1
poésie »… Sa rhétorique, sa « vérité »… 5. De la
sexualité
, et notamment de la signification de l’ambivalence sémantique présent
2
Puis des rapports indiqués par Kierkegaard entre
sexualité
, angoisse et esprit, c’est-à-dire, finalement : de la nature des lien
3
à-dire, finalement : de la nature des liens entre
sexualité
et personne. 6. Expéditions latérales dans le domaine des mythes, de
4
s. 37. Freud : Trois essais sur la théorie de la
sexualité
. La définition du normal est donc ici : adapté au milieu social. Qui
5
Démiurge, retenant les âmes dans les Ténèbres. La
sexualité
, loi des corps, est une entrave à l’envol spirituel vers le monde inc
6
ans le recueil collectif intitulé Problèmes de la
sexualité
(collection « Présences »). « Un chrétien peut et doit accepter Éros,
7
mour humain, c’est-à-dire en fin de compte : à la
sexualité
. Or l’examen du Roman de Tristan et de ses sources historiques nous a
8
ne comprendrait plus rien au mythe de Tristan. La
sexualité
est une faim. Or il est de la nature d’une faim de chercher à tout pr
9
pose l’amour-passion : si l’on n’y voit que de la
sexualité
, c’est autant dire que l’on ne sait pas de quoi l’on parle. Si au con
10
Mais bien au-delà du mariage et du domaine de la
sexualité
proprement dite, le contenu du mythe et ses fantômes envahissent les
11
e aujourd’hui dans les annonces matrimoniales. La
sexualité
pure n’intervenait que pour « troubler » ces petits calculs et ces «
12
inct combatif est déçu. L’explosion habituelle de
sexualité
qui accompagnait les grands conflits ne s’est guère produite qu’à l’a
13
ans le recueil collectif intitulé Problèmes de la
sexualité
(collection « Présences ») : « Un chrétien peut et doit accepter Éros
14
fois de la condamnation religieuse portée sur la
sexualité
par les Parfaits, et de la révolte naturelle contre la conception ort
15
ur le démiurge et sur son œuvre : matière, chair,
sexualité
procréatrice, — tandis qu’un sentiment d’adoration purifiée peut se p
16
ttue en brèche. Du côté cathare, le mariage et la
sexualité
sont condamnés sans rémission par les Parfaits ou « consolés », mais
17
ée par les mêmes hommes qui persistent à tenir la
sexualité
pour « vilaine » ; et nous voyons souvent dans le même poète un adora
18
e que divin. Ainsi le philtre à la fois rive à la
sexualité
, qui est une loi de la vie, et contraint à la dépasser dans un hybris
19
mour humain, c’est-à-dire en fin de compte : à la
sexualité
. Or l’examen du Roman de Tristan et de ses sources historiques nous a
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ne comprendrait plus rien au mythe de Tristan. La
sexualité
est une faim. Or il est de la nature d’une faim de chercher à tout pr
21
pose l’amour-passion : si l’on n’y voit que de la
sexualité
, c’est autant dire que l’on ne sait pas de quoi l’on parle. Si au con
22
Mais bien au-delà du mariage et du domaine de la
sexualité
proprement dite, le contenu du mythe et ses fantômes envahissent les
23
e aujourd’hui dans les annonces matrimoniales. La
sexualité
pure n’intervenait que pour « troubler » ces petits calculs et ces «
24
t déçu. De 1914 à 1918, l’explosion habituelle de
sexualité
qui accompagnait les grands conflits ne s’est guère produite qu’à l’a
25
naison à doses variables de sentimentalisme et de
sexualité
, de jeu et de tragique à bon marché, de glamour et de désir instincti
26
ans le recueil collectif intitulé Problèmes de la
sexualité
(collection « Présences ») : « Un chrétien peut et doit accepter Éros
27
fois de la condamnation religieuse portée sur la
sexualité
par les Parfaits, et de la révolte naturelle contre la conception ort
28
ur le démiurge et sur son œuvre : matière, chair,
sexualité
procréatrice, — tandis qu’un sentiment d’adoration purifiée peut se p
29
ttue en brèche. Du côté cathare, le mariage et la
sexualité
sont condamnés sans rémission par les Parfaits ou « consolés », mais
30
ée par les mêmes hommes qui persistent à tenir la
sexualité
pour « vilaine » ; et nous voyons souvent dans le même poète un adora
31
e que divin. Ainsi le philtre à la fois rive à la
sexualité
, qui est une loi de la vie, et contraint à la dépasser dans un hybris
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mour humain, c’est-à-dire en fin de compte : à la
sexualité
. Or l’examen du Roman de Tristan et de ses sources historiques nous a
33
ne comprendrait plus rien au mythe de Tristan. La
sexualité
est une faim. Or il est de la nature d’une faim de chercher à tout pr
34
pose l’amour-passion : si l’on n’y voit que de la
sexualité
, c’est autant dire que l’on ne sait pas de quoi l’on parle. Si au con
35
Mais bien au-delà du mariage et du domaine de la
sexualité
proprement dite, le contenu du mythe et ses fantômes envahissent les
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e aujourd’hui dans les annonces matrimoniales. La
sexualité
pure n’intervenait que pour « troubler » ces petits calculs et ces «
37
t déçu. De 1914 à 1918, l’explosion habituelle de
sexualité
qui accompagnait les grands conflits ne s’est guère produite qu’à l’a
38
’amour « matériel » ou « tact », mais jamais de «
sexualité
» ou de « sexuel » — termes auxquels recourt souvent Proudhon dans La
39
longuement les catégories de « sensualité » et «
sexualité
» (synonymes pour lui) dont il montre les liens étroits avec le chris
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naison à doses variables de sentimentalisme et de
sexualité
, de jeu et de tragique à bon marché, de glamour et de désir instincti
41
ans le recueil collectif intitulé Problèmes de la
sexualité
(collection « Présences ») : « Un chrétien peut et doit accepter, Éro
42
magine que le péché par excellence réside dans la
sexualité
. L’illusion s’aperçoit d’une manière assez simple : la sexualité est
43
lusion s’aperçoit d’une manière assez simple : la
sexualité
est le domaine des tentations à la fois les plus sensibles et les plu
44
mportance » ; ou les deux ensemble. En vérité, la
sexualité
en soi n’est pas plus diabolique que la digestion ou la respiration.
45
ar excellence, qui se trouve être à leurs yeux la
sexualité
. C’est une vue bien bornée du péché ! Car même dans le cas où le frui
46
ve et son désir de se diviniser à sa façon. Si la
sexualité
pouvait rester pure, c’est-à-dire purement animale, comme les autres
47
spirituels où le serpent se love avec délices. La
sexualité
se distingue des autres fonctions naturelles par un certain manque de
48
e le langage et les activités de l’esprit, que la
sexualité
donne prise au diable. Et certes il ne s’y intrigue pas davantage que
49
issable, et dans cette mesure moins dangereux. La
sexualité
ne devient proprement démoniaque que lorsque l’esprit s’en empare, la
50
ue. Or, l’absence de contraintes choisies rend la
sexualité
insignifiante, et déprime secrètement l’humanité de l’homme. Le sexe
51
d’un instinct aussi fondamental et naturel que la
sexualité
. Il est incontestable que le rationalisme9 a déprimé depuis des siècl
52
magine que le péché par excellence réside dans la
sexualité
. L’illusion s’aperçoit d’une manière assez simple : la sexualité est
53
lusion s’aperçoit d’une manière assez simple : la
sexualité
est le domaine des tentations à la fois les plus sensibles et les plu
54
mportance » ; ou les deux ensemble. En vérité, la
sexualité
en soi n’est pas plus diabolique que la digestion ou la respiration.
55
ar excellence, qui se trouve être à leurs yeux la
sexualité
. C’est une vue bien bornée du péché ! Car même dans le cas où le frui
56
ve et son désir de se diviniser à sa façon. Si la
sexualité
pouvait rester pure, c’est-à-dire purement animale, comme les autres
57
spirituels où le serpent se love avec délices. La
sexualité
se distingue des autres fonctions naturelles par un certain manque de
58
e le langage et les activités de l’esprit, que la
sexualité
donne prise au diable. Et certes il ne s’y intrigue pas davantage que
59
issable, et dans cette mesure moins dangereux. La
sexualité
ne devient proprement démoniaque que lorsque l’esprit s’en empare, la
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ue. Or, l’absence de contraintes choisies rend la
sexualité
insignifiante, et déprime secrètement l’humanité de l’homme. Le sexe
61
d’un instinct aussi fondamental et naturel que la
sexualité
. Il est incontestable que le rationalisme11 a déprimé depuis des sièc
62
magine que le péché par excellence réside dans la
sexualité
. L’illusion s’aperçoit d’une manière assez simple : la sexualité est
63
lusion s’aperçoit d’une manière assez simple : la
sexualité
est le domaine des tentations à la fois les plus sensibles et les plu
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mportance » ; ou les deux ensemble. En vérité, la
sexualité
en soi n’est pas plus diabolique que la digestion ou la respiration.
65
ar excellence, qui se trouve être à leurs yeux la
sexualité
. C’est une vue bien bornée du péché ! Car même dans le cas où le frui
66
ve et son désir de se diviniser à sa façon. Si la
sexualité
pouvait rester pure, c’est-à-dire purement animale, comme les autres
67
spirituels où le serpent se love avec délices. La
sexualité
se distingue des autres fonctions naturelles par un certain manque de
68
e le langage et les activités de l’esprit, que la
sexualité
donne prise au diable. Et certes il ne s’y intrique pas davantage que
69
issable, et dans cette mesure moins dangereux. La
sexualité
ne devient proprement démoniaque que lorsque l’esprit s’en empare, la
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ue. Or, l’absence de contraintes choisies rend la
sexualité
insignifiante, et déprime secrètement l’humanité de l’homme. Le sexe
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magine que le péché par excellence réside dans la
sexualité
. L’illusion s’aperçoit d’une manière assez simple : la sexualité est
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lusion s’aperçoit d’une manière assez simple : la
sexualité
est le domaine des tentations à la fois les plus sensibles et les plu
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mportance » ; ou les deux ensemble. En vérité, la
sexualité
en soi n’est pas plus diabolique que la digestion ou la respiration.
74
ar excellence, qui se trouve être à leurs yeux la
sexualité
. C’est une vue bien bornée du péché ! Car même dans le cas où le frui
75
ve et son désir de se diviniser à sa façon. Si la
sexualité
pouvait rester pure, c’est-à-dire purement animale, comme les autres
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spirituels où le serpent se love avec délices. La
sexualité
se distingue des autres fonctions naturelles par un certain manque de
77
e le langage et les activités de l’esprit, que la
sexualité
donne prise au diable. Et certes il ne s’y intrigue pas davantage que
78
issable, et dans cette mesure moins dangereux. La
sexualité
ne devient proprement démoniaque que lorsque l’esprit s’en empare, la
79
ue. Or, l’absence de contraintes choisies rend la
sexualité
insignifiante, et déprime secrètement l’humanité de l’homme. Le sexe
80
d’un instinct aussi fondamental et naturel que la
sexualité
. Il est incontestable que le rationalisme12 a déprimé depuis des sièc
81
guerrières, intimement lié, depuis Lancelot, à la
sexualité
occidentale. Quelles fêtes, quels carnavals mondiaux remplaceront dés
82
n ouvrage à paraître en 1945) : Bâtons = Trèfle =
Sexualité
= Sensation = Terre Coupes = Cœur = Mariage = Sentiment = Eau Épées =
83
guerrières, intimement lié, depuis Lancelot, à la
sexualité
occidentale. Quelles fêtes, quels carnavals mondiaux remplaceront dés
84
guerrières, intimement lié, depuis Lancelot, à la
sexualité
occidentale. Quelles fêtes, quels carnavals mondiaux remplaceront dés
85
même estimation du rôle et de l’importance de la
sexualité
. Tandis qu’en Amérique nous trouvons deux morales également admises,
86
mpte, le phénomène du divorce américain. De la
sexualité
Je mets en fait que le puritanisme, hérésie moraliste issue en Ang
87
Tristan. Il faudrait au moins distinguer amour et
sexualité
. Il n’est pas exact de dire, par exemple, que « l’homme primitif et l
88
la ne repose sur la confusion des termes amour et
sexualité
. En fait, je ne connais pas une seule loi, dans un seul pays ou un se
89
c’est une tout autre affaire. La liberté dans la
sexualité
, nous en jouissons et nous en souffrons plus que toute autre civilisa
90
te qu’une « éthique de l’amour » (entendons de la
sexualité
) n’est pas nécessaire ; car en fait nous n’en avons plus, ou juste as
91
iant.6 3. Trois Essais sur la Théorie de la
Sexualité
. La définition de normal est donc ici : adapté au milieu. Vérité d’ex
92
même estimation du rôle et de l’importance de la
sexualité
. Tandis qu’en Amérique nous trouvons deux morales également admises,
93
mpte, le phénomène du divorce américain. De la
sexualité
Je mets en fait que le puritanisme, hérésie moraliste issue en Ang
94
es ne sont hypocrites lorsqu’ils affirment que la
sexualité
est le péché, ou au contraire qu’elle est une distraction qui ne doit
95
ent à l’excès d’identifier la chair avec la seule
sexualité
! 23. Karl Jaspers, Nietzsche und das Christentum. 24. Hérésie : ch
96
ur le démiurge et sur son œuvre : matière, chair,
sexualité
procréatrice, — tandis qu’un sentiment d’adoration purifiée peut se p
97
ttue en brèche. Du côté cathare, le mariage et la
sexualité
sont condamnés sans rémission par les Parfaits ou « consolés », mais
98
ée par les mêmes hommes qui persistent à tenir la
sexualité
pour « vilaine » ; et nous voyons souvent dans le même poète un adora
99
ent à l’excès d’identifier la chair avec la seule
sexualité
! 58. « Je ne puis croire que Dieu joue aux dés avec le monde », dis
100
nt riches en exemples de cet ordre. L’idée que la
sexualité
refrénée (plus encore que la chasteté) rend immortel, y revient avec
101
ue l’amour n’existe plus, que seules demeurent la
sexualité
et la camaraderie ? — Cela ne s’accorde pas du tout ! s’écria Ulrich
102
toutes, celle qui se prête le mieux au récit. La
sexualité
pure et l’amour du prochain ne sont vrais qu’en acte, et leur descrip
103
issent pour déplorer l’invasion de nos vies d’une
sexualité
« obsédante » : les affiches dans les rues, les bureaux, les métros,
104
étés occidentales, de l’ouest à l’est, non pas la
sexualité
proprement dite, instinctive et procréatrice. Et les moyens de l’érot
105
ète, que « la sensualité envahit tout » et que la
sexualité
défoulée « se déchaîne » ? Bien sûr que non. L’instinct ne dépend pas
106
aïsme explique le cosmos tout entier en termes de
sexualité
: il pose le désir à la base de tout. Nous ne désirons des choses que
107
on la plus vive peut bien se suffire en soi. La
sexualité
mérite le nom d’amour Le plaisir sexuel, troisième forme de l’amo
108
es animaux ne font pas l’amour, mais subissent la
sexualité
quand vient son temps. Les confusions de notre langage courant semble
109
nnent d’une contamination en sens inverse : si la
sexualité
peut signifier l’amour, c’est parce qu’elle est, chez l’homme, autre
110
t plus celles de l’espèce mais de la personne, la
sexualité
mérite ce nom d’amour que lui donne l’Occident moderne — quoi qu’en p
111
it atteindre avec l’ensemble de ses facultés.) La
sexualité
en elle-même ne me paraît pas indifférente pour l’esprit. Mais elle n
112
raintes naturelles, des rythmes trop prévus de la
sexualité
, mais aussi des décrets de la morale et des conseils de la raison. L’
113
sent pour déplorer l’invasion dans nos vies d’une
sexualité
« obsédante ». Les affiches dans les rues, les bureaux, les métros, e
114
s occidentales, de l’ouest à l’est, et non pas la
sexualité
proprement dite, instinctive et procréatrice. Et les moyens de l’érot
115
ète, que « la sensualité envahit tout » et que la
sexualité
défoulée « se déchaîne » ? Bien sûr que non. L’instinct ne dépend pas
116
ue l’amour n’existe plus, que seules demeurent la
sexualité
et la camaraderie ? — Cela ne s’accorde pas du tout ! s’écria Ulrich
117
toutes, celle qui se prête le mieux au récit. La
sexualité
pure et l’amour du prochain ne sont vrais qu’en acte, et leur descrip
118
aïsme explique le cosmos tout entier en termes de
sexualité
: il pose le désir à la base de tout. « Nous ne désirons des choses q
119
es animaux ne font pas l’amour, mais subissent la
sexualité
quand vient son temps. Les confusions de notre langage courant semble
120
nnent d’une contamination en sens inverse : si la
sexualité
peut signifier l’amour, c’est parce qu’elle est, chez l’homme, autre
121
t plus celles de l’espèce mais de la personne, la
sexualité
mérite ce nom d’amour que lui donne l’Occident moderne, — quoi qu’en
122
it atteindre avec l’ensemble de ses facultés.) La
sexualité
en elle-même ne me paraît pas indifférente pour l’esprit. Mais elle n
123
riques, la tentent dès lors en permanence : a) La
sexualité
condamnée. Ceux qui ont peur de leur sexualité et qui ne voient qu’ig
124
La sexualité condamnée. Ceux qui ont peur de leur
sexualité
et qui ne voient qu’ignominie dans l’érotisme, expulsent de leur prop
125
i tienne, ou ne soit réductible à celui-là. b) La
sexualité
séparée. Dès qu’il est dissocié de l’amour d’intuition et de l’amour
126
ceptes évangéliques sur l’amour, le mariage et la
sexualité
tiennent en peu de pages. Les voici. Amour divin Dieu a tant aim
127
me répudiée commet un adultère (Matt., V, 31).
Sexualité
et vie spirituelle Une femme a eu sept maris. À la résurrection, d
128
spect physiologique, l’érotisme est l’usage de la
sexualité
pour d’autres fins que la procréation. Les Églises le condamnent — en
129
n a rempli toute la terre.132 IIIÉrotisme et
sexualité
Je trouve ceci dans un ouvrage occidental sur le yoga : « Il faut
130
Il faut convenir que l’exaltation effrénée de la
sexualité
, dans la société contemporaine est sans doute plus catastrophique, po
131
ements à l’éphémère, se gardent bien de brider la
sexualité
: leur morale est à cet égard plus que laxiste : elle est prodigue en
132
e d’un ouvrage dont le sujet n’était nullement la
sexualité
, mais bien l’amour. ⁂ Est-il besoin de préciser que cet ouvrage n’est
133
ira des conclusions fausses. Elles valent pour la
sexualité
proprement dite, le social et l’éducation ; pour tout ce qu’il y a de
134
e. Cette évolution semble parallèle à celle de la
sexualité
qui, avec l’époque chrétienne, se détache en partie de l’inconscient
135
s artificielles de l’Occident, ne sont liées à la
sexualité
que d’une manière dialectique, paradoxale. Dévier n’est pas synonyme
136
us a permis de discuter de l’inconscient et de la
sexualité
. Les troubadours ont exercé un impact profond en rendant la joy d’amo
137
ustrer l’invasion du monde d’aujourd’hui par la «
sexualité
déchaînée », on cite le triomphe en librairie de Fanny Hill et Justin
138
hez les plus jeunes, combien savent distinguer la
sexualité
de l’érotisme et la passion de l’amour vrai ? Cette turbulence de déf
139
t cela des troubadours jusqu’aux surréalistes. La
sexualité
, c’est l’instinct ordonné à l’espèce, à la procréation. L’érotisme es
140
otisme, c’est-à-dire l’usage non biologique de la
sexualité
au service du plaisir, des beaux-arts, et surtout de la littérature.
141
ut cela joue au bénéfice de l’érotisme, auquel la
sexualité
tend à se subordonner, comme la nature à la culture, l’instinct à l’h
142
re, c’est une affaire complexe et lente, quand la
sexualité
était simple et rapide ; et surtout une affaire gratuite, bonne pour
143
numéro un de la jeunesse ne sera plus du tout la
sexualité
mais par exemple le choix d’une vocation, où ces tortures morales ser
144
istingué dans Comme toi-même tout ce qui sépare
sexualité
. »
145
critiques de l’existence morale en Occident : la
sexualité
, le mariage ? Les anciens Suisses, au temps des Ligues, n’étaient pas
146
critiques de l’existence morale en Occident : la
sexualité
, le mariage ? Les anciens Suisses, au temps des Ligues, n’étaient pas
147
civité aux théories imbéciles et navrantes sur la
sexualité
(comme celle du trop fameux Dr Tissot) qui ont joué le rôle que l’on
148
bsence, non de l’excès de rigueur d’un code de la
sexualité
dans le christianisme, qu’est né le problème de l’érotisme en Occiden
149
it l’érotisme comme l’usage non procréateur de la
sexualité
, au service du plaisir raffiné, des beaux-arts, et surtout de la litt
150
vec Racine, tout s’érotise, à un tel point que la
sexualité
en devient comme superflue, ce n’est plus que « Vénus » dans les alex
151
nsurait. Le freudisme n’a nullement « déchaîné la
sexualité
», comme le répètent ceux qui l’attaquent sans le connaître : il a se
152
me, qui était en somme une forme littéraire de la
sexualité
, tend à relever de plus en plus de l’investigation des sciences humai
153
tre la mère et le fils. L’amour, l’érotisme et la
sexualité
ont créé en Europe une problématique à peu près unique au monde : ils
154
oire que le « péché originel » n’est autre que la
sexualité
. Quant aux pseudo-tabous qui règnent sur nous, ce sont ceux de la bou
155
ne tiennent plus. Est-ce que cela signifie que la
sexualité
est plus vigoureuse, ou l’amour plus réussi, la morale du couple plus
156
échec complet… (p. 89). L’instinct de mort et de
sexualité
se trouve illustré dans la poésie gaélique bien avant Freud et son éc
157
s révérence, Xavière Gauthier dans Surréalisme et
sexualité
, collection « Idées », Éd. Gallimard, Paris, 1971. 3. « Engagé » sig
158
raintes naturelles, des rythmes trop prévus de la
sexualité
, mais aussi des décrets de la morale et des conseils de la raison. L’
159
st l’usage non procréateur, non fonctionnel de la
sexualité
. C’est donc au sens littéral du terme une perversion, le détournement
160
ent en Europe des expressions telles qu’érotisme,
sexualité
, problème sexuel, dans les œuvres de Charles Fourier et de ses discip
161
par la morale laïque autant que par l’Église, la
sexualité
n’en a pas moins envahi les salons de la peinture bourgeoise, les thé
162
Proust. Le freudisme n’a nullement « déchaîné la
sexualité
» comme le répètent ceux qui l’attaquent sans le connaître. Il a seul
163
ouve chez Freud l’idée d’une forme achevée de la
sexualité
et même “d’une attitude complètement normale en amour” où viennent s’
164
ge, dans les livres, ne signifie nullement que la
sexualité
soit plus anarchique ou plus vigoureuse qu’en d’autres temps. C’est s
165
’autres temps. C’est seulement l’expression de la
sexualité
qui n’est plus réprimée, ce qui signifie que la plupart des interdits
166
matique rapidité. Les modes, les magazines sur la
sexualité
, et la TV, offrent des palliatifs dérisoires à ce qui fut la base de
167
le fondateur, eut un jour la révélation « que la
sexualité
pouvait être distincte de la reproduction » et qu’un self-control («
168
t dirigées contre la puissance. Non pas contre la
sexualité
, comme on voulait nous le faire croire au xixe siècle. (Voyez Matt.
169
tretient entre les notions d’Éros, d’Agapè 27, de
sexualité
, d’érotisme, de passion… Certaines époques ont vu naître un sens neuf
170
hristianisme ? Définissons d’abord nos termes. La
sexualité
est l’instinct qui ordonne l’individu aux finalités de l’espèce. L’ér
171
u quand on se lamente sur le « déchaînement d’une
sexualité
qui rejette tous les tabous religieux et bourgeois », on révèle toute
172
Tristan. Il faudrait au moins distinguer amour et
sexualité
. Il n’est pas exact de répéter, par exemple, après les surréalistes q
173
c’est une tout autre affaire. La liberté dans la
sexualité
, nous en jouissons et en souffrons plus que toute autre civilisation
174
ort. 6. Attitudes devant l’amour, le mariage, la
sexualité
. Coutumes, tabous, modes, leurs justifications théoriques — religieus