re les résoudre, mais que je dois feindre d’avoir
résolus
: c’est ce qui s’appelle vivre. Problème de Dieu, à la base. J’aurai
7
éens ne sauraient l’atteindre. Au contraire, il a
résolu
la question sociale d’une façon qui ne devrait pas déplaire aux doctr
8
: Le problème de la production a été brillamment
résolu
… Mais nous nous absorbons trop dans ce que nous faisons et ne pensons
9
était pas un problème aisé : Guy de Pourtalès l’a
résolu
d’une façon fort adroite mais non moins franche. av. « Guy de Pourt
10
qui souffre, un jeune frère qui rêve. Le livre se
résout
dans une amertume vague. Ceux qui ont lu la Mort difficile de René Cr
11
» Ou si on les pose, ajouterai-je, c’est pour les
résoudre
aussitôt et d’une manière aussi peu compromettante que possible. Dire
12
udeur française de supprimer ce qu’ils ne peuvent
résoudre
sur-le-champ. Ils mettent en jeu des systèmes de valeurs plus ramifié
13
-Augustin a formulé cette question, qu’il n’osait
résoudre
, bien des mystiques, des poètes, des philosophes, des psychiatres, de
14
ncontre, là où le créateur, supposant le problème
résolu
(Racine), fait une œuvre d’art. Ou bien encore, l’artiste, usant de c
15
urelle, confie à des figures le soin hasardeux de
résoudre
ses antinomies (Goethe) ; que si elles y échouent, il restera du moin
16
ersons une crise d’adaptation, et il s’agit de la
résoudre
dans le sens d’une philosophie de la vie qui rende aux valeurs spirit
17
s matérielles fastidieuses ; cela permet aussi de
résoudre
certains conflits apparemment sans issues : les acteurs du drame n’hé
18
e du désespoir et revenu au monde merveilleux. Il
résolut
de vivre fermement dans sa sphère actuelle, enrichi par la force de l
19
le plan intellectuel, pour les autres, mais de la
résoudre
d’abord pour son compte et par un acte intérieur contraignant, un act
20
avantage aux autres11… L’homme n’est pas né pour
résoudre
le problème de l’univers, mais bien pour rechercher où tend ce problè
21
ence, commence par le déclarer insoluble, puis se
résout
à laisser faire à d’autres, et par d’autres, ce qu’il ne voudrait pas
22
un art de synthèses pratiques ; son office est de
résoudre
dans la mesure de l’utile des difficultés naturelles. Mais la foi, bi
23
ments fussent successifs : c’était un moyen de la
résoudre
. Et c’est justement cette « résolution » que combattra Kierkegaard. C
24
tique, — celui pourtant, depuis trente ans, qu’il
résout
par l’acte d’écrire… Moi je suis dans les buis, près des basses du pe
25
; les autres, aimer pour connaître. Débat qui se
résout
dans une synthèse, comme toujours : au point de perfection, aimer et
26
rtition des terres. Question que la nature du sol
résoudra
seule durablement. Les landes de la Prusse-Orientale sont très irrégu
27
ments fussent successifs : c’était un moyen de la
résoudre
. Et c’est justement cette « résolution » que combattra Kierkegaard. C
28
tique, — celui pourtant, depuis trente ans, qu’il
résout
par l’acte d’écrire… Moi je suis dans les buis, près des basses du pe
29
; les autres, aimer pour connaître. Débat qui se
résout
dans une synthèse, comme toujours : au point de perfection, aimer et
30
rtition des terres. Question que la nature du sol
résoudra
seule durablement. Les landes de la Prusse-Orientale sont très irrégu
31
Heller) nombreux sont les groupements politiques,
résolus
à la rupture, qui se réclament hautement de leur foi. Les éléments ex
32
ive vient de ce que seul, aujourd’hui, il prétend
résoudre
cette question, d’ailleurs essentiellement chrétienne : « Quelle est
33
uleversée. Critiquer les doctrines qui prétendent
résoudre
humainement les conflits essentiels ; rejeter toutes les solutions fa
34
u engagé dans le conflit créateur. Conflit qui se
résout
par l’acte, — cet acte provoquant un conflit et un risque nouveaux, g
35
apitalistes prétendent, chacun à leur manière, le
résoudre
. Ils se disputent sur la manière. Mais leur dispute se passe sur un p
36
ue pour celui qui peut l’incarner dans sa vie, le
résoudre
au concret, ou bien périr par lui. Il n’y a pas au monde un seul prob
37
» L’originalité d’une morale individuelle apte à
résoudre
les conflits sociaux se réduirait probablement aux vertus de surdité,
38
le conflit fécond, la communion du tu et du je se
résout
pratiquement dans un nous, qu’on oppose alors fièrement aux ils des s
39
véritable et profonde acuité d’une dialectique à
résoudre
en actes. C’est l’un des traits les plus frappants du Calvin commenta
40
a personne. Elle est la personne même. Elle ne se
résout
pas dans une indignation ni dans une compréhension résignée, mais dan
41
fondamentale de l’univers antique, ne pouvait se
résoudre
sur le plan humain et rien qu’humain. Elle devait conduire l’humanité
42
blème sentimental douloureux, et qui cherche à le
résoudre
, d’abord par le plaisir, dans ses formes supérieures, puis par la sag
43
x soucis quotidiens »12, pour éviter, en fait, de
résoudre
le drame. Et c’est la bonne conscience idéaliste du régime. « Littéra
44
hie ne se développera pas impunément : elle va se
résoudre
en violences. Il n’y a pas d’exemples, dans l’histoire, qu’une littér
45
c’est dans les campagnes seulement que pourra se
résoudre
l’angoissant problème des cités. Mais il faudrait d’abord transformer
46
us parlons du concret, nous supposons le problème
résolu
. Seule, une valeur déterminée de l’inconnue donne une réalité aux rel
47
estions, un « prochain » et non pas un problème à
résoudre
à distance ; en un mot, si l’homme est un acte. 4. L’acte est insa
48
s là mon choix, c’est une obligation à quoi je me
résous
en maudissant le désordre du temps. L’occasion seule, sous la contrai
49
était donc fatal que le conflit individu-État fût
résolu
au profit du plus grand des deux et aboutît à une espèce d’abdication
50
un art de synthèses pratiques ; son office est de
résoudre
dans la mesure de l’utile des difficultés naturelles. Mais la foi, bi
51
rté : sa mort est derrière lui. Le problème a été
résolu
, c’est pourquoi le croyant a le droit de parler avec résolution même
52
me des fins humaines est assez clairement posé et
résolu
par le marxisme. Contre le communisme, une polémique doctrinale est j
53
elle se posait la question, — la loi n’ayant rien
résolu
— et les régions et professions dans lesquelles la question ne se pos
54
s là mon choix, c’est une obligation à quoi je me
résous
en maudissant le désordre du temps. L’occasion seule, sous la contrai
55
était donc fatal que le conflit individu-État fût
résolu
au profit du plus grand des deux et aboutît à une espèce d’abdication
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un art de synthèses pratiques ; son office est de
résoudre
dans la mesure de l’utile des difficultés naturelles. Mais la foi, bi
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rté : sa mort est derrière lui. Le problème a été
résolu
, c’est pourquoi le croyant a le droit de parler avec résolution même
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me des fins humaines est assez clairement posé et
résolu
par le marxisme. Contre le communisme, une polémique doctrinale est j
59
de leur existence, ce problème qu’ils ne peuvent
résoudre
jusqu’à ce que, dans leur maladie justement, percevant leur question
60
résulte inévitablement d’une crise que la foi ne
résout
pas (en lui substituant une autre crise plus radicale et salutaire) c
61
spirituel étouffé par la force, sans être en rien
résolu
pour autant, fermente et empoisonne la vie morale de la nation. Il de
62
ression de tels complexes). II Rien n’étant
résolu
, sur le plan spirituel, par l’édit, mais les parties se trouvant liée
63
aut-il le redire ? La théologie n’est pas là pour
résoudre
concrètement nos problèmes. Elle a pour but de les poser, de nous don
64
? A-t-il des lumières spéciales sur les moyens de
résoudre
la crise, d’organiser la production ou de conclure des traités ? Et s
65
nse que beaucoup d’entre vous ont, dès longtemps,
résolu
ces questions, dans la mesure où cela se peut. Mais il fallait qu’ell
66
ensation. C’est l’expression de son impuissance à
résoudre
ce que j’appellerais le « problème des gens », qui est moins grandios
67
s l’intelligentsia parisienne, pourraient bien se
résoudre
, au cours de ces débats et sous la pression populaire, en une espèce
68
évolution, nous33. Nous avons un autre problème à
résoudre
maintenant. Le spirituel est réglé. Mais qu’allons-nous faire de notr
69
jusqu’à 1930 ? Ce travail de base permettrait de
résoudre
un délicat problème de Critique littéraire : calculer l’âge du capita
70
rucifie ! et relâche Barabbas — opposition qui se
résout
pratiquement en unanimité contre le Christ, contre l’esprit incarné e
71
oser enfin les questions que la France se doit de
résoudre
pour l’Europe, et de les poser sous la forme concrète d’une série de
72
isterait. Mais il est urgent de la poser et de la
résoudre
dans notre temps. Tout de suite, une dame m’interrompt : « Je croyais
73
s il met son espoir et sa foi dans ce miracle qui
résoudrait
seul le conflit du calcul et du rêve, du matériel et de l’humain, de
74
oute la question est de savoir si nous les aurons
résolus
, dans nos catégories occidentales. Sinon, il sera toujours temps d’al
75
orps. Mais les problèmes spirituels n’ont pas été
résolus
pour autant. Vous avez reculé la question de dix ans ou d’un siècle,
76
nonce et rend caducs, mais une force nouvelle qui
résolve
la crise dans le sens de notre destin. 5. Le dilemme. Je parle ici
77
urope des religions nouvelles nous met au défi de
résoudre
sur tous les plans le grand dilemme que voici : — ou bien nous perdro
78
aujourd’hui d’opérer cette synthèse concrète qui
résoudra
en créations toujours nouvelles le vieux conflit de l’individu et de
79
qui se posait aux jacobins, mais les moyens de le
résoudre
seront nécessairement tout autres. Les jacobins, en effet, défendaien
80
blèmes que nous sommes en état de poser, sinon de
résoudre
du tout. (Mais la vie ne s’arrête pas pour si peu.) La nature des cho
81
Or, on n’arrête pas une décadence en essayant de
résoudre
les faux problèmes ou les problèmes sans issue qu’elle a fait naître.
82
l’existence d’un problème est déjà un essai de le
résoudre
, et la preuve qu’on pressent sa solution. Et qu’ainsi toute critique
83
radoxe que les systèmes de Hegel et de Comte vont
résoudre
magistralement. Hegel : « Tout ce qui est réel est rationnel » — voil
84
s il met son espoir et sa foi dans ce miracle qui
résoudrait
seul le conflit du calcul et du rêve, du matériel et de l’humain, de
85
a question est alors de savoir si nous les aurons
résolus
, dans nos catégories occidentales. Sinon, il sera toujours temps d’al
86
orps. Mais les problèmes spirituels n’ont pas été
résolus
pour autant. Vous avez reculé la question, de dix ans ou d’un siècle,
87
nous nous condamnons en même temps à ne jamais le
résoudre
totalement. Or, c’est ici toute la question. Faut-il résumer claireme
88
nonce et rend caducs, mais une force nouvelle qui
résolve
la crise dans le sens de notre destin. 5° Le dilemme. — Je parle ici
89
urope des religions nouvelles nous met au défi de
résoudre
sur tous les plans le grand dilemme que voici : ou bien nous perdrons
90
aujourd’hui d’opérer cette synthèse concrète qui
résoudra
en création toujours nouvelle le vieux conflit de l’individu et de la
91
ent définir le principe ni les limites, à quoi se
résout
-il effectivement ? À ce recours à un système ou à une convention, ou
92
j’ai plus de respect pour ceux qui posent et qui
résolvent
le problème avec une brutalité souvent naïve, endossant loyalement le
93
combat, d’assumer les conflits vitaux, et de les
résoudre
en création. Voilà la grande opposition d’où nous partons. Il ne suff
94
nismes inhumains ou trop humains ; tension qui se
résout
en acte, et tout acte, nous l’avons vu, est à contre-courant, à contr
95
ue pour celui qui peut l’incarner dans sa vie, le
résoudre
au concret, ou bien périr par lui. Il n’y a pas au monde un seul prob
96
» L’originalité d’une morale individuelle apte à
résoudre
les conflits sociaux se réduirait probablement aux vertus de surdité,
97
conflit fécond, la communion du toi et du moi se
résout
pratiquement dans un nous, que l’on oppose aux ils des sociologues po
98
de tout conflit fécond, de tout conflit qui ne se
résout
point dans une séparation mauvaise, mais dans un acte créateur, règne
99
blèmes que nous sommes en état de poser, sinon de
résoudre
du tout. (Mais la vie ne s’arrête pas pour si peu.) La nature des cho
100
Or, on n’arrête pas une décadence en essayant de
résoudre
les faux problèmes ou les problèmes sans issue qu’elle a fait naître.
101
l’existence d’un problème est déjà un essai de le
résoudre
, et la preuve qu’on pressent sa solution. Et qu’ainsi toute critique
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radoxe que les systèmes de Hegel et de Comte vont
résoudre
magistralement. Hegel : « Tout ce qui est réel est rationnel » — voil
103
s il met son espoir et sa foi dans ce miracle qui
résoudrait
seul le conflit du calcul et du rêve, du matériel et de l’humain, de
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a question est alors de savoir si nous les aurons
résolus
, dans nos catégories occidentales. Sinon, il sera toujours temps d’al
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orps. Mais les problèmes spirituels n’ont pas été
résolus
pour autant. Vous avez reculé la question, de dix ans ou d’un siècle,
106
nous nous condamnons en même temps à ne jamais le
résoudre
totalement. Or, c’est ici toute la question. Faut-il résumer claireme
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nonce et rend caducs, mais une force nouvelle qui
résolve
la crise dans le sens de notre destin. 5° Le dilemme. — Je parle ici
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urope des religions nouvelles nous met au défi de
résoudre
sur tous les plans le grand dilemme que voici : ou bien nous perdrons
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aujourd’hui d’opérer cette synthèse concrète qui
résoudra
en création toujours nouvelle le vieux conflit de l’individu et de la
110
ent définir le principe ni les limites, à quoi se
résout
-il effectivement ? À ce recours à un système ou à une convention, ou
111
j’ai plus de respect pour ceux qui posent et qui
résolvent
le problème avec une brutalité souvent naïve, endossant loyalement le
112
e combat, d’assumer les conflits vitaux et de les
résoudre
en création. Voilà la grande opposition d’où nous partons. Il ne suff
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nismes inhumains ou trop humains ; tension qui se
résout
en acte, et tout acte, nous l’avons vu, est à contre-courant, à contr
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ue pour celui qui peut l’incarner dans sa vie, le
résoudre
au concret, ou bien périr par lui. Il n’y a pas au monde un seul prob
115
» L’originalité d’une morale individuelle apte à
résoudre
les conflits sociaux se réduirait probablement aux vertus de surdité,
116
conflit fécond, la communion du toi et du moi se
résout
pratiquement dans un nous, que l’on oppose aux ils des sociologues po
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de tout conflit fécond, de tout conflit qui ne se
résout
point dans une séparation mauvaise, mais dans un acte créateur, règne
118
s l’Empire68 — qui masqua pour un temps, sans les
résoudre
, les problèmes réels. L’Empire ne représente, économiquement parlant,
119
’est la guerre de 1914. Cet inévitable conflit ne
résout
rien, bien au contraire. Il suscite une formidable concurrence extrae
120
rsiste à croire, malgré tout, que c’est elles qui
résoudront
le mieux le problème de la culture, — si toutefois elles se le posent
121
ommuniste français… fait confiance pour l’aider à
résoudre
les problèmes de la paix, de la liberté et du pain des hommes. » Auta
122
communiste français fait confiance pour l’aider à
résoudre
les problèmes de la paix, de la liberté et du pain des hommes »ad. À
123
ve, paresseuse, et donc faible, mais d’essayer de
résoudre
« à la française » le problème de l’autorité, tel que le posent cinqu
124
éclaration : « La France est un pays comblé qui a
résolu
tous les problèmes économiques urgents. La preuve en est fournie par
125
elle accepte les conflits, les fait mûrir et les
résout
en créations. Mais la méthode qui règne actuellement dans les « démoc
126
seraient l’expression d’un effort admirable pour
résoudre
l’antinomie du rationalisme et du néo-platonisme sous l’égide de la f
127
oit de « ce qu’ils disent », il faut donc bien se
résoudre
à de grossières approximations. Le danger serait alors d’ignorer qu’i
128
e parce qu’elle est d’abord un problème moral non
résolu
. Pour la majorité des modernes, la menace de pauvreté ne signifie pas
129
es simagrées d’un sorcier à un nègre. J’essaie de
résoudre
un problème que je dis les concerner, et dont aucun d’entre eux n’a j
130
es, de facilité. C’est refuser le conflit, non le
résoudre
. Car la question, la permanente et vraie question est celle des relat
131
t ceux qui se la posent — sans même parvenir à la
résoudre
— sont simplement de pauvres types ? « Parlez-moi des avions de bomba
132
ve, paresseuse, et donc faible, mais d’essayer de
résoudre
« à la française » le problème de l’autorité, tel que le posent cinqu
133
claration : « La France est un pays comblé, qui a
résolu
tous les problèmes économiques urgents. La preuve en est fournie par
134
i supprime les problèmes au lieu d’essayer de les
résoudre
, et fait converger des refus au lieu de composer des efforts. Program
135
a solution des problèmes que d’autres, n’ayant pu
résoudre
, ont essayé de supprimer en se donnant à un Führer. Ce que le monde a
136
moral des grandes et des petites démocraties pour
résoudre
à leur manière propre le problème religieux (plus que social) qu’ont
137
re le problème religieux (plus que social) qu’ont
résolu
, vaille que vaille, les dictateurs. Refaire une commune mesure vivant
138
de savoir si nous saurons mettre à profit pour le
résoudre
le délai que nous accordent encore une situation matérielle supportab
139
domontade gratuite, puisqu’en principe tout était
résolu
. Seul, le Premier ministre anglais sut voir et dire qu’il y avait là
140
issent adaptées. Et nous aurions la prétention de
résoudre
d’un coup, en une seule vie, le problème de l’adaptation de deux être
141
nt plus insoluble que l’on tient davantage à le «
résoudre
» au sens rationnel de ce terme. Certes, il y a du sophisme dans mon
142
aspect de mon « problème des gens », vous l’avez
résolu
d’une manière que, pour ma part, je ne saurais qualifier que d’idéale
143
révolution, nous. Nous avons un autre problème à
résoudre
maintenant. Le spirituel est réglé… officiellement du moins. Mais qu’
144
moral des grandes et des petites démocraties pour
résoudre
à leur manière propre le problème religieux (plus que social), qu’ont
145
e le problème religieux (plus que social), qu’ont
résolu
, vaille que vaille, les dictateurs. Refaire une commune mesure vivant
146
de savoir si nous saurons mettre à profit pour le
résoudre
le délai que nous accordent encore une situation matérielle supportab
147
qui se posait aux jacobins, mais les moyens de le
résoudre
seront nécessairement tout autres. Les jacobins, en effet, défendaien
148
qu’il brûle. Cette contradiction insurmontable se
résout
pratiquement par un mensonge (le feu ne brûle pas), et par un transfe
149
e ». C’est la passion-catastrophe, qui ne peut se
résoudre
que dans la mort, et inspirera tout le romantisme. Mais elle inspire
150
érudits, se sont posé la question sans pouvoir la
résoudre
. Pour moi, l’explication n’est pas douteuse. L’amour courtois est dir
151
eux que l’adversaire au problème qu’il tentait de
résoudre
, à ce problème du vide social, communautaire, qui dès maintenant se p
152
ue Don Juan fuit à peine atteints. Faudra-t-il se
résoudre
à soumettre le cas aux docteurs indiscrets de l’école viennoise ? Le
153
ce que les gouvernements de l’Europe n’ont pas su
résoudre
autrement le problème des minorités, allemandes, tchèques, slovaques