1 1929, Journal de Genève, articles (1926–1982). Panorama de Budapest (23 mai 1929)
1 de notre pays ?… Non, non, jamais ! » La rue est sale à cause de la fonte de la neige (une boue ocre, épaisse, on envie les
2 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. 1. Mes prisons
2 ne longue aventure sérieuse et incertaine, un peu sale et un peu divine, baignée d’une très vague angoisse que l’on fuyait a
3 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). 1. Mes prisons
3 ne longue aventure sérieuse et incertaine, un peu sale et un peu divine, baignée d’une très vague angoisse que l’on fuyait a
4 1932, Articles divers (1932-1935). Les « petits purs » (15 juin 1932)
4 n parce qu’elle les met à nu, prend en pitié leur sale caractère : tous ceux qui poursuivent l’humanité de sarcasmes qu’ils
5 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
5 le. Mais pourquoi détourner la tête vers la vitre sale , retenir des larmes ? Un soudain excès de l’amour s’est libéré dans t
6 1932, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La pluie et le beau temps (Dialogue dans une tête) (1932)
6 ambes nues sous la pluie. L’herbe était pleine de sales limaces et de petits escargots, et les framboises humides avaient un
7 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
7 . » Mais pourquoi détourner la tête vers la vitre sale , retenir des larmes ? Un soudain excès de l’amour s’est libéré dans t
8 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
8 s foyers, et qui les détruit. Je vois ces enfants sales abandonnés par leurs parents aux hasards de la rue, qui valent bien c
9 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
9 s foyers, et qui les détruit. Je vois ces enfants sales abandonnés par leurs parents aux hasards de la rue, qui valent bien c
10 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. L’été parisien
10 teur des murs n’évoque plus les parois d’un puits sale , mais plutôt une falaise élevée… Où donc ? Je me souviens de hauts ro
11 lente, par leurs parfums et leurs odeurs de bêtes sales , tantôt ils me tentaient par cela même, par leur faiblesse offerte au
11 1945, Carrefour, articles (1945–1947). Le rêve américain (9 novembre 1945)
12 rs amis. Ils rentrent en disant que la France est sale et en désordre, que tout y est cher pour eux et que les WC sont au mi
12 1945, Articles divers (1941-1946). Présentation du tarot (printemps 1945)
13 t ce qu’il paraît. Si quelque étranger aux habits sales et déchirés, au regard bizarre, entrait chez vous et vous tapait gent
13 1946, Articles divers (1941-1946). La fin du monde (juin 1946)
14 romène-t-il depuis quelques instants dans un ciel sale . Qui sortirait pour voir ? Seul, d’ici, je m’étonne : ce monde peut s
14 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
15 s hauts qu’eux et des tourbillons fous de papiers sales , pour s’ouvrir enfin toute béante sur les fumées de l’East River, au
16 eaucoup de barbes longues et bouclées. La rue est sale . Suis-je en Russie ? Non, il y a trop d’autos. Robert revient et nous
15 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
17 ci. New York, 2 septembre 1942 Quoi de plus sale qu’une ville dont la foule transpire ? Il faut être fou pour rentrer…
16 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
18 eaucoup de barbes longues et bouclées. La rue est sale . Suis-je en Russie ? Non, il y a trop d’autos. Robert revient et nous
19 s hauts qu’eux et des tourbillons fous de papiers sales , pour s’ouvrir enfin toute béante sur les fumées de l’East River, au
17 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
20 le. Mais pourquoi détourner la tête vers la vitre sale , retenir des larmes ? Un soudain excès de l’amour s’est libéré dans t
18 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
21 s foyers, et qui les détruit. Je vois ces enfants sales abandonnés par leurs parents aux hasards de la rue, qui valent bien c
19 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — L’été parisien
22 teur des murs n’évoque plus les parois d’un puits sale , mais plutôt une falaise élevée… Où donc ? Je me souviens de hauts ro
23 lente, par leurs parfums et leurs odeurs de bêtes sales , tantôt ils me tentaient par cela même, par leur faiblesse offerte au
20 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
24 ci. New York, 2 septembre 1942 Quoi de plus sale qu’une ville dont la foule transpire ? II faut être fou pour rentrer…
21 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
25 eaucoup de barbes longues et bouclées. La rue est sale . Suis-je en Russie ? Non, il y a trop d’autos. Robert revient et nous
26 s hauts qu’eux et des tourbillons fous de papiers sales , pour s’ouvrir enfin toute béante sur les fumées de l’East River, au
22 1947, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Slums (janvier 1947)
27 s hauts qu’eux et des tourbillons fous de papiers sales , pour s’ouvrir enfin toute béante sur les fumées de l’East River, au
23 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
28 vons ici. New York, 2 septembre 1942 Quoi de plus sale qu’une ville dont la foule transpire ? Il faut être fou pour rentrer…
24 1947, Doctrine fabuleuse. La fin du monde
29 romène-t-il depuis quelques instants dans un ciel sale . Qui sortirait pour voir ? Seul, d’ici, je m’étonne : ce monde peut s
25 1947, Doctrine fabuleuse. Antée ou La terre
30 la terre sur les doigts, s’ils disent que je suis sale , je l’ai sec. Je me lave. Avec la terre je me lave… C’est le contrair
26 1947, Vivre en Amérique. Vie politique
31 rs amis. Ils rentrent en disant que la France est sale et en désordre, que tout y est cher pour eux, et que les WC sont au m
27 1951, Articles divers (1951-1956). Comment fabriquer un Européen ?
32 mélanges arbitraires de couleurs donnent du brun sale . Vous pouvez alors essayer des combinaisons plus savantes, deux par d
28 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Deuxième partie — L’amour même
33 non intégrée donc impure, non propre au moi, donc sale . Ils en font une force mauvaise, obscure et menaçante, aliénée de la
29 1962, Arts, articles (1952-1965). L’Europe détient les secrets de l’avenir, mais a-t-elle la volonté de vivre ? (13 juin 1962)
34 ergie du charbon, n’a pas seulement créé le décor sale et sans âme des faubourgs de nos capitales, elle a créé le prolétaria
30 1962, Articles divers (1957-1962). Dans vingt ans une Europe neuve (novembre 1962)
35 d qui avaient proliféré pendant l’ère du charbon, sale et noire. L’énergie électrique ou nucléaire a permis de généraliser l
31 1962, Les Chances de l’Europe. II. Secret du dynamisme européen
36 ergie du charbon, n’a pas seulement créé le décor sale et sans âme des faubourgs de nos capitales, elle a créé le prolétaria
32 1974, Articles divers (1974-1977). Surréalisme : un jeu qui dure depuis 50 ans (7-8 septembre 1974)
37 de ne plus jamais rencontrer sur mon chemin votre sale gueule de faux témoin ! » Le malheureux sortit de la salle, insulté j
33 1977, L’Avenir est notre affaire. Système de la crise — Le grand litige
38 corps baptisé par un atomiste américain « le plus sale de tous ceux que l’homme a jamais fabriqués » ? La « propreté » des r
34 1980, Articles divers (1978-1981). La maîtrise sociale des besoins (avril-juin 1980)
39 nance du public devant cette machine jugée laide, sale , bruyante, et qui met en fuite les chevaux et les enfants ». En quelq
35 1980, Articles divers (1978-1981). Le bilan culturel de la décennie 1970-1980 (1980)
40 ais surtout de son théâtre : Huis-Clos, Les Mains sales , Le Diable et le Bon Dieu. Simultanément, Albert Camus porte à la scè