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lles de jardins publics à l’écart d’un concert du
samedi
soir, petits professeurs entourés de leur famille, et toutes ces Magd
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lles de jardins publics à l’écart d’un concert du
samedi
soir, petits professeurs entourés de leur famille, et toutes ces Magd
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d’alarme —, et l’amour qu’ils essaient encore le
samedi
soir n’est plus cet infini repos dans la puissance et l’être, mais se
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lles de jardins publics à l’écart d’un concert du
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soir, petits professeurs entourés de leur famille, et toutes ces Magd
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d’alarme —, et l’amour qu’ils essaient encore le
samedi
soir n’est plus cet infini repos dans la puissance et l’être, mais se
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eur m’a convoqué aux entretiens qu’il organise le
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soir, dans une salle attenante au temple, pour les hommes de sa paroi
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s qui prennent le train à la gare Saint-Lazare un
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soir de beau temps, en plein été, est assez exactement prévu par les
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eur m’a convoqué aux entretiens qu’il organise le
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soir, dans une salle attenante au temple, pour les hommes de sa paroi
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Chartres. 2 autobus pour retourner à Chartres. Le
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3 dans les deux sens. 1933-1935 18. « Que l’homme est né pour l
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e le bruit des autobus ; ou bien de ce temple, un
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soir, où la Sainte-Cène est partagée dans un silence de catacombes. C
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ses soucis, et résoudre en partie le problème du
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soir… Encore faut-il que les paroissiens, à leur tour, acceptent que
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. Ouvrez le New York Times : vous y trouverez, le
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, deux grandes pages consacrées aux choses religieuses : sujets des se
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eure de nouvelles religieuses du monde entier. Le
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, les synagogues. Le dimanche, du matin au soir, une douzaine de culte
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des jeux de loto le mardi soir et de la danse le
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, même dans les églises catholiques. On peut déplorer la concurrence q
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e le bruit des autobus ; ou bien de ce temple, un
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soir, où la Sainte-Cène est partagée dans un silence de catacombes. C
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nes. (On leur donne même des séances de cinéma le
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soir.) La liberté ne peut pas être détaillée ni débitée en tranches :
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des services religieux, dans le New York Times du
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? Remontant ces colonnes d’annonces qui tiennent une demi-page du jou
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bruit des autobus ; ou de ce temple de Passy, un
samedi
soir, où la Sainte Cène est partagée dans un silence de catacombes. C
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— J’étais allé voir mes enfants à Long Island, le
samedi
soir, et le dimanche matin j’annonce subitement que je dois rentrer e
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uis plusieurs semaines, je téléphone chez elle un
samedi
soir. — Que devenez-vous ? — C’est bien par chance que vous me trouve
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lles de jardins publics à l’écart d’un concert du
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soir, petits professeurs entourés de leur famille, et toutes ces Magd
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d’alarme —, et l’amour qu’ils essaient encore le
samedi
soir n’est plus cet infini repos dans la puissance et l’être, mais se
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eur m’a convoqué aux entretiens qu’il organise le
samedi
soir, dans une salle attenante au temple, pour les hommes de sa paroi
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Chartres. 2 autobus pour retourner à Chartres. Le
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3 dans les deux sens. 1933-1935. 44. « Que l’homme est né pour l
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bruit des autobus ; ou de ce temple de Passy, un
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soir, où la Sainte-Cène est partagée dans un silence de catacombes. C
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s erré sur Fifth Avenue dans la foule ralentie du
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. Ce n’est pas encore le printemps, mais la saison s’émeut obscurément
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— J’étais allé voir mes enfants à Long Island, le
samedi
soir, et le dimanche matin j’annonce subitement que je dois rentrer e
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rée de la France physique et de la France idéale.
Samedi
dernier, partant pour un week-end à Long Island, je retrouve dans le
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uis plusieurs semaines, je téléphone chez elle un
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soir. « Que devenez-vous ? C’est bien par chance que vous me trouvez
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— J’étais allé voir mes enfants à Long Island, le
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soir, et le dimanche matin j’annonce subitement que je dois rentrer e
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des services religieux, dans le New York Times du
samedi
? Remontant ces colonnes d’annonces qui tiennent une demi-page du jou
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. Ouvrez le New York Times : vous y trouverez, le
samedi
, deux grandes pages consacrées aux choses religieuses : sujets des se
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eure de nouvelles religieuses du monde entier. Le
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, les synagogues. Le dimanche, du matin au soir, une douzaine de culte
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des jeux de loto le mardi soir et de la danse le
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, même dans les églises catholiques. On peut déplorer la concurrence q
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le repos hebdomadaire non pas le dimanche mais le
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. Il en résulte que les enfants élevés dans cette croyance, de même qu
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es juifs orthodoxes, ne peuvent suivre l’école le
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, jour consacré au Sabbat et au culte. Mais les règlements scolaires s
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Les élèves adventistes reçoivent dispense pour le
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et si les examens ont lieu ce jour-là, on s’arrange pour que les abse
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é infligées aux pères d’enfants absents plusieurs
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de suite. D’innombrables démarches auprès des autorités de l’enseigne
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st ainsi que l’État de Genève accorde le congé du
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aux israélites, adventistes, etc., qui le demandent pour motif religi
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nte heures parce que sa fille manquait l’école le
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matin, et qu’il refusait de payer une amende de 2 francs par absence
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les adventistes ont tort ou raison de préférer le
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au dimanche comme jour de repos, ne doit pas davantage intervenir dan
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le directeur, Le compte rendu de ma conférence de
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dernier au palais de Rumine appelle deux rectifications. En effet, «
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ntir une idée qui s’incarne, qui « prend corps ».
Samedi
15 juin 1940 À 11 heures, l’ordonnance fait irruption dans mon bureau
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u m’avertir de ce qui s’est passé dans la nuit de
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. C’était sérieux. Attaques de saboteurs contre nos aérodromes. Mais o
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se fait dans ce pays, la veille d’une fête ou le
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. Elles s’installent longuement, disposant autour d’elles cendriers, p
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e informait et que Rossini mit en musique pour le
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soir des villes d’eaux, par l’imagerie de 1848 et par beaucoup de pei
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968)x M. P.-O. Walzer suggère à vos lecteurs (
Samedi
littéraire, 22 juin 1968) que pendant six ans d’Amérique je n’ai fait
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aire pour ceux qui n’auraient lu que l’article du
Samedi
littéraire. x. « Denis de Rougemont nous écrit », Journal de Genève
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rendu la ville à tel point insensée que tous les
samedis
elle se vide — et c’est encore grâce à elle — d’un tiers de sa popula
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ag. « Mes amis et Nerval », Journal de Genève (
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littéraire), n° 235, 9 octobre 1982, p. V. Réponse à l’enquête « Que
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s erré sur Fifth Avenue dans la foule ralentie du
samedi
. Ce n’est pas encore le printemps, mais la saison s’émeut obscurément