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ades d’un cymbalum. Aux parois, la prière pour la
résurrection
de la Hongrie, des portraits de lord Rothermere, et sur toutes les po
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u’elle lui apporte, de l’extérieur, le gage de la
résurrection
. (La grâce n’est pas accordée aux « justes », mais bien aux condamnés
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nd Pan, c’est notre angoisse devant la Nature. La
Résurrection
nous délivre de cette angoisse en nous révélant l’éternité perdue de
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e psychologique et historique de la croyance à la
résurrection
de Jésus ? C’est ainsi que M. Goguel définit l’objet de sa recherche,
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marquable les diverses formes de la croyance à la
résurrection
chez Paul et Jean, puis chez les rédacteurs des évangiles, enfin chez
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rétisation toujours plus rigoureuse du fait de la
résurrection
. Il lui reste alors, dans une deuxième partie, à défaire cette histoi
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classiques de l’incroyance (l’assimilation de la
résurrection
de Jésus au mythe du Dieu mort et ressuscité, en particulier). Pour M
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-35. Il s’agit d’une note critique de La Foi à la
résurrection
de Jésus dans le christianisme primitif, de Maurice Goguel, publié à
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pect proprement matériel. 20. La certitude de la
résurrection
n’a rien à voir avec une survie de l’âme. L’homme meurt totalement, p
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’Église chrétienne, dans son Credo, parle d’une «
résurrection
de la chair », non pas de l’âme ni du corps. h. « Définition de la p
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t gagé sur le fait historique de la mort et de la
résurrection
de Jésus-Christ. Ce fait existe. Mon action consiste à m’en rendre co
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t gagé sur le fait historique de la mort et de la
résurrection
de Jésus-Christ. Ce fait existe. Mon action consiste à m’en rendre co
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sse a été surmontée, une fois pour toutes, par la
résurrection
de Jésus-Christ. Pardonnez mon langage, peut-être trop ecclésiastique
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nons la Cène, communiant ainsi avec la mort et la
résurrection
de Jésus-Christ. Certes, ce n’est pas là une expérience ! Ou plutôt,
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ique, renvoient à un motif unique : la mort et la
résurrection
de Jésus-Christ. Ni l’attente passive, ni l’ardeur messianique, ne so
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être que l’illic et tuc de cette Mort et de cette
Résurrection
peut devenir quelque part, dans une vie, le hic et nunc de la foi ? M
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ue dire maintenant du voyage lui-même ? C’est une
résurrection
de ce que Vigny pleurait, la poésie des diligences, mais aérée. C’est
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ue dire maintenant du voyage lui-même ? C’est une
résurrection
de ce que Vigny pleurait, la poésie des diligences, mais aérée. C’est
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ue dire maintenant du voyage lui-même ? C’est une
résurrection
de ce que Vigny pleurait, la poésie des diligences, mais aérée. C’est
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on d’un seul et même événement.) Si je crois à la
Résurrection
et au don actuel du Christ dans la foi, certifié et scellé par les si
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fin absolue de l’Histoire : la catastrophe et la
résurrection
pour le Jugement. Et derrière lui retentit cette parole : « Tout est
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rtistique, le public apprécie et s’incline. Cette
résurrection
de Nicolas de Flue le prouvera en même temps qu’elle donnera une gran
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est la seule tragédie courtoise, et la plus belle
résurrection
du mythe avant le Tristan de Wagner. Tant qu’on ignore à peu près tou
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est la seule tragédie courtoise, et la plus belle
résurrection
du mythe avant le Tristan de Wagner. Tant qu’on ignore à peu près tou
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est la seule tragédie courtoise, et la plus belle
résurrection
du mythe avant le Tristan de Wagner. Tant qu’on ignore à peu près tou
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connaître à ses disciples sa mort prochaine et sa
résurrection
. Alors Pierre s’est mis à le reprendre : « À Dieu ne plaise, Seigneur
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t par leur esprit même au processus de mort et de
résurrection
qu’elles avaient pour mission d’animer. Or dans toute la mesure où un
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connaître à ses disciples sa mort prochaine et sa
résurrection
. Alors Pierre s’est mis à le reprendre : « À Dieu ne plaise, Seigneur
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t par leur esprit même au processus de mort et de
résurrection
quelles avaient pour mission d’animer. Or dans toute la mesure où une
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e sauraient y passer, comme péché, grâce, mort et
résurrection
; ou bien vous parlez du péché, de la grâce et du sacrifice, mais ces
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ver dans le Tartare. Tantale, ne croyant pas à la
résurrection
, ni au pardon, ni au salut que lui vaudrait un instant de pur abandon
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a été racheté, et qu’il a reçu la promesse de sa
résurrection
individuelle. Il est donc à la fois engagé et libéré, et ceci en vert
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ue dire maintenant du voyage lui-même ? C’est une
résurrection
de ce que Vigny pleurait, la poésie des diligences, mais aérée. C’est
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on d’un seul et même événement.) Si je crois à la
Résurrection
et au don actuel du Christ dans la foi, certifié et scellé par les si
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fin absolue de l’Histoire : la catastrophe et la
résurrection
pour le Jugement. Et derrière lui retentit cette parole : « Tout est
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ver dans le Tartare. Tantale, ne croyant pas à la
résurrection
, ni au pardon, ni au salut que lui vaudrait un instant de pur abandon
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e sauraient y passer, comme péché, grâce, mort et
résurrection
; ou bien vous parlez du péché, de la grâce et du sacrifice, mais ces
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annonce du renouveau européen avec la fête de la
Résurrection
. Mais rien n’est venu jusqu’ici. Eh ! bien, si ce n’est pas pour Pâqu
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enouvellement. Je dirai mieux : notre capacité de
résurrection
. À force d’imagination et de courage, nos rêves ne se perdent pas dan
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n’en affirme pas moins sa délivrance finale et sa
résurrection
. Cette dialectique violente et tourmentée, cette insistance des évang
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fois en Jésus-Christ, et promis au croyant par la
Résurrection
. Dès lors le témoignage de nos sens n’est pas vain : il est certes af
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métempsycose évacue les sanctions redoutées de la
résurrection
: le martyr qui revient, portant sa tête sous le bras ! Qu’en est-il
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espèce de doctrine de l’Histoire : il annonce la
Résurrection
, qui est victoire sur le temps comme sur la mort. Mais c’est bien à p
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ormant le réel insensé en un poème de morts et de
résurrections
dominées par des rythmes et par des archétypes qui s’accordent à ceux
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ermet d’assumer le temps dans sa réalité. Sans la
Résurrection
, l’homme n’aurait pas la preuve d’une existence qui échappe au temps
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métempsycose évacue les sanctions redoutées de la
résurrection
: le martyr qui revient, portant sa tête sous le bras ! Qu’en est-il
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espèce de doctrine de l’Histoire : il annonce la
Résurrection
, qui est victoire sur le Temps comme sur la mort. Mais c’est bien à p
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ormant le réel insensé en un poème de morts et de
résurrections
dominées par des rythmes et par des archétypes qui s’accordent à ceux
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ermet d’assumer le temps dans sa réalité. Sans la
Résurrection
, l’homme n’aurait pas la preuve d’une existence qui échappe au temps
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n’en affirme pas moins sa délivrance finale et sa
résurrection
. Cette dialectique violente et tourmentée, cette insistance des évang
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fois en Jésus-Christ, et promis au croyant par la
Résurrection
. Dès lors le témoignage de nos sens n’est pas vain : il est certes af
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, le Christ, le Saint-Esprit, l’Incarnation et la
Résurrection
, sont communément professés ; qu’un même Credo y est lu tous les dima
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’âme chrétienne doit le transfigurer, — d’où la «
résurrection
de la chair ». Il en va de même pour le bouddhisme originel. Qu’est-c
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131. 63. Henry Corbin, Terre céleste et corps de
résurrection
, 1960, p. 31. 64. Sur les solutions proposées à ce problème par l’In
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’âme chrétienne doit le transfigurer, — d’où la «
résurrection
de la chair ». Il en va de même pour le bouddhisme originel. Qu’est-c
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31. 97. Henry Corbin : Terre céleste et corps de
résurrection
, 1960, p. 31. 98. Sur les solutions proposées par l’Inde, le taoïsme
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ie spirituelle Une femme a eu sept maris. À la
résurrection
, duquel sera-t-elle la femme ? demandent à Jésus les sadducéens. Jésu
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vés dignes d’avoir part au siècle à venir et à la
résurrection
des morts ne prendront ni femmes ni maris. Car ils ne pourront plus m
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, et qu’ils seront fils de Dieu, étant fils de la
Résurrection
(Luc, XX, 34-36). Ses disciples lui dirent : Si telle est la conditio
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. Selon la démonstration de Victor Bérard dans sa
Résurrection
d’Homère, chap. VIII, Hésiode aurait vécu vers l’an 900, Homère vers
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Penguin Books, Londres, 1955. 8. V. Bérard : La
Résurrection
d’Homère, p. 207, Paris, 1930. 9. Notons que cette interprétation «
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en vain.) C’est à Ernest Renan que nous devons la
résurrection
de ce projet, enterré pendant cinq siècles dans la paix des archives
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tres continents attendent la réconciliation et la
résurrection
de l’Europe pour se joindre à elle et devenir concitoyens du Royaume
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ne couronne d’éléments qui saluassent sa première
résurrection
? » Cf. Dora Melegari, La Jeune Italie et la Jeune Europe, Paris, 190
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’humanisme européen est-il devenu incapable d’une
résurrection
qui rendrait à ses principes leur valeur de combat ? S’il n’est pas p
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enouvellement. Je dirai mieux : notre capacité de
résurrection
. À force d’imagination et de courage, nos rêves ne se perdent pas dan
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t des Phéniciens en Béotie, cf. Victor Bérard, La
Résurrection
d’Homère, p. 190 et 191, Paris, 1930. 11. Genèse, 9, 20 à 27, et tou
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C’est l’insistance paulinienne sur la mort et la
résurrection
du Christ interprétées comme promesses d’une vie future, et par là mê
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a été racheté, et qu’il a reçu la promesse de sa
résurrection
individuelle. Il est donc à la fois engagé et libéré, et ceci en vert
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19. Cf. Henry Corbin, Terre céleste et Corps de
Résurrection
, Buchet-Chastel, Paris, 1960. 20. L’adjectif « français », plus que
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nt enfin sa face. Et c’est la Parousie finale, la
Résurrection
et le jaillissement du fleuve de la vie éternelle (chap. 21 et 22). L
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n, amour : c’est la néguentropie orientée vers la
Résurrection
. Déterminisme, mimétisme collectif, dégradation des liens, violence :
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a été racheté, et qu’il a reçu la promesse de sa
résurrection
individuelle. Il est donc à la fois engagé et libéré, et ceci en vert