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ngels, il faut adjoindre celui de Saint-Simon, le
scientiste
, mais non pas celui de Proudhon, qui combattit la dialectique détermi
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ngels, il faut adjoindre celui de Saint-Simon, le
scientiste
, mais non pas celui de Proudhon, qui combattit la dialectique détermi
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smos et les lois qu’y découvre l’esprit. L’erreur
scientiste
a consisté à croire que c’était bien la Réalité en soi qu’étudiaient,
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istes de l’existence, désacralisée, rationalisée,
scientiste
et démocratique. Plus rarement, secrètement, parfois inconsciemment,
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durant la basse époque bourgeoise du matérialisme
scientiste
. Mais la tendance s’est renversée dès le second tiers de ce siècle, e
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istes de l’existence, désacralisée, rationalisée,
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et démocratique. Plus rarement, secrètement, parfois inconsciemment,
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omme le veut une pensée héritée d’un xixe siècle
scientiste
et dans l’ensemble, sans le savoir, plus marxiste que scientifique. (
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omme le veut une pensée héritée d’un xixe siècle
scientiste
et dans l’ensemble, sans le savoir, plus marxiste-vulgaire que scient
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istes de l’existence, désacralisée, rationalisée,
scientiste
et démocratique, ou marxiste, au moins d’étiquette. Dans la plupart d
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’est de quoi je me consolerai d’abord. Le courant
scientiste
optimiste sort des œuvres de Jules Verne, ce Méliès de la prospective
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lieu. » Suivent des pages où il dénonce le projet
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hérité du xixe siècle : « L’illusion, nous dit-il, consiste à croire