1 1924, Articles divers (1924–1930). M. de Montherlant, le sport et les jésuites (9 février 1924)
1 ns qu’il observera les règles. Saluons-le donc du salut des équipes avant le match : « En l’honneur d’Henry de Montherlant, h
2 1926, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Adieu, beau désordre… (mars 1926)
2 n d’abord. Révolution toujours ». « Pour nous, le salut n’est nulle part… » « Je comprends la révolte des autres et quelles p
3 ecouant son dégoût, un Montherlant s’abandonne au salut par la violence. Une sensualité moins énervée lui permet de brutalise
3 1926, Articles divers (1924–1930). Confession tendancieuse (mai 1926)
4 , ne pas aimer son plaisir ? Je reste candidat au salut . 4. La sincérité absolue, « scientifique » me paraît aller contre f
4 1926, Journal de Genève, articles (1926–1982). Le Dépaysement oriental (16 juillet 1926)
5 ni surtout que nous ayons à chercher là-bas notre salut . « La seule leçon à attendre des musulmans, c’est que le spectacle de
5 1927, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). Louis Aragon, le beau prétexte (avril 1927)
6 décembre 1925, au sortir d’une conférence sur le Salut de l’humanité.)   Ce soir en moi trépigne une rage. Sur quelles épaul
7 sque. — Attrape !   Il n’existe pas de théorie du salut . Il n’existe que des systèmes pour faire taire en nous l’appel vertig
8 uelques-uns à jouer nos derniers atouts sur notre salut . Nous courons enfin l’Aventure. « Le salut pour nous n’est nulle part
9 notre salut. Nous courons enfin l’Aventure. « Le salut pour nous n’est nulle part9 ». Ultime affirmation d’une foi que plus
10 ates qui ne sont pas devenues chrétiennes. » « Le salut pour nous n’est nulle part. » Nulle part, pensais-je : le salut n’est
11 s n’est nulle part. » Nulle part, pensais-je : le salut n’est pas là, ou là, à Rome, à Athènes, à Moscou, dans cette doctrine
6 1928, Foi et Vie, articles (1928–1977). Le péril Ford (février 1928)
12 meilleur pour les hommes. » C’est le bonheur, le salut par l’auto. Philosophie réclame. « Ce que j’ai à cœur, aujourd’hui, c
7 1929, Revue de Belles-Lettres, articles (1926–1968). L’ordre social. Le Libéralisme. L’inspiration (novembre 1929)
13 on ne lui fît un mauvais parti, l’ange trouva son salut dans un subterfuge : il insinua qu’il parlait au nom d’une secte orie
8 1929, Les Méfaits de l’instruction publique. Appendice. Utopie
14 nformés de ce temps s’accordent sur un point : le salut de l’Europe est lié à la naissance d’une nouvelle attitude de l’âme.
9 1929, Les Méfaits de l’instruction publique (1972). Appendice. Utopie
15 nformés de ce temps s’accordent sur un point : le salut de l’Europe est lié à la naissance d’une nouvelle attitude de l’âme.
10 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). André Jullien du Breuil, Kate (avril 1930)
16 smes contre l’enfer bourgeois, n’a trouvé d’autre salut que l’abandon à quelques obsessions sexuelles. Qui viendra rendre le
11 1930, Bibliothèque universelle et Revue de Genève, articles (1925–1930). Voyage en Hongrie I (octobre 1930)
17 rant sur une bibliothèque, je crois y trouver mon salut  : « Peter Schlemihl, et vous, A. O. Barnabooth, vous êtes, m’écrié-je
18 Palais par les gardes présentant les armes. À ce salut , les quelques députés bourgeois en redingote ne répondent que du bout
19 dont on vide trois verres d’un trait en guise de salut . C’est alors que se déplient les cartes de « la Hongrie mutilée ». — 
12 1931, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Les Éléments de la grandeur humaine, par Rudolf Kassner (octobre 1931)
20 ent assez de violence pour nous déchirer jusqu’au salut , et dont la composante réelle tend vers zéro, c’est d’une philosophie
13 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Romanciers protestants (janvier 1932)
21 l’action. Certes, nos prédicateurs affirmaient le salut gratuit par la foi ; mais d’autre part nous prêtions des mains compli
14 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Le silence de Goethe (mars 1932)
22 itera la phrase de la Saison : « Pas de partis de salut violents. » Dès les premiers instants de son accession au monde spiri
23 es. « Bon esprit, prends garde ! Pas de partis de salut violents. Exerce-toi ». Objurgation que l’on croirait tirée de quelqu
24 on, si elle la comble par ailleurs. Ce critère du salut , cette transcendance, en bonne dialectique autoriserait à des jugemen
15 1932, Foi et Vie, articles (1928–1977). Goethe, chrétien, païen (avril 1932)
25 erser nos sagesses. Goethe, prônant dans Faust le salut par l’effort humain au sein d’une nature harmonieuse — et quand bien
16 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Hic et nunc [éditorial] (novembre 1932)
26 et ordre d’attester la scandaleuse doctrine du «  salut de grâce et bonté pure », du salut par la foi, par l’abandon aux main
27 doctrine du « salut de grâce et bonté pure », du salut par la foi, par l’abandon aux mains du Dieu vivant. En face de philos
17 1932, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Principe d’une politique du pessimisme actif (novembre 1932)
28 à lui-même un monde qui ne saurait nous offrir de salut , puisqu’il n’est de salut qu’en la foi, qui transcende le monde. Prin
29 saurait nous offrir de salut, puisqu’il n’est de salut qu’en la foi, qui transcende le monde. Principe de l’individualisme a
30 ue chose, notre activité, ne vaut rien pour notre salut . Elle se souvient que nous devons travailler à établir le Royaume sur
31 urrait nous certifier dans le fond de nos âmes un salut qui se rit des ultimes efforts et des ultimes défaites de notre volon
32 et toute révolution qui prétendrait fonder notre salut sur une organisation terrestre quelle qu’elle soit. Il ne suit pas de
18 1932, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). À prendre ou à tuer (décembre 1932)
33  ? Va prendre parti, et agir ?… — Paralysie. — Le salut qu’on lui offre, il faudrait qu’elle le paie du prix de l’âme même. O
34 uver le monde » ? Rien. Au sens fort du mot, le «  salut  » n’est pas à débattre sur le plan de l’humanité, mais entre l’homme,
19 1932, Le Paysan du Danube. Le sentiment de l’Europe centrale
35 la gloire de ce temps, et, accessoirement, notre salut .   Parmi les traits tout quotidiens de la mentalité germanique, les p
20 1932, Le Paysan du Danube. Le Paysan du Danube — Voyage en Hongrie
36 rant sur une bibliothèque, je crois y trouver mon salut  : « Peter Schlemihl, et vous, A. O. Barnabooth, vous êtes, m’écrié-je
37 Palais par les gardes présentant les armes. À ce salut , les quelques députés bourgeois en redingote ne répondent que du bout
38 dont on vide trois verres d’un trait en guise de salut . C’est alors que se déplient les cartes de « la Hongrie mutilée ». — 
21 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Introduction. Le sentiment de l’Europe centrale
39 la gloire de ce temps, et, accessoirement, notre salut . Parmi les traits tout quotidiens de la mentalité germanique, les plu
22 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Première partie. Le paysan du Danube — Voyage en Hongrie
40 rant sur une bibliothèque, je crois y trouver mon salut  : « Peter Schlemihl, et vous, A. O. Barnabooth, vous êtes, m’écrié-je
41 Palais par les gardes présentant les armes. À ce salut , les quelques députés bourgeois en redingote ne répondent que du bout
42 dont on vide trois verres d’un trait en guise de salut . C’est alors que se déplient les cartes de la « Hongrie mutilée ». — 
23 1933, Esprit, articles (1932–1962). Comment rompre ? (mars 1933)
43 étien, mais ne se confond pas avec l’enjeu de son salut . Tel est le paradoxe, qui remonte au cœur même du christianisme, si l
24 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Solutions pratiques ? (mars 1933)
44 ant de quel prix dérisoire ils ont cru payer leur salut , — telle est la seule tâche véritablement positive que notre effort,
25 1933, Le Semeur, articles (1933–1949). Humanisme et christianisme (mars 1933)
45 , économique, éthique — fondée sur la croyance au salut de l’homme par les seules forces humaines. Croyance qui s’oppose rigo
46 christianisme, s’il est avant tout la croyance au salut de l’homme par la seule force de Dieu, — par la foi. Dans les deux ca
47 Dans les deux cas, marquons-le bien, il s’agit de salut . Certains humanistes le nieront. Ils me diront que, là où le chrétien
48 nt. Ils me diront que, là où le chrétien parle de salut , eux se bornent à revendiquer le bonheur des hommes, la justice. Faut
49 adicalement ? C’est en ceci que, pour les uns, le salut est transcendant à l’humanité, pour les autres, immanent. Les humanis
26 1933, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Liberté ou chômage ? (mai 1933)
50 ine efficacité ceux pour lesquels il n’est pas de salut hors de cette réalité perpétuellement réparatrice et proprement humai
27 1933, Articles divers (1932-1935). « La jeunesse française devant l’Allemagne » [Réponse à une enquête] (mai 1933)
51 de l’époque ; et c’eût été le premier pas vers le salut . Mais les uns se perdirent en eux-mêmes, les autres dans on ne sait q
28 1933, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Dialectique des fins dernières (juillet 1933)
52 et du scandale en tant que tels, l’acceptation du salut impossible, paradoxe dont la formule est le nom même de Jésus-Christ.
53 ssitôt, s’il accepte ce non, l’affirmation de son salut paraît : il reconnaît la Vie au travers de sa mort. Si, par un souci
54 che, mais en même temps, si elle est vraie, notre salut . Et c’est Pascal, traduisant Augustin : « Tu ne Me chercherais pas si
29 1933, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Parole de Dieu et parole humaine, par Karl Barth (30 décembre 1933)
55 e bien, que la foi seule lui donne la promesse du salut , que cette foi n’est pas le couronnement de sa « vie religieuse », ma
30 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Destin du siècle ou vocation personnelle ? (février 1934)
56 é, ce serait une erreur insondable que de voir le salut de notre époque dans un retour à l’individu. L’individu est l’origine
31 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Précisions sur la mort du Grand Pan (avril 1934)
57 ive prophétique ou dans la joie de la doctrine du salut . Songez à ces pasteurs qui, chaque printemps, saisissent le premier r
32 1934, Journal de Genève, articles (1926–1982). Sara Alelia (25 mai 1934)
58 il est certain que l’Évangile et ses promesses de salut sont seuls capables de donner à l’homme une vision réaliste de son so
33 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Quelques œuvres et une biographie de Kierkegaard (26 mai 1934)
59 est tout imaginaire. Car seule la connaissance du salut promis par le Christ peut nous amener à l’aveu de la réalité de notre
34 1934, Articles divers (1932-1935). Où sont les jeunes protestants ? Remarques sur le protestantisme et les doctrines politiques (juillet-août 1934)
60 ourra, pour nous, se confondre avec un progrès de salut . Principe d’une politique du pessimisme actif. Une phrase de Kierkega
35 1934, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Éditorial (juillet 1934)
61 s pasteurs prêcher l’équivalent de la doctrine du salut par les œuvres, mais encore on voit ces mêmes pasteurs lire sans sour
62 ler la confession de nos églises, qui proclame le salut par la foi seule. Bien plus, quand un théologien fidèle vient rappele
63 suffisance morale lui donne le droit de saisir le salut dont les signes sacrés sont le gage ? On est moins exigeant envers so
36 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Le mouvement des groupes — Kagawa (4 août 1934)
64 t, entre autres, un ouvrage fameux sur l’Armée du salut .) Le Mouvement des Groupes est né après la guerre, de l’activité pure
37 1934, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Au sujet d’un roman : Sara Alelia (3 novembre 1934)
65 il est certain que l’Évangile et ses promesses de salut sont seuls capables de donner à l’homme une vision réaliste de son so
38 1934, Politique de la personne. Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
66 é, ce serait une erreur insondable que de voir le salut de notre époque dans un retour à l’individu. L’individu est l’origine
39 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite (Fondements théologiques d’une action politique)
67 ourra, pour nous, se confondre avec un progrès du salut . Principe d’une politique du pessimisme actif. Une phrase de Kierkega
40 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
68 à lui-même un monde qui ne saurait nous offrir de salut , puisqu’il n’est de salut qu’en la foi, qui transcende le monde. Prin
69 saurait nous offrir de salut, puisqu’il n’est de salut qu’en la foi, qui transcende le monde. Principe de l’individualisme a
70 ue chose, notre activité, ne vaut rien pour notre salut . Elle se souvient que nous devons travailler à établir le Royaume sur
71 rait nous certifier, dans le fond de nos âmes, un salut qui se joue des ultimes efforts et des ultimes défaites de notre volo
72 rines, révolutions qui prétendraient fonder notre salut sur un ordre terrestre. Mais toutes ces négations, nous les déclarero
41 1934, Politique de la personne. Principes d’une politique du pessimisme actif — Note sur un certain humour
73 a grâce de son Sauveur, un homme qui sait que son salut ne dépend pas du monde, comment voulez-vous qu’il adopte ces allures
74 omme pour qui tout est accompli : le péché, et le salut en Christ. Voilà sa liberté : sa mort est derrière lui. Le problème a
75 qu’à la gauche » son sort terrestre. C’est que le salut , pour lui, est lié au succès de son effort. Pas d’ironie possible vis
76 c’est de manquer cet acte par lequel je saisis le salut qui m’est promis29, salut gagé sur le fait historique de la mort et d
77 par lequel je saisis le salut qui m’est promis29, salut gagé sur le fait historique de la mort et de la résurrection de Jésus
42 1934, Politique de la personne. Idoles — Comment rompre ?
78 étien, mais ne se confond pas avec l’enjeu de son salut . Tel est le paradoxe, qui remonte au cœur même du christianisme, si l
43 1934, Politique de la personne. Idoles — Humanisme et christianisme
79 , économique, éthique — fondée sur la croyance au salut de l’homme par les seules forces humaines. Croyance qui s’oppose rigo
80 christianisme, s’il est avant tout la croyance au salut de l’homme par la seule force de Dieu, — par la foi. Dans les deux ca
81 Dans les deux cas, marquons-le bien, il s’agit de salut . Certains humanistes le nieront. Ils me diront que, là où le chrétien
82 nt. Ils me diront que, là où le chrétien parle de salut , eux se bornent à revendiquer le bonheur des hommes, la justice. Reco
83 adicalement ? C’est en ceci que, pour les uns, le salut est transcendant à l’humanité, pour les autres, immanent. Les humanis
44 1934, Politique de la personne. Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
84  ? Va prendre parti, et agir ?… — Paralysie. — Le salut qu’on lui offre il faudrait qu’elle le paie du prix de l’âme même. On
85 uver le monde » ? Rien. Au sens fort du mot, le «  salut  » n’est pas à débattre sur le plan de l’humanité, mais entre l’homme,
45 1934, Politique de la personne. Appendice — Liberté ou chômage ?
86 ine efficacité ceux pour lesquels il n’est pas de salut hors de cette réalité perpétuellement réparatrice et proprement humai
46 1934, Politique de la personne (1946). Primauté du spirituel ? — Destin du siècle ou vocation personnelle ?
87 é, ce serait une erreur insondable que de voir le salut de notre époque dans un retour à l’individu. L’individu est l’origine
47 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Ni ange ni bête : ni gauche ni droite, (Fondements théologiques d’une action politique)
88 ourra, pour nous, se confondre avec un progrès du salut . Principe d’une politique du pessimisme actif. Une phrase de Kierkeg
48 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Sur la devise du Taciturne
89 à lui-même un monde qui ne saurait nous offrir de salut , puisqu’il n’est de salut qu’en la foi, qui transcende le monde. Prin
90 saurait nous offrir de salut, puisqu’il n’est de salut qu’en la foi, qui transcende le monde. Principe de l’individualisme a
91 ue chose, notre activité, ne vaut rien pour notre salut . Elle se souvient que nous devons travailler à établir le Royaume sur
92 rait nous certifier, dans le fond de nos âmes, un salut qui se joue des ultimes efforts et des ultimes défaites de notre volo
93 rines, révolutions qui prétendraient fonder notre salut sur un ordre terrestre. Mais toutes ces négations, nous les déclarero
49 1934, Politique de la personne (1946). Principes d’une politique du pessimisme actif — Note sur un certain humour
94 a grâce de son Sauveur, un homme qui sait que son salut ne dépend pas du monde, comment voulez-vous qu’il adopte ces allures
95 omme pour qui tout est accompli : le péché, et le salut en Christ. Voilà sa liberté : sa mort est derrière lui. Le problème a
96 qu’à la gauche » son sort terrestre. C’est que le salut , pour lui, est lié au succès de son effort. Pas d’ironie possible vis
97 c’est de manquer cet acte par lequel je saisis le salut qui m’est promis22, salut gagé sur le fait historique de la mort et d
98 par lequel je saisis le salut qui m’est promis22, salut gagé sur le fait historique de la mort et de la résurrection de Jésus
50 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Comment rompre ?
99 étien, mais ne se confond pas avec l’enjeu de son salut . Tel est le paradoxe, qui remonte au cœur même du christianisme, si l
51 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Humanisme et christianisme
100 , économique, éthique — fondée sur la croyance au salut de l’homme par les seules forces humaines. Croyance qui s’oppose rigo
101 anisme, si celui-ci est avant tout la croyance au salut de l’homme par la seule force de Dieu, — par la foi. Dans les deux ca
102 Dans les deux cas, marquons-le bien, il s’agit de salut . Certains humanistes le nieront. Ils me diront que, là où le chrétien
103 nt. Ils me diront que, là où le chrétien parle de salut , eux se bornent à revendiquer le bonheur des hommes, la justice. Reco
104 adicalement ? C’est en ceci que, pour les uns, le salut est transcendant à l’humanité, pour les autres, immanent. Les humani
52 1934, Politique de la personne (1946). Problèmes de la révolution personnaliste — D’un Cahier de revendications
105  ? Va prendre parti, et agir ?… — Paralysie. — Le salut qu’on lui offre il faudrait qu’elle le paie du prix de l’âme même. On
106 sauver le monde » ? Rien. Au sens fort du mot, le salut n’est pas à débattre sur le plan de l’humanité, mais entre l’homme, e
53 1934, Politique de la personne (1946). Appendices — Liberté ou chômage ?
107 ine efficacité ceux pour lesquels il n’est pas de salut hors de cette réalité perpétuellement réparatrice et proprement humai
54 1935, Foi et Vie, articles (1928–1977). Notes en marge de Nietzsche (mars 1935)
108 ’il faille un incroyant pour nous rappeler que le salut , pour le chrétien, n’est pas dans le Progrès indéfini de notre histoi
109 ains ont cessé de croire, dans l’ensemble, que le salut était déjà venu. Ils se sont mis à croire de nouveau que le Messie na
110 ’humanité sera meilleure, sera plus près de son «  salut  » dans cent ans qu’elle ne l’est aujourd’hui. Mais que dis-je, cent a
111 trouve malgré tout ces chiffres consolants. » Au salut par l’éternité, voici donc opposée une notion beaucoup plus scientifi
112 up plus conforme aux exigences de l’Histoire : le salut par la sempiternité. Mais n’est-ce point là ce que toute la Bible nou
55 1935, Articles divers (1932-1935). Mystère de la Vision (fragments d’un Traité de la vision physionomique du monde) (mars 1935)
113 ’affronter la réalité — pour nous avoir révélé le salut  ? Où trouver la réponse qui nous permettrait seule de poser sérieusem
56 1935, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Soirée chez Nicodème (mai 1935)
114 , à travers l’humanité, les ondes radioactives du Salut .20 » L’étudiant qui lisait referma brusquement le gros volume et s’ex
115 ien comprendre à rien. Ces “ondes radioactives du Salut ”, cela s’appelle, en bonne scolastique, la grâce infuse ! et si toute
116 et la Communion dans la foi, tout est fait, — le salut est donné. Mais nous avons alors à dire et à prêcher ce que sont ce B
57 1935, Le Semeur, articles (1933–1949). La cité (avril-mai 1935)
117 nonce une réalité, non pas un rêve. Il annonce le salut pour ceux qui se repentent et qui croient, non point une théorie écon
58 1935, Esprit, articles (1932–1962). « L’Esprit n’a pas son palais » (octobre 1935)
118 oûte moins cher qu’une petite 5 chevaux. Quant au salut , il est gratuit. Et je ne pense pas que M. Duhamel compte acheter son
59 1935, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). « Le plus beau pays du monde » (octobre 1935)
119 a formule fédéraliste. — Inutile d’ajouter que le salut temporel de l’Europe dépend de sa faculté d’opérer de telles distinct
60 1935, Articles divers (1932-1935). Montherlant : Service inutile (15 novembre 1935)
120 s le plus noble de chance, qui est bien proche de salut . Les plus grands ont été les moins libres de n’en faire qu’à leur agr
61 1936, Articles divers (1936-1938). Forme et transformation, ou l’acte selon Kierkegaard (janvier 1936)
121 , et c’est là leur action, leur prophétie et leur salut . Cependant que les hommes les frappent sur la bouche. Kierkegaard fut
62 1936, Hic et Nunc, articles (1932–1936). Sur une page de Bossuet (ou Tradition et Révélation) (janvier 1936)
122 Ce qui s’oppose en réalité, c’est une doctrine du salut par la foi au sein d’une Église obéissant à la Révélation, et une doc
123 ise obéissant à la Révélation, et une doctrine du salut par l’Église, par une Église qui prend barre sur l’Écriture. Précison
124 e chose nécessaire, de cette foi au seul moyen de salut qui ait été donné aux hommes. Il en va de même du purgatoire, de l’an
63 1936, Esprit, articles (1932–1962). Culture et commune mesure (novembre 1936)
125 ans grandeur à ses racines. Notre seule chance de salut , à nous autres nations libérales, est dans la création d’une communau
64 1936, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). L’Art poétique ou Qu’il faut penser avec les mains (décembre 1936)
126 rtains maîtres-mots : esprit, nation, révolution, salut …) Et, comme pour protéger ces conventions précaires, on les rend auss
65 1936, Penser avec les mains. Première partie. La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
127 ans grandeur à ses racines. Notre seule chance de salut , à nous autres nations libérales, est dans la création d’une communau
66 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
128 enant de le décrire et non plus de le conduire au salut . Nous tenons ici la première supposition impliquée par la maxime bour
67 1936, Penser avec les mains. Deuxième partie. Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
129 à la France actuelle : non pas seulement pour le salut de l’Occident, ou comme disent les marxistes, pour que l’histoire dur
130 ce n’est pas cela qui nous importe — mais pour le salut de la pensée et pour que l’homme reste humain, ou le devienne. Certes
131 ncarnation de l’esprit, une nouvelle puissance de salut . C’est l’acte. Car l’acte est adhésion à l’instant éternel ; un insta
132 n recréatrice. En même temps, elle est le gage du salut que Dieu a promis à ceux qui gardent son commandement. Car c’est en e
68 1936, Articles divers (1936-1938). L’Acte comme point de départ (1936-1937)
133 de conciliation sont des époques de décadence. Le salut n’est jamais dans le repli, dans le refus du conflit concret. L’inven
69 1936, Penser avec les mains (1972). La commune mesure — L’appel à la commune mesure, ou l’Europe du xxe siècle
134 ans grandeur à ses racines. Notre seule chance de salut , à nous autres nations libérales, est dans la création d’une communau
70 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — La pensée prolétarisée
135 enant de le décrire et non plus de le conduire au salut . Nous tenons ici la première supposition impliquée par la maxime bour
71 1936, Penser avec les mains (1972). Penser avec les mains — Éléments d’une morale de la pensée
136 à la France actuelle : non pas seulement pour le salut de l’Occident, ou comme disent les marxistes, pour que l’histoire dur
137 ce n’est pas cela qui nous importe — mais pour le salut de la pensée et pour que l’homme reste humain, ou le devienne. Certes
138 ncarnation de l’esprit, une nouvelle puissance de salut . C’est l’acte. Car l’acte est adhésion à l’instant éternel ; un insta
72 1937, L’Ordre nouveau, articles (1933–1938). Historique du mal capitaliste (janvier 1937)
139 ques incommensurables… On chercha au contraire le salut dans le protectionnisme municipal (et en même temps social). Beaucoup
73 1937, Articles divers (1936-1938). Lénine, Staline et la littérature (17 avril 1937)
140 ger. » Il préférait de beaucoup à Maïakovski le «  Salut au 17e » : Salut, salut à vous, braves soldats du 17e… ou encore la
141 t de beaucoup à Maïakovski le « Salut au 17e » : Salut , salut à vous, braves soldats du 17e… ou encore la chanson patriotar
142 aucoup à Maïakovski le « Salut au 17e » : Salut, salut à vous, braves soldats du 17e… ou encore la chanson patriotarde sur
74 1937, Foi et Vie, articles (1928–1977). Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)
143 le pouvoir qu’aurait l’homme de contribuer à son salut par ses efforts et ses œuvres morales. Que trouveront-ils dès lors da
144 cure. Il y a une double prédestination : l’une au salut , l’autre à la damnation. Être damné, ne serait-ce pas justement être
145 Érasme n’y changeront rien : « Travaillez à votre salut avec crainte et tremblement, puisque c’est Dieu qui produit en vous l
146 « un faible libre arbitre »71, dans les choses du salut . Mais que le Christ ait dû mourir — cet acte extrême — pour nous sauv
147 es où voulait se complaire Érasme. Le problème du salut est un problème de vie ou de mort. Or, il est seul en cause pour le t
148 eulement qu’elle puisse suffire à nous obtenir le salut , étant elle-même soumise au mal. Tout le reste est psychologie, litté
75 1937, Les Nouvelles littéraires, articles (1933–1972). Luther contre Érasme (19 juin 1937)
149 -à-dire du pouvoir qu’aurait l’homme de gagner le salut par ses propres efforts de volonté, ce n’est pas ici le lieu de l’exa
150 ’appliquer librement aux choses qui concernent le salut . Elle fait partie de notre nature, et comme telle, ne désire vraiment
76 1937, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Paysans de l’Ouest (15 juin 1937)
151 bande de petits garçons. Il n’a pas répondu à mon salut . 12 décembre 1933 Tout à l’heure, en déchirant le journal de l’île po
77 1937, Articles divers (1936-1938). Changer la vie ou changer l’homme ? (1937)
152 se « la seule chose nécessaire », le seul gage du salut total ? Alors, va-t-on, si l’on est converti, laisser le monde aller
153 cette reconnaissance, ce serait que j’ignore mon salut . Mais si je connais mon salut, je ne puis supporter mon péché et ses
154 it que j’ignore mon salut. Mais si je connais mon salut , je ne puis supporter mon péché et ses effets dans le monde réel où v
155 » personnelle et actuelle, puisqu’il n’y a pas de salut présent ni éternel, puisque le salut n’est pas pour eux de toute faço
156 n’y a pas de salut présent ni éternel, puisque le salut n’est pas pour eux de toute façon, mais pour les descendants de leurs
78 1937, Journal d’un intellectuel en chômage. N’habitez pas les villes !
157 bande de petits garçons. Il n’a pas répondu à mon salut . 11 décembre 1933 À la cuisine. — Les jours où il n’est plus p
158 écrit ce Journal ! Mais nous, nous chercherons le salut de la pensée ailleurs que dans la fuite devant ce qui la met en quest
79 1937, Articles divers (1936-1938). Vocation et destin d’Israël (1937)
159 par suite de la faute des enfants d’Israël que le salut est parvenu aux païens, afin d’exciter leur propre émulation » (v. 11
160 onde, et l’on pourrait même dire : la date de son salut final, dépend ainsi de la conversion des Juifs. Et ceci nous révèle l
161 richesse du monde. Et cette richesse s’appelle le salut . 64. Il faut bien voir que le « racisme » juif n’est justifié à l’
80 1937, Articles divers (1936-1938). Luther, Traité du serf arbitre (1937)
162 le pouvoir qu’aurait l’homme de contribuer à son salut par ses efforts et ses œuvres morales. Que trouveront-ils, dès lors,
163 cure… Il y a une double prédestination : l’une au salut , l’autre à la damnation. Être damné, ne serait-ce pas justement être
164 Érasme n’y changeront rien : « Travaillez à votre salut avec crainte et tremblement, puisque c’est Dieu qui produit en vous l
165 « un faible libre arbitre »34 dans les choses du salut . Mais que le Christ ait dû mourir — cet acte extrême — pour nous sauv
166 es où voulait se complaire Érasme. Le problème du salut est un problème de vie ou de mort. Or il est seul en cause pour le th
167 eulement qu’elle puisse suffire à nous obtenir le salut , étant elle-même soumise au mal. Tout le reste est psychologie, litté
81 1938, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). La vraie défense contre l’esprit totalitaire (juillet 1938)
168 ne dis pas que je les ai trouvées. Je dis que le salut serait de les trouver. La force des totalitaires c’est d’entraîner le
82 1938, La Vie protestante, articles (1938–1978). Le temps des fanatiques (25 novembre 1938)
169 Si l’on veut m’engager au nom du Christ, mon seul salut , j’ai même le devoir d’y regarder à deux fois avant de donner mon adh
83 1938, Esprit, articles (1932–1962). L’amour action, ou de la fidélité (novembre 1938)
170 et sotériologie (lois de l’hygiène et doctrine du salut ). À vues humaines, la guérison de nos passions viendra de l’État, ce
171 inisent le Désir. Toutes cherchent un appui et un salut dans le Désir, qui devient aussitôt, et par là même, le pire ennemi d
172 aimé le premier, et qui s’est approché de lui. Le salut n’est plus au-delà, toujours plus haut, dans l’ascension interminable
173 la fonction originelle du Démiurge, et puisque le salut est justement d’échapper à sa loi démoniaque.104 Faut-il voir à la s
174 se manifeste — ne trouve son au-delà réel et son salut que par cette action d’obéissance qui est la vie de fidélité. Vivre a
175 n’est pas la mort, la désincarnation, qui est le salut , mais l’acte de la grâce, accompli par Dieu seul. 106. Ce dernier ch
84 1938, Journal d’Allemagne. Journal (1935-1936)
176 , non d’une Histoire hypothétique, que se joue le salut de ton être. Alors il n’y a plus de prétextes. Ou bien tu crois, ou b
85 1939, La Vie protestante, articles (1938–1978). Nicolas de Flue et la tradition réformée (1er septembre 1939)
177 ciens des cinq cantons catholiques cherchent leur salut dans des soutiens extérieurs, et les publicistes jésuites, pour la pl
86 1939, La Nouvelle Revue française, articles (1931–1961). Propos sur la religion, par Alain (avril 1939)
178 données concrètes du christianisme : le péché, le salut , le drame de la révolte et de l’amour. Mais elle spécule volontiers s
87 1939, Esprit, articles (1932–1962). D’une critique stérile (mai 1939)
179 n par volonté mais par crainte, pour assurer le «  salut  » de nos libertés… Ils ont écrit et dit tout cela, avant les autres,
88 1939, La Revue de Paris, articles (1937–1969). L’Âme romantique et le rêve (15 août 1939)
180 ’est en confessant de la bouche qu’on parvient au salut  », dit saint Paul. IV. Romantisme et national-socialisme De mêm
89 1939, L’Amour et l’Occident. Les origines religieuses du mythe
181 créé qui appartient à la Nuit, ne peut trouver de salut qu’en cessant d’être, en se « perdant » au sein de la divinité. Mais
182 e. Comment l’aimer vraiment, tel qu’il était ? Le salut n’étant qu’au-delà, l’homme religieux se détournait des créatures ign
183 eux dès cette vie pour le croyant que « saisit le salut  ». 4.Orient et Occident Est-il possible de définir l’Orient et
184 s personnages historiques… e) La salutation et le salut que l’initié voulait donner au Sage, mais que celui-ci, prévenant, do
185 nfin de Pétrarque. Tous ces poètes attachent au «  salut  » de la Dame une importance apparemment démesurée69, mais qui s’expli
186 rt bien si l’on prend garde au double sens du mot salut . f) Les mystiques arabes insistent sur la nécessité de garder le secr
90 1939, L’Amour et l’Occident. Passion et mystique
187 ». Le « dard d’amour » qui blesse sans tuer. Le «  salut  » de l’amour. La passion qui « isole » du monde et des êtres. La pass
91 1939, L’Amour et l’Occident. Le mythe dans la littérature
188 eil de celui qu’elle salue [auquel elle donne son salut ] et, s’il n’est déjà de notre foi, l’y amène. Faut-il penser que Dan
92 1939, L’Amour et l’Occident. L’Amour action, ou de la fidélité
189 et sotériologie (lois de l’hygiène et doctrine du salut ). À vues humaines, la guérison de nos passions viendra de l’État, ce
190 inisent le Désir. Toutes cherchent un appui et un salut dans le Désir, qui devient aussitôt, et par là même, le pire ennemi d
191 aimé le premier, et qui s’est approché de lui. Le salut n’est plus au-delà, toujours plus haut, dans l’ascension interminable
192 la fonction originelle du Démiurge, et puisque le salut est justement d’échapper à sa loi démoniaque207. Faut-il voir à la so
193 se manifeste — ne trouve son au-delà réel, et son salut , que par cette action d’obéissance qui est la vie de fidélité. Vivre
194 n’est pas la mort, la désincarnation, qui est le salut  ; mais l’acte de la grâce fait par Dieu. 209. Malgré les tentatives
93 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
195 sement, il sentait croître en lui l’inquiétude du salut . J’ai été attaché avec zèle aux lois papistes autant que n’importe q
196 vec grand sérieux comme saintes et nécessaires au salut . Avec tout le soin dont j’étais capable, je me suis efforcé de les ob
197 de devenir prêtre, mais surtout en cherchant son salut dans une solitude érémitique d’ailleurs pleine d’activité autant que
94 1939, Nicolas de Flue. ACTE PREMIER.
198 dans la paix, la Confédération sera perdue. Notre salut est dans le Pacte que nous avons conclu au nom de Dieu. 3e officie
95 1939, Nicolas de Flue. ACTE II.
199 i m’écoute. Hornek. —  L’empereur t’envoie son salut  ! Il se souvient de ta vaillance dans la guerre, quand tu luttais con
96 1939, Nicolas de Flue. ACTE III.
200 man, au nom du Roi mon maître, Louis l’Onzième. ( Saluts .) Le Landamman. —  Que la paix des montagnes, et non point la disco
201 ant les sacrifices qu’il pourra consentir pour le salut de la patrie commune ! La parole est au délégué des villes. Waldma
202 président. —  Une dernière fois, je vous adjure… salut de notre Confédération ! (Sa voix est couverte par les cris.) Cris
203 inuit sonne ! (Douze coups.) D’où nous viendra le salut  ? — Kyrie eleison ! (Silence total.) Dorothée (dans une lueur, à g
204 aimo. —  Heureux l’homme qui préfère à sa paix le salut de tous ceux qui souffrent ! Nicolas. —  Mon vœu me lie ! Haimo
205 el vœu ? Nicolas. —  Mon vœu de solitude ! Mon salut  ! Haimo. —  Ô ! que Dieu même te délie ! (Il s’agenouille. Silenc
206 rcira. Pour ton peuple, ta patrie, Sacrifie ton salut  ! En Jésus livrant sa vie Dieu lui-même est descendu ! Nicolas. —
207 Dieu lui-même m’avait dit : Nicolas, sacrifie ton salut  ! — J’obéirai, je descendrai. (Il s’appuie sur Haimo, et tous deux,
208 — la voix de la sentinelle — qui nous avertit du salut  ! Qu’ils sont beaux sur nos montagnes — les pieds ailés du messager —
97 1939, Articles divers (1938-1940). Le théâtre communautaire en Suisse (1939)
209 and, c’est parce qu’un jour il a tout sacrifié au salut de la communauté. Le paradoxe central d’une pièce sur Nicolas, sa ten
210 isième acte, Nicolas sacrifie sa solitude pour le salut des Suisses : il descend du plan 3 au plan 2. Deux mots à propos de l
98 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Les origines religieuses du mythe
211 créé qui appartient à la Nuit, ne peut trouver de salut qu’en cessant d’être, en se « perdant » au sein de la divinité. Mais
212 e. Comment l’aimer vraiment, tel qu’il était ? Le salut n’étant qu’au-delà, l’homme religieux se détournait des créatures ign
213 eux dès cette vie pour le croyant que « saisit le salut  ». 4.Orient et Occident Est-il possible de définir l’Orient et
214 nts non encore « consolés » : il avait droit au «  salut  » des croyants, c’est-à-dire à trois « révérences ». On a vu le rôle
215 ion) et qui accueille l’hommage de son âme par un salut et un baiser. L’enfer étant la prison de la matière, Lucifer, l’ange
216 ur vrai ? Un seul baiser, un seul regard, un seul salut . Jaufré Rudel, au terme d’un amour conçu pour une femme qu’il n’a jam
217 dès qu’il en a reçu un seul baiser de paix et le salut . Il s’agit d’une légende, mais tirée des poèmes qui chantent bel et b
218 personnages historiques… e) La salutation est le salut que l’initié voulait donner au Sage, mais que celui-ci, prévenant, do
219 nfin de Pétrarque. Tous ces poètes attachent au «  salut  » de la Dame une importance apparemment démesurée, mais qui s’expliqu
220 rt bien si l’on prend garde au sens liturgique du salut . f) Les mystiques arabes insistent sur la nécessité de garder le sec
221 ps — cette part du diable — ne saurait engager le salut de son âme : « Point de péché au-dessous du nombril ! » précise un év
222 e Dieu mais à la nuit de la passion, non point au salut de la personne mais bien à sa dissolution. Tout le passage cité trahi
99 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Passion et mystique
223 ». Le « dard d’amour » qui blesse sans tuer. Le «  salut  » de l’amour. La passion qui « isole » du monde et des êtres. La pass
100 1939, L’Amour et l’Occident (1956). Le mythe dans la littérature
224 eil de celui qu’elle salue [auquel elle donne son salut ] et, s’il n’est déjà de notre foi, l’y amène. Faut-il penser que Dant