1 1955, Bulletin du Centre européen de la culture, articles (1951–1977). Aperçu historique des relations culturelles Europe-Russie (des débuts à la guerre de 1914) (décembre 1955)
1 ’infinie étendue de l’humble Russie paysanne. Slavophiles contre occidentalistes Le grand débat qui dominera la culture russ
2 ix e siècle sera celui des occidentalistes et des slavophiles  : or il est entièrement centré sur le rôle de l’Europe en Russie. En
3 dans le camp des occidentalistes. Les premiers slavophiles , disciples des grands penseurs allemands de Fichte à Hegel, étaient l
4 encore. Qu’on ne croie pas, d’ailleurs, que les slavophiles , adversaires de l’Occident, ne sont que des réactionnaires obtus. Le
5 occidentale va devenir le grand thème commun aux slavophiles , aux révolutionnaires et à certains réactionnaires17. Intelligents
2 1960, Articles divers (1957-1962). Le nationalisme et l’Europe (mars 1960)
6 En 1837, paraît le premier numéro de la revue des slavophiles , partisans d’un nationalisme spirituel et culturel, de l’orthodoxie p
3 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Quatrième Partie. L’Ère de la Révolution de Kant à Hegel — 7. Synthèses historico-philosophiques (II)
7 et plusieurs de ses contemporains : les premiers slavophiles ne furent pas Russes mais Allemands ! Friedrich von Schlegel (1772-18
8 rgson, et la plupart des penseurs russes, surtout slavophiles , de son temps. Déjà, dans l’Introduction à son System der Transcenden
4 1961, Vingt-huit siècles d’Europe. Cinquième Partie. L’Ère des nations, (de 1848 à 1914) — 3. Un problème séculaire : la Russie et l’Europe
9 très complexe va se développer le grand débat des slavophiles et des occidentalistes. Les premiers n’ont vu dans l’œuvre de Pierre
10 en 1837, paraît le premier numéro de la revue des slavophiles , partisans d’un nationalisme spirituel et culturel, de l’orthodoxie p
11 … Qui peut dire si Tolstoï se sent plus près des slavophiles que des occidentalistes quand il écrit233 : Il n’y a pas de raison d
12 mission historique. Et certes, pour un théologien slavophile comme Vladimir Soloviev, la mission de la Russie tient tout entière d
13 l’Europe, quand bien même nous nous appellerions slavophiles , et daignent ceux-ci ne pas s’en offusquer ! Il est inutile de protes