1 1926, Articles divers (1924–1930). Conférence de René Guisan « Sur le Saint » (2 février 1926)
1 e sien propre. Cela donne à ses conclusions cette sécurité dont trop souvent un brillant appareil dialectique ne sait produire q
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
2 es parce qu’elles troublent leurs bureaucratiques sécurités . Pourtant, vous voyez bien que votre attitude méprisante pour la litt
3 1927, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Léon Bopp, Interférences (décembre 1927)
3 rt la simplicité de l’objet était nécessaire à la sécurité de cette sorte d’analyse, — encore que Bopp ait prouvé dans son Amiel
4 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 7. L’Instruction publique contre le progrès
4 t vrai qu’il ne fallait pas moins pour assurer la sécurité d’un régime établi dans des fauteuils ; car un peuple d’électeurs fan
5 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 7. L’instruction publique contre le progrès
5 t vrai qu’il ne fallait pas moins pour assurer la sécurité d’un régime établi dans des fauteuils ; car un peuple d’électeurs fan
6 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Henri Michaux, Mes propriétés (mars 1930)
6 s pas lu de livre où s’exprimât avec une pareille sécurité dans l’insolite, ce qu’il y a en nous à la fois de plus « problématiq
7 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie II (novembre 1930)
7 ute perdu et pourtant je n’éprouve qu’une étrange sécurité . Présence, présence réelle… Comme j’ai peine à m’imaginer que jamais
8 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Charles Du Bos, Approximations, 4e série (novembre 1930)
8 nel de l’orientation dans le monde de l’esprit la sécurité de sa marche vers le centre d’une œuvre. La méthode de M. Du Bos est
9 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Au sujet d’un grand roman : La Princesse Blanche par Maurice Baring (mai 1931)
9 it que Blanche malheureuse, isolée, cherchant une sécurité intérieure, ne trouve pas dans ces indignations sentimentales la répo
10 1932, Articles divers (1932-1935). Sur la violence bourgeoise (15 mai 1932)
10 lérances diverses, absence de grandeur, besoin de sécurité , etc.). 2. « … fermement attaché… » On ne peut tenir fermement qu’à q
11 ans tous les cas où elle ne sert pas à assurer sa sécurité . Encore ne l’utilise-t-il pas lui-même dans ces cas. En effet, ce qui
11 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Penser dangereusement (juin 1932)
12 prêtrise, ou même prêtres, ou même canonisés, une sécurité spirituelle que la Parole de Dieu désigne comme une lâcheté. Car en p
12 1932, Le Paysan du Danube. Première partie. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
13 ute perdu et pourtant je n’éprouve qu’une étrange sécurité . Présence, présence réelle… Comment j’ai peine à m’imaginer que jamai
13 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
14 à leur tour intenables les dernières ruses de la sécurité . ⁂ Il faut les entendre parler du « protestantisme ». Les uns l’accus
15 les synthèses dans lesquelles l’homme cherche sa sécurité , et qui n’ont pas de vérité. ⁂ La plus grande liberté d’action et de
14 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
16 ute perdu et pourtant je n’éprouve qu’une étrange sécurité . Présence, présence réelle… Comment j’ai peine à m’imaginer que jamai
15 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
17 n naturel qu’une société qui jouit d’une relative sécurité cherche son divertissement dans des fictions romanesques. Le roman es
16 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
18 ou sur un idéal humanitaire ; ou sur un idéal de sécurité  ; ou sur des intérêts plus bassement optimistes encore. Toutes ces fo
17 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
19 ns-nous, par des affirmations qui troublent notre sécurité , par des questions qui gênent nos habitudes, par des exigences qui ré
20 ne pouvons que mettre et remettre en question vos sécurités et vos incertitudes, vos solutions et vos questions mêmes. Nous ne po
18 1933, Articles divers (1932-1935). « La jeunesse française devant l’Allemagne » [Réponse à une enquête] (mai 1933)
21 confond avec le problème de notre génération. La sécurité ne sera jamais garantie par la signature des vieillards ; elle repose
19 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
22 du terme, et qui met en état de crise toutes nos sécurités morales. (Ce n’est qu’à certains degrés de tension que la réalité de
20 1934, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Communauté révolutionnaire (février 1934)
23 adive. L’homme sain ne s’excite pas sur l’idée de sécurité . Il demande un principe de grandeur, ou simplement quelque chose à fa
24 de notre temps, et la cause de notre psychose de sécurité . Tant que cette carence fondamentale ne sera pas dénoncée, reconnue e
21 1934, Politique de la personne. Introduction — 2. Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
25 sortir de sa chambre ? Car il y dépérit, — et sa sécurité n’est plus, nous l’avons vu en maint autre pays, qu’une espèce de lib
22 1934, Politique de la personne. Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — V. Sur la devise du Taciturne
26 à leur tour intenables les dernières ruses de la sécurité . ⁂ Qu’est-ce donc pour nous que l’effort humain ? Sinon l’exercice né
27 offre aux hommes des synthèses où ils trouvent la sécurité , mais qui n’ont pas de vérité27. ⁂ La plus grande liberté d’action et
23 1934, Politique de la personne. Troisième partie. Idoles — VII. Comment rompre ?
28 ou sur un idéal humanitaire ; ou sur un idéal de sécurité  ; ou sur des intérêts plus bassement optimistes encore. Toutes ces fo
24 1934, Politique de la personne. Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XII. Communauté révolutionnaire
29 adive. L’homme sain ne s’excite pas sur l’idée de sécurité . Il demande un principe de grandeur, ou simplement quelque chose à fa
30 de notre temps, et la cause de notre psychose de sécurité . Tant que cette carence fondamentale ne sera pas dénoncée, reconnue e
25 1934, Articles divers (1932-1935). Jeunesse déracinée (novembre 1934)
31 un processus depuis, longtemps actif. Tant qu’une sécurité sociale et financière assure aux jeunes bourgeois un lieu héréditaire
26 1934, Politique de la personne (1946). Introduction — 2. Ridicule et impuissance du clerc qui s’engage
32 sortir de sa chambre ? Car il y dépérit, — et sa sécurité n’est plus, nous l’avons vu en maint autre pays, qu’une espèce de lib
27 1934, Politique de la personne (1946). Deuxième partie. Principes d’une politique du pessimisme actif — V. Sur la devise du Taciturne
33 à leur tour intenables les dernières ruses de la sécurité . ⁂ Qu’est-ce donc pour nous que l’effort humain ? Sinon l’exercice né
34 offre aux hommes des synthèses où ils trouvent la sécurité , mais qui n’ont pas de vérité. ⁂ La plus grande liberté d’action et d
28 1934, Politique de la personne (1946). Troisième partie. Idoles — VII. Comment rompre ?
35 ou sur un idéal humanitaire ; ou sur un idéal de sécurité  ; ou sur des intérêts plus bassement optimistes encore. Toutes ces fo
29 1934, Politique de la personne (1946). Quatrième partie. Problèmes de la révolution personnaliste — XII. Communauté révolutionnaire
36 adive. L’homme sain ne s’excite pas sur l’idée de sécurité . Il demande un principe de grandeur, ou simplement quelque chose à fa
37 de notre temps, et la cause de notre psychose de sécurité . Tant que cette carence fondamentale ne sera pas dénoncée, reconnue e
30 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — 4. Qu’est-ce que la politique ?
38 ire de la politique ? », on ne peut répondre avec sécurité que si l’on a d’abord répondu à cette autre question : qu’est-ce que
31 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Quatre indications pour une culture personnaliste (février 1935)
39 l’argent : la passion, le bonheur, l’aventure, la sécurité , l’esthétisme… Presque toutes ces pseudo-mesures d’ordre culturel ou
32 1935, Esprit, articles (1932–1962). Tristan Tzara, Grains et Issues (juin 1935)
40 r la poésie de propagande et le désir secret de «  sécurité  » qu’elle trahit. Il veut que l’esprit soit un risque (p. 284 et suiv
33 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
41 ation, son risque à chaque instant visible, et sa sécurité , cachée au plus secret du risque. 3. Nous n’avons pas à suivre le
34 1936, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Qu’est-ce que la politique ? (juin 1936)
42 ire de la politique ? », on ne peut répondre avec sécurité que si l’on a d’abord répondu à cette autre question : qu’est-ce que
35 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — II. D’une culture qui parle dans le vide
43 décembre 1931. 5. Droit romain, principes de 89, sécurité , etc. Tout ce que symbolise le nom de Poincaré et qu’on lui a reproch
36 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — IV. Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
44 l’éternité l’ordre établi. Une métaphysique de la sécurité . En somme, il s’agit à la fois d’organiser les bénéfices acquis grâce
37 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
45 es » devant les normes et devant l’appareil d’une sécurité fatale à la vie qu’elle abrite. Nous avons décelé dans la logique int
46 gagnent sur l’indifférence. Lorsqu’on abuse de la sécurité , elle accouche à la fin de sa crise. Et la crise est un jugement, com
47 ce. Et cette vision flatte aussitôt la passion de sécurité de ceux qui, par ailleurs, confondraient volontiers dictature et auto
48 il faudrait penser ; tous ceux qui cherchent leur sécurité ailleurs que dans l’acceptation du risque ; tous ceux qui font appel
38 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
49 au processus économique par exemple, ou bien à la sécurité morale — est d’être une pensée non éthique, ou supposant une éthique
50 bandonne à ses « lois », pour se retirer dans une sécurité où elle végète et récite ses problèmes inoffensifs. Et pourtant la vi
51 revendiquer âprement la primauté du risque sur la sécurité , comme fondement de toutes nos hiérarchies intellectuelles. Quatri
52 décrit. On établit d’abord un conformisme89, une sécurité de l’esprit, c’est-à-dire une réalité privée de lien vivant avec son
53 mages dans nos mains, c’est une émeute contre les sécurités apprises qui joint avec témérité deux idées ou deux êtres nés de mili
39 1936, Penser avec les mains (1972). Première partie. La commune mesure — IV. Hegel, Comte, Marx, ou la rationalisation
54 l’éternité l’ordre établi. Une métaphysique de la sécurité . En somme, il s’agit à la fois d’organiser les bénéfices acquis grâce
40 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — I. La pensée prolétarisée
55 es » devant les normes et devant l’appareil d’une sécurité fatale à la vie qu’elle abrite. Nous avons décelé dans la logique int
56 gagnent sur l’indifférence. Lorsqu’on abuse de la sécurité , elle accouche à la fin de sa crise. Et la crise est un jugement, com
57 ce. Et cette vision flatte aussitôt la passion de sécurité de ceux qui, par ailleurs, confondraient volontiers dictature et auto
58 il faudrait penser ; tous ceux qui cherchent leur sécurité ailleurs que dans l’acceptation du risque ; tous ceux qui font appel
41 1936, Penser avec les mains (1972). Deuxième partie. Penser avec les mains — II. Éléments d’une morale de la pensée
59 x processus économiques par exemple, ou bien à la sécurité morale — est d’être une pensée non éthique, ou supposant une éthique
60 bandonne à ses « lois », pour se retirer dans une sécurité où elle végète et récite ses problèmes inoffensifs. Et pourtant la vi
61 revendiquer âprement la primauté du risque sur la sécurité , comme fondement de toutes nos hiérarchies intellectuelles. Quatri
62 décrit. On établit d’abord un conformisme91, une sécurité de l’esprit, c’est-à-dire une réalité privée de lien vivant avec son
63 mages dans nos mains, c’est une émeute contre les sécurités apprises qui joint avec témérité deux idées ou deux êtres nés de mili
42 1937, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
64 où le maximum de risque s’identifie au maximum de sécurité , dans la conscience de celui qui agit. Nous appellerions volontiers c
65 u’ignorent les pays de marche. Le sentiment de la sécurité , de l’ennui, du vide, traduit un fléchissement de la tension. L’adora
66 ne où l’homme marche sur de l’art humain en toute sécurité et en plein automatisme (exemple : les grandes villes). Le progrès sc
43 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
67 conditions, les armées impériales garantissent la sécurité , l’ordre public, la richesse acquise, et la misère dorée du prolétari
68 goïsme de classe (c’est-à-dire par une névrose de sécurité  ; nous reviendrons sur ce point important). La spécialisation tourna
44 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Première partie. N’habitez pas les villes !
69 cte, et pas du tout un droit. Et ce n’est pas une sécurité , ni rien qui dure au-delà du temps qu’on en jouit. Cette maisonnette,
70 non par rapport au travail, mais par rapport à la sécurité matérielle qu’assurent soit le travail, soit la fortune, soit, dans m
71 it au chômage » et ne bénéficie pas du minimum de sécurité financière accordé par l’État au chômeur industriel. Autre désavantag
72  ? « Parlez-moi des avions de bombardement, de la sécurité système si vis pacem, et du bifteck. Il n’y a que ça de sérieux. » L’
45 1937, Les Nouveaux Cahiers (1937-1939). Violence et brutalité (1er juin 1937)
73 une tendance permanente de l’homme ; le besoin de sécurité . Mais ce besoin s’est exagérément développé, et comme fixé, par suite
46 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). N’habitez pas les villes (Extrait d’un Journal) (juillet 1937)
74 acte et pas du tout un droit. Et ce n’est pas une sécurité , ni rien qui dure au-delà du temps qu’on en jouit. Cette maisonnette,
75 non par rapport au travail, mais par rapport à la sécurité matérielle qu’assurent soit le travail, soit la fortune, soit dans mo
47 1937, Esprit, articles (1932–1962). Neutralité oblige (octobre 1937)
76 Ils affectent nos tabous les plus inébranlés, nos sécurités matérielles, ou sociales, ou nationales. Ce que personne n’a jamais e
77 nstruction ? Avons-nous d’autre but commun que la sécurité et le profit ? Pourquoi sommes-nous confédérés ? Et pourquoi, enfin,
48 1937, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Au dossier d’une vieille querelle (novembre 1937)
78 . « Préservant » ainsi la raison, autant que leur sécurité . On trouve dans la Logique de Port-Royal, un dilemme assez comparable
79 savoir ce que l’on révère, de la vérité ou de la sécurité . Ce serait une raison bien débile, qui n’oserait s’exercer que sur du
49 1938, Esprit, articles (1932–1962). La passion contre le mariage (septembre 1938)
80 , et ce conflit menace en permanence toutes nos «  sécurités  » sociales. En d’autres temps, ce fut la fonction du mythe85 que d’or
50 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
81 e seul progrès concevable est dans la crise de sa sécurité , c’est-à-dire dans le drame passionnel. Mais au-delà de la passion vé
51 1939, L’Amour et l’Occident. Livre IV. Le mythe dans la littérature
82 mpunément repris devant des salles émues en toute sécurité  ; si forte est la certitude générale que personne ne croira son messa
52 1939, L’Amour et l’Occident. Livre VI. Le mythe contre le mariage
83 , et ce conflit menace en permanence toutes nos «  sécurités  » sociales. En d’autres temps, ce fut la fonction du mythe que d’ordo
53 1939, L’Amour et l’Occident. Livre VII. L’Amour action, ou de la fidélité
84 e seul progrès concevable est dans la crise de sa sécurité , c’est-à-dire dans le drame passionnel (Appendice 11). Mais au-delà d
54 1939, L’Amour et l’Occident. Appendices
85 is que Sade veut le tuer. 11. – Au-delà de nos sécurités Faut-il aller encore plus loin que Kierkegaard dans le dépassement
55 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
86 ulaient point. Diesbach. —  Pour assurer notre sécurité . Nicolas. —  Notre sécurité n’a qu’une seule base sûre : l’allianc
87 Pour assurer notre sécurité. Nicolas. —  Notre sécurité n’a qu’une seule base sûre : l’alliance des cantons entre eux, au nom
56 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre IV. Le mythe dans la littérature
88 mpunément repris devant des salles émues en toute sécurité  ; si forte est la certitude générale que personne ne croira son messa
57 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre VI. Le mythe contre le mariage
89 , et ce conflit menace en permanence toutes nos «  sécurités  » sociales. En d’autres temps, ce fut la fonction du mythe que d’ordo
58 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Livre VII. L’amour action, ou de la fidélité
90 e seul progrès concevable est dans la crise de sa sécurité , c’est-à-dire dans le drame passionnel227. Mais au-delà de la passion
59 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre IV. Le mythe dans la littérature
91 mpunément repris devant des salles émues en toute sécurité  ; si forte est la certitude générale que personne ne croira son messa
60 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre VI. Le mythe contre le mariage
92 , et ce conflit menace en permanence toutes nos «  sécurités  » sociales. En d’autres temps, ce fut la fonction du mythe que d’ordo
61 1939, L’Amour et l’Occident (1972). Livre VII. L’amour action, ou de la fidélité
93 e seul progrès concevable est dans la crise de sa sécurité , c’est-à-dire dans le drame passionnel209. Mais au-delà de la passion
62 1940, Tapuscrits divers (1936-1947). Quelle heure est-il ? (1940)
94 s ressorts spirituels. Un siècle de confort et de sécurité trompeuse a endormi les énergies. Un siècle de luttes partisanes, de
63 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. I : Les voix que rien n’arrête (24 février 1940)
95 Frontières closes, pays forclos, reclus dans ses sécurités . Et rien ne passe. Sommes-nous bien sûrs que réellement plus rien ne
64 1940, Articles divers (1938-1940). La Suisse que nous devons défendre. III : Pourquoi nous devons rester neutres (9 mars 1940)
96 niquement ce qui nous semblerait y garantir notre sécurité  ; car le texte dit autre chose, dit beaucoup plus : « Les Puissances
65 1940, Mission ou démission de la Suisse. Avertissement
97 nne-moi une lumière afin que je puisse aller avec sécurité dans l’inconnu. » Il répondit : « Va dans l’obscurité et mets tes mai
66 1940, Mission ou démission de la Suisse. Neutralité oblige, (1937)
98 Ils affectent nos tabous les plus inébranlés, nos sécurités matérielles, ou sociales, ou nationales. Ce que personne n’a jamais e
99 nstruction ? Avons-nous d’autre but commun que la sécurité et le profit ? Pourquoi sommes-nous confédérés ? Et pourquoi, enfin,
67 1940, Mission ou démission de la Suisse. La Suisse que nous devons défendre
100 Frontières closes, pays forclos, reclus dans ses sécurités . Et rien ne passe… Êtes-vous bien sûrs que réellement plus rien ne pa
101 niquement ce qui nous semblerait y garantir notre sécurité  ; car le texte dit autre chose, dit beaucoup plus : « Les Puissances
68 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’heure sévère (juin 1940)
102 aginer quelque chose d’excessif par rapport à nos sécurités . Cette inconscience j’en dirai la cause : celui qui ne croit pas en D
103 lez-vous que nous ayons l’amour, et la paix et la sécurité  ? Nous avons la peur et la guerre. Nous avons ce que méritons. Nous s
69 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure sévère (juin 1940)
104 aginer quelque chose d’excessif par rapport à nos sécurités . Cette inconscience, j’en dirai la cause : celui qui ne croit pas en
105 lez-vous que nous ayons l’amour, et la paix et la sécurité  ? Nous avons la peur et la guerre. Nous avons ce que nous méritons. N
70 1940, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). L’Église et la Suisse (août 1940)
106 nd symbole de notre mission politique et de notre sécurité . Et s’il fallait qu’un jour la Suisse fût envahie, j’imagine qu’elle
107 u jour où il faudra choisir entre l’Église et nos sécurités . Je vois bien que nos Églises constituent des unités administratives
71 1940, Articles divers (1938-1940). L’heure de la Suisse (1er août 1940)
108 acceptant la lutte même sans espoir. Un siècle de sécurité et de confort nous a fait oublier ces vérités. Aujourd’hui, elles nou
72 1942, Tapuscrits divers (1936-1947). Le miracle suisse (1942)
109 ceux qui s’aident eux-mêmes, dit le proverbe. La sécurité de la Suisse jusqu’ici a été due à sa sagesse politique et civique, q
73 1942, La Part du diable (1944). Troisième partie. Le diable démocrate
110 es autres en temps de paix, non seulement pour sa sécurité mais aussi pour le bien commun. Les examens vont se multiplier. On vo
111 tion de la police moderne. 31. Le démon de la Sécurité Lorsque l’homme se trouve confronté avec un des périls normaux de
74 1942, La Part du diable (1982). Troisième partie. Le diable démocrate
112 es autres en temps de paix, non seulement pour sa sécurité mais aussi pour le bien commun. Les examens vont se multiplier. On vo
113 ation de la police moderne. 31. Le démon de la Sécurité Lorsque l’homme se trouve confronté avec un des périls normaux de
75 1944, Les Personnes du drame. I. Sagesse et folie de la personne — 3. Kierkegaard
114 ation, son risque à chaque instant visible, et sa sécurité , cachée au plus secret du risque. 3.Nous n’avons pas à suivre le c
76 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
115 clercs au pas ou stérilisés, guerre hors la loi, sécurité d’abord. Nous apprenons à vivre, et non plus à mourir : cet effort es
77 1946, Carrefour, articles (1945–1947). L’Amérique est-elle nationaliste ? (29 août 1946)
116 (et eux compris, bien entendu) se sentira plus en sécurité et plus à l’aise. Je pense aux Russes. Je vous laisse comparer. Chacu
78 1946, Articles divers (1941-1946). En 1940, j’ai vu chanceler une civilisation : ce que l’on entendait sur le paquebot entre Lisbonne et New York (21 septembre 1946)
117 on aime une terre qui s’approche, avec l’immense sécurité du continent qu’on imagine au-delà de ces falaises orangées, frangées
79 1946, Journal des deux mondes. Anecdotes et aphorismes
118 un chef d’État étranger. Vous mettez en danger la sécurité de la Suisse. C’est grave, c’est… très grave ! Terminé. — Terminé. Bo
80 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
119 on aime une terre qui s’approche, avec l’immense sécurité du continent qu’on imagine au-delà de ces falaises orangées, frangées
81 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — IV. Voyage en Hongrie
120 ute perdu et pourtant je n’éprouve qu’une étrange sécurité . Présence, présence réelle… Comme j’ai peine à m’imaginer que jamais
82 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Première partie. N’habitez pas les villes !
121 cte, et pas du tout un droit. Et ce n’est pas une sécurité , ni rien qui dure au-delà du temps qu’on en jouit. Cette maisonnette,
122 non par rapport au travail, mais par rapport à la sécurité matérielle qu’assurent soit le travail, soit la fortune, soit, dans m
123 it au chômage » et ne bénéficie pas du minimum de sécurité financière accordé par l’État au chômeur industriel. Autre désavantag
124  ? « Parlez-moi des avions de bombardement, de la sécurité système si vis pacem, et du bifteck. Il n’y a que ça de sérieux. » L’
83 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — « Puisque je suis un militaire… »
125 un chef d’État étranger. Vous mettez en danger la sécurité de la Suisse. C’est grave, c’est… très grave ! Terminé. — Terminé. Bo
84 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
126 on aime une terre qui s’approche, avec l’immense sécurité du continent qu’on imagine au-delà de ces falaises orangées, frangées
85 1947, Articles divers (1946-1948). La lutte des classes (1947)
127 faire oublier que la correction, la décence et la sécurité des citoyens sont de purs et simples miracles ; que le monde est une
128 somme, inconsciemment, comme si notre système de sécurité devait être à chaque instant vérifié, mis au point, méticuleusement n
86 1947, Articles divers (1946-1948). Les maladies de l’Europe (1947)
129 e service du groupe et l’anarchie libératrice, la sécurité et le risque, les règles du jeu qui sont pour tous et la vocation qui
87 1947, Vivre en Amérique. I. Vie politique
130 (et eux compris bien entendu), se sentira plus en sécurité et plus à l’aise. Je pense aux Russes. Je vous laisse comparer. Chacu
88 1947, Doctrine fabuleuse. Deuxième dialogue sur la carte postale. La beauté physique
131 lui paraît attenter par quelque voie secrète à la sécurité de son état. Mais il est trop facile de les railler, c’est déprimant,
89 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
132 clercs au pas ou stérilisés, guerre hors la loi, sécurité d’abord. Nous apprenons à vivre, et non plus à mourir : cet effort es
90 1947, Articles divers (1946-1948). Einstein, patriarche de l’âge atomique, m’a dit : « C’est pour dissimuler sa pauvreté et sa faiblesse que l’URSS méfiante, s’entoure de secret… » (9 août 1947)
133 . Ils semblent n’avoir qu’une idée en tête : leur sécurité personnelle, leur prospérité immédiate. C’est un fait : un énorme dan
91 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Consolation à Me Duperrier sur un procès perdu (décembre 1947)
134 si, ce faisant, Denis de Rougemont n’a pas mis la sécurité du pays en danger. Une calomnie Peu de temps auparavant, les É
135 ssé le temps de la guerre à « mettre en danger la sécurité de mon pays », et cela par mon activité antinazie, tandis que, d’aprè
92 1947, Articles divers (1946-1948). Une Europe fédérée (20 décembre 1947)
136 vie, qui s’appellent l’unité et la diversité, la sécurité et le risque, la vie privée et le service public, la centralisation e
93 1948, Réforme, articles (1946–1980). L’Europe, aventure du xxe siècle (1er mai 1948)
137 l est clair que son enjeu n’est pas d’abord notre sécurité , n’est pas d’abord notre prospérité, bien que l’une et l’autre en dép
94 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. I
138 e service du groupe et l’anarchie libératrice, la sécurité et le risque, les règles du jeu qui sont pour tous et la vocation qui
95 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. II
139 vie, qui s’appellent l’unité et la diversité, la sécurité et le risque, la vie privée et le service public, la centralisation e
96 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. III
140 l est clair que son enjeu n’est pas d’abord notre sécurité , n’est pas d’abord notre prospérité, bien que l’une et l’autre en dép
141 stige. Les trois motifs principaux de nous unir : sécurité , prospérité, et liberté, se conditionnent réciproquement. Ils conditi
97 1948, L’Europe en jeu. Trois discours suivis de Documents de La Haye. IV
142 . L’union de l’Europe apparaît nécessaire pour la sécurité de chacun de nos pays, mais aussi pour sa prospérité. Cependant, cett
98 1948, {Title}. « Cher lecteur britannique, je connais bien votre prudence… » (automne 1948)
143 péennes trois aspirations fondamentales : vers la sécurité , la prospérité, et la liberté. Ce sont précisément les trois besoins
144 nse à ces menaces : l’union, seule garantie de la sécurité , de la prospérité et de la liberté : Tous ensemble, demain, nous pou
99 1949, Articles divers (1948-1950). Commencer par l’Europe (février 1949)
145 vers on ne sait quelles déclarations sans rire de sécurité collective ; vers on ne sait quelle coalition sur le papier qui se do
100 1949, Demain l’Europe ! (1949-1951). Demain l’Europe ! — « La paix, la paix ! » (7 mars 1949)
146 ie, et deviendrait au contraire une vaste zone de sécurité à l’ouest des terres soviétiques. Il est bien évident que cette Europ
147 qu’elle veut la paix et qu’elle ne demande que sa sécurité . Je conclus donc : si les communistes veulent sincèrement la paix, co