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de plaisir, ou d’immortalité par la rétention du
semen
, sont liées en Asie à la piété, tandis que nos coutumes viennent d’un
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s. 1. La peur de perdre sa vitalité en perdant le
semen
correspond chez nous — me disent les psychiatres — à un symptôme de n
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r de force des yogis reversant dans leur corps le
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(s’ils n’ont pas pu ou pas voulu le retenir) ne nous semble pas corre
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as correspondre à des réalités physiologiques. Le
semen
ne revient pas en son lieu, mais dans le canal de l’urètre, d’où il s
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gtemps sans achèvement physique, et sans perte de
semen
ou bindu. À ceux qui peuvent y parvenir est promise « l’immortalité c
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de plaisir, ou d’immortalité par la rétention du
semen
, sont liées en Asie à la piété, tandis que nos coutumes viennent d’un