1
bsen voulait placer sous les arches de la vieille
société
», pour reprendre la pittoresque définition de M. A. Eloesser dans l’
2
s chefs, montre à quelques meneurs aveugles d’une
société
affolée et ridiculement opportuniste où mène la pente de notre civili
3
du bonheur, dégoût de soi, — on l’étend vite à la
société
entière. Dégoût d’une civilisation qui aboutit logiquement à cet épui
4
pellent, ridiculement, les fondements mêmes de la
société
. » C’est avec le produit du vol d’un tronc de chapelle que j’édifiai
5
in de tous les principes qui sont à la base de la
société
même. » Ceci est tiré d’un livre récent sur Aloysius Bertrand. Est-
6
e admirable simplification : « Sur quoi repose la
société
? Sur les hommes et les moyens grâce auxquels on cultive, on fabrique
7
lence et cet ensemble idéal d’étudiant assidu aux
sociétés
de musique… » Barrès cherchait dans ses châteaux en Espagne lamentabl
8
pathiques que n’importe quelle autre classe de la
société
. Mais l’esprit petit-bourgeois pris abstraitement et tel qu’il se man
9
vertus sociales de l’élève. « Une classe est une
société
en miniature. » Ceci est une énorme bourde. Juxtaposez trente enfants
10
pathiques que n’importe quelle autre classe de la
société
. Mais l’esprit petit-bourgeois pris abstraitement et tel qu’il se man
11
vertus sociales de l’élève. « Une classe est une
société
en miniature. » Ceci est une énorme bourde. Juxtaposez trente enfants
12
ne enfance dans l’air… 12. Rappelons que notre
société
est fondée sur la peur du risque. 13. Il faut ajouter aux autres cau
13
ie, qu’elle touche à tout dans l’homme et dans la
société
. Elle a l’absence de scrupules des gens qui ont une mission urgente à
14
istoire de la vie d’une femme, et de la vie d’une
société
aujourd’hui presque disparue, « roman-fleuve » que deux dates limiten
15
. Il ne s’y passe rien de plus que ce qu’admet la
société
anglaise. Tout le drame est intérieur ; la passion ne s’y manifeste q
16
e l’action, encore que l’évocation de cette haute
société
anglaise ne soit pas dépourvue d’un charme qui attirera certains lect
17
n question les exigences les plus terribles de la
société
insulaire, possède un sens critique assuré qu’elle applique non sans
18
volonté de fer, lorsqu’on tombe dans la lie de la
société
. Le jour des funérailles, Eiichi essaya de garder tout son sang-froid
19
es. ⁂ Tout est devenu tellement abstrait dans une
société
où règnent le bavardage et le papier-monnaie que les réalités les plu
20
grands5 beaux et nombreux, racés et fades. Cette
société
n’a peut-être pas encore oublié que la race s’oppose à l’individu. Ic
21
trouve. (1929 et 1930) 7. Rappelons que notre
société
est fondée sur la peur du risque. Je vis plutôt mal. 8. Il faut ajou
22
nde qui nous préparait pour autre chose, dans une
société
organisée (et mal) contre les « risques-vie », livrée aux basses rigu
23
e, je viens de subir l’épreuve d’initiation d’une
société
de collégiens. J’ai refusé de raconter devant tous, debout sur un ton
24
elle alimentera quelque temps encore les jeux de
société
des congrès de mathématiciens et de logisticiens ; et pendant ce temp
25
grand public allemand. Il est bien naturel qu’une
société
qui jouit d’une relative sécurité cherche son divertissement dans des
26
en principe, destiné à créer du loisir, dans une
société
dont la religion dominante est la religion du travail mécanique. Cett
27
nante est la religion du travail mécanique. Cette
société
n’accorde pas au loisir, but secret1 de la plupart de ses membres, la
28
ômage. Ce paradoxe est lié à l’essence même de la
société
capitaliste-bourgeoise. On pouvait prévoir ses effets dès l’origine.
29
émoins ou victimes révèlent un vice profond de la
société
actuelle. De là à se dire révolutionnaire, il n’y a qu’un pas, qu’un
30
’est l’acte créateur de rapports nouveaux dans la
société
, de forces sociales nouvelles. Le spirituel, c’est le mouvement, c’es
31
ussi pour Saint-Évremond, expose ses idées sur la
société
. On y verra comment il se peut faire que les tyrannies sociales, mond
32
le travail de tous et diriger celui qui, dans une
société
équilibrée, incombe à l’État, c’est ce que nous appelons le domaine d
33
en tant qu’il a une vocation particulière dans la
société
. Thèse II. — Considérer l’homme en tant que personne et fonder sur c
34
qui a été fait. Toute loi qu’on découvre dans la
société
humaine repose sur le principe démissionnaire par excellence du déter
35
e. Nous avons oublié ce fait très simple : que la
société
doit être composée d’hommes réels. Nous avons tout calculé, sauf ce q
36
c’est la réponse de l’Évangile. Faites toutes les
sociétés
que vous voudrez, bouleversez les institutions, organisez le monde pa
37
trainte ou dans la liberté, vous ne ferez pas une
société
si vous n’avez pas, avant tout, retrouvé le rapport primitif, le rapp
38
ard du voisin, une façon plus commode de vivre en
société
. On a transporté dans l’histoire cet amour qui doit être un acte, une
39
e notre destin personnel, et fonde aussi la seule
société
possible. Ne nous y trompons pas : l’acte de la miséricorde, c’est l’
40
ble, sauf à l’infortuné qu’on a « retranché de la
société
humaine, et qui ne peut plus rien faire ici-bas d’utile et de bon pou
41
nts » — comme disait Nietzsche — qui domine notre
société
. 43. On trouvera dans les excellents articles d’Henry Corbin, publi
42
t dans l’attente, la révolte et l’impuissance. La
société
que veut L’Ordre nouveau a pour mesure fondamentale cette réalité de
43
ditions données… et peut faire bon ménage avec la
société
la plus strictement sociale ». Et voici détendu le ressort de la Révo
44
Japon, une autre contre la guerre de Chine. « La
société
contemporaine est une invalide, mentalement dégénérée, écrit-il. Les
45
pas autant de symptômes d’aliénation mentale ? La
société
de nos jours manifeste une tendance au crime. Elle est devenue folle
46
ur Général de la Cour, le favori élu par la bonne
société
; il paraît devant une assemblée choisie d’élus, et prêche avec émoti
47
races, à l’histoire (ou plutôt à l’évolution des
sociétés
), à la révolution, au capital, au jugement de l’opinion publique ; no
48
sition d’un acte indépendant des mécanismes de la
société
. Il nous faut faire un pas de plus. Il nous faut dire enfin que c’est
49
ne sont pas les descriptions désenchantées d’une
société
en voie de dissolution atomique. Les civilisations conscientes de leu
50
ques est toujours un assez mauvais signe dans une
société
décadente. Il est poussé à la manie par les suiveurs des maîtres d’ap
51
un cadre qu’il connaît et qu’il accepte, dans une
société
à laquelle il peut collaborer. » — Enfin le Plan réclame « la sanctio
52
ssaires ? L’amour du peuple et des victimes d’une
société
affolée s’étale sur les affiches électorales : j’y vois la preuve que
53
st par eux qu’il peut être humanisé. Le but de la
société
, c’est la personne. On n’y atteindra jamais que par une politique éta
54
qui a été fait. Toute loi qu’on découvre dans la
société
humaine repose sur le principe démissionnaire par excellence du déter
55
e. Nous avons oublié ce fait très simple : que la
société
doit être composée d’hommes réels. Nous avons tout calculé, sauf ce q
56
c’est la réponse de l’Évangile. Faites toutes les
sociétés
que vous voudrez, bouleversez les institutions, organisez le monde pa
57
trainte ou dans la liberté, vous ne ferez pas une
société
si vous n’avez pas, avant tout, retrouvé le rapport primitif, le rapp
58
ard du voisin, une façon plus commode de vivre en
société
. On a transporté dans l’histoire cet amour qui doit être un acte, une
59
de notre destin personnel et fonde aussi la seule
société
possible. Ne nous y trompons pas : l’acte de la miséricorde, c’est l’
60
rsonnel considéré par opposition à l’état ou à la
société
; 4° homme que l’on ne connaît pas, ou qu’on ne veut pas nommer. » La
61
t ainsi à cette bourgeoisie la vraie nature de la
société
moderne. Aux grands bourgeois libéraux, philanthropes et déjà démocra
62
jour. (Autosuppression de l’État, au moment où la
société
sera devenue homogène, c’est-à-dire sans classes.) Tout cela n’est qu
63
en tant qu’il a une vocation particulière dans la
société
. Considérer l’homme en tant que personne et fonder sur cette personn
64
en principe, destiné à créer du loisir, dans une
société
dont la religion dominante est la religion du travail mécanique. Cett
65
nante est la religion du travail mécanique. Cette
société
n’accorde pas au loisir, but secret69 de la plupart de ses membres, l
66
ômage. Ce paradoxe est lié à l’essence même de la
société
capitaliste-bourgeoise. On pouvait prévoir ses effets dès l’origine.
67
t le terme dernier de la division objective d’une
société
au sens des sociologues. Il joue, sur le plan politique, le rôle que
68
x autres ? La personne ne sera pas au terme d’une
société
parfaite, pour la simple raison qu’il n’y a de rapport humain réel qu
69
ssaires ? L’amour du peuple et des victimes d’une
société
affolée s’étale sur les affiches électorales : j’y vois la preuve que
70
st par eux qu’il peut être humanisé. Le but de la
société
, c’est la personne. On n’y atteindra jamais que par une politique éta
71
qui a été fait. Toute loi qu’on découvre dans la
société
humaine repose sur le principe démissionnaire par excellence du déter
72
e. Nous avons oublié ce fait très simple : que la
société
doit être composée d’hommes réels. Nous avons tout calculé, sauf ce q
73
’est la réponse de l’Évangile. Faites toutes les
sociétés
que vous voudrez, bouleversez les institutions, organisez le monde pa
74
trainte ou dans la liberté, vous ne ferez pas une
société
si vous n’avez pas, avant tout, retrouvé le rapport primitif, le rapp
75
ard du voisin, une façon plus commode de vivre en
société
. On a transporté dans l’histoire cet amour qui doit être un acte, une
76
de notre destin personnel et fonde aussi la seule
société
possible. Ne nous y trompons pas : l’acte de la miséricorde, c’est l’
77
rsonnel considéré par opposition à l’état ou à la
société
; 4° homme que l’on ne connaît pas, ou qu’on ne veut pas nommer. » La
78
t ainsi à cette bourgeoisie la vraie nature de la
société
moderne. Aux grands bourgeois libéraux, philanthropes et déjà démocra
79
jour. (Autosuppression de l’État, au moment où la
société
sera devenue homogène, c’est-à-dire sans classes.) Tout cela n’est qu
80
en tant qu’il a une vocation particulière dans la
société
. Considérer l’homme en tant que personne et fonder sur cette personn
81
en principe, destiné à créer du loisir, dans une
société
dont la religion dominante est la religion du travail mécanique. Cett
82
nante est la religion du travail mécanique. Cette
société
n’accorde pas au loisir, but secret72 de la plupart de ses membres, l
83
ômage. Ce paradoxe est lié à l’essence même de la
société
capitaliste-bourgeoise. On pouvait prévoir ses effets dès l’origine.
84
ans une passion grave, exigeante, à l’écart d’une
société
hostile, dans une ascèse morale soutenue. L’aîné, c’est ce Rouveyre q
85
elle-même le germe de sa mort. Une fois toute la
société
adaptée au cadre fixe des cités, hiérarchisée, soumise au bien d’une
86
recréer une tension par en bas22. La mesure d’une
société
personnaliste est au contraire infiniment vivante : car la personne e
87
r. La personne est par excellence la mesure d’une
société
ouverte. La société personnaliste a pour fin l’extension maximum du p
88
ar excellence la mesure d’une société ouverte. La
société
personnaliste a pour fin l’extension maximum du phénomène de la perso
89
même de la personne, mesure par excellence d’une
société
ouverte. L’erreur de Nietzsche est manifeste : il a conçu sa nouvelle
90
génieur, un territoire à exploiter ; s’il fuit la
société
de ses semblables, il verra des retraites solitaires, et s’il la cher
91
l ; il revendique une justice plus grande dans la
société
: si nous ne protestons pas plus fort que lui, si nous ne croyons pas
92
t d’esprit qui préside aux institutions. Si notre
société
est née de la Déclaration des droits de l’homme, il s’agit de donner
93
n des droits de l’homme, il s’agit de donner à la
société
de demain une déclaration des devoirs de l’homme envers lui-même et s
94
et veille, et de ressusciter le type primitif des
sociétés
irrationnelles, « sous une forme supérieure ». Selon Tzara, ceci doit
95
rieure ». Selon Tzara, ceci doit nous mener à une
société
collectiviste, marxiste. Je ne comprends pas cette déduction. La reve
96
donc vain et dangereux qu’au lieu de combattre la
société
actuelle, tout en préparant la culture à venir sur le solide terrain
97
rne. Nous pouvons nous dire patriotes, contre les
sociétés
anonymes qui ruinent des provinces entières et financent le Front nat
98
’un des rapports fondamentaux qui définissent une
société
. C’est reconnaître enfin que ce rapport n’est plus perçu par un chacu
99
n qu’on vient de lire ne saurait être celle d’une
société
équilibrée. Où est l’esprit ? Quel est son champ d’action ? Doit-il a
100
ence qui recherche le but et les conditions de la
société
. La révolution de l’avenir sera le triomphe de la morale sur la polit
101
valeurs suspendue à une fin bien définie, pas de
société
ni de morale vraiment renouvelées. Le mérite capital de ce livre, c’e
102
ivent tendre. Le but de chaque individu est-il la
société
parfaite ? Ou bien le but d’une société normale — il faudrait tout d’
103
est-il la société parfaite ? Ou bien le but d’une
société
normale — il faudrait tout d’abord la rendre telle — ne serait-il pas
104
ici les modalités du régime de l’édition dans une
société
ON, rappelons cependant les principes fondamentaux à faire valoir dan
105
ythe nietzschéen sournoisement introduit dans une
société
marxiste, dont il trahit les présuppositions fondamentales. Ainsi l’i
106
dans les deux cas, — bien que le but soit ici la
société
prolétarienne, et là la nation allemande, — qui sont censées configur
107
e, un grand mythe de communauté : nation unie, ou
société
sans classe… Si l’on veut comprendre ce temps, et l’ère nouvelle, inc
108
logie, qui affirme à nouveau l’Église en tant que
société
de ceux qui croient, et qui revient à la doctrine du bien commun. Ell
109
nnie d’un seul, et non le gigantisme national. La
société
doit être un corps, non pas une construction mécanisée. Et la santé e
110
son œuvre. Rien n’est plus redoutable pour notre
société
que le regard tranquille, apparemment modeste, d’un homme que son mét
111
t à cette scandaleuse opposition, créée par notre
société
, entre les deux sens du mot « vivre » : gagner sa vie et mériter sa v
112
philosophie, ou de morale, mais en refaisant une
société
où l’art exerce une fonction nécessaire. Toutes les grandes littératu
113
u que l’on emploie avec autant d’irréflexion. Une
société
de gymnastique tenant sa réunion annuelle inscrit à son programme de
114
lique en outre une exigence morale, adressée à la
société
tout entière ; et l’Église, en tant que directrice du devoir universe
115
l’action. Elle est comme la mesure vivante de la
société
rénovée. Mais la situation se renverse au siècle suivant, c’est-à-dir
116
se demande quel est le principe central de notre
société
bourgeoise, son lieu commun fondamental, son arme défensive et offens
117
cipe central, la vertu décisive et première de la
société
féodale fut l’honneur, vérité de la force et de la confiance jurée, d
118
nt à la brusquer. Ces coquetteries morbides d’une
société
en mal de nouveauté, ces façons de s’offrir à la violence des affranc
119
avaux scientifiques nécessaires pour organiser la
société
(Comte). Tous les dogmes rationalistes qui vont constituer l’armature
120
minisme historique. Organiser scientifiquement la
société
: c’est le socialisme, le sociologisme, le collectivisme, le centrali
121
rdonner à l’Humanité » (Comte), c’est-à-dire à la
société
organisée. Elles transportent ainsi le dynamisme de l’Histoire dans u
122
istinction qui les honore aux yeux de la nouvelle
société
. En effet, cette nouvelle société est celle des bourgeois établis dan
123
de la nouvelle société. En effet, cette nouvelle
société
est celle des bourgeois établis dans une richesse acquise par leurs a
124
e Ballanche qui estime que l’homme est né pour la
société
et ne devient complet que par elle. Et cela nous donnera Maurras, et
125
arches de la pensée et de l’action au télos de la
société
, c’est-à-dire à son but suprême. Encore faut-il savoir, me dira-t-on,
126
xistent pas ou cessent d’exister, la mesure d’une
société
se détruit d’elle-même, fatalement. C’est le cas présent de la mesure
127
cclesia qu’une polis. Mais le terme parfait d’une
société
n’est-il pas justement dans la transformation de la polis en ecclesia
128
e concentrer les puissances de la nature et de la
société
dans les mains de l’homme responsable, et dont l’esprit connaît un bu
129
e de ces fins est la vraie force animatrice d’une
société
. Les génies sont ceux qui l’incarnent, soit qu’ils la créent contre u
130
e et la réalité fondamentale, dans l’histoire des
sociétés
et des cultures, de ce que je nomme la commune mesure, le spectacle d
131
ythe nietzschéen sournoisement introduit dans une
société
marxiste, dont il trahit les présuppositions fondamentales. Ainsi l’i
132
es dans les deux cas, bien que le but soit ici la
société
prolétarienne, et là la nation allemande, qui sont censées configurer
133
boutirent à la dissolution du principe vivant des
sociétés
, et de la société bourgeoise notamment. Or il est clair qu’aucune éco
134
olution du principe vivant des sociétés, et de la
société
bourgeoise notamment. Or il est clair qu’aucune économie ne peut surv
135
e, un grand mythe de communauté : nation unie, ou
société
sans classe… Si l’on veut comprendre ce temps, et l’ère nouvelle, inc
136
logie, qui affirme à nouveau l’Église en tant que
société
de ceux qui croient, ou qui revient à la doctrine du bien commun. Ell
137
nnie d’un seul, et non le gigantisme national. La
société
doit être un corps, non pas une construction mécanisée. Et la santé e
138
ubversion. Les révolutions seules maintiennent la
société
, maintiennent en efficacité les inventions instituées par l’homme. No
139
iens avec un monde hors de mes prises, l’État, la
société
telle qu’ils la font, — avec moi-même hors de ma prise ? Ainsi l’éthi
140
ntres auxquels se rapportaient jusqu’à présent la
société
, l’État, les lois, la pensée et l’action, n’étaient pas le vrai centr
141
la personne ; et que pour cette seule raison, la
société
, l’État, les lois, la pensée et l’action déformaient l’homme et se l’
142
ur situer en ce centre de l’homme le centre de la
société
, préfigurent dès maintenant la conquête et l’effort ultimes auxquels
143
s que Paris a, lui aussi, son métro. » — Égalité,
société
sans classes ? « Comment n’être pas choqué par le mépris, ou tout au
144
u que l’on emploie avec autant d’irréflexion. Une
société
de gymnastique tenant sa réunion annuelle inscrit à son programme de
145
lique en outre une exigence morale, adressée à la
société
tout entière ; et l’Église, en tant que directrice du devoir universe
146
l’action. Elle est comme la mesure vivante de la
société
rénovée. Mais la situation se renverse au siècle suivant, c’est-à-dir
147
se demande quel est le principe central de notre
société
bourgeoise, son lieu commun fondamental, son arme défensive et offens
148
cipe central, la vertu décisive et première de la
société
féodale fut l’honneur, vérité de la force et de la confiance jurée, d
149
nt à la brusquer. Ces coquetteries morbides d’une
société
en mal de nouveauté, ces façons de s’offrir à la violence des affranc
150
avaux scientifiques nécessaires pour organiser la
société
(Comte). Tous les dogmes rationalistes qui vont constituer l’armature
151
minisme historique. Organiser scientifiquement la
société
: c’est le socialisme, le sociologisme, le collectivisme, le centrali
152
rdonner à l’Humanité » (Comte), c’est-à-dire à la
société
organisée. Elles transportent ainsi le dynamisme de l’Histoire dans u
153
istinction qui les honore aux yeux de la nouvelle
société
. En effet, cette nouvelle société est celle des bourgeois établis dan
154
de la nouvelle société. En effet, cette nouvelle
société
est celle des bourgeois établis dans une richesse acquise par leurs a
155
Ballanche, qui estime que l’homme est né pour la
société
et ne devient complet que par elle. Et cela nous donnera Maurras, et
156
arches de la pensée et de l’action au télos de la
société
, c’est-à-dire à son but suprême. Encore faut-il savoir, me dira-t-on,
157
xistent pas ou cessent d’exister, la mesure d’une
société
se détruit d’elle-même, fatalement. C’est le cas présent de la mesure
158
cclesia qu’une polis. Mais le terme parfait d’une
société
n’est-il pas justement dans la transformation de la polis en ecclesia
159
e concentrer les puissances de la nature et de la
société
dans les mains de l’homme responsable, et dont l’esprit connaît un bu
160
e de ces fins est la vraie force animatrice d’une
société
. Les génies sont ceux qui l’incarnent, soit qu’ils la créent contre u
161
e et la réalité fondamentale, dans l’histoire des
sociétés
et des cultures, de ce que je nomme la commune mesure, le spectacle d
162
ythe nietzschéen sournoisement introduit dans une
société
marxiste, dont il trahit les présuppositions fondamentales. Ainsi l’
163
es dans les deux cas, bien que le but soit ici la
société
prolétarienne, et là la nation allemande, qui sont censées configurer
164
boutirent à la dissolution du principe vivant des
sociétés
, et de la société bourgeoise notamment. Or il est clair qu’aucune éco
165
olution du principe vivant des sociétés, et de la
société
bourgeoise notamment. Or il est clair qu’aucune économie ne peut surv
166
e, un grand mythe de communauté : nation unie, ou
société
sans classe… Si l’on veut comprendre ce temps, et l’ère nouvelle, inc
167
logie, qui affirme à nouveau l’Église en tant que
société
de ceux qui croient, ou qui revient à la doctrine du bien commun. Ell
168
nnie d’un seul, et non le gigantisme national. La
société
doit être un corps, non pas une construction mécanisée. Et la santé e
169
spérité quantifiée, le dogme de la croissance, la
société
de consommation sont les « Utopies » que je prévoyais alors (Note de
170
ubversion. Les révolutions seules maintiennent la
société
, maintiennent en efficacité les inventions instituées par l’homme. No
171
iens avec un monde hors de mes prises, l’État, la
société
telle qu’ils la font, — avec moi-même hors de ma prise ? Ainsi l’éthi
172
ntres auxquels se rapportaient jusqu’à présent la
société
, l’État, les lois, la pensée et l’action, n’étaient pas le vrai centr
173
la personne ; et que pour cette seule raison, la
société
, l’État, les lois, la pensée et l’action déformaient l’homme et se l’
174
ur situer en ce centre de l’homme le centre de la
société
, préfigurent dès maintenant la conquête et l’effort ultimes auxquels
175
à l’instar du chrétien, le marxiste croit que la
société
présente n’a pas le droit de déterminer le tout de l’homme, et ne le
176
oi », qui selon Marx serait le fait de toutes les
sociétés
passées, y compris le communisme primitif, correspond formellement, d
177
celles-là précisément que l’avenir socialiste, la
société
sans classes, doit supprimer ! Le marxiste croit que le bien sort du
178
as fondé, comme le répètent tous les manuels, une
société
théocratique, mais bien une société de type fédératif, respectant les
179
manuels, une société théocratique, mais bien une
société
de type fédératif, respectant les diversités, voulues par Dieu, dans
180
large du terme, qui peut désigner aussi bien la «
société
sans classes » de Marx, que le « Royaume de Dieu » chrétien. 45. « D
181
e concentrer les puissances de la nature et de la
société
dans les, mains de l’homme responsable, et dont l’esprit connaît un b
182
olidarité humaine, de valeur humaine, c’est à une
société
de personnes que l’on pense. L’homme n’atteint l’universel qu’à trave
183
inalité éclatante, inoubliable, paradoxale, de la
société
humaine, qui lui permet de se dépasser elle-même. L’homme concret, l’
184
fois, sans tricher. Mais non : pour condamner une
société
, il faudrait plus de charité réelle, c’est-à-dire plus de radicale du
185
riciat, posa très vite de graves problèmes. Toute
société
qui sécrète un chômage « technologique » se voit contrainte de fourni
186
les chevaliers. Désormais, l’on peut dire que la
société
romaine est livrée aux mécanismes de la loi capitaliste. La concentra
187
sociale, humaine. Substitut à la mesure de cette
société
moribonde, qui a besoin pour sentir la vie, de toutes les épices capa
188
sont qu’une longue suite de luttes de classes. La
société
urbaine est désormais divisée en marchands de gros, patrons capitalis
189
r cette crise ne fut résolue qu’en apparences, la
société
n’ayant aucunement renoncé à son statut de privilèges économiques. Là
190
les plus actifs de son aggravation : machinisme,
sociétés
anonymes70, trusts. La libération politique de la bourgeoisie, à la
191
l’écrivain à déclarer pathétiquement que c’est la
société
qui est mal faite dans son ensemble, étant faite de telle sorte qu’il
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é. Ils sont donc mal venus à se plaindre. Mais la
société
en pâtit, plus gravement qu’elle ne le croit, sans doute. Une situati
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ire, après tout, ne fait que traduire celle de la
société
. Tous ces romans-cycles sont, en effet, des procès-verbaux de dissolu
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re du genre, au xixe siècle, étaient issus d’une
société
solidement établie, où les types étaient fixes et stables, et les rel
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des très grandes villes et de leur caricature de
société
. — Simard, le jardinier, est à demi métayer. Est-ce un prolétaire ? I
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n drame. Ce drame est celui du langage dans notre
société
présente. Et c’est encore une fois le drame de la culture. Qu’on ne c
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pas parler de « questions matérielles » dans une
société
distinguée. Vous me direz qu’on ne parle guère que de cela. Oui, mais
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ent » aux disciplines staliniennes en haine d’une
société
qu’ils sont les seuls à croire encore « chrétienne » — il faut bien d
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du seul antifascisme digne de ce nom. « La seule
société
pleine de vie et de force, écrit G. Bataille, la seule société libre
200
e de vie et de force, écrit G. Bataille, la seule
société
libre est la société bi ou polycéphale qui donne aux antagonismes fon
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écrit G. Bataille, la seule société libre est la
société
bi ou polycéphale qui donne aux antagonismes fondamentaux de la vie u
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mais limitée aux formes les plus riches. » Cette
société
sans tête unique, c’est à peu près ce qu’en termes moins romantiques
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anifeste l’existence d’une commune mesure dans la
société
. Sans vouloir entrer ici dans l’étude détaillée de cette idée de comm
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traits caractéristiques. La commune mesure d’une
société
doit être considérée non comme un élément « donné » (au sens philosop
205
ons par avance toute tentative d’ordination de la
société
à un principe matériel (comme l’abondance ou la prospérité) ou irrati
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onsidérée comme une vis a tergo qui pousserait la
société
dans une voie déterminée à l’avance. C’est là ce qui permet de compre
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iste cependant pas en une sorte d’émanation de la
société
constituée ou de la collectivité, émanation qui sourdrait peu à peu,
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vient assez aiguë pour s’irradier ensuite dans la
société
qui incarne cet ordre dans des institutions. Est-il besoin d’ajouter
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e fois dans cette revue —, les institutions de la
société
ON ne fonctionneront que si elles sont servies par un État aussi bien
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circonstance où les principes fondamentaux de la
société
ON peuvent être mis en jeu. Il pourra donc être amené à juger en dern
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er la nécessité de l’autorité spirituelle dans la
société
, séparée du pouvoir matériel. Et quiconque sait interpréter les faits
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voulez-vous ! À la loterie, dans les tombolas des
sociétés
, n’importe où, elle est sûre de gagner quelque chose à tous les coups
213
ique sont notre vraie réalité, ce serait jeter la
société
dans l’anarchie la plus sanglante. La politique ne doit jamais partir
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era-t-elle pour nous qu’une évasion hors de cette
société
maussade, défaite, un alibi pour la mauvaise humeur de ceux qui n’ont
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le jour, par profession, s’étend ainsi à toute la
société
, à tout cet embrouillamini de responsabilités, d’inconsciences, de mi
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illage comptait autrefois, paraît-il, cinq ou six
sociétés
de caractère utilitaire ou récréatif. La plus fameuse était la Clique
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ie ! Vous avez un rôle magnifique à jouer dans la
société
. Vous avez le temps de réfléchir et de nous faire part de vos lumière
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tre. Mais l’importance respective des deux pôles,
société
et individu, a varié depuis Goethe d’une manière appréciable. Les sui
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à ses relations avec le monde : le commerce de la
société
, l’action et le service d’autrui lui demeurent indispensables, non po
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Goethe sera l’homme en relation avec le monde, la
société
, et la nature ; mais de cette relation, de cette tension, la résultan
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otre pensée nous donne des modèles d’ordre que la
société
toute défaite qui est la nôtre ne paraît plus capable de subir. Il y
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se produit de nouveau entre les pôles individu et
société
. Mais sa résultante change de signe : elle pointe sa flèche contre la
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nt possibles et par avance élaborées : antiquité,
société
policée, objets d’art, paysages célèbres, tout ce qui met une certain
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des très grandes villes et de leur caricature de
société
. — Simard, le jardinier, est à demi métayer. Est-ce un prolétaire ? I
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n drame. Ce drame est celui du langage dans notre
société
présente. Et c’est encore une fois le drame de la culture. Qu’on ne c
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voulez-vous ! À la loterie, dans les tombolas des
sociétés
, n’importe où, elle est sûre de gagner quelque chose à tous les coups
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ique sont notre vraie réalité, ce serait jeter la
société
dans l’anarchie la plus sanglante. La politique ne doit jamais partir
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pas parler de « questions matérielles » dans une
société
distinguée. Vous me direz qu’on ne parle guère que de cela. Oui, mais
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ent » aux disciplines staliniennes en haine d’une
société
qu’ils sont encore les seuls à croire « chrétienne » — il faut bien d
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. C’étaient des hommes qui ne supportaient pas la
société
capitaliste, disaient-ils ; mais dès qu’ils en étaient sortis, ils dé
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n étaient sortis, ils découvraient que c’était la
société
en général qui les vexait. Pensaient-ils faire une colonie en groupan
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ne baraque à un seul lit. Tous ceux qui fuient la
société
et la police, les sans-nom, les rebuts d’humanité, la fin des fins, l
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parmi les danseurs du quartier, alors que dans la
société
, l’on se montre au moins des têtes, en racontant de petites histoires
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détente apathique. En somme, que ce soit dans la
société
bourgeoise ou dans le peuple, les « artistes » aujourd’hui, sont les
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illage comptait autrefois, paraît-il, cinq ou six
Sociétés
de caractère utilitaire ou récréatif. La plus fameuse était la Clique
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ie ! Vous avez un rôle magnifique à jouer dans la
société
. Vous avez le temps de réfléchir, et de nous faire part de vos lumièr
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mment un remarquable essai sur la culture dans la
société
actuelle, Penser avec les mains , a noté, dans un journal intime ten
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é vidés du sens — primitif ou secondaire — qu’une
société
et une culture, aujourd’hui fortement compromises, s’accordaient à le