1
ns qu’il observera les règles. Saluons-le donc du
salut
des équipes avant le match : « En l’honneur d’Henry de Montherlant, h
2
n d’abord. Révolution toujours ». « Pour nous, le
salut
n’est nulle part… » « Je comprends la révolte des autres et quelles p
3
ecouant son dégoût, un Montherlant s’abandonne au
salut
par la violence. Une sensualité moins énervée lui permet de brutalise
4
, ne pas aimer son plaisir ? Je reste candidat au
salut
. 4. La sincérité absolue, « scientifique » me paraît aller contre f
5
ni surtout que nous ayons à chercher là-bas notre
salut
. « La seule leçon à attendre des musulmans, c’est que le spectacle de
6
décembre 1925, au sortir d’une conférence sur le
Salut
de l’humanité.) Ce soir en moi trépigne une rage. Sur quelles épaul
7
sque. — Attrape ! Il n’existe pas de théorie du
salut
. Il n’existe que des systèmes pour faire taire en nous l’appel vertig
8
uelques-uns à jouer nos derniers atouts sur notre
salut
. Nous courons enfin l’Aventure. « Le salut pour nous n’est nulle part
9
notre salut. Nous courons enfin l’Aventure. « Le
salut
pour nous n’est nulle part9 ». Ultime affirmation d’une foi que plus
10
ates qui ne sont pas devenues chrétiennes. » « Le
salut
pour nous n’est nulle part. » Nulle part, pensais-je : le salut n’est
11
s n’est nulle part. » Nulle part, pensais-je : le
salut
n’est pas là, ou là, à Rome, à Athènes, à Moscou, dans cette doctrine
12
meilleur pour les hommes. » C’est le bonheur, le
salut
par l’auto. Philosophie réclame. « Ce que j’ai à cœur, aujourd’hui, c
13
on ne lui fît un mauvais parti, l’ange trouva son
salut
dans un subterfuge : il insinua qu’il parlait au nom d’une secte orie
14
nformés de ce temps s’accordent sur un point : le
salut
de l’Europe est lié à la naissance d’une nouvelle attitude de l’âme.
15
nformés de ce temps s’accordent sur un point : le
salut
de l’Europe est lié à la naissance d’une nouvelle attitude de l’âme.
16
smes contre l’enfer bourgeois, n’a trouvé d’autre
salut
que l’abandon à quelques obsessions sexuelles. Qui viendra rendre le
17
rant sur une bibliothèque, je crois y trouver mon
salut
: « Peter Schlemihl, et vous, A. O. Barnabooth, vous êtes, m’écrié-je
18
Palais par les gardes présentant les armes. À ce
salut
, les quelques députés bourgeois en redingote ne répondent que du bout
19
dont on vide trois verres d’un trait en guise de
salut
. C’est alors que se déplient les cartes de « la Hongrie mutilée ». —
20
ent assez de violence pour nous déchirer jusqu’au
salut
, et dont la composante réelle tend vers zéro, c’est d’une philosophie
21
l’action. Certes, nos prédicateurs affirmaient le
salut
gratuit par la foi ; mais d’autre part nous prêtions des mains compli
22
itera la phrase de la Saison : « Pas de partis de
salut
violents. » Dès les premiers instants de son accession au monde spiri
23
es. « Bon esprit, prends garde ! Pas de partis de
salut
violents. Exerce-toi ». Objurgation que l’on croirait tirée de quelqu
24
on, si elle la comble par ailleurs. Ce critère du
salut
, cette transcendance, en bonne dialectique autoriserait à des jugemen
25
erser nos sagesses. Goethe, prônant dans Faust le
salut
par l’effort humain au sein d’une nature harmonieuse — et quand bien
26
et ordre d’attester la scandaleuse doctrine du «
salut
de grâce et bonté pure », du salut par la foi, par l’abandon aux main
27
doctrine du « salut de grâce et bonté pure », du
salut
par la foi, par l’abandon aux mains du Dieu vivant. En face de philos
28
à lui-même un monde qui ne saurait nous offrir de
salut
, puisqu’il n’est de salut qu’en la foi, qui transcende le monde. Prin
29
saurait nous offrir de salut, puisqu’il n’est de
salut
qu’en la foi, qui transcende le monde. Principe de l’individualisme a
30
ue chose, notre activité, ne vaut rien pour notre
salut
. Elle se souvient que nous devons travailler à établir le Royaume sur
31
urrait nous certifier dans le fond de nos âmes un
salut
qui se rit des ultimes efforts et des ultimes défaites de notre volon
32
et toute révolution qui prétendrait fonder notre
salut
sur une organisation terrestre quelle qu’elle soit. Il ne suit pas de
33
? Va prendre parti, et agir ?… — Paralysie. — Le
salut
qu’on lui offre, il faudrait qu’elle le paie du prix de l’âme même. O
34
uver le monde » ? Rien. Au sens fort du mot, le «
salut
» n’est pas à débattre sur le plan de l’humanité, mais entre l’homme,
35
la gloire de ce temps, et, accessoirement, notre
salut
. Parmi les traits tout quotidiens de la mentalité germanique, les p
36
rant sur une bibliothèque, je crois y trouver mon
salut
: « Peter Schlemihl, et vous, A. O. Barnabooth, vous êtes, m’écrié-je
37
Palais par les gardes présentant les armes. À ce
salut
, les quelques députés bourgeois en redingote ne répondent que du bout
38
dont on vide trois verres d’un trait en guise de
salut
. C’est alors que se déplient les cartes de « la Hongrie mutilée ». —
39
la gloire de ce temps, et, accessoirement, notre
salut
. Parmi les traits tout quotidiens de la mentalité germanique, les plu
40
rant sur une bibliothèque, je crois y trouver mon
salut
: « Peter Schlemihl, et vous, A. O. Barnabooth, vous êtes, m’écrié-je
41
Palais par les gardes présentant les armes. À ce
salut
, les quelques députés bourgeois en redingote ne répondent que du bout
42
dont on vide trois verres d’un trait en guise de
salut
. C’est alors que se déplient les cartes de la « Hongrie mutilée ». —
43
étien, mais ne se confond pas avec l’enjeu de son
salut
. Tel est le paradoxe, qui remonte au cœur même du christianisme, si l
44
ant de quel prix dérisoire ils ont cru payer leur
salut
, — telle est la seule tâche véritablement positive que notre effort,
45
, économique, éthique — fondée sur la croyance au
salut
de l’homme par les seules forces humaines. Croyance qui s’oppose rigo
46
christianisme, s’il est avant tout la croyance au
salut
de l’homme par la seule force de Dieu, — par la foi. Dans les deux ca
47
Dans les deux cas, marquons-le bien, il s’agit de
salut
. Certains humanistes le nieront. Ils me diront que, là où le chrétien
48
nt. Ils me diront que, là où le chrétien parle de
salut
, eux se bornent à revendiquer le bonheur des hommes, la justice. Faut
49
adicalement ? C’est en ceci que, pour les uns, le
salut
est transcendant à l’humanité, pour les autres, immanent. Les humanis
50
ine efficacité ceux pour lesquels il n’est pas de
salut
hors de cette réalité perpétuellement réparatrice et proprement humai
51
de l’époque ; et c’eût été le premier pas vers le
salut
. Mais les uns se perdirent en eux-mêmes, les autres dans on ne sait q
52
et du scandale en tant que tels, l’acceptation du
salut
impossible, paradoxe dont la formule est le nom même de Jésus-Christ.
53
ssitôt, s’il accepte ce non, l’affirmation de son
salut
paraît : il reconnaît la Vie au travers de sa mort. Si, par un souci
54
che, mais en même temps, si elle est vraie, notre
salut
. Et c’est Pascal, traduisant Augustin : « Tu ne Me chercherais pas si
55
e bien, que la foi seule lui donne la promesse du
salut
, que cette foi n’est pas le couronnement de sa « vie religieuse », ma
56
é, ce serait une erreur insondable que de voir le
salut
de notre époque dans un retour à l’individu. L’individu est l’origine
57
ive prophétique ou dans la joie de la doctrine du
salut
. Songez à ces pasteurs qui, chaque printemps, saisissent le premier r
58
il est certain que l’Évangile et ses promesses de
salut
sont seuls capables de donner à l’homme une vision réaliste de son so
59
est tout imaginaire. Car seule la connaissance du
salut
promis par le Christ peut nous amener à l’aveu de la réalité de notre
60
ourra, pour nous, se confondre avec un progrès de
salut
. Principe d’une politique du pessimisme actif. Une phrase de Kierkega
61
s pasteurs prêcher l’équivalent de la doctrine du
salut
par les œuvres, mais encore on voit ces mêmes pasteurs lire sans sour
62
ler la confession de nos églises, qui proclame le
salut
par la foi seule. Bien plus, quand un théologien fidèle vient rappele
63
suffisance morale lui donne le droit de saisir le
salut
dont les signes sacrés sont le gage ? On est moins exigeant envers so
64
t, entre autres, un ouvrage fameux sur l’Armée du
salut
.) Le Mouvement des Groupes est né après la guerre, de l’activité pure
65
il est certain que l’Évangile et ses promesses de
salut
sont seuls capables de donner à l’homme une vision réaliste de son so
66
é, ce serait une erreur insondable que de voir le
salut
de notre époque dans un retour à l’individu. L’individu est l’origine
67
ourra, pour nous, se confondre avec un progrès du
salut
. Principe d’une politique du pessimisme actif. Une phrase de Kierkega
68
à lui-même un monde qui ne saurait nous offrir de
salut
, puisqu’il n’est de salut qu’en la foi, qui transcende le monde. Prin
69
saurait nous offrir de salut, puisqu’il n’est de
salut
qu’en la foi, qui transcende le monde. Principe de l’individualisme a
70
ue chose, notre activité, ne vaut rien pour notre
salut
. Elle se souvient que nous devons travailler à établir le Royaume sur
71
rait nous certifier, dans le fond de nos âmes, un
salut
qui se joue des ultimes efforts et des ultimes défaites de notre volo
72
rines, révolutions qui prétendraient fonder notre
salut
sur un ordre terrestre. Mais toutes ces négations, nous les déclarero
73
a grâce de son Sauveur, un homme qui sait que son
salut
ne dépend pas du monde, comment voulez-vous qu’il adopte ces allures
74
omme pour qui tout est accompli : le péché, et le
salut
en Christ. Voilà sa liberté : sa mort est derrière lui. Le problème a
75
qu’à la gauche » son sort terrestre. C’est que le
salut
, pour lui, est lié au succès de son effort. Pas d’ironie possible vis
76
c’est de manquer cet acte par lequel je saisis le
salut
qui m’est promis29, salut gagé sur le fait historique de la mort et d
77
par lequel je saisis le salut qui m’est promis29,
salut
gagé sur le fait historique de la mort et de la résurrection de Jésus
78
étien, mais ne se confond pas avec l’enjeu de son
salut
. Tel est le paradoxe, qui remonte au cœur même du christianisme, si l
79
, économique, éthique — fondée sur la croyance au
salut
de l’homme par les seules forces humaines. Croyance qui s’oppose rigo
80
christianisme, s’il est avant tout la croyance au
salut
de l’homme par la seule force de Dieu, — par la foi. Dans les deux ca
81
Dans les deux cas, marquons-le bien, il s’agit de
salut
. Certains humanistes le nieront. Ils me diront que, là où le chrétien
82
nt. Ils me diront que, là où le chrétien parle de
salut
, eux se bornent à revendiquer le bonheur des hommes, la justice. Reco
83
adicalement ? C’est en ceci que, pour les uns, le
salut
est transcendant à l’humanité, pour les autres, immanent. Les humanis
84
? Va prendre parti, et agir ?… — Paralysie. — Le
salut
qu’on lui offre il faudrait qu’elle le paie du prix de l’âme même. On
85
uver le monde » ? Rien. Au sens fort du mot, le «
salut
» n’est pas à débattre sur le plan de l’humanité, mais entre l’homme,
86
ine efficacité ceux pour lesquels il n’est pas de
salut
hors de cette réalité perpétuellement réparatrice et proprement humai
87
é, ce serait une erreur insondable que de voir le
salut
de notre époque dans un retour à l’individu. L’individu est l’origine
88
ourra, pour nous, se confondre avec un progrès du
salut
. Principe d’une politique du pessimisme actif. Une phrase de Kierkeg
89
à lui-même un monde qui ne saurait nous offrir de
salut
, puisqu’il n’est de salut qu’en la foi, qui transcende le monde. Prin
90
saurait nous offrir de salut, puisqu’il n’est de
salut
qu’en la foi, qui transcende le monde. Principe de l’individualisme a
91
ue chose, notre activité, ne vaut rien pour notre
salut
. Elle se souvient que nous devons travailler à établir le Royaume sur
92
rait nous certifier, dans le fond de nos âmes, un
salut
qui se joue des ultimes efforts et des ultimes défaites de notre volo
93
rines, révolutions qui prétendraient fonder notre
salut
sur un ordre terrestre. Mais toutes ces négations, nous les déclarero
94
a grâce de son Sauveur, un homme qui sait que son
salut
ne dépend pas du monde, comment voulez-vous qu’il adopte ces allures
95
omme pour qui tout est accompli : le péché, et le
salut
en Christ. Voilà sa liberté : sa mort est derrière lui. Le problème a
96
qu’à la gauche » son sort terrestre. C’est que le
salut
, pour lui, est lié au succès de son effort. Pas d’ironie possible vis
97
c’est de manquer cet acte par lequel je saisis le
salut
qui m’est promis22, salut gagé sur le fait historique de la mort et d
98
par lequel je saisis le salut qui m’est promis22,
salut
gagé sur le fait historique de la mort et de la résurrection de Jésus
99
étien, mais ne se confond pas avec l’enjeu de son
salut
. Tel est le paradoxe, qui remonte au cœur même du christianisme, si l
100
, économique, éthique — fondée sur la croyance au
salut
de l’homme par les seules forces humaines. Croyance qui s’oppose rigo
101
anisme, si celui-ci est avant tout la croyance au
salut
de l’homme par la seule force de Dieu, — par la foi. Dans les deux ca
102
Dans les deux cas, marquons-le bien, il s’agit de
salut
. Certains humanistes le nieront. Ils me diront que, là où le chrétien
103
nt. Ils me diront que, là où le chrétien parle de
salut
, eux se bornent à revendiquer le bonheur des hommes, la justice. Reco
104
adicalement ? C’est en ceci que, pour les uns, le
salut
est transcendant à l’humanité, pour les autres, immanent. Les humani
105
? Va prendre parti, et agir ?… — Paralysie. — Le
salut
qu’on lui offre il faudrait qu’elle le paie du prix de l’âme même. On
106
sauver le monde » ? Rien. Au sens fort du mot, le
salut
n’est pas à débattre sur le plan de l’humanité, mais entre l’homme, e
107
ine efficacité ceux pour lesquels il n’est pas de
salut
hors de cette réalité perpétuellement réparatrice et proprement humai
108
’il faille un incroyant pour nous rappeler que le
salut
, pour le chrétien, n’est pas dans le Progrès indéfini de notre histoi
109
ains ont cessé de croire, dans l’ensemble, que le
salut
était déjà venu. Ils se sont mis à croire de nouveau que le Messie na
110
’humanité sera meilleure, sera plus près de son «
salut
» dans cent ans qu’elle ne l’est aujourd’hui. Mais que dis-je, cent a
111
trouve malgré tout ces chiffres consolants. » Au
salut
par l’éternité, voici donc opposée une notion beaucoup plus scientifi
112
up plus conforme aux exigences de l’Histoire : le
salut
par la sempiternité. Mais n’est-ce point là ce que toute la Bible nou
113
’affronter la réalité — pour nous avoir révélé le
salut
? Où trouver la réponse qui nous permettrait seule de poser sérieusem
114
, à travers l’humanité, les ondes radioactives du
Salut
.20 » L’étudiant qui lisait referma brusquement le gros volume et s’ex
115
ien comprendre à rien. Ces “ondes radioactives du
Salut
”, cela s’appelle, en bonne scolastique, la grâce infuse ! et si toute
116
et la Communion dans la foi, tout est fait, — le
salut
est donné. Mais nous avons alors à dire et à prêcher ce que sont ce B
117
nonce une réalité, non pas un rêve. Il annonce le
salut
pour ceux qui se repentent et qui croient, non point une théorie écon
118
oûte moins cher qu’une petite 5 chevaux. Quant au
salut
, il est gratuit. Et je ne pense pas que M. Duhamel compte acheter son
119
a formule fédéraliste. — Inutile d’ajouter que le
salut
temporel de l’Europe dépend de sa faculté d’opérer de telles distinct
120
s le plus noble de chance, qui est bien proche de
salut
. Les plus grands ont été les moins libres de n’en faire qu’à leur agr
121
, et c’est là leur action, leur prophétie et leur
salut
. Cependant que les hommes les frappent sur la bouche. Kierkegaard fut
122
Ce qui s’oppose en réalité, c’est une doctrine du
salut
par la foi au sein d’une Église obéissant à la Révélation, et une doc
123
ise obéissant à la Révélation, et une doctrine du
salut
par l’Église, par une Église qui prend barre sur l’Écriture. Précison
124
e chose nécessaire, de cette foi au seul moyen de
salut
qui ait été donné aux hommes. Il en va de même du purgatoire, de l’an
125
ans grandeur à ses racines. Notre seule chance de
salut
, à nous autres nations libérales, est dans la création d’une communau
126
rtains maîtres-mots : esprit, nation, révolution,
salut
…) Et, comme pour protéger ces conventions précaires, on les rend auss
127
ans grandeur à ses racines. Notre seule chance de
salut
, à nous autres nations libérales, est dans la création d’une communau
128
enant de le décrire et non plus de le conduire au
salut
. Nous tenons ici la première supposition impliquée par la maxime bour
129
à la France actuelle : non pas seulement pour le
salut
de l’Occident, ou comme disent les marxistes, pour que l’histoire dur
130
ce n’est pas cela qui nous importe — mais pour le
salut
de la pensée et pour que l’homme reste humain, ou le devienne. Certes
131
ncarnation de l’esprit, une nouvelle puissance de
salut
. C’est l’acte. Car l’acte est adhésion à l’instant éternel ; un insta
132
n recréatrice. En même temps, elle est le gage du
salut
que Dieu a promis à ceux qui gardent son commandement. Car c’est en e
133
de conciliation sont des époques de décadence. Le
salut
n’est jamais dans le repli, dans le refus du conflit concret. L’inven
134
ans grandeur à ses racines. Notre seule chance de
salut
, à nous autres nations libérales, est dans la création d’une communau
135
enant de le décrire et non plus de le conduire au
salut
. Nous tenons ici la première supposition impliquée par la maxime bour
136
à la France actuelle : non pas seulement pour le
salut
de l’Occident, ou comme disent les marxistes, pour que l’histoire dur
137
ce n’est pas cela qui nous importe — mais pour le
salut
de la pensée et pour que l’homme reste humain, ou le devienne. Certes
138
ncarnation de l’esprit, une nouvelle puissance de
salut
. C’est l’acte. Car l’acte est adhésion à l’instant éternel ; un insta
139
ques incommensurables… On chercha au contraire le
salut
dans le protectionnisme municipal (et en même temps social). Beaucoup
140
ger. » Il préférait de beaucoup à Maïakovski le «
Salut
au 17e » : Salut, salut à vous, braves soldats du 17e… ou encore la
141
t de beaucoup à Maïakovski le « Salut au 17e » :
Salut
, salut à vous, braves soldats du 17e… ou encore la chanson patriotar
142
aucoup à Maïakovski le « Salut au 17e » : Salut,
salut
à vous, braves soldats du 17e… ou encore la chanson patriotarde sur
143
le pouvoir qu’aurait l’homme de contribuer à son
salut
par ses efforts et ses œuvres morales. Que trouveront-ils dès lors da
144
cure. Il y a une double prédestination : l’une au
salut
, l’autre à la damnation. Être damné, ne serait-ce pas justement être
145
Érasme n’y changeront rien : « Travaillez à votre
salut
avec crainte et tremblement, puisque c’est Dieu qui produit en vous l
146
« un faible libre arbitre »71, dans les choses du
salut
. Mais que le Christ ait dû mourir — cet acte extrême — pour nous sauv
147
es où voulait se complaire Érasme. Le problème du
salut
est un problème de vie ou de mort. Or, il est seul en cause pour le t
148
eulement qu’elle puisse suffire à nous obtenir le
salut
, étant elle-même soumise au mal. Tout le reste est psychologie, litté
149
-à-dire du pouvoir qu’aurait l’homme de gagner le
salut
par ses propres efforts de volonté, ce n’est pas ici le lieu de l’exa
150
’appliquer librement aux choses qui concernent le
salut
. Elle fait partie de notre nature, et comme telle, ne désire vraiment
151
bande de petits garçons. Il n’a pas répondu à mon
salut
. 12 décembre 1933 Tout à l’heure, en déchirant le journal de l’île po
152
se « la seule chose nécessaire », le seul gage du
salut
total ? Alors, va-t-on, si l’on est converti, laisser le monde aller
153
cette reconnaissance, ce serait que j’ignore mon
salut
. Mais si je connais mon salut, je ne puis supporter mon péché et ses
154
it que j’ignore mon salut. Mais si je connais mon
salut
, je ne puis supporter mon péché et ses effets dans le monde réel où v
155
» personnelle et actuelle, puisqu’il n’y a pas de
salut
présent ni éternel, puisque le salut n’est pas pour eux de toute faço
156
n’y a pas de salut présent ni éternel, puisque le
salut
n’est pas pour eux de toute façon, mais pour les descendants de leurs
157
bande de petits garçons. Il n’a pas répondu à mon
salut
. 11 décembre 1933 À la cuisine. — Les jours où il n’est plus p
158
écrit ce Journal ! Mais nous, nous chercherons le
salut
de la pensée ailleurs que dans la fuite devant ce qui la met en quest
159
par suite de la faute des enfants d’Israël que le
salut
est parvenu aux païens, afin d’exciter leur propre émulation » (v. 11
160
onde, et l’on pourrait même dire : la date de son
salut
final, dépend ainsi de la conversion des Juifs. Et ceci nous révèle l
161
richesse du monde. Et cette richesse s’appelle le
salut
. 64. Il faut bien voir que le « racisme » juif n’est justifié à l’
162
le pouvoir qu’aurait l’homme de contribuer à son
salut
par ses efforts et ses œuvres morales. Que trouveront-ils, dès lors,
163
cure… Il y a une double prédestination : l’une au
salut
, l’autre à la damnation. Être damné, ne serait-ce pas justement être
164
Érasme n’y changeront rien : « Travaillez à votre
salut
avec crainte et tremblement, puisque c’est Dieu qui produit en vous l
165
« un faible libre arbitre »34 dans les choses du
salut
. Mais que le Christ ait dû mourir — cet acte extrême — pour nous sauv
166
es où voulait se complaire Érasme. Le problème du
salut
est un problème de vie ou de mort. Or il est seul en cause pour le th
167
eulement qu’elle puisse suffire à nous obtenir le
salut
, étant elle-même soumise au mal. Tout le reste est psychologie, litté
168
ne dis pas que je les ai trouvées. Je dis que le
salut
serait de les trouver. La force des totalitaires c’est d’entraîner le
169
Si l’on veut m’engager au nom du Christ, mon seul
salut
, j’ai même le devoir d’y regarder à deux fois avant de donner mon adh
170
et sotériologie (lois de l’hygiène et doctrine du
salut
). À vues humaines, la guérison de nos passions viendra de l’État, ce
171
inisent le Désir. Toutes cherchent un appui et un
salut
dans le Désir, qui devient aussitôt, et par là même, le pire ennemi d
172
aimé le premier, et qui s’est approché de lui. Le
salut
n’est plus au-delà, toujours plus haut, dans l’ascension interminable
173
la fonction originelle du Démiurge, et puisque le
salut
est justement d’échapper à sa loi démoniaque.104 Faut-il voir à la s
174
se manifeste — ne trouve son au-delà réel et son
salut
que par cette action d’obéissance qui est la vie de fidélité. Vivre a
175
n’est pas la mort, la désincarnation, qui est le
salut
, mais l’acte de la grâce, accompli par Dieu seul. 106. Ce dernier ch
176
, non d’une Histoire hypothétique, que se joue le
salut
de ton être. Alors il n’y a plus de prétextes. Ou bien tu crois, ou b
177
ciens des cinq cantons catholiques cherchent leur
salut
dans des soutiens extérieurs, et les publicistes jésuites, pour la pl
178
données concrètes du christianisme : le péché, le
salut
, le drame de la révolte et de l’amour. Mais elle spécule volontiers s
179
n par volonté mais par crainte, pour assurer le «
salut
» de nos libertés… Ils ont écrit et dit tout cela, avant les autres,
180
’est en confessant de la bouche qu’on parvient au
salut
», dit saint Paul. IV. Romantisme et national-socialisme De mêm
181
créé qui appartient à la Nuit, ne peut trouver de
salut
qu’en cessant d’être, en se « perdant » au sein de la divinité. Mais
182
e. Comment l’aimer vraiment, tel qu’il était ? Le
salut
n’étant qu’au-delà, l’homme religieux se détournait des créatures ign
183
eux dès cette vie pour le croyant que « saisit le
salut
». 4.Orient et Occident Est-il possible de définir l’Orient et
184
s personnages historiques… e) La salutation et le
salut
que l’initié voulait donner au Sage, mais que celui-ci, prévenant, do
185
nfin de Pétrarque. Tous ces poètes attachent au «
salut
» de la Dame une importance apparemment démesurée69, mais qui s’expli
186
rt bien si l’on prend garde au double sens du mot
salut
. f) Les mystiques arabes insistent sur la nécessité de garder le secr
187
». Le « dard d’amour » qui blesse sans tuer. Le «
salut
» de l’amour. La passion qui « isole » du monde et des êtres. La pass
188
eil de celui qu’elle salue [auquel elle donne son
salut
] et, s’il n’est déjà de notre foi, l’y amène. Faut-il penser que Dan
189
et sotériologie (lois de l’hygiène et doctrine du
salut
). À vues humaines, la guérison de nos passions viendra de l’État, ce
190
inisent le Désir. Toutes cherchent un appui et un
salut
dans le Désir, qui devient aussitôt, et par là même, le pire ennemi d
191
aimé le premier, et qui s’est approché de lui. Le
salut
n’est plus au-delà, toujours plus haut, dans l’ascension interminable
192
la fonction originelle du Démiurge, et puisque le
salut
est justement d’échapper à sa loi démoniaque207. Faut-il voir à la so
193
se manifeste — ne trouve son au-delà réel, et son
salut
, que par cette action d’obéissance qui est la vie de fidélité. Vivre
194
n’est pas la mort, la désincarnation, qui est le
salut
; mais l’acte de la grâce fait par Dieu. 209. Malgré les tentatives
195
sement, il sentait croître en lui l’inquiétude du
salut
. J’ai été attaché avec zèle aux lois papistes autant que n’importe q
196
vec grand sérieux comme saintes et nécessaires au
salut
. Avec tout le soin dont j’étais capable, je me suis efforcé de les ob
197
de devenir prêtre, mais surtout en cherchant son
salut
dans une solitude érémitique d’ailleurs pleine d’activité autant que
198
dans la paix, la Confédération sera perdue. Notre
salut
est dans le Pacte que nous avons conclu au nom de Dieu. 3e officie
199
i m’écoute. Hornek. — L’empereur t’envoie son
salut
! Il se souvient de ta vaillance dans la guerre, quand tu luttais con
200
man, au nom du Roi mon maître, Louis l’Onzième. (
Saluts
.) Le Landamman. — Que la paix des montagnes, et non point la disco
201
ant les sacrifices qu’il pourra consentir pour le
salut
de la patrie commune ! La parole est au délégué des villes. Waldma
202
président. — Une dernière fois, je vous adjure…
salut
de notre Confédération ! (Sa voix est couverte par les cris.) Cris
203
inuit sonne ! (Douze coups.) D’où nous viendra le
salut
? — Kyrie eleison ! (Silence total.) Dorothée (dans une lueur, à g
204
aimo. — Heureux l’homme qui préfère à sa paix le
salut
de tous ceux qui souffrent ! Nicolas. — Mon vœu me lie ! Haimo
205
el vœu ? Nicolas. — Mon vœu de solitude ! Mon
salut
! Haimo. — Ô ! que Dieu même te délie ! (Il s’agenouille. Silenc
206
rcira. Pour ton peuple, ta patrie, Sacrifie ton
salut
! En Jésus livrant sa vie Dieu lui-même est descendu ! Nicolas. —
207
Dieu lui-même m’avait dit : Nicolas, sacrifie ton
salut
! — J’obéirai, je descendrai. (Il s’appuie sur Haimo, et tous deux,
208
— la voix de la sentinelle — qui nous avertit du
salut
! Qu’ils sont beaux sur nos montagnes — les pieds ailés du messager —
209
and, c’est parce qu’un jour il a tout sacrifié au
salut
de la communauté. Le paradoxe central d’une pièce sur Nicolas, sa ten
210
isième acte, Nicolas sacrifie sa solitude pour le
salut
des Suisses : il descend du plan 3 au plan 2. Deux mots à propos de l
211
créé qui appartient à la Nuit, ne peut trouver de
salut
qu’en cessant d’être, en se « perdant » au sein de la divinité. Mais
212
e. Comment l’aimer vraiment, tel qu’il était ? Le
salut
n’étant qu’au-delà, l’homme religieux se détournait des créatures ign
213
eux dès cette vie pour le croyant que « saisit le
salut
». 4.Orient et Occident Est-il possible de définir l’Orient et
214
nts non encore « consolés » : il avait droit au «
salut
» des croyants, c’est-à-dire à trois « révérences ». On a vu le rôle
215
ion) et qui accueille l’hommage de son âme par un
salut
et un baiser. L’enfer étant la prison de la matière, Lucifer, l’ange
216
ur vrai ? Un seul baiser, un seul regard, un seul
salut
. Jaufré Rudel, au terme d’un amour conçu pour une femme qu’il n’a jam
217
dès qu’il en a reçu un seul baiser de paix et le
salut
. Il s’agit d’une légende, mais tirée des poèmes qui chantent bel et b
218
personnages historiques… e) La salutation est le
salut
que l’initié voulait donner au Sage, mais que celui-ci, prévenant, do
219
nfin de Pétrarque. Tous ces poètes attachent au «
salut
» de la Dame une importance apparemment démesurée, mais qui s’expliqu
220
rt bien si l’on prend garde au sens liturgique du
salut
. f) Les mystiques arabes insistent sur la nécessité de garder le sec
221
ps — cette part du diable — ne saurait engager le
salut
de son âme : « Point de péché au-dessous du nombril ! » précise un év
222
e Dieu mais à la nuit de la passion, non point au
salut
de la personne mais bien à sa dissolution. Tout le passage cité trahi
223
». Le « dard d’amour » qui blesse sans tuer. Le «
salut
» de l’amour. La passion qui « isole » du monde et des êtres. La pass
224
eil de celui qu’elle salue [auquel elle donne son
salut
] et, s’il n’est déjà de notre foi, l’y amène. Faut-il penser que Dant