1 1932, Le Paysan du Danube et autres textes. Suite neuchâteloise — VII
1 pied des Alpes, tendresse des collines et brusque sauvagerie des hautes pentes, échevelées de châtaigniers. Contre les flancs du n
2 1934, Foi et Vie, articles (1928–1977). Kasimir Edschmid, Destin allemand (octobre 1934)
2 trêmes, où se dénude le fond secret d’un être, sa sauvagerie ou sa bonté fondamentale. L’homme ne s’avouera-t-il jamais lui-même q
3 1941, Gazette de Lausanne, articles (1940–1984). New York alpestre (14 février 1941)
3 on matérielle demeure hanté par on ne sait quelle sauvagerie des hauteurs ; et ce lieu d’extrême densité humaine demeure baigné d’
4 1945, Le Figaro, articles (1939–1953). Le dernier des Mohicans (11 octobre 1945)
4 abri des menaces naturelles et matérielles, d’une sauvagerie profonde à portée de la main. D’où la méticuleuse propreté des maison
5 1946, La Revue de Paris, articles (1937–1969). Tableaux américains (décembre 1946)
5 on matérielle demeure hanté par on ne sait quelle sauvagerie des hauteurs ; et ce lieu d’extrême densité humaine demeure baigné da
6 1946, Journal des deux mondes. Premiers contacts avec le Nouveau Monde
6 on matérielle demeure hanté par on ne sait quelle sauvagerie des hauteurs ; et ce lieu d’extrême densité humaine demeure baigné da
7 1946, Journal des deux mondes. Solitudes et amitiés
7 nt, les oiseaux sifflent, et l’automne atténue la sauvagerie de la verdure américaine. Que fais-je ici, que rejoindre ma vie, pas
8 1946, Journal des deux mondes. Le choc de la paix
8 abri des menaces naturelles et matérielles, d’une sauvagerie profonde à portée de la main. D’où la méticuleuse propreté des maison
9 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Premiers contacts avec le Nouveau Monde
9 on matérielle demeure hanté par on ne sait quelle sauvagerie des hauteurs ; et ce lieu d’extrême densité humaine demeure baigné da
10 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Solitude et amitiés
10 nt, les oiseaux sifflent, et l’automne atténue la sauvagerie de la verdure américaine. Que fais-je ici, que rejoindre ma vie, pas
11 1946, Journal d’une époque — 1926-1946 (1968). Journal des deux mondes — Le choc de la paix
11 abri des menaces naturelles et matérielles, d’une sauvagerie profonde à portée de la main. D’où la méticuleuse propreté des maison
12 1947, Articles divers (1946-1948). Journal d’un intellectuel en exil (mars 1947)
12 nt, les oiseaux sifflent, et l’automne atténue la sauvagerie de la verdure américaine. Que fais-je ici, que rejoindre ma vie, pas
13 1948, Bulletin de la Guilde du livre, articles (1937–1948). Lacs (août 1948)
13 pied des Alpes, tendresse des collines et brusque sauvagerie des hautes pentes, échevelées de châtaigniers. Contre les flancs du n
14 1948, Suite neuchâteloise. VII
14 pied des Alpes, tendresse des collines et brusque sauvagerie des hautes pentes, échevelées de châtaigniers. Contre les flancs du n
15 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — Un idéal de compensation : les États-Unis d’Europe
15 it vain de croire que l’Europe, en ces siècles de sauvagerie , ait été différente des terres qui sont restées telles quelles jusqu’
16 1971, Articles divers (1970-1973). Fédération ou confédération ? (juillet-août 1971)
16 on, en centralisant l’Hexagone, l’ont sauvé de la sauvagerie (qui règne encore en Suisse, sans doute) et que les fédéralistes, en
17 1978, Cadmos, articles (1978–1986). Conditions d’un renouveau (automne 1978)
17 uvage » (mais où le dit-on hors de Paris ?). La «  sauvagerie  » est une notion spécifiquement européenne, voire plus précisément fr