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la guerre… et puis, tenez ! ce fait surtout de la
sacro-sainte
Raison utilitaire au service des sacro-saints Principes au nom desque
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la sacro-sainte Raison utilitaire au service des
sacro-saints
Principes au nom desquels tout se ligue aujourd’hui pour anéantir la
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pour anéantir la seule chose qui reste à nos yeux
sacro-sainte
: la liberté. Alors n’est-ce pas, merci du conseil, Monsieur Y. Z., d
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raduit l’ignorance commune, et quelques principes
sacro-saints
dont ils ont perdu le secret : c’était le secret d’une culture qui es
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olidarité. Le résultat évident de cette tradition
sacro-sainte
, c’est que les paysans travaillent beaucoup plus qu’il ne serait néce
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olidarité. Le résultat évident de cette tradition
sacro-sainte
, c’est que les paysans travaillent beaucoup plus qu’il ne serait néce
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paraît travailler à contre-fins. Sous le prétexte
sacro-saint
de ne pas s’immiscer dans les affaires locales, elle se borne à l’exp
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olidarité. Le résultat évident de cette tradition
sacro-sainte
, c’est que les paysans travaillent beaucoup plus qu’il ne serait néce
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paraît travailler à contre-fins. Sous le prétexte
sacro-saint
de ne pas s’immiscer dans les affaires locales, elle se borne à l’exp
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ojet se réalise, c’en sera fait pour de bon de la
sacro-sainte
souveraineté de l’État-nation. Nous voulons bien la limiter, mais pas
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l’Europe et déclarer qu’on ne touchera pas à ces
sacro-saintes
souverainetés.) Mais au lieu de discuter sur l’abandon des privilèges
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de défendre leurs privilèges douaniers et leur «
sacro-sainte
souveraineté » (comme l’écrivait dès 1829 le vieil historien zurichoi
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itution des articles prévoyant l’abandon du dogme
sacro-saint
de la souveraineté totale. 27. Les citations qui suivent sont extr
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inancer par elle, sous prétexte de sauvegarder sa
sacro-sainte
et fictive « souveraineté » par rapport aux voisins européens. Certes
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t se libérant, soient gouvernées selon les droits
sacro-saints
de la liberté et de l’égalité, dirigées selon les principes de la pai
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sprit jacobin comme trahison de l’unité nationale
sacro-sainte
, le fédéralisme considéré simplement comme système d’association d’Ét
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ndre leurs intérêts locaux et pour préserver leur
sacro-sainte
souveraineté. En 1832, la Diète décide enfin de mettre à l’étude un
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t au surplus contraire à la Constitution, de leur
sacro-sainte
souveraineté. Mais chacun voit, ou pourrait voir, qu’en réalité les s
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accepter de remettre en question radicalement le
sacro-saint
État-nation, accepter l’idée de renoncer éventuellement à cette formu
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e formule périmée, en faire autant avec la notion
sacro-sainte
de souveraineté ; et c’est ensuite trouver les éléments nouveaux avec
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accepter de remettre en question radicalement le
sacro-saint
État-nation, accepter l’idée de renoncer éventuellement à cette formu
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e formule périmée, en faire autant avec la notion
sacro-sainte
de souveraineté ; et c’est ensuite trouver les éléments nouveaux qui
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inancer par elle, sous prétexte de sauvegarder sa
sacro-sainte
et fictive « souveraineté » par rapport aux voisins européens. Certes
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its, c’est qu’il a créé le mythe de son caractère
sacro-saint
, symbolisé par les images du sol de la patrie et des frontières inamo
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accepter de remettre en question radicalement le
sacro-saint
État-nation, accepter l’idée de renoncer éventuellement à cette formu
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e formule périmée, en faire autant avec la notion
sacro-sainte
de souveraineté ; et c’est ensuite trouver les éléments nouveaux avec
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at-nation à souveraineté théoriquement illimitée,
sacro-sainte
mais en fait toujours plus illusoire — sauf qu’elle bloque tout. C’e
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s ne sauraient céder sans trahir un pouce de leur
sacro-sainte
souveraineté, et qu’ils sont immortels. Or, tout est faux dans cet en
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rale des Européens, l’État-nation oppose le dogme
sacro-saint
de sa souveraineté illimitée, illusoire d’ailleurs, à cela près qu’el
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at-nation à souveraineté théoriquement illimitée,
sacro-sainte
mais en fait toujours plus illusoire, sauf qu’elle bloque tout. Cet o
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neté nationale absolue et illimitée, c’est-à-dire
sacro-sainte
, matérialisé par les frontières. Or il est clair pour quiconque, aujo
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me de la croissance industrielle n’est pas devenu
sacro-saint
dans la mesure même où il participait de la finalité guerrière de nos
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a rapidité des mobilisations. Or cet État-nation,
sacro-saint
pour nos pères et les manuels de notre enfance, se voit mis en accusa
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at-nation à souveraineté théoriquement illimitée,
sacro-sainte
mais en fait toujours plus illusoire — sauf qu’elle bloque tout. Mais
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s ne sauraient céder sans trahir un pouce de leur
sacro-sainte
souveraineté, et qu’ils sont immortels. Or tout est faux dans cet ens
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s seules frontières, les seuls cordons douaniers,
sacro-saints
pour Paris, partout ailleurs indéfendables. Et demeurent à réconcilie
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me de la croissance industrielle n’est pas devenu
sacro-saint
dans la mesure même où il participait de la finalité guerrière de nos
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ologiques-civiques, au prix de l’abandon de leurs
sacro-saintes
souverainetés nationales, on ne voit pas comment le tiers-monde perdr
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’un ou l’autre de nos États-nations, au nom de la
sacro-sainte
souveraineté nationale, décide de se libérer de toute « dépendance de
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me de la croissance industrielle n’est pas devenu
sacro-saint
dans la mesure même où il participait de la finalité guerrière de nos
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is comment accorder tout cela avec le dogme de la
sacro-sainte
souveraineté nationale ? La réponse a été donnée dès 1945 dans un vol
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1950, soucieuse de ne porter aucune atteinte aux
sacro-saintes
souverainetés nationales, tout en favorisant, bien sûr, la formation
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ctures mêmes de cette société et de ses principes
sacro-saints
de profit prioritaire et de production sans cesse accrue par les tech
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« souveraineté nationale absolue » et au principe
sacro-saint
de la « non-ingérence », principes que l’on oublie d’ailleurs d’appli
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fin, dominant et unifiant le tout, le dogme de la
sacro-sainte
souveraineté nationale absolue et indivisible. C’est en son nom que,
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névrosés, acharnés à détruire, sans scrupules, la
sacro-sainte
stabilité dans l’erreur des autruches qui nous gouvernent. Trois accu
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du précédent. Ici, l’on est parti non des mythes
sacro-saints
de l’État-nation et de la souveraineté nationale absolue, mais au con