1 1934, Politique de la personne. Idoles — Fascisme
1 i des Deutsche Christen… À l’heure où j’écris, le schisme est imminent entre ces pseudo-protestants et les églises fidèles à l’
2 1934, Politique de la personne (1946). Idoles — Fascisme
2 i des Deutsche Christen… À l’heure où j’écris, le schisme est imminent entre ces pseudo-protestants et les églises fidèles à l’
3 1939, Les Cahiers protestants, articles (1938–1968). Nicolas de Flue et la Réforme (août 1939)
3 oncile de Constance venait de mettre fin au Grand Schisme de la catholicité. Au pape d’Avignon, au pape de Rome, à l’antipape q
4 1946, Foi et Vie, articles (1928–1977). Fédéralisme et œcuménisme (octobre 1946)
4 s mises au pas de plus en plus indiscrètes et des schismes multipliés. Pour résoudre l’opposition unité-division, il serait vain
5 c’est précisément cette utopie qui a produit les schismes et les oppositions que le mouvement œcuménique se propose de surmonte
6 de l’Église se « ferme » sur elle-même. D’où les schismes nombreux, dès cette époque, dans les Églises calvinistes. Une Église
7 maine, devient à la fois isolée et génératrice de schismes . Son attitude est donc doublement antiœcuménique. Sa volonté d’unité
8 uménisme exclut l’orthodoxie fermée, créatrice de schismes , et la dissidence obstinée. Le fédéralisme exclut de même l’impériali
5 1953, Preuves, articles (1951–1968). Deux princes danois : Kierkegaard et Hamlet (février 1953)
9 me que n’importe quelle hérésie ou n’importe quel schisme — et c’est de jouer au christianisme, d’en écarter les dangers et de
6 1957, Articles divers (1957-1962). Le rôle mondial des valeurs occidentales (octobre 1957)
10 p. 39-42. Précédé du chapeau suivant : « Le grand schisme mondial fait parfois oublier le rôle que jouent les valeurs occidenta
7 1961, Comme toi-même. Essais sur les mythes de l’amour. Première partie — Deux princes danois. Kierkegaard et Hamlet
11 me que n’importe quelle hérésie ou n’importe quel schisme — et c’est de jouer au christianisme, d’en écarter les dangers et de
8 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’ère des philosophes. De Leibniz à Condorcet — Perspectives élargies
12 vouloient, elles pourroient faire cesser le grand Schisme d’Occident, et mettre l’Église dans un bon ordre. Un Souverain qui le
9 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — Synthèses historico-philosophiques (II)
13 urs par une grande partie des Européens. Ce grand schisme intérieur, qu’accompagnèrent des guerres destructrices, fut une démon
14 i ont ruiné « la vieille forteresse Europe » : le schisme byzantin, l’islam, le démembrement du Saint-Empire, l’apparition des
10 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. L’Ère des fédérations. De l’Unité de culture à l’union politique
15 péenne, qui a provoqué dans la vie de l’Europe un schisme beaucoup plus profond que toutes les guerres passées, et l’on en cons
11 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 12. Le mouvement œcuménique et le fédéralisme
16 s mises au pas de plus en plus indiscrètes et des schismes multipliés. Pour résoudre l’opposition unité-division, il serait vain
17 c’est précisément cette utopie qui a produit les schismes et les oppositions que le mouvement œcuménique se propose de surmonte
18 de l’Église se « ferme » sur elle-même. D’où les schismes nombreux, dès cette époque, dans les Églises calvinistes. Une Église
19 maine, devient à la fois isolée et génératrice de schismes . Son attitude est donc doublement antiœcuménique. Sa volonté d’unité
20 uménisme exclut l’orthodoxie fermée, créatrice de schismes , et la dissidence obstinée. Le fédéralisme exclut de même l’impériali
12 1963, L’Opportunité chrétienne. Deuxième partie. Christianisme et culture — 14. Sur l’avenir du christianisme
21 te and sometimes co-operate) ». bx. Les premiers schismes nés d’hérésies chrétiennes datent des iiie et ive siècles : le mani
22 de se multiplier pendant et après le Moyen Âge : schisme entre Rome et Byzance, cathares et vaudois, hussites, anti-papes, Réf
13 1981, Articles divers (1978-1981). Fédéralisme, personnalisme, œcuménisme (1981)
23 s mises au pas de plus en plus indiscrètes et des schismes multipliés. Pour résoudre l’opposition unité-division, il serait vain
24 c’est précisément cette utopie qui a produit les schismes et les oppositions, que le mouvement œcuménique se propose de surmont
25 de l’Église se « ferme » sur elle-même. D’où les schismes nombreux, dès cette époque, dans les Églises calvinistes. Une Église
26 maine, devient à la fois isolée et génératrice de schismes . Son attitude est donc doublement antiœcuménique. Sa volonté d’unité
27 uménisme exclut l’orthodoxie fermée, créatrice de schismes , et la dissidence obstinée. Le fédéralisme exclut de même l’impériali