1 a France — les paysans sont en train de redevenir serfs , serfs des syndicats et des capitalistes des villes. Mais dans une de

2 e — les paysans sont en train de redevenir serfs, serfs des syndicats et des capitalistes des villes. Mais dans une de ces pr

3 ères Lefebvre-Guterman, que la personne, c’est le serf , et que notre but est la restauration de l’esclavage, sous le couvert

4 seigneur, c’est-à-dire par les corvées et par des serfs (domesticité), ou sert de parc d’agrément (xiiie siècle). Les manses

5 nses au contraire sont allouées à des familles de serfs , à charge de redevances dues au seigneur. 67. Le salaire étant fixé

6 Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) (avril 1937)w Luther inconnu Dire qu’on ignore Luthe

7 parce qu’il attribue tout à Dieu. Le Traité du serf arbitre C’est sans doute dans cette perspective que le lecteur pe

8 uée d’exigence spirituelle, avec un partisan du «  serf arbitre » luthérien. (On peut admettre qu’un tel dialogue se déroule

9 ment biblique qu’on en trouvera dans le Traité du serf arbitre, malgré quelques détails exégétiques discutables, suffit à ét

10 w. « Luther et la liberté (À propos du Traité du serf arbitre) », Foi et Vie, Paris, n° 2, mars-avril 1937, p. 221-231.

11 e central de la réforme luthérienne, le Traité du serf arbitre 14. Ne fût-ce que sur le plan de la culture générale, une tel

12 ’ouvrage. Mais on ne saurait réduire le Traité du serf arbitre à la querelle avec Érasme, qui lui servit de prétexte et d’ai

13 n’est nullement exagéré de voir dans le Traité du serf arbitre une sorte de résumé — très peu systématique, et c’est heureux

14 Luther, Traité du serf arbitre (1937)m Luther inconnu Dire qu’on ignore Luther en Fr

15 uée d’exigence spirituelle, avec un partisan du «  serf arbitre » luthérien. (On peut admettre qu’un tel dialogue se déroule

16 et suiv. en particulier. m. Préface au Traité du serf arbitre de Martin Luther, Paris, Éditions « Je sers », 1937, p. 15-27

17 sévèrement que n’eût été ce noble assassinant un serf . Même l’indulgence pour les riches a cessé d’être bien certaine. Tout

18 ue, l’« homme libre », — celui qui n’était pas un serf , — se distinguait par ce fait : il avait le droit de porter des armes

19  » parce qu’il attribue tout à Dieu. Traité du serf arbitre À la proposition qu’on lui faisait en 1537 d’éditer ses œ

20 trio et le Catéchisme. » Nous voici donc, avec le Serf arbitre, de l’aveu même de son auteur, au centre du débat de la Réfor

21 uée d’exigence spirituelle, avec un partisan du «  serf arbitre » luthérien. (On peut admettre qu’un tel dialogue se déroule

22 ment biblique qu’on en trouvera dans le Traité du serf arbitre, malgré quelques détails exégétiques discutables, suffit à ét

23 ifier le christianisme luthérien de « religion du serf arbitre ». (Il s’appuyait, pour ce faire, sur Grisar.) Autant dire qu

24 donne dans l’erreur impardonnable d’assimiler le serf arbitre au déterminisme : c’est à seule fin d’attaquer le « Germanism

25 lli, La Barre, Lally-Tollendal Émancipation des serfs du Jura Affranchissement du pays de Gex Essai sur les Mœurs, Dict

26 importantes (régime représentatif, libération des serfs ). On ne leur en sait aucun gré (Alexandre II est assassiné). Tous pra

27 ailli, La Barre, Lally-Tollendal Émancipation des serfs du Jura Affranchissement du pays de Gex Essai sur les mœurs, Dictionn

28 ût peut-être pas connu le passage de l’esclave au serf , puis à l’homme libre, le mouvement communal et les Cortès, l’ordre d

29 assemblées régulières groupant nobles, libres et serfs , les Landsgemeinde. Or, il se trouve que ces communes rurales command

30 s principales sont la noblesse, les libres et les serfs . La première domine en Uri, la seconde à Schwyz, qui compte à cette é

31 onnelle dans ce petit coin de l’Empire. Quant aux serfs des vallées alpestres, nous avons vu qu’ils participent aux assemblée

32 nnaires du dynaste et qui ne sont souvent que des serfs récemment faits chevaliers. Tels sont les éléments du conflit décisif

33 e d’Uri : ces Erstfeld, à leurs débuts de simples serfs , étaient devenus en 1291 ce que nous appelons aujourd’hui des « nouve

34 , a inventé le peuple des « vachers de la Suisse, serfs révoltés des Autrichiens » (Michelet). 7. On les appelle aussi Markg

35 ropéenne tout entière : au lieu des libres et des serfs du Moyen Âge, nous avons les initiés librement critiques et créateurs