1 1926, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Paradoxe de la sincérité (décembre 1926)
1 la vie publique arrivisme, et séduction dans les salons . Constater une faiblesse, c’est toujours un peu en prendre son parti
2 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Quatre incidents (avril 1927)
2 oile à la boutonnière, le marquis pénétra dans le salon de la duchesse, lui baisa la main et l’abattit d’un coup de revolver.
3 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). La part du feu. Lettres sur le mépris de la littérature (juillet 1927)
3 rveilleux sujet de conversation, au café. Dans un salon , par contre, c’est d’un ridicule écrasant : mais rien n’est plus faci
4 1931, Foi et Vie, articles (1928–1977). Une exposition d’artistes protestants modernes (avril 1931)
4 d’une jeunesse. À cet égard particulièrement, ce salon fut une réussite. La curiosité d’abord un peu sceptique de certains c
5 aractères confessionnels. Espérons qu’un prochain salon , organisé s’il le faut dans de plus vastes locaux, pourra donner accè
6 de style ? — On s’y serait attendu. Une visite au salon de la rue de Vaugirard nous invite à renoncer à ces clichés. Pas de t
7 e dans tout ceci. Eussent-ils posé, à propos d’un salon d’art catholique, la même question, en remplaçant calvinisme par thom
5 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Une « tasse de thé » au Palais C…
8 un hall périlleux, pressés, poliment bousculés de salon en salon ; et, plus loin que la rumeur des voix, orchestre du grand m
9 érilleux, pressés, poliment bousculés de salon en salon  ; et, plus loin que la rumeur des voix, orchestre du grand monde qui
10 é des collections de vieux Venise, jusqu’au petit salon où il y a deux Bellini. Et que dire des portraits, des valets immobil
11 rs à l’aventure. Bientôt je parviens à un immense salon où beaucoup de gens debout, silencieux, regardent quelque chose qui s
12 , veulent rentrer, car elles sont sages. Dans les salons désertés du rez-de-chaussée, elles me désignent un des rêves de mon a
6 1932, Le Paysan du Danube. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
13 Lune avance comme un chat sur le lit conjugal, un salon glacé dont le parquet craque sans que nul pied jamais ne s’y pose, et
7 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais C…
14 un hall périlleux, pressés, poliment bousculés de salon en salon ; et, plus loin que la rumeur des voix, orchestre du grand m
15 érilleux, pressés, poliment bousculés de salon en salon  ; et, plus loin que la rumeur des voix, orchestre du grand monde qui
16 é des collections de vieux Venise, jusqu’au petit salon où il y a deux Bellini. Et que dire des portraits, des valets immobil
17 rs à l’aventure. Bientôt je parviens à un immense salon où beaucoup de gens debout, silencieux, regardent quelque chose qui s
18 , veulent rentrer, car elles sont sages. Dans les salons désertés du rez-de-chaussée, elles me désignent un des rêves de mon a
8 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Châteaux en Prusse
19 rand-mère Waldburg au plafond à caissons du grand salon  : « Une mésalliance ! » Il est vrai que les princes, burgraves et com
9 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Deuxième partie. La lenteur des choses — Petit journal de Souabe
20 Lune avance comme un chat sur le lit conjugal, un salon glacé dont le parquet craque sans que nul pied jamais ne s’y pose, et
10 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — V
21 pour me sentir Européen, nul besoin de quitter ce salon campagnard où je suis revenu m’asseoir : il me suffit de méditer sur
11 1933, Foi et Vie, articles (1928–1977). « Histoires du monde, s’il vous plaît ! » (janvier 1933)
22 était ce qu’il y avait de plus subversif dans les salons . « Se nourrir de romans », dans certains milieux, c’était le commence
12 1934, Présence, articles (1932–1946). L’œuvre et la mort d’Arnaud Dandieu (1934)
23 livre a l’aspect d’un chantier, et non point d’un salon littéraire. Il est tout animé de la joie de construire et d’abattre.
13 1934, Esprit, articles (1932–1962). Préface à une littérature (octobre 1934)
24 e. Elle ne juge plus : elle traduit la rumeur des salons , des cafés, des antichambres d’éditeurs. À sa façon, non moins que le
25 mmes responsables, non plus comme des amuseurs de salon . Il y aurait quelque chose de nouveau dans les lettres si tous les es
14 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
26 ’espère que ce récit d’une soirée passée dans son salon pourra faire deviner quelques-unes d’entre elles. La conversation qui
15 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
27 là le signe, plus certain que le « bolchévisme de salon  », d’un abandon, voire d’un mépris de la culture et de l’esprit qui m
28 mme : ou l’esprit pur — comprenez inactif — ou le salon des arts ménagers. Ils ne voient pas que dès l’instant qu’on sépare l
16 1935, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). La situation politique en France (octobre 1935)
29 initié aux parlottes parisiennes, aux complots de salons , de bureaux ou de cafés, à l’agitation dramatique qui règne depuis qu
17 1936, Esprit, articles (1932–1962). Vues sur C. F. Ramuz (mai 1936)
30 n un langage « châtié », comme on disait dans les salons , au temps où le seul tribunal était celui du goût (c’est-à-dire des p
18 1937, Articles divers (1936-1938). Vers une littérature personnaliste (20 mars 1937)
31 du monde bourgeois : de Proust à Lacretelle, les salons se défont, les classes se mêlent, les propriétés sont vendues aux enc
19 1937, Articles divers (1936-1938). Journal d’un intellectuel en chômage (fragments) (15 avril 1937)
32 er. Seul vestige des splendeurs bourgeoises de ce salon  : un lustre formé d’une écaille de tortue polie, agrémenté de porte-b
20 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. Pauvre province
33 er. Seul vestige des splendeurs bourgeoises de ce salon  : un lustre formé d’une écaille de tortue polie, agrémenté de porte-b
34 Une salamandre, n’est-ce pas, c’est un meuble de salon , il faut la décorer convenablement et surtout éviter que cela ressemb
21 1942, La Part du diable. Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
35 Nous suivions le groupe qui se dirigeait vers les salons . Et je pensais : il nous faut de ces paraboles pour nous rappeler com
22 1942, La Part du diable (1944). Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
36 Nous suivions le groupe qui se dirigeait vers les salons . Et je pensais : il nous faut de ces paraboles pour nous rappeler com
23 1942, La Part du diable (1944). Le diable démocrate
37 nes ! J’ai pleuré toute la nuit, sur un canapé du salon … » — Madame, dit le médecin, vos enfants savent tout cela. — Impossib
24 1942, La Part du diable (1982). Introduction. Que la connaissance du vrai danger nous guérit des fausses peurs
38 Nous suivions le groupe qui se dirigeait vers les salons . Et je pensais : il nous faut de ces paraboles pour nous rappeler com
25 1942, La Part du diable (1982). Le diable démocrate
39 nes ! J’ai pleuré toute la nuit, sur un canapé du salon … » — « Madame, dit le médecin, vos enfants savent tout cela. » « Imp
26 1944, Les Personnes du drame. Sagesse et folie de la personne — Kierkegaard
40 s plus à la situation du Nouveau Testament que le salon d’un petit-bourgeois ne ressemble aux décisions les plus terribles de
27 1944, Les Personnes du drame. Sincérité et authenticité — Vues sur Ramuz
41 enfin un langage châtié, comme on disait dans les salons , au temps où le seul tribunal vraiment redouté était celui du goût. (
28 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le dernier des Mohicans (11 octobre 1945)
42 emplaire de Cooper trouvé dans la bibliothèque du salon , une petite carte de visite jaunie porte le nom d’un révérend qui fut
29 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Un salon atomique (26 décembre 1945)
43 Un salon atomique (26 décembre 1945)m Cette capitale qui ne fait partie d’a
44 on ? Je vous avouerai que je m’y réfugie dans les salons . L’Europe avait des salons littéraires. À Washington, ils sont tous p
45 e m’y réfugie dans les salons. L’Europe avait des salons littéraires. À Washington, ils sont tous politiques. Celui dont je so
46 dés. Je me disais : on discute gentiment dans les salons la possibilité de faire sauter la planète. Les événements qui dépasse
47 ivil ! Voilà comment l’arrière trahit ! m. « Un salon atomique », Le Figaro, Paris, n° 427, 26 décembre 1945, p. 1.
30 1946, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Souvenir d’un orage en Virginie (novembre 1946)
48 le, je ne mets jamais les pieds dans ce dégoûtant salon  ! » Des éclairs illuminent longuement les meubles lourds, une bibliot
31 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
49 le, je ne mets jamais les pieds dans ce dégoûtant salon  ! » Des éclairs illuminent longuement les meubles lourds, une bibliot
32 1946, Journal des deux mondes. La route de Lisbonne
50 heures au ralenti, à travers les hublots du petit salon où siégeaient ces messieurs d’Ellis Island. Ils palpent nos passeport
33 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
51 é, ni l’antichambre d’une maison d’édition, ni un salon — rien de tout cela n’existe en Amérique — mais une party. Et cette p
34 1946, Journal des deux mondes. Voyage en Argentine
52 parterre de jeunes déesses américaines, danse aux salons et farandoles sur les ponts, et tout le monde saute dans la piscine i
53 s de peaux de vache noire et blanche, et dont les salons cuir et bois sont fleuris de branchages mauves largement évasés devan
54 yant proposé que je donne une conférence dans les salons du club, le président juge prudent d’y renoncer, un tiers des membres
35 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
55 général, quand on se trouve à six ou huit dans un salon . Rentré tôt, mais n’ai rien fait qui vaille de toute la nuit. Voilà q
36 1946, Journal des deux mondes. Virginie
56 le, je ne mets jamais les pieds dans ce dégoûtant salon  ! » Des éclairs illuminent longuement les meubles lourds, une bibliot
37 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
57 emplaire de Cooper trouvé dans la bibliothèque du salon , une petite carte de visite jaunie porte le nom d’un révérend qui fut
38 1946, Lettres sur la bombe atomique. Un salon atomique
58 VIIIUn salon atomique Washington, le 2 novembre 1945. Cette capitale qui ne fait
59 on ? Je vous avouerai que je m’y réfugie dans les salons . L’Europe avait des salons littéraires. À Washington, ils sont tous p
60 e m’y réfugie dans les salons. L’Europe avait des salons littéraires. À Washington, ils sont tous politiques. Celui d’où je so
61 dés. Je me disais : on discute gentiment dans les salons la possibilité de faire sauter la planète. Les événements qui dépasse
39 1946, Lettres sur la bombe atomique. Un salon atomique
62 VIII Un salon atomique Washington, 3 novembre 1945. Cette capitale qui ne fait pa
63 on ? Je vous avouerai que je m’y réfugie dans les salons . L’Europe avait des salons littéraires. À Washington, ils sont tous p
64 e m’y réfugie dans les salons. L’Europe avait des salons littéraires. À Washington, ils sont tous politiques. Celui d’où je so
65 dés. Je me disais : on discute gentiment dans les salons la possibilité de faire sauter la planète. Les événements qui passent
40 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Châteaux en Prusse
66 rand-mère Waldburg au plafond à caissons du grand salon  : « Une mésalliance ! » Il est vrai que les princes, burgraves et com
41 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Une « tasse de thé » au palais c…
67 un hall périlleux, pressés, poliment bousculés de salon en salon ; et, plus loin que la rumeur des voix, orchestre du grand m
68 érilleux, pressés, poliment bousculés de salon en salon  ; et, plus loin que la rumeur des voix, orchestre du grand monde qui
69 é des collections de vieux Venise, jusqu’au petit salon où il y a deux Bellini. Et que dire des portraits, des valets immobil
70 rs à l’aventure. Bientôt je parviens à un immense salon où beaucoup de gens debout, silencieux, regardent quelque chose qui s
71 , veulent rentrer, car elles sont sages. Dans les salons désertés du rez-de-chaussée, elles me désignent un des rêves de mon a
42 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Le paysan du Danube — Petit journal de Souabe
72 Lune avance comme un chat sur le lit conjugal, un salon glacé dont le parquet craque sans que nul pied jamais ne s’y pose, et
43 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal d’un intellectuel en chômage — Pauvre province
73 er. Seul vestige des splendeurs bourgeoises de ce salon  : un lustre formé d’une écaille de tortue polie, agrémenté de porte-b
74 Une salamandre, n’est-ce pas, c’est un meuble de salon , il faut la décorer convenablement et surtout éviter que cela ressemb
44 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — La route de Lisbonne
75 heures au ralenti, à travers les hublots du petit salon où siégeaient ces messieurs d’Ellis Island. Ils palpent nos passeport
45 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
76 é, ni l’antichambre d’une maison d’édition, ni un salon — rien de tout cela n’existe en Amérique — mais une party. Et cette p
77 Club. En suivant le groupe qui se dirige vers les salons , je reprends : — Kierkegaard a dit cela toute sa vie : si vous voulez
46 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Voyage en Argentine
78 parterre de jeunes déesses américaines, danse aux salons et farandoles sur les ponts, et tout le monde saute dans la piscine i
79 s de peaux de vache noire et blanche, et dont les salons cuir et bois sont fleuris de branchages mauves largement évasés devan
80 yant proposé que je donne une conférence dans les salons du club, le président juge prudent d’y renoncer, un tiers des membres
47 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
81 ige immense et lente. Allons chez des Américains. Salon des J…, musique dans la pénombre. Je reconnais quelques jeunes romanc
82 re, en général, quand on se trouve à huit dans un salon . Rentré tôt, mais n’ai rien fait qui vaille de toute la nuit. Voilà q
48 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Virginie
83 le, je ne mets jamais les pieds dans ce dégoûtant salon  ! » Des éclairs illuminent longuement les meubles lourds, une bibliot
84 he ! » Au Waldorf, on nous a répartis dans quatre salons communicants. J’écoute le speech du Général à quelques mètres derrièr
49 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
85 emplaire de Cooper trouvé dans la bibliothèque du salon , une petite carte de visite jaunie porte le nom d’un révérend qui fut
50 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
86 é, ni l’antichambre d’une maison d’édition, ni un salon — rien de tout cela n’existe en Amérique — mais une party. Et cette p
87 général, quand on se trouve à six ou huit dans un salon . Rentré tôt, mais n’ai rien fait qui vaille de toute la nuit. Voilà q
51 1947, Articles divers (1946-1948). Einstein, patriarche de l’âge atomique, m’a dit : « C’est pour dissimuler sa pauvreté et sa faiblesse que l’URSS méfiante, s’entoure de secret… » (9 août 1947)
88 La nuit est venue. Nous passons dans un petit salon bien bourgeois, bien en ordre. Voici le piano sur lequel Schnabel, le
52 1947, Vivre en Amérique. Vie culturelle et religieuse
89 , de Londres, ou de Berlin avant Hitler. Point de salons où l’écrivain se frotte aux gens du monde, et eux à lui ; point de ca
53 1948, Suite neuchâteloise. V
90 pour me sentir Européen, nul besoin de quitter ce salon campagnard où je suis revenu m’asseoir : il me suffit de méditer sur
54 1951, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Inde 1951 (décembre 1951)
91 stée, de saint François aux Doukhobors. ⁂ Dans le salon d’une vaste résidence, vidé de ses meubles, le mur du fond tendu d’un
92 e, et de quelques familiers de sa maison. Dans le salon où je l’attendais, avant le repas, je n’étais pas sans inquiétude. J’
55 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
93 pas davantage à celui du Nouveau Testament que le salon du petit-bourgeois ou la salle de jeu des enfants aux décisions les p
56 1955, Preuves, articles (1951–1968). L’aventure technique (octobre 1955)
94 ndant l’existence d’innombrables usines, marques, salons , dividendes et records, donne une telle consistance à l’industrie de
57 1956, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Une deuxième table ronde de l’Europe (février 1956)
95 xceptionnellement brillante avait réuni, dans les salons historiques de la Villa Aldobrandini puis au Capitole, six rapporteur
58 1957, Articles divers (1957-1962). La fin du pessimisme (juin 1957)
96 s les conversations de la table de famille ou des salons , et c’étaient le Sexe et l’Argent. Tout devait avoir l’air de se pass
59 1957, L’Aventure occidentale de l’homme. Deuxième partie. La Quête occidentale — L’aventure technique
97 dant, l’existence d’innombrables usines, marques, salons , dividendes et records, donne une telle consistance à l’industrie de
60 1961, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Esquisse d’une biographie : J. H. Retinger (1960-1961)
98 ra Mrs. Edwards, puis Mme José-Maria Sert). Or le salon des Godebski se trouve être le cœur de la vie artistique et littérair
99 le fera fréquenter pendant toute sa jeunesse les salons du meilleur monde de Paris et de Londres, où l’ont introduit le comte
100 lic où résident les pouvoirs réels. Il a aussi le salon de Lady Cunard, dont il redevient l’un des habitués, et l’amitié de q
101 ticien privé » que nous avons vu débuter dans les salons , parmi les esthètes et les grandes dames. Depuis son arrivée au Mexiq
61 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Deux princes danois. Kierkegaard et Hamlet
102 pas davantage à celui du Nouveau Testament que le salon du petit-bourgeois ou la salle de jeu des enfants aux décisions les p
62 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Prises de conscience européennes. De Pierre Dubois à l’abbé de Saint-Pierre, (xive au xixe siècle) — Les grands desseins du xviie siècle
103 it carrière sous les auspices de Fontenelle et du salon de la marquise de Lambert, qui lui ouvrirent les portes de l’Académie
63 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — L’Europe des lumières
104 nay reflète les propos que pouvaient accepter les salons « avancés » de l’époque. En voici deux fragments134 : … Les hommes a
64 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — De l’harmonie entre les nations libérées à l’anarchie des États souverains
105 194. Romantische Schule, 2. Buch, 1833. 195. «  Salon  », 4, 73, cit. in Gollwitzer, op. cit., 308. 196. Id. ibid., p. 444
65 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
106 ses jardins, ses ateliers, ses laboratoires, ses salons . Elle a Venise, elle a Oxford, elle a Séville, elle a Rome, elle a Pa
66 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Universités américaines (12-13 janvier 1963)
107 lasse de creative writing. Salle meublée comme un salon . Le professeur (qui est un poète) s’assied sur un canapé, les étudian
67 1963, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Les mythes sommeillent… ils vont se réveiller [Entretien] (9-10 février 1963)
108 r la soirée chez moi ? » Un feu pétillait dans le salon de Ferney, Denis de Rougemont me racontait l’histoire, et à mon tour
68 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 13. La fin du pessimisme
109 s les conversations de la table de famille ou des salons , et c’étaient le sexe et l’argent. Tout devait avoir l’air de se pass
69 1965, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Le Suisse moyen et quelques autres (mai 1965)
110 t fait un dieu ». Mais ce n’eût été qu’un dieu de salons , un dieu causeur. Jacob Burckhardt à sa manière fut aussi un grand h
70 1965, La Suisse ou l’histoire d’un peuple heureux. La morale quotidienne et le climat de culture ou comment on vit dans une fédération
111 t fait un dieu ». Mais ce n’eût été qu’un dieu de salons , un dieu causeur. Jacob Burckhardt à sa manière fut aussi un grand h
71 1966, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). Jacques Chenevière ou la précision des sentiments (22-23 octobre 1966)
112 ser sans transition de la prose à la poésie, d’un salon de la Belle Époque éprise d’Art aux bureaux dramatiquement improvisés
113 rait et intense à la fois, paraître au seuil d’un salon déserté, passé minuit, combien j’aime cet éclat, d’allégresse solaire
72 1969, Articles divers (1963-1969). Un souvenir de Solférino de Henry Dunant [préface] (1969)
114 d’une audience sympathique auprès des cours, des salons de la haute bourgeoisie victorienne, et des grandes dames de toute l’
73 1970, Le Cheminement des esprits. Champs d’activité — L’Europe, l’été…
115 ramide du Mont-Blanc, sommet de l’Europe. Dans le salon du rez-de-chaussée, une trentaine de personnes sont assises autour d’
74 1971, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Dépolitiser la politique (printemps 1971)
116 , à Lausanne, j’entre à 2 heures du matin dans un salon d’hôtel pour écrire le message final du congrès, à lire le lendemain
75 1972, Articles divers (1970-1973). Qu’est-ce que la culture ? : quatre thèses et une hypothèse (juin 1972)
117 rt par des études. Elle n’est pas l’affaire des «  salons  », comme l’imaginent encore quelques amateurs de clichés, qui ne save
118 de clichés, qui ne savent pas qu’il n’y a plus de salons , qu’ils ont été remplacés depuis le xviiie siècle par les cafés, et
76 1975, Articles divers (1974-1977). L’amour (1975)
119 moderne. La mystique se dégrade en psychologie de salon , transposée dans un paysage pastoral. Les amants, chevaliers ou berge
120 ’Église, la sexualité n’en a pas moins envahi les salons de la peinture bourgeoise, les théâtres et la littérature romanesque
77 1976, Articles divers (1974-1977). L’Europe, l’été [préface] (1976)
121 ramide du Mont-Blanc, sommet de l’Europe. Dans le salon du rez-de-chaussée, une trentaine de personnes sont assises autour d’
78 1977, L’Avenir est notre affaire. Repartir de l’homme — Stratégie
122 , à Lausanne, j’entre à 2 heures du matin dans un salon d’hôtel pour écrire le message final du congrès, à lire le lendemain
79 1977, Articles divers (1974-1977). Les débuts de la construction européenne (1977)
123 parmi les journalistes qui se pressaient dans le Salon de l’Horloge comprirent qu’ils vivaient un grand moment de l’Histoire
80 1981, Articles divers (1978-1981). L’Avenir est notre affaire (mai 1981)
124 ingénieur de chez Renault et avec le président du Salon de l’Auto de Genève, et je leur ai demandé ce qu’ils feraient de leur
81 1982, La Part du diable (1982). Postface après quarante ans
125 re, en général, quand on se trouve à huit dans un salon . Rentré tôt, mais n’ai rien fait qui vaille de toute la nuit. Voilà q