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rale virile nous est néanmoins plus proche que la
sensualité
vaguement chrétienne de tel autre écrivain catholique. Et son lyrisme
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herlant s’abandonne au salut par la violence. Une
sensualité
moins énervée lui permet de brutaliser quelque peu les « grands probl
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uelques-uns de ces traits d’énergie ou de savante
sensualité
, pour ces insolences jolies et les subites violences, qui composent l
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se, la réduit à la forme qu’il voit. Il y a de la
sensualité
dans l’écrasement de ses couleurs, une sensualité qui sait se faire d
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sensualité dans l’écrasement de ses couleurs, une
sensualité
qui sait se faire délicate quand du haut de San Miniato ou de Fiesole
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n que pour ses enfants. Jacob, l’aîné se révolte.
Sensualité
, intelligence, brutalité : les caractères se résument dans son avidit
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ession où va se réfugier le dernier vestige de la
sensualité
des érudits. 17. La fameuse marche de Rakoczy est l’œuvre d’une Tzig
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lie, par le refus de l’acte. Il en résulte que la
sensualité
germanique est plus consciente (c’est-à-dire à la fois plus morose et
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au lieu que le plaisir ou la fuit, ou la tue. La
sensualité
adore la bêtise. Mais l’intelligence véritable est toujours sentiment
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ession où va se réfugier le dernier vestige de la
sensualité
des érudits. 12. La fameuse marche de Rakoczy est l’œuvre d’une Tzig
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a de plus pur dans la nature et toutes sortes de
sensualités
et de gourmandises qui s’éveillent, en sont comme sanctifiées. Mais c
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e et sans but divin. C’est pourquoi l’usage d’une
sensualité
consciente redevient une conquête de la sagesse. Fin juillet 1929
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lie, par le refus de l’acte. Il en résulte que la
sensualité
germanique est plus consciente (c’est-à-dire à la fois plus morose et
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au lieu que le plaisir ou la fuit, ou la tue. La
sensualité
adore la bêtise. Mais l’intelligence véritable est toujours sentiment
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ession où va se réfugier le dernier vestige de la
sensualité
des érudits. 9. La fameuse marche de Rakoczy est l’œuvre d’une Tziga
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a de plus pur dans la nature et toutes sortes de
sensualités
et de gourmandises qui s’éveillent, en sont comme sanctifiées. Mais c
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e et sans but divin. C’est pourquoi l’usage d’une
sensualité
consciente redevient une conquête de la sagesse. Fin juillet. Promen
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être même du désespéré est calcul, préméditation,
sensualité
et envie… Ainsi l’acte absolu qu’il imagine serait sa mort, — et c’es
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de la Vie m’ont souvent donné l’impression d’une
sensualité
défaillante, qui soutiendrait mal la critique d’un intellect intact e
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e une subtilité, des raffinements, une absence de
sensualité
qui s’opposaient aux mœurs de l’époque. Qui s’opposait surtout, compl
21
s liée au sexe. Et même il faut se demander si la
sensualité
, précisément, ne serait pas le domaine où Don Juan se révèle le moins
22
t que l’approche de la mort est l’aiguillon de la
sensualité
. Elle aggrave, au plein sens du terme, le désir. Elle l’aggrave même
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étaient plutôt des erreurs d’intelligence que de
sensualité
»63. Retenons donc ceci, qui nuance notre schéma : si les erreurs de
24
on moderne entre la passion de Tristan et la pure
sensualité
. Quelques citations de Thomas, le plus conscient des cinq auteurs de
25
le ; des apparences d’orthodoxie chrétienne ; une
sensualité
parfois très complaisante ; enfin la fantaisie individuelle des poète
26
il doit nous purger de notre mauvais désir, de la
sensualité
, péché majeur. Et Fludd, son maître en occultisme, enseignait que la
27
qui vit cette contradiction parce qu’il subit la
sensualité
et désire l’idéal courtois, les données de l’œuvre de Sade, et les ra
28
ue, attire à elle tous les sentiments moraux ; la
sensualité
, abandonnée au diable, se venge terriblement. Que l’un ou l’autre de
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troubadours, ces derniers exaltant, selon lui, la
sensualité
naturelle ; 2° que la nature de l’amour est très différente dans les
30
ue le langage érotique traduit nécessairement une
sensualité
déchaînée, que pensera-t-on d’une sainte Thérèse, d’un Ruysbroek ! b
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t que l’approche de la mort est l’aiguillon de la
sensualité
. Elle aggrave, au plein sens du terme, le désir. Elle l’aggrave même
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étaient plutôt des erreurs d’intelligence que de
sensualité
63. » Retenons donc ceci, qui nuance notre schéma : si les erreurs de
33
n conflit !) et la réalité vécue. La psyché et la
sensualité
naturelles se débattent entre ces attaques convergentes, ces condamna
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on moderne entre la passion de Tristan et la pure
sensualité
. Quelques citations de Thomas, le plus conscient des cinq auteurs de
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le ; des apparences d’orthodoxie chrétienne ; une
sensualité
parfois très complaisante ; enfin la fantaisie individuelle des poète
36
t élément fondamental du mythe : l’angoisse de la
sensualité
, et l’orgueil « humaniste » qui la compense. Angoisse : l’instinct se
37
aimer selon la courtoisie (ici Minne), céder à la
sensualité
purement physique, voilà le péché suprême, originel, dans une vision
38
étique d’une évasion hors de ce monde mauvais, la
sensualité
condamnée en même temps que divinisée, l’effort de l’âme pour échappe
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il doit nous purger de notre mauvais désir, de la
sensualité
, péché majeur. Et Fludd, son maître en occultisme, enseignait que la
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qui vit cette contradiction parce qu’il subit la
sensualité
et désire l’idéal courtois, les données de l’œuvre de Sade, et les ra
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ue, attire à elle tous les sentiments moraux ; la
sensualité
, abandonnée au diable, se venge terriblement. Que l’un ou l’autre de
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t que l’approche de la mort est l’aiguillon de la
sensualité
. Elle aggrave, au plein sens du terme, le désir. Elle l’aggrave même
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étaient plutôt des erreurs d’intelligence que de
sensualité
. »56 Retenons donc ceci, qui nuance notre schéma : si les erreurs d
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n conflit !) et la réalité vécue. La psyché et la
sensualité
naturelles se débattent entre ces attaques convergentes, ces condamna
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on moderne entre la passion de Tristan et la pure
sensualité
. Quelques citations de Thomas, le plus conscient des cinq auteurs de
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le ; des apparences d’orthodoxie chrétienne ; une
sensualité
parfois très complaisante ; enfin la fantaisie individuelle des poète
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t élément fondamental du mythe : l’angoisse de la
sensualité
, et l’orgueil, « humaniste » qui la compense. Angoisse : l’instinct s
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aimer selon la courtoisie (ici Minne), céder à la
sensualité
purement physique, voilà le péché suprême, originel, dans une vision
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étique d’une évasion hors de ce monde mauvais, la
sensualité
condamnée en même temps que divinisée, l’effort de l’âme pour échappe
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il doit nous purger de notre mauvais désir, de la
sensualité
, péché majeur. Et Fludd, son maître en occultisme, enseignait que la
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qui vit cette contradiction parce qu’il subit la
sensualité
et désire l’idéal courtois, les données de l’œuvre de Sade, et les ra
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ue, attire à elle tous les sentiments moraux ; la
sensualité
, abandonnée au diable, se venge terriblement. Que l’un ou l’autre de
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ierkegaard discute longuement les catégories de «
sensualité
» et « sexualité » (synonymes pour lui) dont il montre les liens étro
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troubadours, ces derniers exaltant, selon lui, la
sensualité
naturelle ; 2° que la nature de l’amour est très différente dans les
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ue le langage érotique traduit nécessairement une
sensualité
déchaînée, que pensera-t-on d’une sainte Thérèse, d’un Ruysbroek ! b)
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oustache ne réussit pas à nous cacher, trahit une
sensualité
qui s’opposera chez Ramuz à tout excès d’élaboration des images. Cet
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lie, par le refus de l’acte. Il en résulte que la
sensualité
germanique est plus consciente (c’est-à-dire à la fois plus morose et
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au lieu que le plaisir ou la fuit, ou la tue. La
sensualité
adore la bêtise. Mais l’intelligence véritable est toujours sentiment
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ession où va se réfugier le dernier vestige de la
sensualité
des érudits. 8. La fameuse marche de Rakoczy est l’œuvre d’une Tziga
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a de plus pur dans la nature et toutes sortes de
sensualités
et de gourmandises qui s’éveillent en sont comme sanctifiées. Mais c’
61
e et sans but divin. C’est pourquoi l’usage d’une
sensualité
consciente redevient une conquête de la sagesse. Fin juillet 1929
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de la Vie m’ont souvent donné l’impression d’une
sensualité
défaillante, qui soutiendrait mal la critique d’un intellect intact e
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lutôt de la même jeunesse qu’elle manque de vraie
sensualité
. Ils croient sentir entre les sexes une sourde hostilité, qu’ils attr
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s liée au sexe. Et même il faut se demander si la
sensualité
, précisément, ne serait pas le domaine où Don Juan se révèle le moins
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lutôt de la même jeunesse qu’elle manque de vraie
sensualité
. Ils croient sentir entre les sexes une sourde hostilité, qu’ils attr
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n conflit !) et la réalité vécue. La psyché et la
sensualité
naturelles se débattent entre ces attaques convergentes, ces condamna
67
t. Est-il vrai, comme on nous le répète, que « la
sensualité
envahit tout » et que la sexualité défoulée « se déchaîne » ? Bien sû
68
Ce n’est donc pas le sexe, mais l’érotisme, ni la
sensualité
, mais son aveu public, sa projection devant nous qui soudain, nous pr
69
il disait que le christianisme, en condamnant la
sensualité
au nom de l’esprit, l’a posée comme réalité et catégorie spirituelle.
70
istianisme, étant esprit, a posé dans le monde la
sensualité
. Parce qu’il l’excluait en principe, il l’a posée comme principe et c
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e dans l’antithèse la plus extrême, tandis que la
sensualité
prétend représenter la vie spirituelle la plus élevée. » Le champ nou
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t. Est-il vrai, comme on nous le répète, que « la
sensualité
envahit tout » et que la sexualité défoulée « se déchaîne » ? Bien sû
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Ce n’est donc pas le sexe, mais l’érotisme, ni la
sensualité
, mais son aveu public, sa projection devant nous, qui soudain nous pr
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s liée au sexe. Et même il faut se demander si la
sensualité
, précisément, ne serait pas le domaine où Don Juan se révèle le moins
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istianisme, étant esprit, a posé dans le monde la
sensualité
. Parce qu’il l’excluait en principe, il l’a posée comme principe et c
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il disait que le christianisme, en condamnant la
sensualité
au nom de l’esprit, l’a posée comme réalité et catégorie spirituelle.
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penser que les Suisses bénéficient vraiment d’une
sensualité
si violente qu’un rien, la moindre négligence risquerait de la porter
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penser que les Suisses bénéficient vraiment d’une
sensualité
si violente qu’un rien, la moindre négligence risquerait de la porter
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ière mystique chrétienne de l’Amour, sublimant la
sensualité
du Cantique des Cantiques en piété mariale, et finalement absolutisan
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aire, horizon de mysticité qu’il oppose à la pure
sensualité
. Entrant malgré lui dans les catégories plus bourgeoises que chrétien
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ale en amour” où viennent s’unir le courant de la
sensualité
et celui de la “tendresse” (Zärtlichkeit). Ce dernier terme, placé e
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, pour la densité de son style et les élans d’une
sensualité
pure et toujours sensible, alors bien rare dans les lettres française