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donnerai tous les essais de M. de Voguë sur l’âme
slave
pour deux ou trois scènes de La Cité secrète. Pour celle-ci par exemp
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urs ; et de l’autre côté de l’Europe, aux marches
slaves
, ces burgs secrets de la Prusse-Orientale, — tant de générations aux
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n songe au Rilke des Cahiers, — sans la vibration
slave
, métaphysique. Mais c’est une sympathie peut-être plus virile que l’a
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ussiennes, disent les Allemands du Sud ; méthodes
slaves
, grognent les Prussiens. Méthodes jacobines, à mon sens3. Car ce qu’i
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ussiennes, disent les Allemands du Sud ; méthodes
slaves
, grognent les Prussiens. Méthodes jacobines, à mon sens. Car ce qu’il
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ennes. » La moitié de la population de Cohoes est
slave
, polonaise ou russe d’origine. L’autre moitié se compose de Canadiens
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niennes. La moitié de la population de Cohoes est
slave
, polonaise ou russe d’origine. L’autre moitié se compose de Canadiens
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ussiennes, disent les Allemands du Sud ; méthodes
slaves
, grognent les Prussiens. Méthodes jacobines, à mon sens. Car ce qu’il
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ennes. » La moitié de la population de Cohoes est
slave
, polonaise ou russe d’origine. L’autre moitié se compose de Canadiens
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orte de nation européenne, où Latins et Germains,
Slaves
et Anglo-Saxons, Scandinaves et Grecs, se verraient soumis aux mêmes
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sorte de nation européenne où Latins et Germains,
Slaves
et Anglo-Saxons, Scandinaves et Grecs, se verraient soumis aux mêmes
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urs ; et de l’autre côté de l’Europe, aux marches
slaves
, ces burgs secrets de la Prusse-Orientale, — tant de générations aux
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érité le moderne servage. Les dictatures latines,
slaves
et germaniques se rencontrent toutes sur ce point. Elles prennent tou
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se produisent à partir du ix e siècle, quand les
Slaves
se voient simultanément conquis par des Scandinaves (les Varègues13)
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e Novgorod puis de Kiev, ne sont en fait pas plus
slaves
que Charlemagne, un peu avant, n’était gaulois. Les Scandinaves appor
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Dès le xiii e siècle, cependant, l’hostilité des
Slaves
envers l’Europe paraît plus forte que leur résistance à l’occupant as
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ntre l’influence occidentale et le génie national
slave
, au sein d’une culture neuve qui va devenir partie intégrante de la c
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roussé : une Polonaise noiraude peut-être, ou une
Slave
du Sud… D’une pareille apparition, on peut tomber passionnément, mort
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roit l’héritage des Barbares, Celtes, Germains et
Slaves
, dont l’apport trop souvent méconnu (pour avoir été trop souvent exag
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autre part, l’index fourmille de fautes. Les noms
slaves
et allemands sont le plus souvent mal orthographiés (Leszezinski au l
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e la Russie. …Comment ferez-vous pour fédérer des
Slaves
, ou religieux ou mystiques révolutionnaires ; des Scandinaves assagis
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nique, et parfois même du monde arabe et du monde
slave
. Entre ces origines diverses, hétérogènes, se sont produits au cours
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indo-chrétienne, germanique et celtique, arabe et
slave
—, à cause des valeurs souvent contradictoires ou incompatibles qu’el
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e un lorgnon démodé, et qui me dit avec un accent
slave
: « Votre discours était vraiment très bien, vous avez montré la voie
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ne famille de Hambourg, quelque peu mêlée de sang
slave
et possédant la bourgeoisie de Bâle. Il avait épousé une Anglaise. Il
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roussé : une Polonaise noiraude peut-être, ou une
Slave
du Sud… D’une pareille apparition, on peut tomber passionnément, mort
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se la confédération puissante de tous les peuples
slaves
sous l’influence et le protectorat de la Russie. Les nations slaves c
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uence et le protectorat de la Russie. Les nations
slaves
comptent, messieurs, 80 millions d’habitants. Eh bien, lorsque la rév
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e sera accomplie la grande fédération des peuples
slaves
; lorsque dans l’Occident il n’y aura plus que deux armées, celle des
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ue nous appelons les souches celte, germanique et
slave
. S’il y a en Europe un élément d’unité prenant racine certainement en
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ffaire ! Mais comment ferez-vous pour fédérer des
Slaves
, ou religieux ou mystiques révolutionnaires ; des Scandinaves assagis
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nces germano- hispano-italo-slaves avec l’essence
slave
comme note de basse profonde. Une fédération ne se conçoit que sous l
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e trouvent inclus des Celtes, des Germains et des
Slaves
, des « barbares » toujours plus nombreux, et de traditions très oppos
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es Méditerranéens des Germains, des Celtes et des
Slaves
. De cette culture commune, mais de ses sources variées, voire souvent
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e trouvent inclus des Celtes, des Germains et des
Slaves
, des « barbares » toujours plus nombreux, et de traditions très oppos
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ne famille de Hambourg, quelque peu mêlée de sang
slave
et possédant la bourgeoisie de Bâle. Il avait épousé une Anglaise. Il
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sorte de nation européenne où Latins et Germains,
Slaves
et Anglo-Saxons, Scandinaves et Grecs, se verraient soumis aux mêmes
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, christianisme, Celtes, Germains, puis Arabes et
Slaves
) et qui s’est, au cours des âges, à la fois intégrée et diversifiée.
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rusalem, christianisme, Celtes, Germains, Arabes,
Slaves
: nous avons tous subi ces influences, tout ce passé reste présent et
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rmains, celtes, un petit peu arabes, un petit peu
slaves
. Nous avons tout cela en commun. Tous les procédés de nos beaux-arts,
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e et qu’on croit le sentir en Occident ; l’apport
slave
au xixe ; l’art africain et le jazz nègre américain au xxe siècle ?
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e et qu’on croit le sentir en Occident ; l’apport
slave
au xixe siècle ; l’art africain et le jazz nègre américain au xxe s
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s relations entre la Bulgarie et sa « grande sœur
Slave
», l’URSS… Négation à priori de toute influence occidentale sur le pa
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néglige les apports celtes, germaniques, arabes,
slaves
et orientaux, mais surtout qui ferait oublier qu’Athènes, Rome et Jér
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t qu’on croit le sentir en Occident ? Et l’apport
slave
dès le xixe siècle, l’anarchie, la démesure religieuse, le réalisme
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rusalem, christianisme, Celtes, Germains, Arabes,
Slaves
. Nous avons tous subi ces influences, tout ce passé reste présent et
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e et qu’on croit le sentir en Occident ; l’apport
slave
dès le milieu du xixe , l’anarchie, la démesure religieuse, le réalis
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e, à quoi se sont ajoutées des influences arabes,
slaves
, et j’en passe. Tout cela l’a distinguée des autres grandes civilisat
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tlantique et nordique, celte ou germain, arabe ou
slave
, ne serait donc pas européen, ou de seconde zone ? Mais cela fait tou
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, gréco-latines, celtes et germaniques, arabes et
slaves
, souvent incompatibles entre elles — de là le caractère essentielleme
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, gréco-latines, celtes et germaniques, arabes et
slaves
, souvent incompatibles entre elles — de là le caractère essentielleme
52
s — et plus tard, à un moindre degré, arabes puis
slaves
— qui nous ont tous affectés, à doses variables, et qui ont éduqué no
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des Germains, plus tard des Arabes au Sud et des
Slaves
à l’Est. Impossible donc de concevoir une union européenne sur un mod
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a majorité des citoyens — dans les pays latins et
slaves
— mais qu’il provoque chez les « assujettis » une sorte de révérence
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es Celtes, puis des Arabes par l’Espagne puis des
Slaves
au xixe siècle. C’est cela que l’École nouvelle doit apprendre aux e
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ite des apports germaniques et celtes, mais aussi
slaves
et arabes, tout différents des premiers. L’apport germanique résultan
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our de Frédéric II à Palerme ? Enfin, les apports
slaves
ne sauraient être négligés, quoique très récents (roman russe, dès la
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t qu’on croit le sentir en Occident ? Et l’apport
slave
dès la fin du xixe siècle ? L’étrange homme européen L’unité d
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s, germaniques et celtiques, arabes au Moyen Âge,
slaves
au xixe siècle, afro-américaines au xxe siècle) n’a pas le moindre
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e la quête spirituelle, plus tard un peu de folie
slave
, et le sens chrétien de l’amour qui tout embrasse, — pour cet homme e
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ermaniques, celtiques, plus tard arabes, et enfin
slaves
, partout agissant mais inégalement. D’où l’unité, ou la communauté de
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eltique et germanique, avec des apports arabes et
slaves
, contre l’anti-Europe des États-nations, une seule solution : le fédé
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s Arabes, et, à partir du xixe siècle, celui des
Slaves
de Russie, et on pourrait mentionner encore, au début du xxe siècle,
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ologne a pour particularité unique d’être un État
slave
de population, mais romanisé dans sa culture. À l’inverse, la Roumani
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parlé l’an dernier… Finalement, il y a la source
slave
, à laquelle Valéry ne fait pas la moindre allusion. Je ne sais pas s’
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ais lu Dostoïevski, j’en doute parfois. La source
slave
, à partir du xixe , a été considérable pour nous, ne fût-ce que par l
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ir de la seconde moitié du xixe siècle, l’apport
slave
. Sans oublier de mentionner dans notre siècle, l’influence des arts e
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re, notamment du côté arabe et plus tard, du côté
slave
.) Si l’on veut résumer en un mot ce que l’on doit à ces différentes s
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e et qu’on croit le sentir en Occident ; l’apport
slave
au xixe siècle ; l’art africain et le jazz nègre américain au xxe s
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t germaniques, des influences arabes et plus tard
slaves
… Cela fait un joli paquet de contradictions et d’éléments qui ne sont
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dans une certaine mesure, ceux des Arabes et des
Slaves
. C’est dire comme cette culture est un assemblage complexe. Un moment
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le monde arabe et le monde chrétien) et l’apport
slave
, surtout dans la deuxième partie du xixe siècle et au xxe siècle (d