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e dont le burlesque n’aurait pas déplu à l’humeur
shakespearienne
de notre philosophe. C’est l’image du chat d’Alice in Wonderland. Sou
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l’abstrait au concret, ou plutôt dans cette mêlée
shakespearienne
de logique impitoyable et de bon sens populaire, d’anecdotes, de bout
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e dont le burlesque n’aurait pas déplu à l’humeur
shakespearienne
du philosophe danois. C’est l’image du chat d’Alice in Wonderland. So
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lé le lendemain. Sa fin tragique termina le drame
shakespearien
de la Renaissance helvétique. Affaiblie par ses luttes religieuses, m
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le ressort véritable. Tel est le drame, plus que
shakespearien
, vraiment apocalyptique, auquel nous assistons. L’enjeu en sera demai