1
e sien propre. Cela donne à ses conclusions cette
sécurité
dont trop souvent un brillant appareil dialectique ne sait produire q
2
es parce qu’elles troublent leurs bureaucratiques
sécurités
. Pourtant, vous voyez bien que votre attitude méprisante pour la litt
3
rt la simplicité de l’objet était nécessaire à la
sécurité
de cette sorte d’analyse, — encore que Bopp ait prouvé dans son Amiel
4
t vrai qu’il ne fallait pas moins pour assurer la
sécurité
d’un régime établi dans des fauteuils ; car un peuple d’électeurs fan
5
t vrai qu’il ne fallait pas moins pour assurer la
sécurité
d’un régime établi dans des fauteuils ; car un peuple d’électeurs fan
6
s pas lu de livre où s’exprimât avec une pareille
sécurité
dans l’insolite, ce qu’il y a en nous à la fois de plus « problématiq
7
ute perdu et pourtant je n’éprouve qu’une étrange
sécurité
. Présence, présence réelle… Comme j’ai peine à m’imaginer que jamais
8
nel de l’orientation dans le monde de l’esprit la
sécurité
de sa marche vers le centre d’une œuvre. La méthode de M. Du Bos est
9
it que Blanche malheureuse, isolée, cherchant une
sécurité
intérieure, ne trouve pas dans ces indignations sentimentales la répo
10
lérances diverses, absence de grandeur, besoin de
sécurité
, etc.). 2. « … fermement attaché… » On ne peut tenir fermement qu’à q
11
ans tous les cas où elle ne sert pas à assurer sa
sécurité
. Encore ne l’utilise-t-il pas lui-même dans ces cas. En effet, ce qui
12
prêtrise, ou même prêtres, ou même canonisés, une
sécurité
spirituelle que la Parole de Dieu désigne comme une lâcheté. Car en p
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ute perdu et pourtant je n’éprouve qu’une étrange
sécurité
. Présence, présence réelle… Comment j’ai peine à m’imaginer que jamai
14
à leur tour intenables les dernières ruses de la
sécurité
. ⁂ Il faut les entendre parler du « protestantisme ». Les uns l’accus
15
les synthèses dans lesquelles l’homme cherche sa
sécurité
, et qui n’ont pas de vérité. ⁂ La plus grande liberté d’action et de
16
ute perdu et pourtant je n’éprouve qu’une étrange
sécurité
. Présence, présence réelle… Comment j’ai peine à m’imaginer que jamai
17
n naturel qu’une société qui jouit d’une relative
sécurité
cherche son divertissement dans des fictions romanesques. Le roman es
18
ou sur un idéal humanitaire ; ou sur un idéal de
sécurité
; ou sur des intérêts plus bassement optimistes encore. Toutes ces fo
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ns-nous, par des affirmations qui troublent notre
sécurité
, par des questions qui gênent nos habitudes, par des exigences qui ré
20
ne pouvons que mettre et remettre en question vos
sécurités
et vos incertitudes, vos solutions et vos questions mêmes. Nous ne po
21
confond avec le problème de notre génération. La
sécurité
ne sera jamais garantie par la signature des vieillards ; elle repose
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du terme, et qui met en état de crise toutes nos
sécurités
morales. (Ce n’est qu’à certains degrés de tension que la réalité de
23
adive. L’homme sain ne s’excite pas sur l’idée de
sécurité
. Il demande un principe de grandeur, ou simplement quelque chose à fa
24
de notre temps, et la cause de notre psychose de
sécurité
. Tant que cette carence fondamentale ne sera pas dénoncée, reconnue e
25
sortir de sa chambre ? Car il y dépérit, — et sa
sécurité
n’est plus, nous l’avons vu en maint autre pays, qu’une espèce de lib
26
à leur tour intenables les dernières ruses de la
sécurité
. ⁂ Qu’est-ce donc pour nous que l’effort humain ? Sinon l’exercice né
27
offre aux hommes des synthèses où ils trouvent la
sécurité
, mais qui n’ont pas de vérité27. ⁂ La plus grande liberté d’action et
28
ou sur un idéal humanitaire ; ou sur un idéal de
sécurité
; ou sur des intérêts plus bassement optimistes encore. Toutes ces fo
29
adive. L’homme sain ne s’excite pas sur l’idée de
sécurité
. Il demande un principe de grandeur, ou simplement quelque chose à fa
30
de notre temps, et la cause de notre psychose de
sécurité
. Tant que cette carence fondamentale ne sera pas dénoncée, reconnue e
31
un processus depuis, longtemps actif. Tant qu’une
sécurité
sociale et financière assure aux jeunes bourgeois un lieu héréditaire
32
sortir de sa chambre ? Car il y dépérit, — et sa
sécurité
n’est plus, nous l’avons vu en maint autre pays, qu’une espèce de lib
33
à leur tour intenables les dernières ruses de la
sécurité
. ⁂ Qu’est-ce donc pour nous que l’effort humain ? Sinon l’exercice né
34
offre aux hommes des synthèses où ils trouvent la
sécurité
, mais qui n’ont pas de vérité. ⁂ La plus grande liberté d’action et d
35
ou sur un idéal humanitaire ; ou sur un idéal de
sécurité
; ou sur des intérêts plus bassement optimistes encore. Toutes ces fo
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adive. L’homme sain ne s’excite pas sur l’idée de
sécurité
. Il demande un principe de grandeur, ou simplement quelque chose à fa
37
de notre temps, et la cause de notre psychose de
sécurité
. Tant que cette carence fondamentale ne sera pas dénoncée, reconnue e
38
ire de la politique ? », on ne peut répondre avec
sécurité
que si l’on a d’abord répondu à cette autre question : qu’est-ce que
39
l’argent : la passion, le bonheur, l’aventure, la
sécurité
, l’esthétisme… Presque toutes ces pseudo-mesures d’ordre culturel ou
40
r la poésie de propagande et le désir secret de «
sécurité
» qu’elle trahit. Il veut que l’esprit soit un risque (p. 284 et suiv
41
ation, son risque à chaque instant visible, et sa
sécurité
, cachée au plus secret du risque. 3. Nous n’avons pas à suivre le
42
ire de la politique ? », on ne peut répondre avec
sécurité
que si l’on a d’abord répondu à cette autre question : qu’est-ce que
43
décembre 1931. 5. Droit romain, principes de 89,
sécurité
, etc. Tout ce que symbolise le nom de Poincaré et qu’on lui a reproch
44
l’éternité l’ordre établi. Une métaphysique de la
sécurité
. En somme, il s’agit à la fois d’organiser les bénéfices acquis grâce
45
es » devant les normes et devant l’appareil d’une
sécurité
fatale à la vie qu’elle abrite. Nous avons décelé dans la logique int
46
gagnent sur l’indifférence. Lorsqu’on abuse de la
sécurité
, elle accouche à la fin de sa crise. Et la crise est un jugement, com
47
ce. Et cette vision flatte aussitôt la passion de
sécurité
de ceux qui, par ailleurs, confondraient volontiers dictature et auto
48
il faudrait penser ; tous ceux qui cherchent leur
sécurité
ailleurs que dans l’acceptation du risque ; tous ceux qui font appel
49
au processus économique par exemple, ou bien à la
sécurité
morale — est d’être une pensée non éthique, ou supposant une éthique
50
bandonne à ses « lois », pour se retirer dans une
sécurité
où elle végète et récite ses problèmes inoffensifs. Et pourtant la vi
51
revendiquer âprement la primauté du risque sur la
sécurité
, comme fondement de toutes nos hiérarchies intellectuelles. Quatri
52
décrit. On établit d’abord un conformisme89, une
sécurité
de l’esprit, c’est-à-dire une réalité privée de lien vivant avec son
53
mages dans nos mains, c’est une émeute contre les
sécurités
apprises qui joint avec témérité deux idées ou deux êtres nés de mili
54
l’éternité l’ordre établi. Une métaphysique de la
sécurité
. En somme, il s’agit à la fois d’organiser les bénéfices acquis grâce
55
es » devant les normes et devant l’appareil d’une
sécurité
fatale à la vie qu’elle abrite. Nous avons décelé dans la logique int
56
gagnent sur l’indifférence. Lorsqu’on abuse de la
sécurité
, elle accouche à la fin de sa crise. Et la crise est un jugement, com
57
ce. Et cette vision flatte aussitôt la passion de
sécurité
de ceux qui, par ailleurs, confondraient volontiers dictature et auto
58
il faudrait penser ; tous ceux qui cherchent leur
sécurité
ailleurs que dans l’acceptation du risque ; tous ceux qui font appel
59
x processus économiques par exemple, ou bien à la
sécurité
morale — est d’être une pensée non éthique, ou supposant une éthique
60
bandonne à ses « lois », pour se retirer dans une
sécurité
où elle végète et récite ses problèmes inoffensifs. Et pourtant la vi
61
revendiquer âprement la primauté du risque sur la
sécurité
, comme fondement de toutes nos hiérarchies intellectuelles. Quatri
62
décrit. On établit d’abord un conformisme91, une
sécurité
de l’esprit, c’est-à-dire une réalité privée de lien vivant avec son
63
mages dans nos mains, c’est une émeute contre les
sécurités
apprises qui joint avec témérité deux idées ou deux êtres nés de mili
64
où le maximum de risque s’identifie au maximum de
sécurité
, dans la conscience de celui qui agit. Nous appellerions volontiers c
65
u’ignorent les pays de marche. Le sentiment de la
sécurité
, de l’ennui, du vide, traduit un fléchissement de la tension. L’adora
66
ne où l’homme marche sur de l’art humain en toute
sécurité
et en plein automatisme (exemple : les grandes villes). Le progrès sc
67
conditions, les armées impériales garantissent la
sécurité
, l’ordre public, la richesse acquise, et la misère dorée du prolétari
68
goïsme de classe (c’est-à-dire par une névrose de
sécurité
; nous reviendrons sur ce point important). La spécialisation tourna
69
cte, et pas du tout un droit. Et ce n’est pas une
sécurité
, ni rien qui dure au-delà du temps qu’on en jouit. Cette maisonnette,
70
non par rapport au travail, mais par rapport à la
sécurité
matérielle qu’assurent soit le travail, soit la fortune, soit, dans m
71
it au chômage » et ne bénéficie pas du minimum de
sécurité
financière accordé par l’État au chômeur industriel. Autre désavantag
72
? « Parlez-moi des avions de bombardement, de la
sécurité
système si vis pacem, et du bifteck. Il n’y a que ça de sérieux. » L’
73
une tendance permanente de l’homme ; le besoin de
sécurité
. Mais ce besoin s’est exagérément développé, et comme fixé, par suite
74
acte et pas du tout un droit. Et ce n’est pas une
sécurité
, ni rien qui dure au-delà du temps qu’on en jouit. Cette maisonnette,
75
non par rapport au travail, mais par rapport à la
sécurité
matérielle qu’assurent soit le travail, soit la fortune, soit dans mo
76
Ils affectent nos tabous les plus inébranlés, nos
sécurités
matérielles, ou sociales, ou nationales. Ce que personne n’a jamais e
77
nstruction ? Avons-nous d’autre but commun que la
sécurité
et le profit ? Pourquoi sommes-nous confédérés ? Et pourquoi, enfin,
78
. « Préservant » ainsi la raison, autant que leur
sécurité
. On trouve dans la Logique de Port-Royal, un dilemme assez comparable
79
savoir ce que l’on révère, de la vérité ou de la
sécurité
. Ce serait une raison bien débile, qui n’oserait s’exercer que sur du
80
, et ce conflit menace en permanence toutes nos «
sécurités
» sociales. En d’autres temps, ce fut la fonction du mythe85 que d’or
81
e seul progrès concevable est dans la crise de sa
sécurité
, c’est-à-dire dans le drame passionnel. Mais au-delà de la passion vé
82
mpunément repris devant des salles émues en toute
sécurité
; si forte est la certitude générale que personne ne croira son messa
83
, et ce conflit menace en permanence toutes nos «
sécurités
» sociales. En d’autres temps, ce fut la fonction du mythe que d’ordo
84
e seul progrès concevable est dans la crise de sa
sécurité
, c’est-à-dire dans le drame passionnel (Appendice 11). Mais au-delà d
85
is que Sade veut le tuer. 11. – Au-delà de nos
sécurités
Faut-il aller encore plus loin que Kierkegaard dans le dépassement
86
ulaient point. Diesbach. — Pour assurer notre
sécurité
. Nicolas. — Notre sécurité n’a qu’une seule base sûre : l’allianc
87
Pour assurer notre sécurité. Nicolas. — Notre
sécurité
n’a qu’une seule base sûre : l’alliance des cantons entre eux, au nom
88
mpunément repris devant des salles émues en toute
sécurité
; si forte est la certitude générale que personne ne croira son messa
89
, et ce conflit menace en permanence toutes nos «
sécurités
» sociales. En d’autres temps, ce fut la fonction du mythe que d’ordo
90
e seul progrès concevable est dans la crise de sa
sécurité
, c’est-à-dire dans le drame passionnel227. Mais au-delà de la passion
91
mpunément repris devant des salles émues en toute
sécurité
; si forte est la certitude générale que personne ne croira son messa
92
, et ce conflit menace en permanence toutes nos «
sécurités
» sociales. En d’autres temps, ce fut la fonction du mythe que d’ordo
93
e seul progrès concevable est dans la crise de sa
sécurité
, c’est-à-dire dans le drame passionnel209. Mais au-delà de la passion
94
s ressorts spirituels. Un siècle de confort et de
sécurité
trompeuse a endormi les énergies. Un siècle de luttes partisanes, de
95
Frontières closes, pays forclos, reclus dans ses
sécurités
. Et rien ne passe. Sommes-nous bien sûrs que réellement plus rien ne
96
niquement ce qui nous semblerait y garantir notre
sécurité
; car le texte dit autre chose, dit beaucoup plus : « Les Puissances
97
nne-moi une lumière afin que je puisse aller avec
sécurité
dans l’inconnu. » Il répondit : « Va dans l’obscurité et mets tes mai
98
Ils affectent nos tabous les plus inébranlés, nos
sécurités
matérielles, ou sociales, ou nationales. Ce que personne n’a jamais e
99
nstruction ? Avons-nous d’autre but commun que la
sécurité
et le profit ? Pourquoi sommes-nous confédérés ? Et pourquoi, enfin,
100
Frontières closes, pays forclos, reclus dans ses
sécurités
. Et rien ne passe… Êtes-vous bien sûrs que réellement plus rien ne pa
101
niquement ce qui nous semblerait y garantir notre
sécurité
; car le texte dit autre chose, dit beaucoup plus : « Les Puissances
102
aginer quelque chose d’excessif par rapport à nos
sécurités
. Cette inconscience j’en dirai la cause : celui qui ne croit pas en D
103
lez-vous que nous ayons l’amour, et la paix et la
sécurité
? Nous avons la peur et la guerre. Nous avons ce que méritons. Nous s
104
aginer quelque chose d’excessif par rapport à nos
sécurités
. Cette inconscience, j’en dirai la cause : celui qui ne croit pas en
105
lez-vous que nous ayons l’amour, et la paix et la
sécurité
? Nous avons la peur et la guerre. Nous avons ce que nous méritons. N
106
nd symbole de notre mission politique et de notre
sécurité
. Et s’il fallait qu’un jour la Suisse fût envahie, j’imagine qu’elle
107
u jour où il faudra choisir entre l’Église et nos
sécurités
. Je vois bien que nos Églises constituent des unités administratives
108
acceptant la lutte même sans espoir. Un siècle de
sécurité
et de confort nous a fait oublier ces vérités. Aujourd’hui, elles nou
109
ceux qui s’aident eux-mêmes, dit le proverbe. La
sécurité
de la Suisse jusqu’ici a été due à sa sagesse politique et civique, q
110
es autres en temps de paix, non seulement pour sa
sécurité
mais aussi pour le bien commun. Les examens vont se multiplier. On vo
111
tion de la police moderne. 31. Le démon de la
Sécurité
Lorsque l’homme se trouve confronté avec un des périls normaux de
112
es autres en temps de paix, non seulement pour sa
sécurité
mais aussi pour le bien commun. Les examens vont se multiplier. On vo
113
ation de la police moderne. 31. Le démon de la
Sécurité
Lorsque l’homme se trouve confronté avec un des périls normaux de
114
ation, son risque à chaque instant visible, et sa
sécurité
, cachée au plus secret du risque. 3.Nous n’avons pas à suivre le c
115
clercs au pas ou stérilisés, guerre hors la loi,
sécurité
d’abord. Nous apprenons à vivre, et non plus à mourir : cet effort es
116
(et eux compris, bien entendu) se sentira plus en
sécurité
et plus à l’aise. Je pense aux Russes. Je vous laisse comparer. Chacu
117
on aime une terre qui s’approche, avec l’immense
sécurité
du continent qu’on imagine au-delà de ces falaises orangées, frangées
118
un chef d’État étranger. Vous mettez en danger la
sécurité
de la Suisse. C’est grave, c’est… très grave ! Terminé. — Terminé. Bo
119
on aime une terre qui s’approche, avec l’immense
sécurité
du continent qu’on imagine au-delà de ces falaises orangées, frangées
120
ute perdu et pourtant je n’éprouve qu’une étrange
sécurité
. Présence, présence réelle… Comme j’ai peine à m’imaginer que jamais
121
cte, et pas du tout un droit. Et ce n’est pas une
sécurité
, ni rien qui dure au-delà du temps qu’on en jouit. Cette maisonnette,
122
non par rapport au travail, mais par rapport à la
sécurité
matérielle qu’assurent soit le travail, soit la fortune, soit, dans m
123
it au chômage » et ne bénéficie pas du minimum de
sécurité
financière accordé par l’État au chômeur industriel. Autre désavantag
124
? « Parlez-moi des avions de bombardement, de la
sécurité
système si vis pacem, et du bifteck. Il n’y a que ça de sérieux. » L’
125
un chef d’État étranger. Vous mettez en danger la
sécurité
de la Suisse. C’est grave, c’est… très grave ! Terminé. — Terminé. Bo
126
on aime une terre qui s’approche, avec l’immense
sécurité
du continent qu’on imagine au-delà de ces falaises orangées, frangées
127
faire oublier que la correction, la décence et la
sécurité
des citoyens sont de purs et simples miracles ; que le monde est une
128
somme, inconsciemment, comme si notre système de
sécurité
devait être à chaque instant vérifié, mis au point, méticuleusement n
129
e service du groupe et l’anarchie libératrice, la
sécurité
et le risque, les règles du jeu qui sont pour tous et la vocation qui
130
(et eux compris bien entendu), se sentira plus en
sécurité
et plus à l’aise. Je pense aux Russes. Je vous laisse comparer. Chacu
131
lui paraît attenter par quelque voie secrète à la
sécurité
de son état. Mais il est trop facile de les railler, c’est déprimant,
132
clercs au pas ou stérilisés, guerre hors la loi,
sécurité
d’abord. Nous apprenons à vivre, et non plus à mourir : cet effort es
133
. Ils semblent n’avoir qu’une idée en tête : leur
sécurité
personnelle, leur prospérité immédiate. C’est un fait : un énorme dan
134
si, ce faisant, Denis de Rougemont n’a pas mis la
sécurité
du pays en danger. Une calomnie Peu de temps auparavant, les É
135
ssé le temps de la guerre à « mettre en danger la
sécurité
de mon pays », et cela par mon activité antinazie, tandis que, d’aprè
136
vie, qui s’appellent l’unité et la diversité, la
sécurité
et le risque, la vie privée et le service public, la centralisation e
137
l est clair que son enjeu n’est pas d’abord notre
sécurité
, n’est pas d’abord notre prospérité, bien que l’une et l’autre en dép
138
e service du groupe et l’anarchie libératrice, la
sécurité
et le risque, les règles du jeu qui sont pour tous et la vocation qui
139
vie, qui s’appellent l’unité et la diversité, la
sécurité
et le risque, la vie privée et le service public, la centralisation e
140
l est clair que son enjeu n’est pas d’abord notre
sécurité
, n’est pas d’abord notre prospérité, bien que l’une et l’autre en dép
141
stige. Les trois motifs principaux de nous unir :
sécurité
, prospérité, et liberté, se conditionnent réciproquement. Ils conditi
142
. L’union de l’Europe apparaît nécessaire pour la
sécurité
de chacun de nos pays, mais aussi pour sa prospérité. Cependant, cett
143
péennes trois aspirations fondamentales : vers la
sécurité
, la prospérité, et la liberté. Ce sont précisément les trois besoins
144
nse à ces menaces : l’union, seule garantie de la
sécurité
, de la prospérité et de la liberté : Tous ensemble, demain, nous pou
145
vers on ne sait quelles déclarations sans rire de
sécurité
collective ; vers on ne sait quelle coalition sur le papier qui se do
146
ie, et deviendrait au contraire une vaste zone de
sécurité
à l’ouest des terres soviétiques. Il est bien évident que cette Europ
147
qu’elle veut la paix et qu’elle ne demande que sa
sécurité
. Je conclus donc : si les communistes veulent sincèrement la paix, co